Amandine est une jeune professeure de 25 ans qui, après avoir rompu avec son petit ami, est victime de sa vengeance par le biais du proviseur de son lycée.
Proposée le 2/01/2024 par 4Fab
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Thème: Chantage
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme
Amandine se fraye un chemin au milieu des jeune gens qui déambulent dans le hall du lycée privé où elle enseigne. Avec ses cheveux roux remontés en queue de cheval, ses petites lunettes rondes à la “Harry Potter”, son visage juvénile, sa stature menue, son chemisier blanc recouvert d’une veste en laine, sa jupe écossaise qui lui arrive au-dessus du genou, ses grandes chaussettes blanches et ses ballerines elle se confond avec les élèves bien que son look soit atypique.
Pourtant, à 25 ans, elle est professeure d’anglais dans ce lycée à l’importante renommée grâce à ses compétences mais également grâce à l’appui de papa qui siège au conseil d’administration de l’établissement.
Elle arrive enfin dans la salle des professeurs où elle retrouve Hugo et Maxime, respectivement professeurs de lettres modernes et de mathématiques. La trentaine, allure sportive, ils draguent la jeune professeure qui n’en a cure car elle a un petit ami ou plutôt avait un petit ami.
C’était il y a 2 semaines, un soir qu’elle rentrait d’avoir dîner chez ses parents. Non seulement, il ne travaille pas mais ce soir-là, il avait invité ses “potes” pour une soirée jeux vidéos. Cela a duré une partie de la nuit et, le lendemain matin, en se levant, Amandine a découvert des boîtes de pizza, des canettes de bière vides, des cendriers débordant de mégots dans le salon et dans la cuisine.Cela a été la goutte d’eau. Elle l’a mis dehors. Piqué dans son orgueil, il lui a lancé en partant
- Tu vas me le payer salope.
Donc, depuis, elle cache son célibat car s' ils viennent à le savoir, ils vont redoubler d’ efforts. La sonnerie annonçant le début des cours la tire de sa rêverie.
La journée se passe sans incident et lorsqu' elle ouvre son casier pour prendre ses copies à corriger, elle tombe sur un mot du secrétariat qui l’informe que le proviseur veut la voir après les cours.
Il est rare que le proviseur convoque un professeur et elle se demande bien ce qu’il lui veut. Préoccupée, elle frappe timidement à la porte du bureau duquel tonne
- Entrez.
- Bonsoir Mr Belmont dit doucement Amandine en fermant la porte derrière elle.
- Ah, Mlle Bouchard. Approchez. Je dois vous parler de quelque chose de grave répond-il en levant la tête.
La jeune femme est troublée par le regard qu’il lui lance. Il faut dire que cet homme de 63 ans impressionne, non par sa corpulence puisqu’il est petit avec un léger embonpoint, mais par sa voix, son regard noir et ses grosses mains.
- Quelque chose de grave s'inquiète-t-elle.
- Oui. Ce matin, j’ai reçu ceci au courrier. Vous pouvez l’ouvrir lance-t-il en glissant une enveloppe sur le bureau.
La jeune professeure en tire une photo et se liquéfie à sa vue avant de jeter l’ensemble sur le bureau.
- Vous êtes très photogénique Mlle Bouchard constate Mr Belmont en récupérant la photo où l’on peut la voir à genoux devant le sexe dressé de son petit ami.
Amandine sent ses jambes se dérober et prend appui sur la chaise devant elle. Voilà sa vengeance. Il veut me faire renvoyer.
- Mais qu’est-ce qui m’a pris de faire cette photo, songe-t-elle.
- Je ne vous cache pas que c’est très embêtant pour l’institution. Si le conseil d’administration, ou votre père, viennent à savoir ça, s’en est fini de notre, et de votre réputation, expose-t-il.
- Non, s'il vous plaît, ne dites rien et surtout pas à papa supplie-t-elle.
