Chantal professeur de Français et randonneuse émérite rentre de son périple de trois semaines dans les Alpes, la météo va changer son programme et le cours de sa vie, un berger va lui faire connaitre le bonheur des cimes ....
Proposée le 20/06/2024 par THOR
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Roman
Apres un périple de 3 semaines en montagne, il me restait 2 jours avant d'atteindre Manosque.
A la descente d'un col, les nuages se faisaient menaçants et je me pris un orage digne d'un déluge de printemps.
Le sol devenait glissant, au loin je vis une cabane dans un vallon.
Ce devait être une cabane de berger car une fois la porte poussée il y avait trace de vie à l’intérieur.
Je refermais la porte et m'installais dans le fenil attenant pour essayer de me sécher.
Une demi heure plus tard, je vis une silhouette vêtue d'une grande cape et d'un chapeau accompagnée de deux chiens qui remontaient vers la cabane.
La personne était en fait le berger et locataire des lieux.
« bonjour, je vous ai vu descendre du col tout a l'heure, je suis le berger, ne rester pas là, entrer vous réchauffez je vais ranimer le feu, il dois encore y avoir de la braise de ce matin »
« merci c'est aimable a vous je suis comme une serpillière »
« je m'appel Antoine »
« moi c'est Chantal »
Le feu démarra au quart de tour et la chaleur commença a envahir la pièce unique.
Le tonnerre grondait a l’extérieur.
Un lit, une table avec deux chaises et un banc, un bloc cuisine, des étagères avec des livres, le lieu est spartiate.
Antoine me plaça un tabouret devant la cheminée
« asseyez vous, changez vous, vous pouvez vous déshabiller, je ne regarde pas, il me tendis un plaid en polaire pour mettre sur moi.
Une fois nue sauf ma culotte et envelopper dans le plaid, j’étais bien au chaud devant l’âtre.
Antoine dans un coin de la pièce se déshabilla, nu et bronzé a part ses fesses blanches, il avait l'air d’être sec mais costaud.
Il enfila un short et un tee shirt, il étendit mes affaires sur un fil pour que ça sèche.
Antoine fis un thé pou nous réchauffer.
« vous pouvez me tutoyier, je n'ai que 34 ans je ne suis pas si vieux que çà »
« bon d'accord, moi j'en ai 46 je pourrais être votre grande soeur »
J'ai de l'huile d'argan que des amis m'ont ramener du Maroc, je vais vous frictionnez çà va vous réchauffez et détendre vos muscles.
Sans demander mon accord, il baissa le plaid en bas de mes reins, je fus obligé de mettre mes mains sur mes seins par pudeur.
Antoine commença a me frictionner le dos avec l'huile, cette sensation était divine, il avait de la poigne.
Mes épaules, mon cou, mes reins ce n’était que bonheur.
« levez vous je vais masser vos mollets »
m'attrapant sous les aisselles, je fus lever comme une plume.
Mes mollets et mes cuisses subir un massage digne d'un kiné.
Des minutes de massage comme çà c'est exceptionnelle.
Ses mains allaient de mes jambes a mon dos et vis vers çà, je du m'appuyer sur la poutre au dessus de la cheminée pour ne pas perdre l’équilibre.
Le coquin en profita pour masser aussi mes seins, je ne savais pas quoi dire et comme une sotte je me laissai faire.
D'un geste ma culotte tomba sur mes mollets.
Sa main glissa entre mes cuisses, son pouce pénétra mon vagin.
« Antoine je ... »
« shutt laisse moi faire »
« mais je … »
« shutt »
Son pouce en moi, son index commença a aller de droite a gauche sur mon clitoris comme un métronome.
Je ne savais plus que faire a la merci de cette main intruse entre mes cuisses mais qui me faisait du bien .
L'index faisait tic tac sur mon bourgeon gonflé comme une groseille bien mure.
Son pouce tournait en moi, dans ma position avec la chaleur du feu devant moi je dégoulinais de sueur qui coulait entre mes seins et sur mon ventre en feu a l’intérieur comme a l’extérieur.
J’étais dans un état second, je ne maîtrisais plus rien, en l'espace d'une heure un homme que je ne connaissais pas était entrain de prendre possession de mon corps sans retenue.
Mon bassin a commencer imprimait un mouvement sur sa main.
J'ai entendu son short tomber au sol et senti immédiatement son sexe chaud au bas de mes reins.
Son sexe est descendu entre mes cuisses, son gland caressant mon clitoris a chaque mouvement de son bassin.
Antoine n'a eu aucun mal a me pénétrer tellement j’étais mouillé.
