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Le bonheur d'être candauliste

Un mari jaloux a le fantasme de voir sa femme possédée par un inconnu devant lui. Un jour, il ose le lui avouer et elle accepte de tenter l'expérience. Que donnera-t-elle ?

Proposée le 16/09/2024 par Poete

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Thème: Première fois
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


J’ai toujours été amoureux fou de Justine, ma femme, jolie blonde aux yeux bleus. Elle était mince avec de petits seins pointant orgueilleusement de magnifiques tétons, un joli ventre plat et de longues jambes à en donner le vertige. Elle attirait souvent les regards masculins, ce qui me plaisait beaucoup et elle riait lorsqu’elle constatait mes réactions de jalousie lorsqu’ils devenaient trop insistants. « Je me demande ce que tu dirais si tu me voyais dans les bras d’un autre » me disait-elle souvent avec un petit air coquin un peu provocateur. Mais à force de l’entendre et de m’interroger sur cette réflexion, que lentement, insidieusement une image devint un fantasme, celui de la voir pénétrer par un sexe étranger. J’étais furieux contre moi, mais quand je lui faisais l’amour, elle revenait me hanter.

Le bonheur d'être candauliste Un jour, je rencontrai dans un bistrot un étudiant noir avec qui je sympathisai. Il occupait tout l’espace du comptoir avec ses près de deux mètres, tout en muscles, sa bouche aux grosses lèvres charnues et je ne pus empêcher mon fantasme favori de réapparaître, le corps frêle et blanc de ma femme écrasé par cette masse noire, son ventre labouré par cet inconnu et y prendre du plaisir. Les jours suivants, je n’arrêtais pas d’être en être obsédé au point que je me résolus de le raconter à ma femme sous forme de plaisanterie. Mais sa réponse me plongea dans la stupéfaction la plus totale. « Mon amour, si cela te rendait heureux, j’accepterais volontiers, car tu sais à quel point je t’aime ». Troublé et hésitant, je me hasardai à lui demander si je pouvais amener cette nouvelle connaissance un soir à venir prendre un verre à la maison et elle me donna son accord. Je pensais que cette rencontre me délivrerait de mon obsession, car il ne se passerait rien d’autre qu’une soirée amicale.

André, mon nouvel ami noir, accepta avec plaisir mon invitation. Le soir venu, je fus étonné de constater que Justine qui, après s’être soigneusement maquillée, gardait son peignoir et à mon interrogation me répondit qu’il s’agissait d’une soirée amicale et qu’elle préférait rester en négligé, plus confortable. Quand André sonna, ce fut moi qui allai ouvrir la porte et l’introduisis dans le salon. Il salua mon épouse qui l’invita à s’asseoir dans le divan. Après les présentations d’usage, ma femme l’interrogea sur études, ses impressions sur notre pays. Conversation anodine, mais bien vite elle prit une nouvelle tournure. Justine lui demanda s’il était fiancé, s’il avait une petite amie, s’il était intéressé par les femmes blanches. André répondit avec gêne que les femmes blanches étaient très jolies et désirables, mais qu’il n’avait jamais osé le leur dire.

Justine, qui s’était installée sur mes genoux dans le fauteuil faisant face au divan, eut un rire de gorge et posa la question « et vous, vous me trouvez belle. Mon mari me dit que oui ». André d’un air gêné répondit que j’avais raison et qu’elle était très belle. Justine me regarda, puis se levant, elle ouvrit son peignoir, le laissa glisser à terre et apparu dans sa triomphale nudité en bas résille noirs. « Aimeriez-vous faire l’amour avec une femme comme moi ? » André était affolé et ne savait que faire. Je me dis que Justine m’avait donné une bonne leçon, mais je me trompais, elle s’assied sur le divan, tout contre lui, lui attrape la tête et l’embrasse goulûment. André se dégage en marmottant des excuses à mon égard. J’étais dévoré par la jalousie, mais l’excitation qui me saisit dans le ventre fut plus forte que tout et je répondis d’une voix rauque « Mais embrasse-la, tu ne vois pas qu’elle te veut et que je te l’offre. J’ai envie de vous voir faire l’amour. J’aimerais que tu la fasses jouir, car je l’aime et je veux son bonheur ». Elle lui prit à nouveau la tête et je vis ses grosses lèvres s’ouvrir largement et envahir la petite bouche de Justine d’une longue langue rose.

