Être cocu !

Les années et le temps ont contribués à l'usure de la libido ! Une envie, un fantasme obsède maintenant François : Être cocu ! Va t'il réussir et jouir d'une autre manière ?

Proposée le 29/01/2024 par Marcello

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Être cocu !
Jeune, la dernière de mes pensées était d’être cocu ! Quelle honte pouvais je penser ! Le temps passe, j’ai trouvé la perle avec qui je ferai ma vie, la seule que j’aimerai ! Bla bla bal, bla bla bla !!!!!
Et le temps passe, les années qui usent l’amour ! Après trente année d’union, les enfants élevés, l’amour de ton équipière est toujours là, mais il a changé.
A force de se caresser, pénétrer, lécher et sucer, l’envie n’est plus la même, tu as besoin de pimenter tes moments de plaisirs. Tout commence par des envies coquines que tu as, envies d’autres choses et tu n’oses pas à en parler à ta femme de peur de la choquer, de la perdre. Tu gardes cela pour toi et tu te surprends à mater d’autres femmes, à surveiller la tienne espérant une incartade de sa part.
Bien sûr, à un moment tu lui propose des films X, espérant qu’elle s’excite et devienne comme les stars du X, mais elle te regarde avec un regard de mépris en te disant :
“ Pour qui tu me prends, je ne suis pas une salope ! Je ne vais pas me déguiser pour te faire bander ! “
Alors, un peu plus aigris et déçu, tu reprends le cours monotone de ta vie, cohabitant avec celle que tu avais aimé !
Tu l’observe, elle est toujours belle et sexy, mais en faite, c’est toi qui ne fonctionne plus! Ta libido te réclame des moments hors normes. Depuis peu, tu t’étonnes d’avoir des envies inhabituelles, comme de sucer un sexe d’homme. Le soir, quant elle est couchée, tu t’attardes sur les chaînes X pour regarder des films Gay. Tu prends du plaisir à te branler en regardant ces membres gonflés ils te font envie.
Lorsque tu rejoins ta femme, endormie en nuisette sur le lit, les jambes ouvertes, tu n’oses la toucher de peur de te faire jeter !
Tu en es venu à une conclusion qui te fait bander, elle mérite encore de se faire baiser, mais elle aussi est blasée et doit vouloir de la viande fraîche !
Voilà mes conclusions : “ Je voudrais être cocu et qu’elle reprenne du plaisir ! “
Depuis que j’ai tiré cette conclusion, je revis ! Et je me surprends à bander en y pensant. Il me faut maintenant trouver le scénario idéal pour mettre en place ce plan qui pourra redonner à ma vie et à celle de ma femme une dimension sexuelle nouvelle.

Après avoir réfléchis longuement sur les personnes avec qui elle a des affinités et plus, je m’aperçois qu’il ne reste plus qu’une personne !
Cette personne est Pierre. Pierre son meilleur ami d’études et également copain de flirt avant notre rencontre. Ils ont gardé un lien étroit et sont toujours en contact.
Du coups, dès le Samedi suivant, au cous de mon footing, je passe devant son domicile. La porte d’entrée est ouverte. J’ose m’avancer et toquer pour attirer son attention.
Pierre est un bel homme marié, son épouse a pris énormément de poids suite à ses trois grossesses.
Suite aux bruits, Pierre arrive et tout guilleret m’accueille à bras ouvert.
“ Salut François, heureux de te voir, tu fais ton footing ! Rentre ! “
“ Salut Pierre, oui et comme je passais par là, je me suis dis que cela faisait longtemps que l’on c'est vu ! “
“ Tu as eu raison, rentres, on va boire un coups ! “
Installés dans le salon, j’explique à Pierre que j’aimerai bien qu’il reprenne contact avec Martine et qu’il la distrait un peu, car je la sens triste.
Je lui demande de occuper d’elle comme un frère un mari, un amant et que ma seule condition est qu’il me tienne au courant de l’évolution de leur relation.
“ Je te donnerai mes jours et horaires d’absences, comme cela tu seras tranquille. “
Bien qu’étonné par ma demande, Pierre accepte, comprenant que c’est pour le bien de Martine et de notre couple.
Je laisse bien sur à Pierre le choix pour rentrer en contact avec Martine et le rassure concernant mon effacement. Je le renseigne sur les jours et lieux ou elle fait les courses alimentaires et ses habitudes journalières du midi à son travail.
Il ne me reste plus qu’à attendre, c’est terrible d’attendre mais si jouissif !
Il se passe une quinzaine de jours avant que je ne remarque quelques changement dans son comportement.
Elle se maquille plus, et sa tenue est plus légère et séduisante, comme si elle cherchait à plaire.
Le soir, elle rentre un peu plus tard, et elle est souvent joyeuse.
Voilà, je rentre du travail après ma tournée, il est vingt heure. Je la croise et l’embrasse. « ça va Chérie, tu as passé une bonne journée ? «
« Oui, super ! Devines qui j’ai rencontré ce midi au restaurant ? «
« Pas facile, une femme ou un homme ? Je connais ? «
« Oui, tu connais, un homme ! «
« Non, je ne vois pas ? Avec tout le monde que l’on connaît ! Dis le moi, on gagnera du temps ! «
« Pierre, tu te rappelle, mon meilleur ami d’études ! Il travaille aussi sur le centre ville.»
« Ah oui, ton petit ami d’adolescence ! «
« Oh, il ne c’est rien passé de sérieux avec lui, juste des bisous et quelques caresses ! « Tout en racontant ces faits, Martine rougit, je suppose qu’elle doit aussi avoir mouillé sa culotte, hum, je vérifierais ce soir !
Je n’insiste pas, ne voulant pas la brusquer, je la connais !

