La veille au soir, Bérénice n'était pas d'humeur aux câlins. Le visage fermé, ce n'était pas la Bérénice que Théo a l'habitude de connaître, la Bérénice qu'il aime. Le lendemain matin, Théo sait qu'il faut qu'il fasse quelque chose pour que Bérénice retrouve le moral. Des câlins ? De l'amour ? Sexe?
Proposée le 17/02/2024 par Mysteriotic
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
J'ai comme l'impression qu'il fait chaud dans la chambre. Est-ce que c'est moi ou...? Est-ce que c'est vraiment le cas ?
Les draps sont humides tout contre moi. Ils sont froissés. Ils sont pêle-mêle. Mais nous y sommes si bien. Oh... oui.
Les chevaux du plaisir prennent possession de nous, ce matin.
Nos corps se connaissent et se reconnaissent. Ils se trouvent et se retrouvent, en toute sensualité. Que rien ne vienne interrompre ce moment. Non.
Bien que moite, la peau de Bérénice reste agréable au toucher, à la caresse. J'aime toucher, caresser la femme que j'aime. La femme de ma vie. Ma future épouse.
Les chevaux du plaisir prennent possession de nous, ce matin.
- Béré'... C'est trop bon ce que tu me fais là... J'aime tes lèvres... J'aime ta langue... Hmmmm... Oui... Tu vas me faire jouir si tu continues comme ça... Hmmmm... Ouuii...
Elle m'excite, la jolie coccinelle. Oh... oui. Sa fellation du matin est l'une des petites gâteries que je préfère. Une fois, en pleine nuit, elle m'a sucé avec passion. J'étais à moitié endormi. Elle s'est glissée sous la couette et elle m'a abaissé le short que je portais. J'y ai pris beaucoup de plaisir. Elle m'a laissé jouir dans sa bouche. Elle s'est recouchée à côté de moi, elle s'est blottie et elle a posé l'une de ses mains sur ma poitrine. Elle m'a embrassé. Ses lèvres étaient brillantes de mon sperme. Elle s'est léchée les lèvres, la coquine. Et nous nous sommes rendormis en toute quiétude.
Les chevaux du plaisir prennent possession de nous, ce matin.
- Thé... o... Ta queue est toujours aussi bonne... Aah... Ma sucette préférée... Mon anis préféré... Je les aime toujours autant... J'aime... te sucer le matin, mon chat... J'aime entendre... ta voix... que tu prends du plaisir... J'aime t'entendre... te voir jouir... J'aime... ton sperme, mon chéri... Et j'en ai envie, ce matin...
D'une main, Bérénice me masturbe. Sa main va et vient, elle coulisse. De haut en bas, de bas en haut. La limite entre la tige et le gland... La tige... La base de mon pénis...
De son autre main, Bérénice palpe mes testicules. Elle les prend délicatement avec la paume de sa main. Elle les masse. Elle les réchauffe. Je tressaille. Une décharge électrique me fait frissonner, grimacer. Elle me couvre, me recouvre de chair de poule. J'avance encore un peu plus vers le précipice de la jouissance. Que c'est bon...
Les chevaux du plaisir prennent possession de nous, ce matin.
- Béré'... C'est si bon, comment tu t'y prends... T'arrêtes pas... Surtout pas... Ça vient... Je le sens... T'arrêtes pas, pupuce... T'arrêtes pas...
- Hmmm... Mon amour... Je sens ça, que ça vient... Elle est grosse, ta queue... Et d'ici peu de temps... tu ne pourras plus te retenir, mon amour... Ce sera très fort comme plaisir... Ton sperme va gicler... Je n'attends plus que ça...
Et en fait... plus elle me branle, plus elle me caresse les testicules, plus elle me suce... et plus je sens que mon éjaculation se rapproche à grands pas. Il n'y a plus rien à faire si ce n'est me laisser aller... et m'abandonner.
Plus je sens que mon plaisir monte toujours crescendo en intensité, plus je reporte mon attention sur Bérénice. Mes gestes sont délicats. Mes caresses restent agréables. J'ai beau la pénétrer avec deux doigts, je n'en suis pas moins à son écoute. Il n'y a pas de changement soudain brutal dans le rythme des va-et-vient que je mène. C'est et ça doit rester du plaisir. En retour, je veux qu'elle se laisse aller... et qu'elle s'abandonne.
Les chevaux du plaisir prennent possession de nous, ce matin.
