Amandine (2)

Amandine, jeune professeure, subit la vengeance de son ex-petit ami au travers la perversité de son proviseur qui lui fait découvrir sa partie cachée

Proposée le 29/01/2024 par 4Fab

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Thème: Chantage
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme

3 semaines ont passé depuis la visite d’Amandine dans le bureau de Mr Belmont, le proviseur du lycée où elle enseigne l’anglais. La jeune femme est toujours honteuse de ce qui est arrivé et, surtout, elle ne comprend pas comment elle a pu faire ça.
Rien que d’y penser lui donne la nausée. Elle se dit qu’elle est vraiment prête à tout pour que son père ne sache rien.
Sa vie d’enseignante continue comme avant à ceci prêt que Hugo et Maxime, ses 2 collègues, ont appris qu’elle est célibataire. Maintenant, il la drague ouvertement : Qui pour aller boire un verre ? Qui pour sortir en boîte ? Cependant, elle n’est pas dans le “mood” comme disent les jeunes.
Aujourd’hui, c’est le dernier jour avant les vacances de la Toussaint et l’ambiance, habituellement feutrée, est plus bruyante. Les lycéens, et les professeurs, ont hâte que la journée se termine. Amandine en fait partie et lorsque la dernière sonnerie de la journée retentit, c’est d’un pas pressé qu’elle regagne la salle des profs pour récupérer ses affaires laissées dans son casier.
Là, son cœur s’arrête de battre. Un nouveau mot du secrétariat l’informe que le proviseur veut la voir après les cours. La tête lui tourne. Elle s’assoit pour ne pas tomber.
- Ce n’est pas vrai. Ça ne va pas recommencer dit-elle tout haut la tête entre les mains, sans se rendre compte que tout le monde peut l’entendre.
Heureusement, elle est seule. Après de longues minutes, elle prend son courage à 2 mains, et se dirige vers le bureau du proviseur avec l’intention de mettre fin à cette sinistre comédie.
Arrivée devant la porte, elle frappe et entre sans attendre la permission, ce qui surprend Mr Belmont qui gronde
- Je ne vous ai pas dit d’entrer Mlle Bouchard.
- Je sais mais ça suffit, je ne veux pas être votre chose tempête-t-elle avant de se tourner vers la porte pour sortir.
- Allez-y Mlle Bouchard, sortez mais sachez que votre père sera mis au courant de vos turpitudes avertit son supérieur.
Amandine s’arrête et les yeux remplis de larmes implore
- Renvoyez-moi mais laissez papa en dehors de ça.
- Vous renvoyer. Une enseignante si bien notée, Vos collègues et le conseil d’administration ne comprendraient pas. Ni votre père d’ailleurs expose-t-il.
Elle sait qu’il a raison. Comment justifier son renvoi ? Elle est soudainement sortie de ses pensées par un commandement
- Venez ici tout de suite, près de moi.
Apeurée, elle fait le tour du bureau à petit pas.
- Déshabilles-toi, ordonne-t-il.
- Non, je ne p…. commence-t-elle à répondre avant d’être reprise sèchement.
- A poil je te dis. Et doucement, que j’apprécie le spectacle, se gargarise le vieux vicieux.
Terrorisée, Amandine commence par retirer sa veste, puis déboutonne son chemisier sous lequel apparaît un soutien-gorge triangle en coton blanc. Elle continue par les ballerines, ses socquettes et termine par son legging qui cache un slip Tai blanc.
- Je te veux complètement nue, s'énerve le saligaud.
Tremblante, elle retire son haut qui découvre de petits seins, aux petits mamelons et tétons, puis son bas qui révèle un sexe entièrement épilé.
- En voilà une coquine. Un sexe sans poils. Moi qui croyait avoir affaire à une jeune oie blanche persifle le proviseur.
Sans aucune gêne, il la regarde avec un regard impudique et un sourire gourmand. La jeune femme cache, tant bien que mal, ses parties intimes et se sent humiliée, à la merci de ce vieil obsédé lubrique.
- Magnifique s’exclame-t-il. Maintenant tu vas te pencher sur le bureau pour recevoir ta punition, poursuit-il.
- Punition. Quelle punition ? interroge la jeune femme affolée.
- Pour t’être rebellée, tu mérites une punition. Alors j’ai décidé que tu recevrais 6 fessées, explique-t-il.