- Il y a bien une solution mais cela ne dépend que de vous, ajoute le proviseur.
- Tout ce que vous voulez pourvu que mon père ne sache rien, implore-t-elle.
- Bon, alors faites le tour du bureau et venez près de moi, sourit-il.
Hésitante, elle vient se placer à ses côtés. Il fait alors pivoter son fauteuil. Elle porte alors ses mains à sa bouche de stupeur lorsqu'elle découvre Mr Belmont le sexe à l’air.
- Tu aimes ce que tu vois, lance-t-il.
Amandine reste silencieuse, aucun mot ne pouvant sortir de sa bouche.
- Tu es surprise. C’est vrai qu’elle est beaucoup plus grosse que celle de ton ex-petit ami, plaisante-t-il.
Sidérée, elle ne peut quitter le pénis des yeux même lorsqu'il commence à jouer avec.
- Allez, ne sois pas timide, touches-la, elle ne mord pas. N’aies pas peur, donnes-moi ta main presse-t-il en la plaçant de force sur sa bite.
Choquée, elle ne réagit pas et ne peux faire un geste.
- Tu aimes ça ! Pourquoi tu ne dis rien. Tu as déjà vu des sexes d’homme pourtant.
- Un seul. Celui de mon copain et il est moins gros, murmure-t-elle.
- Il faut un début à tout. Allez, branles-moi commande le proviseur avec avidité.
Docile, la jeune enseignante imprime lentement un mouvement de va-et-vient et est étonnée que le membre qu’elle a bien du mal à tenir dans sa petite main grossisse encore.
- Tu es douée et tu as la main douce se satisfait le vieux cochon.
Elle continue son mouvement en accélérant un peu, le regard fixé sur le gros gland qui disparaît et réapparaît sous le prépuce ainsi que sur le méat qu’elle compare à un œil qui la fixe.
- Lèches-la exige-t-il.
Obéissante, elle passe sa langue sur le gland avant de descendre le long de la colonne de chair et de remonter puis de tourner autour du gland et de recommencer.
- Mets-la dans ta bouche maintenant, ordonne le pervers.
Amandine grimace mais prend le bout du gland dans sa bouche. Seulement, Mr Belmont lui attrape la queue de cheval, presse sur la tête de la pauvre fille puis la relève. Elle sent des larmes coulaient sur ses joues car l’imposant sexe qui entre et sort de sa bouche lui déchire les commissures des lèvres.
- Arrêtez, vous me faites mal proteste-t-elle après avoir réussi à se retirer.
- Tais-toi et continues. Masses-moi aussi les couilles, somme-t-il tout en reprenant son geste.
Impuissante, elle gobe de nouveau la queue de son martyriseur et lui pétrit ses imposantes et lourdes bourses.
Soudain, il se lève de son fauteuil, tout en la maintenant par sa queue de cheval puis lui enfonce sa verge dans la bouche qu’il baise comme une chatte jusqu’à ce qu’il râle et décharge dans sa gorge puis sur son visage, aspergeant ses lunettes de foutre.
La jeune professeure qui n’a jamais reçu de sperme dans sa bouche et sur son visage se relève d’un bond et s’enfuit dans le couloir avant d’entrer dans les toilettes où elle est prise de vomissements.
Une fois calmée et nettoyée, elle se laisse glisser par terre, ramène ses genoux sur sa poitrine et fond en larmes.
- Pourquoi a-t-il fait ça ? Il m’a utilisé comme une poupée. Et il s’est vidé dans ma bouche ce gros porc. C’est dégoûtant.
Elle est prise de nouveaux haut-le-coeur. Au bout d’un moment, après s’être quelque peu ressaisie, elle regagne, honteuse, son appartement.
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Commentaires de l'histoire :
Anonyme
C'est assez violent par contre, c'est même du viol, heureusement que ce n'est pas un témoignage, mais seulement un fantasme.
Posté le 3/01/2024
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