Cette fois, c’était parti et bien parti. Je bandais à les voir s’embrasser passionnément. Après un long moment, Justine s’arracha de ses bras, me regarda et me dit « nous allons aller dans la chambre et tu viens avec nous pour bien voir tout ce que nous allons faire. Je sais que cela va t’attacher encore plus à moi, car c’est ce que tu as toujours voulu inconsciemment. Ce soir, nous allons partager la plus grande complicité. »

Je les suivis jusqu’au lit où je m’installai sur le bord. Elle se mit à genou et lui ôta le pantalon et le caleçon. « Tu vois mon chéri comme sa verge est différente de la tienne, noire, plus longue, mais surtout plus grosse. Elle me fait un peu peur, mais je l’aime à en perdre la tête ». Cela dit, elle empoigna la hampe d’André pour la taquiner du bout de la langue, puis se mit à la sucer avec application. Je voyais son sexe encore prendre plus d’ampleur et de rigidité. Je devins de plus en plus excité. Je découvrais une autre femme, sensuelle, animale, capable de l’envie de faire jouir un étranger, noir de surcroît, elle qui se montrait souvent un peu raciste. Peut-être était-ce cela qui la motiva dans sa frénésie à tenter d’avaler cette verge resplendissante au point de s’en étouffer ? Mais le fait qu’elle me regardait souvent d’un regard provocateur effaça en moi toute jalousie, me transformant en complice de sa sexualité débridée. Dieu que j’aimais cela et que j’avais l’envie de la serrer dans mes bras.

Après de longues minutes, elle se releva m’attira à elle et me donna un long baiser, bien profond qu’elle termina par ces mots qui m’enflammèrent totalement. « Tu as goûté sa saveur à travers ma bouche sans me rejeter, c’est donc que tu admets que je lui appartienne complètement. J’ose donc te l’avouer, j’aime cet homme autant que je t’aime, il me rend fou au point de vouloir m’ouvrir à son énorme engin, de me laisser écarteler selon son bon plaisir et de le sentir m’inonder de son sperme. Tu sais que je suis sous pilule, je n’aurai donc aucune retenue. Mais comme je veux te communiquer toutes mes sensations, tu vas m’écouter gémir et parler pendant notre étreinte, mais comme je pars très loin quand je fais l’amour, je voudrais que tu me tiennes la main pendant qu’il me possédera. Tu veux bien ? » Dans un nuage, je m’entendis lui répondre « Oui, je le veux. En te soumettant à lui sous mes yeux, cela me bouleverse au plus profond et me rend fou de désir pour toi comme je ne l’ai jamais été ! »

À ces mots, elle se coucha sur le lit, cuisses bien écartées et d’une voix tremblante d’une émotion qu’elle ne pouvait contenir « Viens André, je veux être ta chose, ta petite putain blanche. Tu peux me faire tout ce que tu veux » André qui s’était dénudé entretemps, s’allongea auprès d’elle et se mit à l’embrasser à nouveau fougueusement, son corps collé au sien. Justine lui répondit avec la même violence, une main serrant le sexe qu’elle voulait sentir en elle. Je contemplais haletant, le corps frêle écrasé maintenant par l’énorme masse noire, la poitrine athlétique pesant lourdement sur les tétons orgueilleusement dressés de ses seins et la minuscule main blanche tentant d’introduire l’engin disproportionné dans son petit vagin étroit. J’avais l’impression que cela n’était pas possible et pourtant en cambrant les reins et en posant les jambes sur les épaules de son amant l’intromission se fit doucement par petits coups, centimètre par centimètre. Justine avait les yeux mi-clos et haletait doucement. Quand il fut presque totalement englouti dans son ventre, elle commença une divagation à peine audible.

« Baise-moi doucement. J’aime ta queue, elle est grosse, je la sens bien. Elle est bonne, je voudrais la garder tout le temps en moi. » Excité par ces mots, André accéléra le tempo et se mit à pilonner avec violence le sexe qui s’ouvrait totalement à lui. Elle commença alors à s’agripper à lui, ses bras autour de son dos, pour qu’il s’enfonce encore mieux en elle. « Je t’aime, défonce-moi, je jouis, mais continue encore, plus fort, tu me fais mourir » . Incroyable, je partageais son bonheur par la manière dont elle serrait ma main et je me mis à encourager l’homme qui baisait ma femme voulant la voir partir plus loin encore dans sa jouissance animale.