- Ni trop rapides, ni trop lents... Si tu savais comme j'aime quand tu me doigtes comme ça, mon amour... Ça reste agréable... Moi aussi, je sens que ça vient... T'arrêtes pas... Surtout pas... S'il te plaît... Théo...
- Hmmm... Ton minou continue de couler... C'est juste... incroyable... C'est si doux... et si chaud dans ton corps... Elle est peut-être épaisse, ta mouille... Je l'aime toujours autant...
Je vais et je viens à l'intérieur de son vagin. Je remarque que plus je la pénètre, plus ses parois semblent se resserrer autour de mes doigts, petit à petit.
Les halètements de Bérénice sont rapprochés, eux aussi. Je remarque que plus je m'occupe d'elle, moins elle maîtrise la gestuelle de son corps.
Les chevaux du plaisir prennent possession de nous, ce matin.
Elle prend du plaisir, Bérénice. C'est indéniable. Mais elle est tout autant corps et âme et sexe dans nos ébats que je le suis. Elle reporte son attention sur mon érection. Elle la gratifie de coups de langue et de succions. Ça reste agréable. Je... fonds. Je ne suis plus qu'une boule de plaisir... et je ne réponds plus de rien.
Ma langue butine sur la peau de son intimité. Mes deux doigts maintiennent leur mouvement linéaire de forage. Le langage corporel de Bérénice est sans équivoque. Les bruits suggestifs qu'elle fait le sont tout autant. Elle non plus, elle ne répond plus de rien.
Les chevaux du plaisir prennent possession de nous ce matin et nous allons bientôt en jouir, au sens premier, physique et physiologique du terme...
Bérénice halète.
Elle soupire.
Elle gémit.
Ces bruits sont proches les uns des autres.
Bérénice est comme moi. Elle est exactement dans la même situation que moi : elle a beaucoup de plaisir et elle sent que ce plaisir s'est mué en quelque chose de plus intense encore.
- Mon amour... Je ne maîtrise plus rien... J'ai la tête qui tourne... Mon cœur bat très vite... si fort... Je me sens si bien... Ne t'arrêtes surtout pas, mon ange... Surtout pas...
Cette belle petite choupette... Elle transpire au sens propre du terme. Oui. Mais elle transpire aussi et surtout la beauté, la sensualité, la générosité. Cette pupuce... Elle a déjà beaucoup donné ce matin et je pense savoir qu'elle est épuisée. Mais je sais, et ça, c'est une certitude et c'est ce qui est essentiel pour moi, qu'elle se sent bien et qu'elle aime faire l'amour. Je fais tout pour qu'elle aime ça.
- Bé... bé... Je me sens... tout dur... Tout mouillé... C'est juste... incroyable ce que tu sais faire de ta bouche... Je sens tes gros monts d'amour contre mon ventre... Ils sont tout chauds... Moi aussi, je me sens si bien, Béré'... Avec toi...
La réponse de Bérénice est immédiate et je dois dire... incontrôlée. Elle pousse un gémissement suivi... d'un sanglot. Quand je lui parle avec amour et tendresse de ses gros seins ou bien carrément de son côté sexy qui est tout naturel, inné chez elle, elle le ressent au plus profond d'elle. Bérénice est douce. Bérénice est sensible. Et, par-dessus le marché, elle est généreuse. Tout ça combiné fait que je suis toujours aussi fou de ce petit bout de femme après plus de deux ans de relation.
- Mon amour... J'ai de plus en plus la tête qui tourne... Et pourtant... Je me sens si bien... Je suis tellement heureuse... Et tout ça, c'est avec toi, Théo. Qu'est-ce que j'a-dore partager un lit avec toi...
Cette jolie coccinelle... Est-ce qu'elle a, ne serait-ce qu'un minimum, une idée de ce que ces mots signifient pour moi, de comment je les ressens au plus profond de moi ? Hmm... D'un côté, elle SAIT que je suis profondément amoureux d'elle. Et... Mais d'un autre côté, coquine comme elle est, émoustillante comme elle aime tout particulièrement m'émoustiller... elle met bien plus le feu aux poudres qu'elle ne le pense.
- Moi aussi, j'ai la tête qui tourne, pupuce... Mais je sais très bien que c'est avec toi que je suis... Et nous faisons... l'amour... Oui... Bérénice... Tu me fais l'amour et moi... je te fais l'amour... Continuons...