Après la douche, je prends un petit apéro et lui sers un Martini bien tassé.
Nous passons ensuite à table et dînons tranquillement. Après un film, nous montons nous coucher. Je la suis à la salle de bain, elle se déshabille, enlève sa culotte et passe sa nuisette noire. Après s’être pomponnée et lavée les dents, elle se couche sous les fins draps, pas de couverture, il fait chaud.
J’en profite pour regarder dans le panier de linge sale, sa culotte est là. Je commence bien sûr par la sentir, hum, un régal ! Le fond est humide, ses effluves blanches ont souillées sa culotte. Je lèche cette partie humide, elle a bien mouillée la cochonne ! Je m’astique un peu et masse ma queue avec du gel, quel plaisir. Je préfère garder mon jus, on ne sait jamais, elle n’est pas insensible à la rencontre avec Pierre !
Je fais une petite toilette rapide, je me lave les crocs et en route pour la nuit.
Le drap est à hauteur de ses cuisses, ses seins débordent de la nuisette, toujours bonne la salope !
Je m’engouffre sous les draps en laissant ma jambe gauche en dehors.
J’éteins la lampe de chevet, la chambre est éclairée à travers les stores à moitié fermés par la lune.
Sans attendre et étonnamment, elle vient se blottir à mes côtés. Sa main gauche me caresse mon bas ventre. Je sens son souffle sur mon visage, il s’accélère.
De mon côté, ses caresses et son souffle me font effets. Mon sexe se tend.
En général et depuis longtemps, j’ai le droit à mon coups ou à une pipe le Vendredi ou Samedi, elle est en avance ou chaude, car nous sommes que Mardi, je ne vais pas m’en plaindre.
Elle se frotte à moi, son entrejambe est collé à ma cuisse, et je sens ses lèvres vaginales qui s’écrasent sur ma peau. Elles sont bien humides et cela facilite le glissement. Je n’interviens pas, ne voulant pas l’intimider. Elle a commencé à gémir, ses lamentations sont cadencées au rythme de ses frottements.
Cela fait des années que je ne l’ai pas vu comme cela, c’est comme cela que je l’aime, car je sais qu’elle peut être une grosse salope quant elle est bien excitée !
J’arrive à attraper sa bouche, nos langues se mélangent comme deux pieuvres insaisissables. Nos salives coulent et débordent de nos bouches. J’ai empoigné un de sas seins qui est sorti de la nuisette, je le malaxe, le pelote! Mon sexe tendu au maximum me fait mal, il veut visiter sa grotte !
Après m’avoir bien dévoré la bouche, elle se retire, comme en transe et me dit :
« Tu bandes bien pour une fois, tu vas pouvoir m’enfiler ! «
« Allez, à quatre pattes et ouvres toi bien ! «
Elle obéit comme une automate, et me présente son cul bien ouvert !
Je débute par goûter ses sécrétions abondantes, elle a bien mouillé la garce, ma langue nettoie ses lèvres dégoulinantes d’effluves.
Une fois le terrain net, je la branle avec deux doigts. Elle aime cela, son cul accompagne mes mouvements de va et vient. Tout doucement, suite au rythme, son vagin s’ouvre et accueille mon poignet dans son antre.
Elle hurle de plaisir, un plaisir qui m’était interdit depuis longtemps, j’avais une salope à la maison et je ne m’en servais pas !
Je n’avais jamais osé faire de telle chose avec ma femme, la voir se tortiller alors qu’elle a mon poignée dans son vagin me rend fou !
Je n’ai qu’une idée en tête, la baiser et lui décharger mon foutre dans sa chatte !
Je retire ma main sans difficulté, je me baisse et lui crache dans sa moule.
Elle est toujours là, les jambes écartées, les yeux hagards, la bave aux lèves. Ce n’est plus ma petite femme que je pouvais honorer en missionnaire, mais une chienne qui attend une grosse queue ! Elle se contentera de ma petite bite !
Après l’avoir bien lubrifié de ma bave, j’enfonce mon gland en elle.
« Ahhhh !!! Ohhhh!!!! Ahaaaaaa !!! Ouiiiii «
Toutes sortes de sons sortent de sa bouche, elle exulte de plaisir et fait connaître sa jouissance.
J’enfonce un peu plus mon sexe en elle, je la tiens aux hanches et je lui gifle les fesses pour la stimuler. Cela ne fait qu’augmenter son envie, elle ondule du cul et ses fesses cognent contre mon bas ventre. Maintenant, je lui tripote sa poitrine tout en m’enfonçant au maximum en elle !
Ça y est, je suis au fond, je la baise comme jamais je ne l’ai baisé, elle se remue dans tous les sens, elle est en transe !!!!
Elle a atteint l’orgasme, elle continue a aller et venir sur mon sexe nervuré, elle est insatiable, quel cadeau je vais faire là à Pierre !
J’en peu plus, mon sexe bandé décharge sa semence en elle, elle exulte !
Après quelques derniers allers et retours au chaud, je me retire, je vais tenter de lui présenter pour voir si elle me le nettoiera ?
« Là, bonne surprise, elle l’avale et le pompe comme pour le vider au maximum ! Elle finit par me le lécher et sucer le gland !
J’ai retrouvé ma jeune salope , ça fait plaisir !
Prochaine étape : être cocu !
A suivre !

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