J’étais folle et inconsciente dans le moment présent malgré le tonnerre a l’extérieur et les éclairs.
Ses mains bien accrochées a mes hanches, il me pris en douceur mais avec des vas et viens bien appuyés au fond de mon vagin.
«An Antooinne je vais avoir un orgasme»
«donne ma belle vas y donne moi tout c'est le plus beau cadeau que tu puisse me faire »
J'ai senti l'orgasme dévastateur arrivé au galop avant de me traverser le corps.
Antoine m'a pris dans ses bras avant que je m’écroule, mes jambes ne me soutenant plus.
Je venais de jouir sans un mot de nous deux et pourtant j’étais aux anges.
Je me rassis sur le tabouret, Antoine me recouvrit du plaid. Je n'osais pas prononcer un mot a demi inconsciente.
Il est venu me laver l'entre jambe avec un gant bien frais.
«je vais préparer le repas Chantal, repose toi»
quelques minutes plus tard ...
«a table ma belle»
«au menu soupe d'ortie, jambon cru et fromage de brebis, pour le dessert ce sera les myrtilles que j'ai ramassé ce matin»
« une soupe d'ortie je ne connaissais pas »
« c'est très bon pour la circulation sanguine »
Au moment du dessert, Antoine enjamba le banc, sortie son sexe en me le présentant.
« je n'ai pas de crème chantilly mais ma crème liquide devrait améliorer ton dessert »
Je me suis senti obligé de prendre son sexe d'une main, d'embrasser son gland avant de le léché et de le gober.
Cette grosse fraise toute gonflé je l'ai sucé, caresser ses testicules, ma langue tournait autour de son gland.
« je crois que la crème est prête ma belle »
J'ai senti les contractions de son sexe, Antoine c'est vidé dans ma bouche il a fallu que j'avale sous peine de m’étouffer.
Sa main retenais ma nuque sans appuyer fortement mais pour me faire comprendre le cadeau que je pouvais lui faire, moi qui avait refusé cela a mon mari en 7 ans de mariage.
Antoine a servi deux petits verres.
« qu'est ce que c'est »
« du génépi que je fais moi même, excellent pour la digestion »
j'ai avalé cul sec comme lui, ce qui m'a mis dans un état second même si j'y étais déjà.
« Chantal, tu sais que tu es une très belle femme et formidable »
ses compliments m'allaient droit au cœur.
Antoine rechargea le feu, le tonnerre grondait toujours, par la petite fenêtre je voyais les éclairs.
« aller ont va au lit ma beauté »
Allongé et blotti contre lui, sa main caressai mes seins sous le tee shirt par des mouvements doux et circulaires.
Il tournai autour de mes aréoles en effleurant mes tétons pour les faire durcir.
Sa main caressait mon ventre, l’intérieur de mes cuisses, ma toison, mes grandes lèvres ce qui me faisais vibrer et je le laissai faire a la merci de ses doigts de ses caresses, j’étais complètement folle.
Il glissa entre mes jambes et sa langue commença a me lécher de chaque coté des lèvres en évitant mon bourgeon bien gonflé.
Une fois celui ci décalotté, Antoine l'effleurait de sa langue ce qui me provoquait des décharges électriques dans les reins.
Mon ventre était en feu.
Sa langue m'ouvrait, me fouillait, je suintait de cyprine, il me buvait .
« Antoine j'ai envie de toi »
Il glissa son sexe en moi, jusqu’en buté de mon utérus.
Un lent vas et viens commença il m'embrassait a pleine bouche, ce que je lui rendais de ma langue, Ses perfusions dans mon ventre devinrent plus prononcées.
« An antoiinne oui prend moi tout et fort »
Il sorti de ma grotte d'amour, me retourna, me fit glisser au bord du lit, lui debout derrière moi, il enleva le tee shirt pour libéré mes seins, m'attrapa par les hanches en m’attirant a lui avant de me prendre de nouveau.
Ses pénétrations devinrent plus profondes en claquant dans mes fesses.
J’étais encore pleine d'huile d'argan sur tout le corps, il devait reprendre possession de mes hanches car ses mains glissaient.
Son sexe me pénétrait en puissance, mes seins claquaient l'un contre l'autre à chaque assaut.
Je senti son doigt se promener dans la raie de mes fesses.
Son index tournait autour de mon anus je n'y prêtais pas plus d' attention a cette caresse, personne ne me l'avait jamais fait et pourtant je sentais cela agréable et excitant.
La foudre tomba pas loin lorsque son index me pénétra dans un petit cri de surprise de ma part.