- Mon amour... Mon a... mour! Oui! Oui! Oui! OUI! Je veux ! Je veux ! Tes doigts et ta langue... Ma main et ma bouche... C'est tellement bon...
Je ne peux pas être plus d'accord avec elle. Tout simplement parce que... je suis tout à fait d'accord. Je partage son avis.
- Bérénice... Comment tu te sens ? Ça... va? Je veux dire... physiquement... Est-ce que tu es fatiguée ? Est-ce que tu es... à bout de force ? Je VEUX savoir. Dis-moi, mon cœur.
- Mon amour...
Elle me gratifie d'un doux baiser sur le bout de mon sexe, sur une des faces de mon gland. Je sais que c'est ça parce qu'il est tiède... et qu'il est mouillé, ce petit bisou affectueux.
- Je te cache pas que... j'aurais besoin d'une bonne sieste réparatrice. Mais... ce que j'aime par-dessus tout, c'est... faire l'amour... avec toi, mon chat... Que tu me fasses l'amour...
- Je peux donc en conclure que... je peux te pousser encore un peu ? Est-ce que tu as encore assez de forces pour avoir un nouvel orgasme, ma chérie ? Dis-moi. S'il te plaît.
Et là, je dois dire que je ne m'y attends pas. Bérénice tourne un peu la tête dans ma direction. Ses yeux chocolat sont encore plus petits qu'au moment où elle les a ouverts, tout à l'heure. Je vois de mes propres yeux qu'elle l'est effectivement, fatiguée. Une sieste réparatrice ou bien... crapuleuse sera la bienvenue. Par contre, en la regardant attentivement... je constate qu'elle a les yeux brillants. Des petites larmes y coulent. Ses yeux lui piquent ! Elle a un joli sourire aux lèvres. Ses lèvres roses, vanille, elles sont gonflées et je peux qu'elle se les ait mordues, la jolie coccinelle.
- Mon amour...
- Bérénice...
- Pa... Pa... Pardon. Je pleure un tout petit peu. Pardonne-moi... C'est juste que... que... Je... Je...
Elle ne termine pas sa phrase.
L'émotion prend possession d'elle. Les émotions prennent le dessus.
Je l'interromps sur le champ.
- Mon cœur... Princesse. Non! Tu n'as pas à me demander pardon. Ça, je veux pas. Tu m'entends, jolie coccinelle ? JE VEUX PAS ! Tu es si belle, Bérénice. Et tu l'es même quand tu pleures. Ce sont des larmes d'émotion et de bonheur que je vois couler, là, sur tes joues. Elles mettent en beauté tes joues roses. Oh! Minute... Tu serais pas... en train de... rougir, par hasard, toi?
Deux ans et quelques de relation... Je connais Bérénice plus qu'elle peut le penser. Ses joues s'habillent de rouge quand elle reçoit un compliment ou quand elle voit que mon regard est posé sur elle et qu'il ne la lâche pas d'une semelle.
- Mon amour... Tu m'aimes. Tu es l'homme que j'ai toujours imaginé à mes côtés. Tu es doux et tu es gentil. Quand je reçois des bonnes nouvelles, toi aussi, tu sautes de joie. Quand je suis triste, tu restes à mes côtés et tu me dis que ça va aller mieux. Quand je suis en colère, tu attends que la tempête passe et puis tu m'apaises. Alors... Oui. Je rougis, mon chat. Et... oui. Je suis prête à avoir un autre orgasme. J'adore ça, jouir. Et toi, tu sais si bien t'y prendre... Mon amour... Je suis prête. Tes doigts... Ton sexe... Ta bouche... Ton corps... Je suis prête. Un orgasme... S'il te plaît.
- Bérénice... Je sais que c'est important pour toi que j'aie du plaisir, que je jouisse... Mais ce matin... je veux que ce soit tout pour toi, princesse.
- Mais...
- Il n'y a pas de "mais", Bérénice.
- Mon trésor...
- Ma petite femme perdue...
- Chéri... Moi aussi, je veux ton plaisir...
- Jolie coccinelle... Je le sais. C'est quelque chose que j'aime chez toi. Mais... Hier... Quand on s'est couchés... Quand je t'ai embrassée... Quand j'ai posé ma main sur ton corps tout mouillé... Tu t'es détournée, Bérénice. Tu n'avais pas ce sourire... Ton sourire d'un jour optimal... Et dieu sait que je l'aime, ce sourire sur tes lèvres, dans tes yeux.
