De Sylvie à Yasmina, une vie surprenante 1/2

Enlevée dans le désert mauritanien, je me retrouve 20 ans plus tard dans un bar à Pigalle. Évidemment en 20 ans il, s'est passée beaucoup de choses mais le secret défense a été levé... Aussi, je peux vous narrer mon histoire. ( fictive, vous l'avez deviné )

Proposée le 27/11/2023 par Sucette

Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme

Nous sommes au début des années 70, mon compagnon, solide vicking de 35 ans a déjà pas mal roulé sa bosse. Né en Afrique, il voue une véritable passion pour ce continent et dans un premier temps, décide de rallier Dakkar depuis le Maroc en traversant la Mauritanie.
Nous sommes ensembles depuis quelques mois et quand il ne bricole pas, nous faisons l'amour comme des bêtes. J'adore quand il me prends dans ses bras puissants et qu'il m'empale jusqu'à la garde. Il me soulève puis me laisse retomber sur son braquemart, cogne contre mon utérus , produisant des secousses dans tout mon vagin. Puis il me couche sur le capot, un banc, une table et me laboure jusqu'à m'arracher des cris de jouissance. En pleine campagne, nous n'avons ni voisin, ni vis à vie.
C'est seulement après mon orgasme, qu'il s'autorise à jouir. Bien que je prenne ma pilule régulièrement. Il ne jouit pas systématiquement en moi. Il interrompt son coït pour éjaculer sur mon ventre, mes fesses ou mes seins.
J'aime le voir éjaculer et lui aussi aime ça.
Souvent, je prends un peu sperme sur mes doigts et le porte à ma bouche. J'aime le goûter. Souvent, il m'embrasse alors et mélangeons nos salives.
Il a fini de retaper une vieille maison de famille et effectue des travaux de maçonnerie dans le coin, il répare aussi les tracteurs et les machines agricoles et bien sûr peaufine sa land rover.

Le départ a lieu fin octobre après les vendanges.
Traversée du Maroc sans problème, nous en profitons pour découvrir ce pays magnifique puis filons vers le Maroc espagnol sous bonne garde. La frontière est difficile à passer, la région étant peu sûre et contestée par ses voisins. Nous devons faire des dépositions comme quoi nous sommes informés et que nous continuons notre voyage sous notre seule responsabilité. Bien sûr, nous n'avons pas d'armes.

Nous roulons sur une immense route qui suit la plage, nous nous arrêtons pour manger et se baigner dans les immenses rouleaux ( dangereux ) et bien sûr faire l'amour. Nous traversons quelques villages de pêcheurs...souvent contrebandiers, le plein nous coûte 15% du prix français (500 F.cfa le jerrycan...).

A 200 kms de Nouatchott, nous établissons notre bivouac. Tout est calme, le ciel est magnifique, je suis lové contre mon homme. Comme à son habitude, il caresse ma poitrine, titille la pointe de mes seins, je sens sa verge contre mes fesses, je la caresse sur son boubou, il glisse sa main sous ma robe, cherche mon clitoris, tourne autour pour que je l'embrasse, il me couche sur la couverture et frotte sur l'entrée de mon vagin, je coule comme une fontaine, il s'introduit lentement, nous communions silencieusement . Tout est calme, reposé. Nous nous endormons repus.
Soudain en pleine nuit, nous sommes brutalement arrachés l'un à l'autre. Nous sommes attaqués. Tout est allé très vite. Mon compagnon est égorgé sous mes yeux, je suis plaquée au sol, un homme vêtu d'une djellabah et d'un foulard plaque sa main sur ma bouche, relève sa tunique et me transperce d'un sexe long, fin et recourbé comme un kriss, je voudrais hurler de douleur mais aucun son ne sort de ma bouche, étouffé par la main de l'homme, il s'agite frénétiquement et s'écroule quelques instants plus tard. Un autre homme prend sa place, plus corpulent, il prend son temps, me retourne, me prend en levrette, un troisième homme me giffle. Je suis anesthésiée, je ne réalise pas, je ne me rends même pas compte que le troisième homme a pris la place puis je suis assommée.

Au petit matin, je me réveille sous une tente en plein désert. Plus de compagnon, plus de 4×4, une vieille femme me soigne la tête et passe un onguent sur mon sexe. Plus tard j'apprendrai qu'il est à base d'urine et d' excréments de dromadaire.
Je passe une semaine sur ce pâturage éphémère après la saison des pluies puis je suis livrée à un autre groupe.
Je marche attachée derrière un dromadaire et fait le travail des femmes avec une relative liberté.
Le désert est ma prison. Je ne peux aller nulle part et il y a toujours un jeune garçon qui surveille.
Je suis relativement bien nourrie avec du lait caillé, du mil et des dattes délicieuses.
Je ne pense à rien, anesthésiée par la douleur, je survie plongée dans ma déchéance.
Un mois plus tard, nous avons marché vers l'est, je suis vendue, échangée ?? Il semblerait que l'on m'ait drogué et je me retrouve dans une chambre confortable, vêtue d'une robe soyeuse sans manche où je suis nue, lavée, parfumée, enduite d'une crème apaisante et nourrissante.
Une nouvelle vie va commencer pour moi.
La suite.... Épisode 2

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Commentaires de l'histoire :

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