La veille au soir, Bérénice n'était pas d'humeur aux câlins. Le visage fermé, ce n'était pas la Bérénice que Théo a l'habitude de connaître, la Bérénice qu'il aime. Le lendemain matin, Théo sait qu'il faut qu'il fasse quelque chose pour que Bérénice retrouve le moral. Des câlins ? De l'amour ? Sexe?
Proposée le 29/01/2024 par Mysteriotic
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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Bérénice s'est placée à califourchon sur moi.
Elle me chevauche.
Elle me domine, presque.
C'est comme ça que j'ai perçu les choses au moment où elle a recouvert mon pénis du préservatif et qu'avec son autre main, elle m'a poussé et m'a fait m'allonger sur le dos, l'instant d'après.
Ses cuisses se sont mises à enserrer mon membre.
Bérénice a alors commencé à faire frotter son intimité trempée contre mon sexe gonflé de désir.
Mes mains sont sur son corps.
Plus précisément, sur le bas de ses reins.
Bérénice se balance légèrement sur moi.
Elle halète.
Elle soupire.
Ses seins lourds tressautent au moindre de ses mouvements.
Ses yeux sont plongés dans les miens, et ils ne me quittent pas.
Nous ne nous parlons pas.
Nous n'en avons pas besoin.
Nous sommes sur la même longueur d'onde. Nous nous comprenons. Pour ma part, je sais ce que Bérénice attend de moi, ce qu'elle veut, ce qu'elle désire, plus que tout.
Mon sexe en elle. Dans son anus. Elle a envie que je l'encule.
Elle a les mains posées sur ma poitrine.
Ses yeux sont mi-clos. Brillants. Émus. Suppliants.
Elle est si jolie.
J'adore la regarder.
Je ne peux tout simplement pas m'en empêcher.
Je ne peux pas me passer d'elle.
Je ne sais pas quoi dire du tout.
Je suis ému, moi aussi.
Alors, je me contente de la regarder, de l'admirer et de lui sourire. Pour lui montrer l'amour et le désir que j'ai pour elle.
Elle, elle le voit bien. Elle me sourit à son tour. Elle sait que c'est un très beau cadeau qu'elle m'offre, sa virginité anale.
Elle soupire.
Elle se détend.
Puis, elle reprend mon sexe dans sa main et le place tout contre son anus...
Je laisse Bérénice faire.
C'est sa première fois anale.
Je veux, pour ma part, que tout se passe pour le mieux pour elle ET selon ses désirs.
Ainsi, c'est très bien que nous nous soyons installés dans cette position, et qu'elle me chevauche donc.
Comme lors de notre toute première fois, quand elle m'avait offert sa virginité, je l'avais laissée maîtriser nos ébats. Je m'étais allongé, cette fois-là aussi, sur le dos, et elle s'était placée à califourchon sur moi. Elle avait pris mon sexe dans sa main et l'avait guidé dans son vagin.
Elle a une main posée sur ma poitrine.
Le temps d'un moment, elle ne me regarde plus.
Elle est concentrée.
Se yeux sont posés sur son petit cul.
Ses yeux sont posés sur mon sexe.
Sa seconde main, Bérénice la garde serrée autour de mon érection et elle l'entoure.
Elle a placé mon membre tout contre son joli œillet.
Je suis sur le dos, et je n'attends désormais plus qu'une seule chose : le moment où ma jolie coccinelle me fera entrer au plus profond d'elle.
Ce n'est plus qu'une question de temps.
Nous le savons, tous les deux.
Je me concerne sur ma chérie. Je peux facilement l'entendre respirer. Sa respiration est bruyante. Rapide. Saccadée. Bérénice halète.
Je ne peux tout simplement pas enlever mes mains de son corps. C'est juste... impossible. Et, de toute manière, je n'en ai tout bonnement pas envie.
Bérénice est si belle. Sexy en Andromaque. Ses seins lourds, son 90C aux larges aréoles roses, que j'aime tant, sont dans la ligne de mire de mes yeux, et ils se balancent malgré les tout petits mouvements de Bérénice. Tout en laissant mes mains posées sur le bas de ses reins, je lui caresse les seins avec mes yeux.
C'est alors que mon pénis se retrouve soudainement emprisonné dans quelque chose d'étroit.
J'entends, juste après, Bérénice émettre un son, comme si elle grimaçait. L'instant d'après, elle crie de plaisir. Elle crie la jouissance et la plénitude qu'elle ressent.
Je suis en elle.
Je suis dans son anus.
Je l'encule.
Je suis à elle.
Bérénice gémit. Bruyamment. Elle n'est plus que sensations.
Mon sexe est au plus profond d'elle, dans son intimité la plus secrète, là où elle ne permettra plus jamais à un autre homme de la connaître.
- Ah ah... Ah ah... Ah ah... Hmmmm...
Elle a les yeux fermés.
Ses lèvres, ses putains de lèvres rose vanille sont entrouvertes.
Ma jolie coccinelle... Ma pupuce est en train de se donner tout entière à moi. Corps et âme et sexe.