- Mon amour... Je n'avais pas envie de te prendre la tête... Tu y étais pour rien... Tu es l'homme que j'aime... C'est juste que...
- Que...?
- À la fac, c'est... C'est pas facile en ce moment. Tellement de dossiers sur lesquels je dois travailler... Les recherches... Le travail à la maison... Le petit Axel que je garde et dont je m'occupe le soir... J'ai conscience que je suis moins présente ces derniers temps, mon chat... Je vais devenir folle si ça continue, à force... Je t'aime, Théo Lopez. Je t'aime plus que tout, plus que jamais. Et pourtant... j'ai l'impression de te négliger. Oh mon amour...
- Mais! Mais pourquoi ??? Pourquoi tu ne m'as rien dit, Bérénice ??? J'ai cru que je t'avais blessée, moi! Que j'avais dit... Que j'avais fait... Quand je te donnais plus la même attention... Et toi, là, tu... Chuuuut... Chut, chut, chut. Ne dis rien, Béré'. Je t'aime. C'est aussi simple que ça. Je te soutiens et je suis fier de toi. Tu le sais, ça. Et là, je veux et je vais m'occuper de toi, ma belle...
- Mon amour...
- Bérénice... Quand notre histoire a commencé, dans ta ville là-bas, je savais que tu étais étudiante. Moi aussi, j'ai été étudiant. Donc je sais ce que c'est. Je sais ce que ça implique. Mais je t'aime et je suis de tout cœur avec toi. Sache le. Les bons moments comme les périodes les plus difficiles. Les joies comme les peines. La santé comme la maladie. Je veux vivre tout ça... Je veux passer chaque jour du reste de ma vie à tes côtés, princesse. Me réveiller et m'endormir avec toi.
- J'ai tellement pas envie de te perdre, Théo... Je t'aime si fort. Tu es mes deux poumons, mon cœur, chéri...
- Qui te parle de me perdre, Béré'?
- Je suis moins là pour toi, ces derniers temps... J'ai tout le temps la tête dans mes cours, dans mes livres. Tu me trouves toujours si belle et tu me fais des compliments... Tu es si gentil, si attentionné avec moi, mon cœur. Et moi, je...
- Je t'interdis de penser une seule seconde que tu ne penses qu'à toi, Bérénice. C'est clair, net et précis, ça. Ton bien-être et ton bonheur sont les deux mamelles de mes priorités, tu as oublié ?
- Quand même...
- Il n'y a pas de "quand même", pupuce.
- J'aimerais t'accorder beaucoup beaucoup plus de mon temps, Théo...
- Et là, tu m'en accordes pas ce matin, peut-être ? Bérénice... A... rrêtes de cogiter.
- Tu as peut-être raison, chéri.
- J'AI raison. C'est pour ça et tu le sais, ça.
- Théo?
- Bérénice.
- Dis-moi franchement. T'as toujours autant envie de moi comme ça ? Réponds-moi en toute franchise, s'il te plaît.
- T'en doutes ?
- C'est pas ce que j'ai dit, mon ange.
- Eh bien... Pour te dire les choses en toute franchise, comme tu dis... Oui. J'ai toujours envie de toi autant qu'il y a deux ans à l'Hôtel Lanjuinais, Béré'.
- Comment tu...fais...? Je... Je...
- Tes petits yeux du matin... Tes lèvres vanille... Tes gros seins... Ton p'tit cul, Bérénice... Ta chatte, tes poils... Ta personnalité... Tes joies, tes peines... Ton sourire, tes larmes... Tes éclats de rire, tes colères... Béré'... C'est aussi simple que ça.
- Tout ça, tout ça ? T'es... sérieux, mon chat? Moi...??
Elle est sur le cul, sans faire de jeux de mots un tant soit peu scrabreux.
Après plus de deux ans ensemble, mon désir pour elle, ma libido sont restés les mêmes. Aussi insatiables.
- Théo... Théo Lopez...
- Bérénice... Bérénice Blondeau...
- Je... Je suis sur le cul... Je pensais pas que... C'étaient aussi forts, ton amour, tes sentiments...
- Et moi je pense que t'en avais une petite... idée.
- Mon joli oiseau...
- Chuuuut... Chut, chut, chut, Béré'. Débranche tout à présent. Et enjambe-moi. Chevauche-moi. Ton p'tit cul sur mon visage. Te poses pas de question. Main... te... nant.
