Elodie E08

Une première séance. Un premier test. Et les premiers plaisirs avec lui tout en portant SON collier. Pas classique... mais rien qui ne soit au delà de sa portée... ou de ses envies

Proposée le 8/12/2023 par DomiNancy

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Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: Groupes
Lieu: Autres lieux publics
Type: Roman

Une fois à genoux, elle le vit se lever. Il prit le collier et lui posa autour du cou. Elle ferma les yeux quand il l'ajusta et le ferma. Elle les rouvrit pour le voir attacher la laisse à la boucle du collier.

Tout en tenant la laisse, il retourna s’asseoir sur le canapé. Et il tira un petit coup sec. Pour l'inviter à s'avancer vers lui. Et elle comprit tout de suite ce qu'elle devait faire. Elle se dirigea vers lui à 4 pattes. Lentement, en faisant rouler ses hanches le plus possible.

Il la regarda en souriant. Et il déboutonna son pantalon. Quand elle arriva à sa hauteur, sa queue déjà bien raide était sortie. Elle ne perdit pas de temps. Elle savait ce qu'il voulait et elle en avait envie. Elle prit sa bite dans la main, la caressa. Et ensuite sa langue et sa bouche s’affairèrent dessus.

Elle dégusta cette bite avec plaisir. Elle aimait sucer. Elle adorait sucer depuis longtemps. Elle avait perdu il y a très longtemps le décompte du nombre de queues qui étaient passées entre ses lèvres. 100 ? Probablement plus. Oui, plus sans l'ombre d'un doute.

Elle en était à ce stade, se délectant de cette queue bien dure quand il lui demanda :
« Tu aimes sucer, je me trompe ? »
Elle leva les yeux vers lui, lui répondit « oui » et replongea son membre au fond de sa bouche.
« Tant mieux... » et sur cette phrase énigmatique, il la laissa continuer.

Il vint placer sa main derrière sa tête mais sans appuyer. Juste comme on pose sa main sur quelque chose qui nous appartient. Ou sur la tête d'un chien. Ou d'une chienne.

Il ne fit rien pour se retenir et il se vida dans sa bouche en moins de 10 minutes. Une bonne grosse dose de sperme envahit son palais et sa langue et elle là encore elle savait quoi faire. Avaler.

Une fois encore, elle aimait ça et elle le faisait naturellement donc pourquoi jouer à celle qui ne sait pas quoi faire ? Surtout que les hommes adorent voir les femmes avaler leur semence.

Elle alla chercher les dernières gouttes, passa sa langue partout, puis elle releva la tête. Attendant de voir ce qu'il désirait maintenant.

« Lève toi et remets ta robe. On sort »
« On sort ? » se dit elle. Sur cette question, elle obéit sans trop réfléchir et une fois sa robe sur ses épaules, toujours tenue en laisse, elle le regarda. Il déverrouilla la porte et ils descendirent. Il la tenait toujours en laisse. Ils arrivèrent au parking souterrain et ils allèrent à sa voiture. Sans croiser personne ce qui la soulagea.

Il démarra et ils furent rapidement hors de la ville. Sans un mot. Elle avait plein de question, mais elle s'était rappelée ce qu'il avait dit : « pas de question quand tu portes le collier ». Alors elle décida de les retenir. En plus, pour le moment, elle n'avait aucune raison de se plaindre.

Ils traversèrent une forêt puis ils entrèrent dans une zone de campagne. Et il emprunta un petit chemin, en direction d'un hangar agricole isolé. Enfin... pas si isolé que ça vu le nombre de voiture garées autour.

Il se gara lui aussi et il descendit. Il fit le tour de la voiture pour lui ouvrir la porte. Elle le trouva galant... jusqu'au moment où il attrapa la laisse. Elle comprit qu'en fait, c'était pour la sortir de là en laisse.

