Moi et les filles (Chapitre 18)

Quel est la révélation que mon père m'a faite. Et Laura que va-t-elle m'annoncer ? En tout cas je penses qu'elle va m’accueillir à bras ouvert, enfin je l'espère...

Proposée le 23/08/2023 par Seblebeau

Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Chapitre 18

Moi et la vérité

Je suis là devant la porte de Laura ma valise à la main… Je ne sais plus si c’est une bonne idée de venir à l’improviste chez elle. Cela fait quand même un petit moment que je ne l’ai pas vue et nous n’avons pas passé beaucoup de temps en couple. Certes, je l’ai appelé quand même assez souvent. Mais là, je suis venue pour dormir chez elle, une journée avant la date prévue de mon arrivée à Paris. Allez, je frappe à la porte.

La porte s’ouvre et c’est une Laura surprise qui m’ouvre.
- Surprise ! lui dis-je sur un ton faussement enjoué
- Salut, qu’est-ce que tu fais là ? Me demande-t-elle froidement
- J’avais besoin de m’échapper de chez moi et donc me voilà.
- Entre, je vais te présenter à mes amis.

Elle me présente les deux garçons et la fille qui sont là. Elle m’explique qu’ils ont prévu une soirée révision. Je comprends assez vite que je tombe mal. Je lui dis que je peux revenir plus tard ou le lendemain. Mais elle m’expliquer qu’ils ont bientôt fini et donc que je peux rester. Je vais attendre sur le fauteuil en leur souhaitant bon courage pour leur travail. Je prends un bouquin et commence à le lire de façon distraite. Je vois Laura regarder souvent dans ma direction. Au bout d’un moment ses amis voyant qu’elle n’est plus concentré lui propose de remettre à plus tard leur révision et décide de nous laisser seuls.

Elle dit au revoir à ses amis et se jette sur moi pour m’embrasser à pleine bouche. D’une façon si vorace, comme si elle a été privée de quelque chose bien trop longtemps, comme une droguée en manque. Je pose mes mains sur ses fesses et commence à les malaxer. Ce moment me fait un bien fou, je me détends au fur et à mesure de nos embrassades. La tension accumulée depuis quelques jours retombe enfin. Au bout d’un moment, elle me dit :
- Déshabille-toi, j’ai trop envie de toi.

Je sais qu’elle est plutôt direct mais là, pas de préliminaire. Elle se déshabille et j’en fais de même. A peine mon caleçon baissé, qu’elle me suce déjà la queue encore à demi molle. D’une main, elle me caresse les boules et de l’autre me branle vigoureusement. Quelle fougue ! En moins de temps qu’il ne faut pour le dire, mon petit soldat est au garde à vous. Elle me jette sur le clic clac et vient directement me chevaucher.
- Attend, je n’ai pas mis de capote.
- Pas grave, je prends la pilule maintenant. Me répond Laura empressé.

Sans rien dire de plus, elle s’empale sur ma queue. Je sens la chaleur de ses parois vaginales entourer mon membre viril. Puis elle commence un fougueux rodéo. Elle devait être sacrément en manque de sexe vu l’ardeur qu’elle y met. Ses gros seins lourds, se ballote au rythme de ses hanches. Je ne peux m’empêcher de les empoigner pour en titiller les tétons.

Il ne lui faut pas longtemps pour jouir une première fois. Elle inonde mon sexe et mes bourses de son jus. Ses yeux me supplient de ne pas jouir tout de suite car elle n’est pas encore rassasiée. Après quelques secondes pour laisser retomber sa première vague de chaleur. Elle reprend plus calmement, pour faire durer le plus longtemps possible son moment d’extase. Je suis aux anges de voir ma partenaire jouir les yeux fermer. Laura a saisi elle-même sa poitrine, elle fait rouler ses tétons entre ses doigts. Moi, je saisie ses anches afin de suivre son rythme.

Je sens un second orgasme l’envahir, plus puissant que la première comme une lame de fond qui surgirait du fin fond de son être. Sa chatte se contracte tellement qu’elle expulse ma queue, son corps est envahi de spasme et ses yeux sont révulsé. Elle pousse de longs soupirs qui emplissent son petit studio d’étudiante. Après un long moment de bien être absolu, elle retombe sur moi et me glisse à l’oreille en chuchotant :
- Elle est trop bonne ta queue… J’en avais trop envie… Elle m’avait tant manquée… Le sexe avec toi est incomparable !

C’est à mon tour de la renverser sur le clic clac et de la mettre à quatre pattes. Je présente mon sexe devant ça vulve toute lisse. Ma bite est comme aspiré par se vagin avide de plaisir. J’entends ma belle gémir à chaque coup de butoir. Elle me supplie d’y aller plus fort et de lui défoncer la chatte. J’augmente encore la cadence. On entend plus que les claquements de nos deux corps et les gémissements de Laura. Elle a enfoncé sa tête dans un coussin afin d’étouffer ses cris.