« Antoine tu fais .. »
« détend toi ma belle laisse moi faire »
Son doigt allait et venait dans mon fourreau lorsque qu'un deuxième l'a rejoint.
A ce moment j'ai poussé un cri de surprise mes chairs écartées, mon cri étouffé par le tonnerre.
« Antoine ça fait un peu mal »
« je vais t'emmener au sommet du plaisir ma belle »
mon anus dilater par ses doigts, j'ai senti la douceur de son gland se présenter a la petite porte ouverte, le tonnerre a claquer de nouveau, sa grosse fraise était en moi.
Agripper a la couette, je le sentais progresser en moi.
J'ai commencé a gémir quand il commencer a aller d'avant en arrière dans mon conduit.
Je ne savais plus si mes chairs étirées me faisaient mal ou si c'est le plaisir en moi qui germait.
Ses pénétrations devinrent plus prononcées je me mordais la lèvre, je sentais du plaisir de ce que pratiquait Antoine dans mes reins.
Dans un cri …
« Antoine je vais avoir un orgasme .. »
« oui ma belle donne moi tout ce qui est en toi »
j'ai crié, ravagé de jouissance dans mon cul.
J’étais inconsciente mentalement, ivre de bonheur d'avoir joui comme une folle.
Antoine m'a basculer sur le coté, son sexe encore raide est entré dans mon ventre , il m'a défoncé littéralement le vagin avant de jouir par grandes giclées de sperme au fond de ma grotte.
J’étais abasourdi d'autant d'amour et de sexe avec lui.
Il est resté en moi collé contre mon dos en me caressant.
« Antoine, je n'avais jamais connu autant de jouissance avant toi, même si je ne fais plus l'amour depuis 3 ans »
« Chantal, tu es une femme sublime et belle, tu mérite que l'on prenne soin de toi et que l'on te donne le meilleur de l'amour.
Ses compliments au creux de mon oreille, me rendais toute chose mais c’était agréable comme son sexe encore dans mon ventre qui était toujours en feu.
Après un petit coup de gant entre mes cuisses, Antoine rechargea le feu, les flammes de la cheminée projetait des ombres sur les murs, il souffla la bougie à coté du lit, j'attrapais son sexe au passage et le gobais comme une vorace pleine d'envie d'amour avec cet homme.
Ma tête sur son biceps, sa main gauche caressait mes seins et de la droite mon ventre, j’étais aux anges.
Antoine me pénétra de nouveau, me fis l'amour avant que je jouisse encore et je fini par basculer dans le sommeil de cette soirée inoubliable.
Dans la nuit je l'ai senti encore me prendre et me remplir de son sperme chaud en restant en moi.
Au petit matin, sous la couette, j’étais sur le ventre quand son sexe et venu me réveiller.
« je suis ton réveil matinal, ma belle »
il m'a fourré son sexe au plus profond et en cadence il m'a bien défoncé le vagin, en matière de réveil je ne pouvais demander mieux.
Apres un petit déjeuner, un casse croute dans le sac nous sommes parti sur le plus proche sommet.
Arrivé en haut, Antoine a étalé un plaid au sol, il c'est mis nu en me disant
« ici ont est les rois du monde, déshabille toi et profite du soleil »
une fois nue et allongé sur le plaid Antoine a commencé a me caresser le dos, les fesses, je me suis retourné, je ne le voyais pas avec le soleil dans les yeux, mais je sentais ses mains effleurés mes seins, mon ventre.
Je pris son sexe dans ma main, il était déjà dur.
« viens sur moi Chantal »
je l'enjambais, fis entrer son sexe en moi, j’étais toute mouillé d'excitation.
Ma progression fut lente, une fois bien au fond de mon ventre, ses mains sous mes fesses il me fis monté et descendre sur sa verge gonflé.
Le soleil me brulait le dos, j’étais en feu sur ma peau blanche, lui mettait le feu en moi.
Je finis par avoir un orgasme dévastateur en criant, ses mains enserrant mes seins pour me tenir en équilibre sur lui.
Je m’écroulais sur lui en l'embrassant, tellement j’étais heureuse de bonheur et de plaisir.
Antoine me bascula sur le ventre, se positionna sur moi allongé, je senti son sexe frappé à la porte de mon anus.
« regarde devant toi un peu plus haut, il y a une touffe d'edelweiss, c'est les fleurs des cimes et de l'amour, je vais t'emmené au sommet du plaisir »
il m’écartela au passage de son gland, je gémis un peu par la douleur de mes chairs distendus, il s'enfila au plus profond, je prenais sur moi la douleur d’être de nouveau prise par derrière, mais je senti par ses mouvements dans mon rectum une sensation de plaisir m'envahir.