- Non, vous n’avez pas le droit, s'époumone-t-elle.
Mais avant qu’elle puisse faire quoi que ce soit, il l’empoigne, la penche sur le bureau et lui administre sa première fessée.
- Aïe.
Puis la deuxième suit de près.
- Aïe, arrêtez, ça fait mal.
La troisième tombe presque aussitôt.
- S'il vous plaît, Mr Belmont, arrêtez.
Puis ainsi de suite jusqu’à la sixième et dernière qui laisse Amandine en pleurs, geignant de douleur, les fesses écarlates et brûlantes.
- Ton cul est encore plus beau comme ça rigole son tortionnaire.
Sous prétexte d’un massage, il en profite pour lui peloter l’arrière-train sans qu’elle ne réagisse, groggy, encore sous l’effet de la punition. Les mains qui courent sur son derrière font monter en elle une chaleur intense, lui donnent des papillons dans l’estomac. Elle veut rejeter cette sensation mais oui, elle est excitée.
Au bout d’un moment, il la relève et l’embrasse à pleine bouche avant de lui martyriser un sein avec sa grosse main tandis qu’il suce le téton du second. Amandine gémit de plaisir.
- Tu aimes ça. Ils sont petits mais si sensibles, souffle-t-il.
Tout en continuant à s’occuper du téton, il glisse sa main jusqu’à la chatte trempée de la jeune femme qui pousse un soupir lorsqu’il commence à jouer avec son petit bouton.
- Sous tes airs de bonne sœur, tu caches un tempérament de salope se réjouit-il.
Il l’allonge alors sur le bureau avant de se déshabiller et de lui présenter son gros sexe devant sa bouche. Tandis qu’elle s’affaire sur son membre, il lui pelote d’une main ses seins et de l’autre pénètre son intimité, sans ménagement, avec son gros index, occasionnant une plainte inaudible de la professeure, atténué par le va-et-vient de la queue dans sa bouche. Elle a l’impression d’être une proie entre les mains d’un prédateur et, ce qu’elle ne comprend pas, c’est qu’elle aime ça.
- Ta chatte est sublime, je ne peux attendre de la goûter s’extasie le débauché.
Il écarte alors les cuisses d’Amandine, offrant une vue imprenable sur son minou épilé, avant d’y passer la langue de haut en bas, de lui titiller le clitoris du bout de la langue, de passer des petites aux grandes lèvres jusqu’à ce qu’elle soit prise d’un orgasme puissant.
A bout de souffle, elle n’a pas le temps de se remettre que Mr Belmont
présente sa bite à l’entrée de son vagin dégoulinant.
- Je vais te montrer ce qu’est un homme avec une vraie queue
- Allez-y doucement réclame–t-elle intimidée par la grosseur de la chose.
Doucement, le vieux cochon qui bave de plaisir, introduit son gland.
- Tu es vraiment étroite. C’est vrai que ton ex a une petite bite s’esclaffe-t-il.
- Doucement, ça me fait mal, murmure-t-elle.
Le proviseur entre et sort plusieurs fois de suite son gland jusqu’à ce qu’il la pénètre d’un coup, de toute la longueur de son sexe. Un assourdissant cri envahit la pièce. Elle essaye, en vain, de le repousser, tandis qu’il la pilonne à grands coups de boutoir. Elle se sent écartelée. Il est comme un animal fougueux, ne retenant pas ses coups. Il prend vraiment son pied à baiser une si jolie jeune fille, sans expérience, avec son gros braquemart.
- Ah… Je vais jouir beugle-t-il.
A l’instant où il la remplit de son sperme, elle a un second orgasme, aussi puissant que le premier. La queue pendante, il regarde avec satisfaction Amandine épuisée, pantelante sur le bureau, les jambes écartées, la chatte débordante de sperme.
- Tu es douée mais tu manques encore d’expérience. Tu passeras dans mon bureau tous les vendredis après les cours pour t’entraîner. Tu seras bientôt une professeure très demandée.
Sans comprendre ce que Mr Belmont veut dire, Amandine, après s’être nettoyée avec des mouchoirs en papier, se rhabille et sort du bureau, la chatte endolorie. Avant de fermer la porte, elle perçoit
- N’oublies pas vendredi après les vacances scolaires.
Et s’entend répondre
- Je n’y manquerai pas.

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