Cela me plaisait tellement que je lui demandai de la prendre en levrette pour aller encore plus loin en elle, ce qu’il fit rapidement en la retournant. Elle était maintenant à quatre pattes sur le lit, face à moi, les yeux écarquillés, son derrière offert à l’assaut du membre viril. Je voyais à travers son regard tout le plaisir qu’elle en éprouvait. Soudain elle me tendit ses lèvres en me murmurant, embrasse-moi. Ce fut extraordinaire comme sensation, elle me rendait par son baiser passionné sa joie d’être prise par un autre devant moi. Je me sentais heureux comme jamais je ne l’avais été. Elle, c’était moi et moi j’étais elle.

Mon excitation devint tellement intense que j’éjaculai brusquement alors que je ne masturbais pas. Un jet énorme et puissant, impossible à juguler. Mais le plus étonnant, un liquide sérique continuait à s’écouler doucement de mon méat. André, toujours en elle, la tenant fermement dans ses bras, et comme soudés inexorablement, bascula sur le côté. Elle se trouvait maintenant allongée en chien de fusil, lui, la pénétrant par-derrière, ses larges mains malaxant ses petits seins. Dans cette position, elle tourna la tête vers lui et se plongea dans ses yeux tandis que sa bite se mouvait lentement en elle. Elle gémissait doucement et à travers l’échange des regards lascifs, je pris conscience de ce miracle, ma femme savait s’abandonner totalement à un autre. Cela se confirma quand sa bouche chercha ses lèvres charnues et qu’u long baiser s’en suivit.

Amoureusement et apparemment au comble de l’extase et se tourna vers moi « Mon chéri, j’ai eu beaucoup de plaisir, tellement différent de celui que tu me donnes, mais si tu m’aimes, demande-lui de jouir en moi, d’inonder mon ventre de son sperme pour que je puisse bien le sentir comme une vraie femelle, je n’en peux plus d’attendre. » Le cœur battant la chamade et d’un voix à peine audible « André, tu as entendu, Justine veut que tu te lâches en elle, elle veut être remplie de ton sperme et je le désire, moi aussi. J’aimerai votre bonheur commun. »
À ces mots, André se mit à littéralement massacrer le petit vagin de ma femme de saccades rapides et puissantes faisant hurler ma femme, qui s’agrippait désormais à mes bras. Quand arrivé au paroxysme, André poussa un grand cri en se déchargeant de son jus, je vis les yeux de ma femme s’écarquiller, comme surprise par cette chaleur nouvelle en elle.
André semblait gêné et Justine lui dit « Maintenant que tu sais ce qu’est une femme blanche, remercie mon mari et laisse-nous seuls ». André prestement se rhabilla et nous quitta. Justine restait allongée sur lit, indécente, les cuisses largement ouvertes, montrant un sperme épais et blanc coulant lentement d’entre les lèvres gonflées de son vagin. Provocante, elle en cueillit quelques gouttes du doigt qu’elle posa sur sa langue. « Embrasse-moi, je veux tout partager avec toi. » Hésitant, j’approchai ma bouche de la sienne et allai chercher le goût de l’homme qui avait possédé ma femme. Un sentiment indescriptible m’envahit et je me mis à bander. Voyant mon nouvel émoi, elle me demanda de la pénétrer à mon tour, pour joindre mon sperme à celui qui baignait déjà en elle. Ce fut un coït extraordinaire, une révélation. J’adorais ce que je venais de vivre et j’aurais désormais une envie de recommencer.

Quoi de plus beau, de plus exaltant que de voir la femme que l’on aime soumise à un inconnu. Elle m’a confié qu’elle aussi appréciait au plus haut point ce genre de rencontre, pour autant que ce soit à chaque fois avec un autre, ce qui lui permettait de s’abandonner totalement sans avoir la peur de complication
sentimentale. Et puis quoi de plus troublant que l’inconnu qui ne peut qu’apporter la nouveauté !

Il est vrai qu’avant cette soirée mémorable, j’avais souvent encouragé ma femme à se masturber devant moi, parfois même avec des gadgets, mais cela n’est rien à voir avec le plaisir du caudalisme. Nous le pratiquons régulièrement et cela nous rend heureux. Une fois, c’est elle qui choisit son partenaire, l’autre fois c’est moi. Je lui choisis des hommes « vicieux » et elle plutôt des inexpérimentés plus brutes, mais ils nous conviennent tous. Il faut préciser que jamais nous n’avons été infidèles en cherchant ailleurs ce que nous avions si merveilleusement chez nous.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Lolo67
Ah! le plaisir d'offrir, il n'y a rien de mieux. Quel heureux homme vous êtes.
Posté le 16/09/2024


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