Je sens que je suis prêt à jouir. Laura doit le sentir et m’encourage alors à la remplir bien au fond. Je ne me prive pas de décharger mon flot de sperme dans sa chatte bien humide. Cela fait quelques jours que je n’ai pas baisé alors j’ai de la réserve. Moi aussi, je savoure se moment de bien être absolu.

On s’écroule tous les deux l’un à côté de l’autre et l’on s’embrasse de long moment. Puis je lui dis :
- Je peux dormir ici, ma mère pense que je rentre que demain.
- Pas de souci, comme cela tu seras à moi pour toute la nuit. Me dit-elle en reprenant nos embrassades.

Au bout d’un moment, elle se lève et m’entraine avec elle jusqu’à la salle de bain. Là, sans dire un mot nous passons sous la douche. Nous continuons à nous embrasser à pleine bouche pour faire jouer nos langues ensemble. Il n’en faut pas plus pour que je bande à nouveau comme un âne. Elle commence doucement à me branler avec du gel douche. Quelle sensation extraordinaire de sentir cette main glisser lentement sur mon sexe.

Ce n’est plus la même que tout à l’heure, j’ai l’impression qu’elle veut prendre son temps. De faire monter doucement le plaisir pour que cela dure longtemps. Je ne suis pas en reste et je la masse doucement, d’une main ses fesses cherchant son petit œillet et de l’autre sa poitrine titillant de temps en temps son téton durcit de plaisir. Quel moment exquis, j’aimerais que le temps s’arrête afin d’oublier les choses que j’ai en tête.

Après avoir bien nettoyé et rincé mon engin. Elle se met à genoux afin de me sucer tout en ne me quittant pas du regard. Elle passe délicatement sa langue le long de ma tige pour finir par me gober le gland. Une fois dans sa bouche, je sens le bout de sa langue venir titiller le méat de ma bite. D’une main, elle commence doucement à jouer avec ma rondelle. Poussant toujours un peu plus loin son exploration anale aidée par l’eau de la douche. Cette sensation est étrange que se doigt dans mon cul mais cela devient de plus en plus agréable. J’ai même l’impression que cela me fait mouiller encore plus puisque je sens mon sexe tressaillir à chaque mouvement du doigt de Laura dans mon anus.

Il ne faut pas longtemps pour que je sens la sauce montée. Je préviens ma partenaire qui ressors juste à temps mon chypre pour recevoir mon premier jet sur le visage. Les suivants viennent s’écraser sur sa lourde poitrine.
- Tu en avais encore réserve, mon salaud ! Me dit Laura amuser par la quantité de sperme.
- Je te rassure, j’en ai encore pour toute la nuit s’il le faut.
- On verra ça plus tard, pour le moment on finit la douche et tu m’invites au resto. Me dit-elle en me donnant une bonne claque sur la fesse
- Aïe !

On finit donc rapidement cette bonne douche, puis direction le fast food du coin. Mes moyens ne me permettent pas de l’invité dans les restaurants Parisien. Une fois à table, elle me regarde dans les yeux et me dit :
- Alors tu vas cracher le morceau ?
- De quoi tu parles ?
- De ce qui te tracasse, je sais bien que tu es venu chez moi pas seulement pour baiser mais aussi pour chercher refuge.
- Tu es perspicace comme fille, mais je ne sais pas comment te dire ça.
- Vas-y balance. Insiste Laura
- Par où commencer… Il y a quelque temps, j’ai appris que mon père et ma belle-mère participent à des partouzes avec d’autre couples.
- Comment tu sais ça ? Me demande-t-elle
- Deux personnes me l’ont confirmé
- Et alors, on a fait quoi tous les quatre la première fois que l’on s’est vue ?
- Je sais mais ils sont mariés !!!
- Et donc ils ont plus le droit de s’amusés ? Ils sont adultes et consentant ? s’indigne Laura
- Ce n’est pas ça mais mon père, il va encore aller engrosser une autre femme. Lui répondis-je
- Pourquoi tu dis ça ?
- Mon père m’a avoué que Jade est ma demi-sœur. Il a mis enceinte ma mère et sa nouvelle femme en même temps, c’est pour cela que nous avons le même âge. En gros, il a trompé ma mère pendant des années. Quand m’a mère a appris l’existence de son autre famille, elle est retournée chez sa mère ici à Paris.
- Et alors tu dois être contant, tu passes de fils unique à grand frère ou petit frère ? me demande Laura
- Grand frère…
- Voilà où est le problème ?
- Justement, mes parents n’avaient pas à me cacher cela ! Des larmes me montent aux yeux
- Arrête ce n’est pas comme-ci vous avez couché… me dit-elle sur le ton de la plaisanterie

