La veille au soir, Bérénice n'était pas d'humeur aux câlins. Le visage fermé, ce n'était pas la Bérénice que Théo a l'habitude de connaître, la Bérénice qu'il aime. Le lendemain matin, Théo sait qu'il faut qu'il fasse quelque chose pour que Bérénice retrouve le moral. Des câlins ? De l'amour ? Sexe?
Proposée le 17/01/2024 par Mysteriotic
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
J'entends Bérénice… glousser alors que je verse un petit peu de ce lubrifiant sur ses fesses, dans le but que ce soit confortable, agréable pour elle… alors que je m'apprête à m'occuper de nouveau… de son petit cul.
Elle, elle a encore et toujours les fesses à l'air, et elle m'expose son petit cul comme ça, délibérément, à la face du monde.
Ses jolies fesses se dandinent.
Ça fait depuis belle lurette que j'ai plié et que j'ai rompu.
Bérénice est irrésistible.
Et quand elle est comme ça, à quatre pattes, entièrement nue, toute mouillée, trempée, offerte, je me répète cette mantra en moi : «Bérénice est la plus belle femme du monde, et elle est avec moi. Elle est à moi. »
Après lui avoir versé un peu de ce lubrifiant «spécial anal» sur son petit cul, je me suis… on va dire… autorisé à observer, à… admirer son cul, juste un petit peu. D'en capter, pour le restant de mes jours, un instantané. Parce que là, Bérénice, toute nue, toute entière, à quatre pattes, est si belle à regarder. Et moi, oh… oui, j'aimerais m'en souvenir jusqu'à la fin de mes jours.
Bérénice, elle, la petite coquine, MA petite coquine, ma jolie coccinelle, elle le voit bien que je la regarde ainsi, de cette manière. Sa tête est encore tournée dans ma direction. Je la vois qui me sourit.
Je l'aime.
Beaucoup.
Passionnément.
À la folie.
Puis, je me remets à rapprocher ma tête de son derrière.
Je pose mes mains, dans le même temps, sur ses deux ravissantes fesses roses.
Je les embrasse, par la même occasion.
De là où je me tiens, je parviens à voir Bérénice qui tend ses bras dans ma direction. Pour être plus précis, elle tend ses bras en direction de ma tête.
Par ce geste, il me semble comprendre et savoir ce qu'elle veut…
Elle a, elle aussi, de nouveau envie que je la goûte. Que je la lèche.
Que je m'occupe, encore et toujours, inexorablement, de son anus.
Et c'est ce que j'ai l'intention de faire… !
Et c'est ce que je veux faire…
Bérénice a son joli postérieur rose pâle tout imbibé de salive… de cyprine douce, salée, chaude, agréable, et de lubrifiant.
J'y passe le bout de mes doigts sur sa jolie petite chatte toute trempée.
Puis… tout en embrassant, avec rythme, avec désir, avec passion, avec frénésie, ses fesses, l'une après l'autre, je passe la pulpe d'un doigt sur son anus. Pour être plus précis… sur l'entrée de son anus.
Mais… je ne le pénètre pas tout de suite.
Non…
Avec la pulpe de mon doigt, je titille l'entrée de son cul…
Bérénice halète. Bérénice gémit. Je regarde Bérénice, à la volée : son regard se fait suppliant, plus que jamais...
Je maintiens mes efforts pour procurer du plaisir à Bérénice.
Plus… Bien plus… Encore plus… Beaucoup plus… Toujours plus…
Bérénice, elle, me regarde. Elle me sourit.
Mais… son visage, transfiguré et rougi par le plaisir, se fait de plus en plus suppliant au fur et à mesure que nous faisons l’amour ce matin.
Je suis encore et toujours derrière elle, mon corps, et en particulier ma tête collée à son joli postérieur.
Avec mes deux mains, j’écarte ses fesses.
J’avais commencé à placer la pulpe d’un doigt à l’entrée de son anus.
Auparavant, j’avais versé un peu de lubrifiant sur sa croupe, et en particulier sur son petit trou.
Et là, avec la pulpe de mon doigt, j’étale… je tartine le lubrifiant sur le joli petit œillet de Bérénice.
Et… étant donné que ma tête est collé à son beau petit cul… j’embrasse son derrière…
Des petits baisers mouillés…
Bérénice ne me quitte pas des yeux pendant ce temps-là. Non… Cette petite coquine de Bérénice aime regarder ce que je fais et comment je m’y prends pour lui donner du plaisir. Ce plaisir que seul moi sais lui procurer.