Ils se dirigèrent ainsi vers le hangar et ils entrèrent. L'intérieur était à peine éclairé. Juste assez pour voir qu'il y avait du monde mais être incapable de savoir qui. Et combien. Il passa entre les gens présents, la tenant en laisse et elle remarqua alors qu'il n'y avait que des hommes.

Il la baladait en laisse, la présentait à ces mâles. Et visiblement, ils appréciaient le spectacle. Elle entendit certains mots comme « belle salope », « bonne chienne », « petite pute ». Il ne s'arrêta pas et personne ne la toucha.

Une fois au fond du hangar, seul cette fois, ils entrèrent dans une petite pièce annexe. Il ferma la porte et alluma une lumière. Il n'y avait rien dans cette pièce. Absolument rien. Elle tourna la tête et elle le vit. Ce trou dans le mur. Ce fameux gloryhole. Elle savait ce que c'était depuis longtemps même si elle n'en avait jamais fait l'expérience.

Il vit qu'elle avait vu le trou. Alors il lui désigna du doigt en lui disant « A genoux. Tu sais quoi faire je pense ».

Elle le regarda et alla s'agenouiller devant cet orifice. Et quelques secondes après, la première bite s'enfila dans ce trou. Un coup d'oeil vers lui, un sourire qu'elle n'arriva pas à réprimer et elle commença son office. Elle suça cette bite sans chercher plus loin.

Elle s'activait quand elle l'entendit dire : « soit tu avales, soit tu prends en faciale. A toi de décider ». Elle suçait tout en réfléchissant quoi faire quand cette queue l'a surpris. Il gicla dans sa bouche. Elle n'avait donc pas trop le choix. Elle avala ce jus et rapidement, cette bite sortit du trou.

Pour qu'une autre prenne sa place. Elle prit le temps d'avaler et elle retourna à l'action. Celle ci elle la sentit venir. Et ce fut une faciale. Une grosse giclée qui coula jusqu'à sa robe. Elle tourna la tête pour regarder et elle le vit sourire. Il semblait apprécier le spectacle. La voir ainsi humiliée et réduite à vider des inconnus à pleine bouche l'excitait. Et ça l'excitait elle aussi.

Elle glissa alors une main entre ses cuisses en retroussant sa robe. Et elle commença à se masturber tout en attaquant la bite suivante. Elle prenait du plaisir à sucer ces bites sans visage et ses doigts ne firent qu'amplifier cela. Elle vida le suivant dans sa bouche, l'avala et glissa deux doigts dans sa fente.

Il ne lui avait pas interdit de jouir donc elle n'allait pas s'en priver. Avant de prendre le suivant en bouche, elle s'offrit son orgasme. Un orgasme bruyant. Et plus puissant qu'elle ne l'aurait cru. Elle en profita puis il la rappela à ses devoirs.

« Il attend »
Elle reprit ses esprits et elle prit cette nouvelle queue en bouche. Et la suivante. Et celle d'après.

Elle ne savait pas depuis combien de temps elle suçait des queues. Elle savait juste qu'elle en avait plein sur elle et qu'elle en avait avalé encore plus. Une vingtaine ? Non. Une trentaine plutôt. Puis plus aucune bite ne passa par le trou. Elle avait vidé tout ces males. Et il était temps car elle commençait à très sérieusement fatiguer.

Il la releva avec un sourire presque bienveillant. Si ce n'est qu'il le faisait en tirant sur la laisse. Une fois debout, elle remarqua combien ses jambes étaient fébriles. Mais il n'y prêta pas attention. Il poussa sur son dos pour la forcer à se pencher en avant. Elle prit appui sur la cloison et il releva sa robe.

Sans un mot, il sortit sa queue et l'enfonça dans sa chatte toute trempée. Il la baisa sans retenue et elle ne tenait debout que parce qu'il tenait ses hanches très fermement.
« Tu es vraiment une bonne chienne.... et un bon sac à foutre ».
Et sur ces mots, il se vida dans sa chatte....

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