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De Sandra à Yasmina 2

Enlevée en plein désert, je me retrouve nue dans un château dès milles et une nuit. Une femme magnifique me masse, elle est métisse les cheveux raidesles yeux noirs soulignés de khol, le buste nu, un simple jupe courte et fendue sur le coté ceint ses reins. Mais où suis je ?

Proposée le 1/12/2023 par Sucette

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Thème: Couple, passion
Personnages: FFH
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme


Elle commence par mes pieds qui sont dans un triste état. Quinze jours de marche dans le désert brûlant ont cuit la plante, des plaies se sont formées.
Elle m'enduit d'une crème nourrissante et apaisante en prenant chaque orteil puis elle remonte sur mes mollets, elle étale une huile au camphre, qu'elle fait bien pénétrer.
Elle me retourne, j'ai le visage dans un trou et ne peut communiquer.
Elle remonte sur mes cuisses, masse l'intérieur puis s'occupe de mes fesses, elle écarte et rapproche les globes puis glisse ses doigts dans la raie et frôle mon anus.
Elle revient sur mes cuisses et sa main tâte mon périné, mon sexe est humide, elle le sent puis revient sur ma corolle qu' elle caresse à nouveau et glisse un doigt. Je soulève légèrement mon bassin, sa main s'empare de ma vulve. Elle cherche mon clitoris et s'en empare avec deux doigts qu'elle fait rouler.
Mon sexe dégouline, elle glisse trois doigts à l'intérieur qu'elle fait tourner en gardant le pouce sur mon clitoris.
Puis elle tourne sa main et l' enfonce dans mon anus en faisant des va et viens. Je gémis ce qui l'encourage.
Elle me retourne à nouveau et sa bouche vient au contact de mes lèvres et saisit mon clitoris qu'elle aspire, suce, lèche et mordille. Son va et vient continue et je suis secoué de spasmes. Tout mon corps tremble, je n'avais jamais connu un tel orgasme, de plus une première avec une femme.
Elle reprend son massage, le ventre, les seins, les épaules. Ses petits seins frottent sur ma peau et étant près de moi, je lui demande d'où elle vient qui elle est, où sommes-nous.
Elle me réponds dans un mauvais anglais qu'elle est du Sri Lanka, qu''elle est arrivée à Tripoli avec un contrat de travail, qu'elle s'appelle Tamara et qu''elle a dix sept ans.
Que nous sommes dans un harem un peu spécial dans le sud près d'installation pétrolières, qu'il y a une piste d'atterrissage pas loin. Elle me chuchote car elle n'a pas le droit de me parler et me montre son dos, strié de nombreuses marques de fouet ou de canne. Son dos est zèbré de marques bleues et violettes.. Elle me remet sur le ventre et finit par mon dos, mes bras et mes épaules. Puis s'en va discrètement et je m'assoupis.

A mon réveil, toujours nue, on me douche et on me fournit un trousseau : des robes longues et légères ouvertes sur les côtés, des tangas mais je ne peux les mettre dans mon état, ils sont réservés aux périodes où l'on est indispos?e, des tenues sportives très légères. Des sandales fines. Pas de sous vêtements, ils sont interdits.
Puis je suis conduit à un dortoir : Huit paillasses a même le sol. Des sanitaires collectifs attenant. Aucune intimité, les wc à la turc sont en vis à vie, une douchette permet de se laver y compris l'intérieur.
Les douches, elles sont également collectives.

Puis je suis invité à manger, plusieurs salles où nous déjeunons sur le sol assises en tailleur ou accroupies, on ne doit pas parler et un sbire veille à l'angle des trois salles. Il est handicapé d'une jambe et porte un fouet à la ceinture.

J'en profite pour dévisager mes compagnes : africaines, asiatiques, maghrébines, roumaine,ukrainienne, je suis la seule européenne , toutes très jolies et jeunes. A part l' ukrainienne, je suis la plus grande et elle la plus musclée. Aucune ne parle le français. Certaines sont plutôt rondes mais sexy.

Le soir et la nuit sont libres dans les dortoirs. J'apprendrai qu'il y a pleins d'activités pour supporter la réclusion mais que la fonction de cet hôtel, c'est d'être un bordel hard et haut de gamme.
Toutes les filles ont disparus après un contrat de travail fictif, d'autres lors d'un contrôle de police, dans un aéroport, en voyage comme ce fut mon cas.

Outre le soldat qui avait perdu sa jambe et ses testicules, très méchant aux dires des filles, il y avait un travesti brésilien opéré tres doux et gentil, un ex détenu qui avait eu le sexe tranché dans un règlement de compte.

J'ai assisté à des disputes, bagarres entre filles qui étaient sévèrement punies. Il fallait surveiller sa ligne et nous étions régulièrement examiné par un médecin véreux, ancien nazi disait on mais surtout sadique.
En cas de surpoids, c'était le jeun, des travaux pénibles et du manque de sommeil. Quand une fille était punie elle était mise dans un carcan au milieu de nous tous et de tous le hommes présents dont le propriétaire, très proche du pouvoir.

La fille était fouettée, tradition oblige, parfois on ajoutait des pinces et des poids sur les tétons et les grandes lèvres, le " dey" ou le médecin en profitais pour exercer leur sadisme, passablement excité et sous l'emprise de drogue, il sodomisait leur proie en public sans préparation ou la violait. Souvent il y avait plusieurs punies pour des fautes réelles ou imaginaires.
Elles étaient ensuite conduite à l'infirmerie où leur calvaire ne faisaiit que commencer.
Suspendues, frapper, humiliée, ils utilisaient des bougies, de l'électricité, des. poids... les filles ressortaient plusieurs jours après cassées.
Elles trouvait le réconfort parmi leur congénères. Nous étions pratiquement toujours en couple ce qui était encouragé.
Nous recevions aussi régulièrement des groupes d'hommes d'affaires ou politiques en particulier du golfe, de Chine et surtout des russes. C'est eux que nous redoutions le plus.
La suite dans " Le Harem" pour lecteurs avertis .

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