Elle me regarde. Dans les yeux. Elle ne me lâche pas d’une semelle. Non…
Elle est comme ça, Bérénice.
Elle hoche la tête de haut en bas, de bas en haut, comme pour me dire qu’elle aime bien et qu’elle désire que je continue.
Avec sa voix, qu’elle rend aiguë, sensuelle et sexy dans l’intimité, elle émet des petits bruits de plaisir. Ses fameux bruits de plaisir qui me font craquer et qui m’excitent… beaucoup.
Elle halète.
Sa respiration est rapide. Bruyante.
Bérénice me regarde dans les yeux.
– Ton doigt… Chéri… Chéri… Chéri ! Ton doigt… Je veux sentir ton doigt… S’il te plaît…
C’est alors que, de nouveau, je regarde Bérénice dans les yeux. Je soupire. Je ferme les yeux… et j’embrasse son cul.
Puis, j’introduis un tout petit bout de mon doigt dans son anus lubrifié.
Nous franchissons définitivement un Rubicon...
Je suis toujours aussi fou amoureux de Bérénice.
Et je sais qu'elle ressent exactement la même chose pour moi.
C'est aussi simple que ça.
Le fait que notre relation grandit et qu'elle dure, le fait que nous nous aimons si fort, cela fait que nous avons une très grande confiance mutuelle.
Et là, Bérénice, très clairement, me fait confiance, alors que j'ai inséré un tout petit morceau de mon doigt dans son petit trou tout mouillé.
Son anus est si étroit.
Je pénètre Bérénice, mais très… très délicatement.
J'ai peur de lui faire mal. Je ne le veux tout simplement pas. Je ne me le pardonnerai pas si elle ressentait une quelconque douleur.
Je fais de tout petits mouvements de va-et-vient en elle.
Au plus profond d'elle.
Et, dans le même temps, j'approche mes lèvres de ses fesses, et je les embrasse.
Bérénice a la tête tournée vers moi.
Ses yeux sont mi-clos.
Sa bouche est entrouverte.
J'entends les gémissements de plus en plus bruyants de ma jolie coccinelle.
Quand soudain…
– OUI ! OUI ! OUI ! Comme ça ! Ton doigt ! Mets-moi ton doigt! S'il te plaît, mon chéri…
Le petit trou de Bérénice est étroit mais bien lubrifié. Et… Au fur et à mesure que je la pénètre avec prudence, je me rends compte que mon doigt coulisse de mieux en mieux dans son anus.
J'insère alors une seconde phalange de mon doigt dans son cul.
Bérénice crie alors de plaisir...
Bérénice est toute détendue.
Bérénice me fait entièrement confiance.
De son propre chef, elle a voulu me accéder à sa plus secrète intimité. Une intimité toute particulière, qu'elle ne livrera jamais à quelqu'un d'autre que moi.
Il s'agit de son mignon petit cul.
Bérénice est allongée sur le ventre. Disons… plus exactement… qu'elle est à quatre pattes, dans la position communément appelée de la levrette.
Moi ? Je me tiens tout contre ses fesses. J'ai pénétré l'anus de cette magnifique Bérénice. Délicatement. Très délicatement.
Son œillet est si mignon. Si… étroit, aussi.
Je dois m'occuper de Bérénice, avec soin. En prenant beaucoup de précautions.
Je ne supporterai tout simplement pas de faire du mal à Bérénice.
Déjà rien que le fait qu'elle soit triste, qu'elle ne sourit pas ou qu'elle soit en colère…
Imaginez une seule seconde si je la blesse…
J'aurais l'impression d'avoir touché à notre amour et à notre désir.
Je ne me le pardonnerai pas.
Je ne plaisante pas.
Bérénice est détendue.
Elle me regarde fixement, avec ses yeux noisette. Ses yeux de femme amoureuse. Ses yeux de femme épanouie quand on s'occupe d'elle et qu'on lui procure bien du plaisir. Quand on la fait jouir…
Le plaisir lui va si bien, à Bérénice. Oh… oui.
Et pour qu’elle ait encore plus de plaisir et que ce soit agréable, délicieux pour moi, j’ai gardé le flacon de lubrifiant «spécial anal» à portée de main, pour pouvoir m’en servir quand je veux, autant que je veux, pour lubrifier l’anus de Bérénice et que la pénétration de mon doigt soit la plus jouissive pour elle.
Et là, j’ai repris le flacon de lubrifiant et j’ai retiré le bouchon. Je pointe le bout du flacon en direction des fesses de Bérénice afin d’en verser encore un peu sur son périnée … et sur son anus.