Elle est sur moi, et elle est belle.
Je suis fou d'elle.
Je l'aime.
J'ai posé mes deux mains sous le galbe de sa poitrine lourde. Mes deux mains reposent délicatement sur ses seins.
Ces deux monts d'amour, bénis des dieux...
Je ne peux pas me passer de toucher et de caresser Bérénice.
Bérénice est empalée sur mon membre gonflé et gorgé du désir que j'ai pour elle. Elle seule. Elle ondule du bassin et elle remue, elle s'agite tout doucement, très lentement, pour me sentir bien en elle.
- Mon joli oiseau... Fais-moi l'amour... S'il te plaît...
Elle maintient ses yeux fermés, mais c'est parce qu'elle profite, savoure et jouit des sensations qu'elle est en train de ressentir et qui prennent possession d'elle.
- Tu es si belle, Bérénice...
- Mon joli oiseau...
Elle est une femme perdue, vaincue. Une femme à la mer.
Nous soupirons...
Nous gémissons...
À l'unisson.
Ce n'est que pur délice.
Nous ne sommes plus que sensations.
Je suis fou amoureux de Bérénice. Plus que jamais.
Je suis à elle.
- Continue de me toucher les seins, chéri... Caresse-les... S'il te plaît... Tu fais ça si bien...
Elle ne termine pas sa phrase. Elle n'a pas pu s'empêcher de gémir. Elle n'est plus que sensations. Le plaisir lui va si bien.
Mes mains sont posées sur sa jolie poitrine. Son 90C que j'aime tant.
Mes doigts effleurent ces deux pointes dressées. Pour les avoir touchées, caressées, titillées, sucées et léchées un peu plus tôt, je savais qu'elles étaient dures.
Ses tétons pointent impudiquement. Ils pleurent de plaisir.
Mes caresses poussent Bérénice à donner de la voix.
- Je... J'aime... ce... que... tu... me... fais... Théo...
Elle soupire et halète entre chaque mot qu'elle prononce.
Je vois et je sens Bérénice aller et venir, monter et descendre sur mon sexe. Elle le fait lentement, pour me sentir en elle du mieux possible.
Elle s'était empalée sur mon sexe. Je bandais bien dur. C'était pour elle.
À présent, elle se fait l'amour.
Elle va et elle vient.
Elle monte et elle descend.
- C'est... bon...
L'instant juste d'après, Bérénice gémit bruyamment.
- Que... c'est... bon... de... te... sentir... Toi... tout... entier... dans... mon... petit... cul... Tu... me... sens... Théo ? Tu... te... sens... bien... dans... mon... petit... cul... ?
Elle lâche de nouveau un bruyant gémissement.
- Je... t'aime... Théo...
Je la regarde.
Et je m'aperçois que ses yeux sont cette fois entrouverts. Mi-clos.
Ses prunelles sont brillantes.
Elles pétillent. Elles sont remplies d'émotion.
- Je... t'aime... Bérénice...
À mon tour de gémir...
Je ne suis plus que sensations, moi aussi.
Nous nous regardons, elle et moi.
Elle m'a pris...et elle m'a accueilli en elle.
Au plus profond d'elle.
Dans son intimité la plus secrète. Top secrète.
Nous sommes si bien, emboîtés l'un dans l'autre.
Nous nous complétons.
C'est parfait.
Nous faisons l'amour, et c'est beau.
J'alterne les caresses que je procure à ma jolie Bérénice. Tantôt mes mains sont posées sur ses monts d'amour et les empaument. Il faut dire que je suis si fou de ses seins lourds... Je ne peux tout simplement pas résister à l'idée de les toucher et de les faire miens. Une fois encore. Une nouvelle fois. Une énième fois. Encore...et encore...et encore... Et tantôt je descends mes mains et je lui caresse le ventre. Les côtes. Les flancs. Le bas de ses reins. Le nombril. Le bas-ventre. Il m'arrive même, dans un instant de folie voire...d'audace, d'aborder le rivage de son pubis et de glisser le bout de mes doigts pour lui caresser son clitoris.
Bérénice, curieuse comme elle est, est et reste à l'affût de mes mains qui se baladent et qui glissent sur son corps.
Tout en maintenant son mouvement de balancier afin de m'accueillir et de me guider en elle, la...MA jolie coccinelle baisse les yeux pour observer mes doigts se poser sur elle et honorer son corps. Curieuse et gourmande comme elle est, elle ne peut pas s'en empêcher. Elle n'y est pas insensible.
Ça lui plaît.
Ça lui plaît tellement qu'elle en soupire.
- Tes mains...sur mon corps...Théo...En...core!
- Oh...oui, Bérénice !
- Tu me rends folle... Tu me rends si belle... Sensuelle... Sexy... Je me sens sexy... Pour toi...
Je prends ses fesses à pleines mains, et je les pétris. Je les malaxe. Je les écarte.
Je sens bien, à présent, mon sexe aller et venir, lentement mais sûrement, avec aisance, dans son anus.
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