J'ai jouis a me faire péter les cordes vocales lorsqu'il a décharger en moi.
Je fus prise de tremblement, le corps d'Antoine couché sur le mien, son sexe toujours fiché dans mon cul, mon anus palpitait autour de son membre.
« tu est merveilleuse Chantal, ces jours avec toi seront inoubliables, je vais avoir mal quand tu partira »
Des larmes me vinrent aux yeux sans retenu.
J’étais sur le sommet du bonheur avec cet homme.
Il senti moi désarroi, me pris dans ses bras et me câlina.
Le soir venu, devant le feu, se fut un festival d'amour pour tout les deux.
La journée suivante fut de même entre promenade et copulation improbable, nos deux corps ne pouvant se passer l'un de l'autre.
Le Dimanche matin j’étais dehors sur la table en bois préparant mon sac pour le retour vers la vallée.
Antoine est arrivé derrière moi, il m'a embrassé dans le cou, il m'a descendu le short et ma culotte, il m'a basculé sur la table, il m'a prise en force le vagin, il m'a démonté le ventre par un assaut sans commune mesure, je sentais son gland s’écraser sur mon utérus a chaque coup de boutoir, il a fini par jouir en moi par grandes giclées de sperme au fond de mon ventre.
Il a remonté ma culotte et mon short en me disant
« tu ne m'oublieras pas pendant toute la descente sur Manosque je suis avec toi dans ton ventre »
Après un dernier baiser tout en puissance de nos langues, j'ai pris le chemin du retour.
Pendant les quatre heures de marche, mon cerveau en ébullition de ce qui venait de m'arriver pendant ces deux jours et demi, la gorge sèche et parfois des larmes.
Le lundi rentré des professeurs et le mardi les élèves .
J’étais ailleurs pendant les cours, mon esprit était encore la haut avec Antoine.
Au bout de la deuxième semaine, n'y tenant plus, le vendredi midi, je finis mes cours, le sac a dos dans le coffre de la voiture, j'ai pris la route pour le parking des roches et entamé le sentier vers Antoine.
Trois heures plus tard, j'arrivais au pied du col, je vis quelqu'un dévaler la montagne, c’était Antoine il m'avait repéré avec ses jumelles et mon sac à dos rouge .
Nous sommes tombé dans les bras l'un de l'autre essoufflé par notre course, sa langue a envahi ma bouche, ses bras me serrant fort contre lui.
« Chantal j'ai pensé à toi tout les jours et toutes mes nuits »
« moi aussi Antoine, je ne pouvais pas te sortir de ma tête, je me suis même caresser en pensant à toi »
Nous sommes remontés vers la cabane main dans la main.
La soirée fut comme un feu d'artifice d'amour et de sexe.
« fin septembre, je fini l'estive Chantal, quand je redescend nous allons profitez d’être ensemble »
…....
Une fois les moutons chargés dans les camions, rdv au restaurant pour un repas champêtre avec tout les bergers et les fermiers.
J'ai mis ma plus belle robe pour faire honneur à Antoine
« tu es sublime mon amour »
C'est la première fois que quelqu'un m'appelle mon amour en public.
A la fin du repas, Antoine me dis au creux de l'oreille
« si je te demande de m'épouser sans réfléchir est ce que tu accepte ? »
je suis abasourdis par sa demande …
« oui ou non Chantal ? »
je suis folle !!! je lui dis ooouuuiis
Nous allons passer des jours merveilleux ensemble pendant l'automne, au début de l'hiver Antoine rejoint une station de ski car il est pisteur secouriste pour la saison hivernale.
Je le rejoint tous les week end et les vacances scolaires.
Au printemps, nous nous sommes mariés, je me souviendrais de ma nuit de noce …. il m'a honoré jusqu'à plus soif, il m'a prise et possédé toute la nuit.le lendemain matin j'étais en piteuse état mais marié pour mon plus grand bonheur avec l'homme que j'aime.
Depuis nous avons quitté nos montagnes pour un pays lointain ou j'enseigne le français, Antoine est sauveteur secouriste sur la cote entre palmier et sable chaud avec la mer comme décor.
Nous sommes toujours aussi fou dans nos ébats amoureux, la tendresse en plus de l'amour et une complicité a toute épreuve.
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Commentaires de l'histoire :
Bernard
Cette histoire, peut-être vraie, est belle mais il y a un peu trop de fautes d'orthographe. C'est dommage surtout pour une fille qui se présente comme prof de Français.
Posté le 21/06/2024
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