Bérénice ne rate pas une seule miette de ce que je fais. De ce que je LUI fais.
– Bon dieu, Bérénice ! Regarde-toi ! Regarde-moi ! Regarde-nous !
– Mon chéri… Mon joli oiseau...
– Regarde comme tu es belle et comment j’adore m’occuper de toi. Bordel ! Tu éblouis ! Tu irradies !
– J’aime quand tu me fais l’amour, mon chat. Continue… Ne t’arrête pas… Continue...
– Oh que oui, je vais continuer, jolie coccinelle...
Juste après avoir dit ça, Bérénice a penché de nouveau sa tête vers moi. Elle recherche ma bouche. Elle recherche mes lèvres. Elle recherche ma langue.
Nous nous embrassons.
Tout d’abord, un demi-baiser. Un smack. Du bout des lèvres.
Ensuite, nous passons à la vitesse supérieure. Nous nous dégustons. À pleine bouche. Nos lèvres font et refont connaissance. Elles se moulent.
Puis, nous changeons carrément de braquet et nous y mettons la langue. Nous dansons un sensuel tango labial, lingual. Nos salives se mélangent.
C’est magique.
C’est parfait.
J’ai l’impression de revenir adolescent et que je redécouvre les plaisirs sensuels. Les plaisirs charnels.
Et pendant que nous nous embrassons comme bon nous semble, je n’ai pas arrêté de faire que mon doigt aille et vienne en Bérénice, dans son anus étroit.
Mon doigt coulisse à merveille.
Ce lubrifiant «spécial anal» est une pure merveille !
Quant à Bérénice, elle est tout simplement belle. Sensuelle. Sexy. Irrésistible.
Bérénice est délicieuse.
C’est alors que je retire mon doigt de son anus.
Je me remets à lécher brièvement l’œillet lubrifié.
Puis je reprends le flacon et me verse encore un peu plus de ce lubrifiant sur le bout de… deux doigts.
Ma main retrouve le contact des fesses de ma petite amie.
Mes doigts vont retrouver le contact chaud, humide, étroit de son petit cul.
Bérénice est délicieuse, et j’ai vraiment d’elle. Corps et âme et sexe. Toute entière… Ô son anus… Moi en elle, au plus profond d’elle… Ce n’est plus qu’une question de temps.
Je la veux.
Elle me veut.
Nous nous voulons.
C’est parfait.
Grâce au lubrifiant que j’ai déposé sur son anus, j’ai carte blanche pour pouvoir continuer de pénétrer l’anus de ma jolie Bérénice, avec mon doigt.
Le petit cul de ma petite amie est tout brillant. Tout imprégné de lubrifiant et de mouille. Tout trempé.
Mon doigt va et vient… Va et vient… Va et vient… Au plus profond de Bérénice.
Là où elle ne permettra jamais un autre homme de la connaître. Du moins… je l’espère…
Bérénice est à moi.
Elle l’a dit, tout à l’heure !
Je la regarde.
Je l’observe.
Je la mange des yeux.
Je l’entends.
Elle n’arrête pas de gémir.
Elle n’arrête pas de haleter.
Elle commence même carrément à crier. De plaisir.
Bérénice ne cesse jamais de me regarder, et ce, même si elle est à quatre pattes, en levrette.
Ses yeux sont désormais clairement suppliants.
Je sais ce qu’elle veut.
Elle me l’a dit.
Elle veut mon sexe dans son anus.
Elle veut, plus que tout, que je l’encule.
Je retire mon doigt de son cul.
Puis… Avec le plat de mes mains, j'écarte ses fesses afin de pouvoir me faire de la beauté de son œillet lubrifié et de sa lubrification.
– Tu es irrésistible, ma jolie coccinelle. Tu es belle. Ton cul est si beau. J'ai envie de toi…
Bérénice glousse sous l'effet de mes mots.
– Je n'attends plus que ça, mon joli oiseau. Ta queue en moi… Je t'en prie !
À mon tour de glousser.
Mais… Avant de m'enfoncer, pas à pas, tout entier, en elle, je reprends le flacon de lubrifiant «spécial anal» et j'en redépose sur le bout de mes doigts.
Sur deux doigts…
En effet… J'aimerais continuer de lubrifier et de dilater ma chérie avant que nous ne rencontrions pas le moindre souci lorsque je voudrai la pénétrer.
Bérénice a les yeux brillants. Ça, je le vois bien.