Et, ni une ni deux, je fais ressortir l'homme dominateur, le dominant à qui ça arrive de sommeiller en moi. Je ne me pose pas la même question. Je sais que ce qu'il va se passer dans quelques instants... c'est ce dont j'ai envie.
Je saisis Bérénice par les fesses.
Fermement.
J'ai conscience que je peux planter mes ongles à chaque instant dans la peau de Bérénice et qu'elle aura des bleus, peut-être. Je ne me pose pas de question. Je laisse éclater mes désirs au grand jour. Mes fantasmes inavouables...
- Mon amour... Mais qu'est-ce que tu...?
- Chut, Bérénice. Tais-toi.
- Mais? Théo! Qu'est-ce qu'il te...?
- Savoure, ma jolie coccinelle. C'est fini d'être triste et de t'inquiéter. Je... suis... là. Je prends les choses en main... Je... veux... ton... plaisir. Ton orgasme...
Je la positionne à califourchon au-dessus de mon visage.
Bérénice me paraît légère comme une plume.
Elle me laisse faire. Elle me fait confiance.
Ah... Quand le corps, le sexe, la femme me tombent sur la tête...
Les dégâts sont déjà perpétrés. Il n'y a plus rien à faire.
Je bouffe son petit cul.
Son sexe est ouvert. Il mouille, il coule, il ruisselle.
- Thé...o... Pu... tain... C'est...
- Je sais, Bérénice. Je sais. C'est que du plaisir, je te le promets. Laisse... toi... aller.
En réponse, ma langue est virevoltante. Elle se régale, elle se délecte de miel féminin, de peau.
Elle malmène, elle torture Bérénice elle-même, toute entière.
C'est comme ça.
Bérénice est au-dessus de moi.
J'ai son sexe pile au niveau de mon visage.
Elle ne porte plus rien du tout.
Par conséquent, il n'y a rien qui puisse entraver mon initiative, mon assaut. Il n'y a rien du tout qui puisse se mettre en travers de mon chemin.
C'est la première fois. Encore une première… Je lui donne un cunnilingus ainsi. Je dois avouer que j'aime ça. Bérénice n'a à se soucier de rien. Elle doit juste oublier tout… et se laisser aller.
Elle est dans le sens inverse du lit. Je tiens et prends fermement ses jolies fesses à pleines mains. Elles sont peut-être généreuses, oui… Je les aime comme elles sont.
Elle a une jambe de chaque côté de ma tête. Sa vulve est tout tout près de mon visage. Je respire son odeur intime et ça… ça m'émoustille. Au plus haut point. Je tire la langue et je la tends vers ses lèvres intimes proéminentes. Un coup de langue… Deux coups de langue… Trois coups de langue… Tout pleins de coups de langue…
– Oh… Oh… Oh… Ta… langue! Tu es toujours aussi délicat quand tu me fais l'amour… Encore…
Je maintiens Bérénice par les fesses afin qu'elle puisse se cramponner à moi, que son corps ne perde pas l'équilibre. Bien que sa peau soit moite, elle est reste agréable au toucher.
Je caresse Bérénice, je lui donne du plaisir. Je lèche Bérénice, je l'embrasse. Je mange le sexe de Bérénice, je le dévore. Je broute le minou de Bérénice, elle me barbouille de sa cyprine.
Du fait qu'elle m’enjambe et qu'elle me chevauche, mes mouvements sont limités au maximum. Tout ce que je maîtrise, ce sont les mouvements de mes lèvres et de ma langue. La contraire, si j'ose dire, rend la situation excitante. J'ai pris un ton un peu plus autoritaire et j'ai demandé à Bérénice de ne rien dire. Ni une, ni deux, je suis passé à l'action et c'est ainsi que les mots ont laissé la place aux caresses.
– Oh… Oh… OH! Continue, mon cœur… C'est tout simplement… bon, le plaisir que tu me donnes, là… C'est juste… foutrement… bon...
Ma visibilité, elle aussi, est réduite. Et pourtant… Ce n'est que pur délice d'avoir le nez dans le sexe de la femme que j'aime. Son pubis est un petit peu épilé mais il n'est pas rasé. Ses poils me chatouillent alors que Bérénice s'agite sur ma bouche.