Je suis coincé, est-ce que je peux tout lui avouer ? Comment va-t-elle prendre le fait que j’ai couché avec Jade, ma demi-sœur. Mais alors que je réfléchi à ce que je vais lui dire. Elle me regarde et reprend la conversation :
- Non ?
- Si on a fait des choses ensemble
- Il y a chose et chose. Tu lui as fait l’amour ?
- Oui, mais je n’étais pas au courant donc cela ne compte pas ! Lui dis-je
Bizarrement, ce oui me libère d’un poids qui m’oppresse depuis que mon père m’a avoué que Jade était ma petite sœur. On n’en a pas parlé et cela a plombé l’ambiance de la maison. Pour le moment, on a coupé toute relation intime voir même toute relation…
- Et quand tu nous as dit que tu étais vierge, tu l’étais ?
- Je ne l’étais plus mais j’avais couché qu’une fois avec l’autre sœur… Lui dis-je tout penau
- Dit donc mon salaud, il n’y en a qui ne se fond pas chier dans le nord…
- Et toi, dis-moi la vérité, tu m’as attendu depuis le mois de décembre ?

Je vois bien à son aire qu’elle n’a pas enfilée des perles tout ce temps. Cette fois c’est elle que je sens coincée par ma question
- Effectivement, on baise parfois avec l’un des deux mecs qui étaient là tout à l’heure. Depuis que l’on a fait l’amour ensemble à la fin de l’année dernière, j’ai l’impression que je suis tout le temps en manque de sexe.
- J’ai vue cela tout à l’heure, une vraie mort de faim. Lui répondis-je un peu moqueur
- Paul, le garçon avec qui couche, n’arrive pas à ta cheville. Tellement c’est bon, quand on fait l’amour ensemble. Tu sais même Mathilde me demande souvent quand est-ce que tu remontes et que l’on remet cela comme pendant les vacances de Noël. Mais je sais que je vais être de plus en plus en manque de toi… Me dit Laura sur un ton beaucoup moins gai.
- Pourquoi tu dis cela ?
- Voilà après les vacances d’été je vais reprendre mes études mais en Espagne là où ma famille est originaire. Donc je vais déménager là-bas au mois d’aout.

J’accuse le coup, je ne verrais plus Laura après les vacances d’été. Même si ce n’est pas réellement une rupture, cela me fait de la peine. Les larmes, que je retiens avec difficulté, depuis le début de notre conversation commencent à rouler le long de mes joues. Nous finissons notre repas en silence. En repartant, elle me prend la main et se colle contre moi. Nous marchons comme cela jusqu’à chez elle. Une fois la porte fermée, sans dire un mot, elle m’embrasse. Cette fois je sens bien que ce n’est plus son manque de sexe qui parle mais un peu les sentiments mitigés que l’on ressent l’un vers l’autre.

Doucement, nous nous dirigeons vers le clic clac, en chemin nous nous déshabillons, éparpillant nos vêtements dans toute la pièce. Lorsque nous nous allongeons, nous sommes déjà nues. Nos bouches ne se quittent plus et nous nous caressons tendrement comme ferait deux amoureux découvrant pour la première fois leur corps. Jusqu’à maintenant, notre relation était basée sur le sexe sans réfléchir au lendemain. Mais notre discussion nous a fait ouvrir les yeux sur notre dépendance de l’un pour l’autre. Jusqu’à maintenant je savais que lorsque je descendais à Paris, Laura été là pour m’accueillir.

Après un long moment à s’embrasser, elle me glisse à l’oriel un petit « vient ». M’invitant à passer dans la position du missionnaire pour lui faire l’amour. Je m’exécute et la pénètre le plus tendrement possible. C’est différent, se moment est le plus sensuel depuis longtemps. Je n’ai pas envie que cela se termine trop vite. Je suis bien en Laura. Je bouge doucement sans précipiter mon va et vient.

Elle me sert fortement dans ses bras, me plantant doucement les ongles dans mon dos. Une chaleur m’irradie le bas ventre. A ce moment-là, je ne sais pas si je l’aime mais en tout cas j’ai des sentiments pour elle. C’est peut-être l’une des dernières fois que nous couchons ensemble. Et tous cela doit décupler nos sensations à ce moment précis.

Après un long moment, elle me bascule sur le dos et vient me chevaucher. Se redresse, me regarde dans yeux tout en s’empalant sur ma bite dressée comme le mat d’un navire. Elle pousse un long soupir avant de basculer d’avant en arrière son bassin. La douce chaleur de ce corps qui m’enveloppe et m’apaise, m’apporte une certaine sérénité. Pour moi ce moment restera à jamais gravé dans ma mémoire et je suis certain, maintenant, je n’oublierais jamais Laura.

Après avoir dormi et non sans lui avoir dit au revoir, je prends le chemin de l’appartement de ma mère. J’ouvre la porte et je crie :
- Je suis là !

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