Même si je la doigte, je ne la quitte pas des yeux, moi non plus.
Je l'observe bien, la petite coquine !
Ses yeux sont embués de désir.
Sa peau est rouge de plaisir.
Elle s'efforce, tant bien que mal, à retrouver son second souffle même si je n'arrange rien à l'affaire vu que j'ai repris ma marche vers l'avant pour lui procurer du plaisir.
Bérénice veut sentir mon sexe entre ses fesses, dans son petit trou. Elle me l'a dit…
Je fais tout pour que ce soit le moins douloureux et le plus agréable possible pour elle.
Ça va être notre première fois…
C'est imminent...
Je retire mes mains de ses courbes et je repose la pulpe d'un doigt sur l'entrée de son anus.
J'essaie de me faire une idée de l'étroitesse de son orifice anal.
Je constate qu'elle est de plus en plus dilatée.
Tout doucement, j'insère une phalange à présent de mes deux doigts en elle, dans son petit cul.
Bérénice se met soudain à hurler.
– Encore… Encore… Théo ! Oui ! Oui ! OUI !
– Bon dieu, Bérénice ! Tu me rends fou !
– Tes doigts ! Je les veux en moi ! Aaaaahhhh !
Je ferme les yeux, et je pousse un tout petit soupir.
Nous sommes corps et âme et sexe.
Seuls au monde.
Bérénice est en train de s’offrir, toute entière, à moi, depuis tout à l’heure.
Elle est si belle.
À croquer.
Sexy.
Je viens de plonger, tout doucement, progressivement, deux doigts dans son anus, au plus profond d’elle. Dans son intimité la plus secrète.
Et pendant que je la doigte et que je continue de préparer son petit cul comme il se doit, j’entends Bérénice gémir, crier de plaisir.
Je l’entends haleter.
Ses yeux ont quitté les miens.
Elle regarde droit devant elle.
Moi, une phalange de mes deux doigts est enfoncée dans son anus, et ce sont de tout petits va-et-vient que je fais avec.
Ce sont deux doigts de ma main droite, et celle-ci est posée sur sa peau.
Sa peau rose pâle est maintenant humide. De cyprine. De salive. De lubrifiant «spécial anal»… et de sueur.
Ma main est posée sur sa fesse droite.
À l’exception de mes deux doigts qui sont enfoncés en elle, les autres la caressent.
Des petits cercles…
C’est comme un petit massage.
J’entends Bérénice soupirer. Ça veut sûrement dire qu’elle se sent bien et qu’elle apprécie particulièrement ce que je lui fais.
– Encore… Encore… Encore…
Pour toute réponse, je retire mes doigts dans son orifice mais je garde ma main sur sa fesse. J’embrasse cette fesse. Un tout petit baiser mouillé…
L’instant d’après, je m’empare de ses fesses avec mes deux mains. J’écarte ses fesses.
Je vois plus que bien son petit trou tout mouillé. Tout luisant et reluisant de mouille. De salive. De lubrifiant.
– Tu regardes quoi, Théo ? Mon petit cul ? Il te plaît ? Tu veux le baiser ? C’est ça que tu veux ?
Je glousse.
Encore une fois, pour toute réponse, j’approche ma bouche de son derrière et j’honore ses fesses de mes lèvres. Je dépose un baiser sur chaque fesse.
Et, au moment où j’embrasse Bérénice, j’entends un bruit.
Je lève les yeux.
Je vois Bérénice qui tend un bras en direction de sa table de nuit.
Elle a ouvert le petit tiroir. Là où se trouve ses sextoys, les lubrifiants, les huiles de massage… et les préservatifs.
En parlant de préservatifs, justement… Je vois distinctement ma coquine de petite amie prendre une boîte.
Elle referme le petit tiroir.
Elle tire une capote de la boîte.
– Je te veux, Théo. En moi. Maintenant !
Ni une, ni deux, elle se retourne et elle me fait face.
Je sais ce qu’elle va faire…
Moi, je me mets sur le dos.
Bérénice déchire l’emballage de la capote avec ses dents.
Elle prend mon pénis dans sa main, et elle déroule le caoutchouc sur mon sexe.
Je suis tout dur…
D’une main, Bérénice me pousse.
Je me retrouve allongé sur le dos.
Bérénice me chevauche.
Puis, elle enjambe mon sexe et vient s’accroupir, à califourchon, au dessus de moi.
Je sens ses fesses chaudes frotter contre ma queue.
Nous allons bientôt basculer…
Ce n’est plus qu’une question de temps...
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