C'est tellement intime, ce que nous sommes en train de vivre, là. C'est la première fois que nous faisons l'amour comme ça. Et, pour être honnête… ça faisait quelques temps que l'idée me traversait l'esprit. Bien que Bérénice me demandait d'être un peu plus spontané, ça avait été un fantasme mais c'était resté à l'état de mots écrits sur une page, sans en faire quoique ce soit. Ce que je voulais jusque-là, c'était faire l'amour à Bérénice. C'était lui donner du plaisir. C'était la faire jouir. Son bien-être et son plaisir sont les deux mamelles de mes priorités et ça, c'était profondément ancré en moi. Je me rends compte à présent que l'audace n’empêche pas de prendre et/ou de donner du plaisir, d'être romantique. Je donne du plaisir à Bérénice ET j'en prends à le lui en donner.
Bérénice l'a compris. Elle ne m'oppose aucune résistance. Sa vulve remue, ondule, bouge contre ma bouche. Même si ses cuisses enserrent ma tête, je dois reconnaître que Bérénice est précautionneuse et qu'elle veille à ce que je puisse respirer normalement. Ça ne l'empêche pas en revanche de frotter son sexe juteux, gorgé de miel féminin contre mes lèvres, contre ma langue.
– Oh mon… dieu! Ché… ri… Que c'est bon quand tu me lèches comme ça… Je rectifie ce que j'ai pu dire tout à l'heure… Non seulement tu m'enculeras minimum une fois par semaine… mais aussi… je me positionnerai sur ton visage et je le baiserai… jusqu'à ce que je jouisse… Tu m'entends, joli oiseau? Je veux!
L'ironie de la situation me fait sourire. Je lui ai demandé de se taire et je m'étais emparé de ses fesses de manière cavalière, et là… c'est elle qui hausse le ton, qui donne de la voix, qui ose se montrer exigeante. Mais quelle femme insatiable, ma petite amie! Je vous jure!
Ça ne me déplaît pas le moins du monde. La chatte de Bérénice est… tellement… bonne. Elle mouille beaucoup et c’est rien que pour moi… Elle a un goût d’océan et j’aime beaucoup ça, lui lécher la minette. Ses poils sont doux même s’ils forment toujours cette touffe. Je veux qu’elle les garde, ses poils pubiens.
Bérénice soupire à la fois de bonheur et de plaisir. Elle est épanouie, elle est détendue. Elle ne doute pas un seul instant. Elle a confiance en moi, elle a confiance en elle. Elle se laisse aller. Elle se cramponne à l’aide de la tête en fer forgé de notre lit. J’ai beau avoir la tête dans son sexe, le nez dans son vagin… ça me fait un… je-ne-sais-quoi que Bérénice s’abandonne à ce point. Elle adhère à ma démarche, à mon initiative quelque peu autoritaire, à mon accès de domination. Passée la surprise, elle ne se pose pas de question. Elle a… elle prend du plaisir et ça prolonge le sexe de ce petit matin.
– Mon amour… Mon a… mour! Ta langue… Je fonds… Je me liquéfie… Ta langue est coquine, elle ose… Tes lèvres sont chaudes, elles me titillent… Oh mon amour… Je ferme les yeux et je te laisse faire…
J’ai le visage cerné par ses cuisses et je ne peux par conséquent pas le bouger comme je le voudrais afin d’offrir à ma femme un plaisir optimal, maximum. Et pourtant… je fais abstraction de cette réflexion futile parce que je réalise simultanément que Bérénice me facilite les choses quand elle ondule et quand elle frotte son minou contre ma bouche.
Je suis donc bel et bien son sextoy, d’une certaine façon.
Mes synapses m’ont laissé tomber depuis belle lurette.
Je suis en pilotage automatique.
Je suis dans le Jardin des Délices.
Je suis au paradis, dans le Jardin d’Éden.
Là. Entre les cuisses de la femme que j’aime plus que tout. Ma bouche sur sa belle petite chatte.
– Oh mon amour! Ça m’excite tellement, ce qu’on fait là! J’en avais entendu parler… On en fait tout un plat… Mais je pensais pas que ce serait aussi… bon… Continue, Théo chéri… Continue...
Oh que oui, c’est… bon. Je n’ai pas hésité une seconde. Il n’y a rien de meilleur que le sexe pour vous faire tout oublier. Oh… oui. Le sexe a des vertus positives.
Elle ne se sentait pas bien, hier? Ce n’était que partie remise.
Elle ne voulait pas me prendre la tête? Nous sommes amoureux. Nous partageons tout.
Bérénice… Oublie tout. Donne-toi entièrement à moi. La position est symbolique. Les caresses, elles, incarnent l’amour, la passion, la complicité, le désir. Le sexe. NOUS.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Commentaires de l'histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email