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Histoire vraie – L’amour tout en délicatesse : exhibition préparée.

Pour cette première exhibition (Histoire vraie – L’amour tout en délicatesse), nous ne sommes pas allés plus loin. Béatrice m’a chaleureusement remercié de m’être mis nu devant elle. Et qu’elle n’aurait jamais cru qu’un jeune homme de 30 ans ait accepté de faire cela pour une femme de son âge.

Proposée le 20/11/2023 par Tommy

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Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Elle m’a demandé si la semaine suivante je pouvais de nouveau la surprendre.


Au cours de la semaine qui suivie, il a également fait très chaud. La veille de mon intervention prévue à son domicile Béatrice m’a téléphoné pour me dire que compte-tenu de la chaleur et du fait qu’elle salissait peu son appartement, elle souhaitait que je l’accompagne dans sa cave pour la nettoyer car cela se trouvait être un endroit frais. Elle me demandait également de prévoir des vêtements ne craignant pas la saleté pour réaliser ce type de travail.


Le jour J, j’arrivais un peu en avance et m’installais dans un endroit discret de la cage d’escalier ne craignant pas d’être dérangé car l’ascenseur avait été réparé. J’avais apporté avec moi une côte d’ouvrier qui couvre l’intégralité du corps. Je me déshabillais totalement, j’enfilais la côte, et mettais mes vêtements dans mon sac.


À l’heure dite je sonnais à sa porte. Béatrice vint m’ouvrir et me voyant dans cette tenue je lui expliquais que j’avais mis cette côte afin de ne pas perdre de temps pour le travail à réaliser. Elle me répondit l’air un peu déçu qu’elle pensait que j’allais de nouveau me changer devant elle.


Nous descendîmes tout les deux par l’ascenseur. À un moment je me suis penché vers Béatrice et lui ai murmuré à l’oreille que j’avais quelque chose à lui avouer. Je lui dis alors que j’étais totalement nu sous ma côte. Elle me répondit alors avec un sourire malicieux qu’elle espérait que je n’aurais pas trop froid et qu’après je pourrais prendre une douche chaude pour me réchauffer.


Quelques instants après notre arrivée dans sa cave Béatrice me dit qu’elle avait un peu froid ce qui n’était pas étonnant comparé à la chaleur dans son appartement.


Je me permis de lui prendre les mains pour constater qu’elles étaient froides. À ce contact Béatrice me dit que moi en revanche j’avais bien chaud.

Je lui proposais alors de mettre ses mains au chaud. Je déboutonnais alors ma côte au niveau de mon entrejambe et introduisis ses mains à l’intérieur pour quelles soient au contact de pubis et mon sexe chaud.


Béatrice me remercia en ajoutant que cela était très agréable car chaud et doux à caresser.


À plusieurs reprises au cours de mon intervention, Béatrice eut froid aux mains que je réchauffais de la même manière.

De retour à son appartement Béatrice me demanda si elle pouvait embrasser mon sexe pour le remercier de m’avoir réchauffé tout à l’heure. Je lui dit que oui, que cela lui ferait certainement plaisir. Les volets étant baissés dans son appartement à cause de la chaleur, l’intimité de ce moment pouvait être préservé.


Je m’installais alors debout de façon qu’en se penchant un peu Béatrice puisse. Au contact des ses lèvres mon sexe se dressa. Je lui dit alors vous voyez comme il est content, il réagit.
Elle émit un petit gloussement satisfait et caressa mon sexe et mon pubis avec sa main en disant qu’il était très beau. Voyant que mon sexe se redressait et durcissait encore plus, Béatrice me dit que mon sexe devait certainement aimer les compliments.


Ensuite, elle me demanda si elle pouvait être cette fois-ci une petite souris lorsque je prenais ma douche. Je lui répondis que oui à la condition que elle aussi soit nue.
Béatrice me répondit qu’elle n’était plus de première jeunesse et qu’elle aurait honte d’être nue devant moi. Je la rassurai en lui disant qu’elle avait certainement de très belles choses à dévoiler.


Je vins m’asseoir à côté d’elle sur le canapé où elle s’était assis. J’approchais alors ma bouche de son oreille et lui murmurais que sa poitrine que je devinais généreuse derrière son chemisier devait être très agréable à caresser.


Sans attendre sa réponse, je défis deux boutons du chemisier qu’elle portait afin de glisser ma main sous celui-ci au niveau de ses seins. Sous mes doigts je sentis sa poitrine bien gonflée et encore bien ferme pour une femme de son âge. Je m’attardais à passer mes doigts entre ses seins et à titiller ses tétons en les caressant à travers son soutien-gorge. Puis je glissai mes doigts sous celui-ci et continuais mes caresses.


Je sentis Béatrice qui parcourue d’un frisson fermait les yeux et soupirait. Je lui demanda si cela allait. Elle me répondit oui, que pour elle c’était un immense plaisir d’être désiré et caressé ainsi par un aussi jeune homme.
Je lui répondis que c’était un plaisir partagé en prenant sa main et en la posant sur mon sexe en érection qui mouillait déjà bien.


J’osais passer mes doigts entre son soutien-gorge et ses seins pour poursuivre mes caresses pendant que Béatrice effectuait les siennes sur mon sexe et mon pubis.


Je retirais alors les autres boutons du chemisier de Béatrice et en écartais les pans, puis je l’aidais à le retirer. Je pris le temps de regarder seins, et ses tétons qui pointaient sous son soutien-gorge. Je lui murmura à l’oreille qu’elle avait de très beaux seins. Béatrice rougit suite à ma remarque.


Je glissa mes mains derrière son dos pour dégrafer son soutien-gorge. Je fis descendre les bretelles de celui-ci le long de ses bras. Je vis alors de très beaux seins peu tombant malgré l’âge de Béatrice.
J’approchais ma bouche de ceux-ci et commença à les embrasser et à en titiller les tétons avec ma langue. Béatrice poussa un soupir de plaisir.


En commençant à lorgner vers son bas ventre je dis à Béatrice que j’explorerais aussi bien cette zone. Elle me demanda de le faire seulement une prochaine fois car elle souhaitait couper quelque peu les poils de sa toison pubienne.


Je lui proposais d’aller à la salle de bain pour me regarder me doucher. Arrivé dans cette pièce mon déshabillage fut rapide car je ne portai rien sous ma côte.


J’invitais Béatrice à se saisir du gant pour me savonner ce qu’elle fit avec plaisir.

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Commentaires de l'histoire :

ni homme ni femme
bonjour j aime
Posté le 26/11/2023

Anonyme
bonjour j aime
Posté le 26/11/2023


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