Moi et les filles (Chapitre 15)

Ma fête d'anniversaire est terminé mais avec qui ai-je bien pu baisé cette nuit. Je ne me souviens plus de tout. On me réserve encre des surprises... Qui s'est ce qui pu arriver cette nuit.

Proposée le 10/07/2023 par Seblebeau

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Thème: Couple, passion
Personnages: 2CPL
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Chapitre 15
Moi et la fin d’un Week end de rêve

’ai mal au crâne… Je ne sais même plus où je suis… J’ai l’impression d’avoir une perruque qui pousse sur ma langue et un marteau piqueur dans le crâne. J’ouvre un œil à la fois mais la lumière du soleil me fait mal. Promis, je ne boirais plus, enfin plus autant ! Je suis dans ma chambre mais comment suis-je arrivé ici ? Je ne me souviens plus de la fin de soirée. Je suis à poile sous mes draps. Je regarde et j’ai encore une capote pleine de sperme sur le bout de ma teube.

Il y a quelqu’un sous ma douche et une autre personne sous la couette. Je me lève doucement pour aller prendre moi aussi une bonne douche. C’est Victoire que je retrouve, elle se pousse un peu pour me laisser entrer et pouvoir totalement me réveiller sous l’eau. Elle ne me laisse pas le temps et m’embrasse directement en me disant :
- Bonjour le bel étalon.
- Bonjour mademoiselle aux formes délicieuses.
- Quelle politesse ce matin. Ça change des gros mots de cette nuit. Me dit victoire avant de poursuivre en voyant ma tête. Tu ne te souviens de rien ?
- Je ne dirais pas ça mais à partir d’une certaine heure, c’est plutôt du brouillard pour le moment… Lui répondis-je en essayant de rassembler mais souvenir
- Tu vas avoir des surprises à mon avis. Dit-elle en commençant à me caresser
- T’en que ça ?
- Tu te souviens que vous m’avez fait l’amour, Charles et toi ? Me dit Victoire, tout en me savonnant copieusement le corps.
- Non pas vraiment… Tu as baisé avec des mecs, toi ? Tu n’es pas lesbienne ?
- Charles s’était juste pour chauffer. Je ne baise pas avec les mecs mais seulement avec toi. Sandrine m’avait averti que si je goutais à ton fruit défendu, je ne pourrais plus m’en passer. Elle a raison ton pénis est délicieux ! Me dit Victoire avant de me nettoyer mes parties intimes.

Je ferme les yeux afin de gouter encore plus au moment présent. Elle me nettoie entièrement mon engin jusqu’au couille et s’attarde longuement sur mon gland qu’elle a découvert. Il ne faut pas longtemps pour bander complètement.

Puis plus rien, j’ouvre les yeux et je la vois rapidement sortir de la douche, prendre une serviette et puis disparait rapidement de la salle de bain. Elle doit vouloir aller chercher une capote. Mais je me rends vite compte qu’elle n’a pas l’intention de revenir, je commence à débander et avoir mal aux couilles d’avoir été chauffé à blanc. Je décide moi aussi de me sécher rapidement. Comme à mon habitude, je rentre dans ma chambre, tout en me séchant les cheveux, le zob à moitié au garde à vous. Voyant quelqu’un sur le bord du lit, je lance :
- On peut finir ce que l’on a commencé ?
- Je ne sais pas c’est toi qui vois. Me dit la voix masculine de Charles

J’enlève la serviette de ma tête. Je vois Charles, assis sur le bord du lit, les jambes écartées, son petit soldat au garde à vous et ses yeux rivés sur ma bite à quelques centimètres de son visage.
- Je ne sais pas pourquoi mais j’ai envie de te sucer. Me dit-il

Sans attendre ma réponse, il se met à me sucer la bite comme un mort de faim tout en me caressant fougueusement les boules. Je ne sais pas pourquoi, je suis restais là quelque seconde à me laisser faire. Comme si ce n’était pas la première fois que l’on faisait cela ensemble. Quelle fellation énergique, on ne m’avait jamais sucé aussi fort. C’été presque trop et cela me faisait un peu mal. Cette sensation me fait sortir de ma torpeur, pendant que des flashs de la nuit me revienne. Tous les trois, Sandrine, Charles et moi sommes en train de baiser de cette chambre. Et je crois me souvenir avoir sucé cette petite bite…

Mais je reviens à la raison et me retire de cette bouche masculine. J’entends ricaner derrière moi puis la voix de Sandrine me dire :
- Je voulais savoir si à jeun vous alliez encore baiser.
- Petite garce ! lui répondis-je. C’est pour cela que tu m’as chauffé à blanc dans la douche.
- Tu as tout compris mais vu l’état dans lequel est Charles, je crois qu’il est encore bourré. Nous dits Victoire
- Même pas vraie ! Répond Charles avant de s’écroule dans le lit, la bite encore dressée.
Au même moment, Manon et Jade arrivent dans ma chambre.
- Je vois qu’il y a de l’ambiance ici ! S’escalâmes Manon
- Je vous les laisse, je vais retrouver Sandrine. Lance Victoire en se dirigeant vers la porte encore totalement nue.
- Je vois que vous êtes tous les deux en forme. Tu aurais une capote ? Me demande Manon.
- Oui dans le tiroir du bureau. Lui répondis-je.
- Bonjour, tu as bien dormi ? Me demande Jade
- Bien et toi ?

J’ai à peine terminé qu’elle m’embrasse fougueusement. Sa langue vient chercher la mienne et commencent leur ballet buccal. Puis, elle me met à côté de Charles sur le bord du lit avec les jambes au sol. Elle vient ensuite placer sa tête entre mes jambes et commence à me pomper ma queue qui a retrouvée toute sa vigueur. Sa sœur, après avoir pris la capote dans le tiroir, se met dans la même position entre les jambes de Charles. Je ne sais pas si Charles est complètement réveillé mais on l’entend gémir de plaisir sous l’effet des caresses de la langue de Manon.

Les deux sœurs sucent en cœur les deux bites. Les bruits de succions vont bon train. Je sens la langue de jade jouer avec mon gland. Au bout d’un moment, je vois Manon enfiler le condom sur le sexe de son bel endormi qui réagit à peine. Elle se retourne et vient s’empaler sur le petit zizi de Charles. Jade voyant cela, elle en fait de même et vient s’assoir sur moi. Mon sexe rentre très facilement et vient cogner contre son utérus, puis elle commence doucement à onduler son bassin.

Au fur et à mesure que ses gémissements se font plus fort, elle augmente la vitesse et l’amplitude de ses mouvements. Au bout de quelque minute, je sens son vagin de resserrer sur mon pénis et elle crie son plaisir. Tellement sa chatte et serré que ma bite en est éjectée. Tout son corps tremble sous l’effet de son orgasme. Après quelque seconde sa sœur lui demande d’échanger les places.

C’est maintenant, Manon qui vient de fourrer ma queue dans son petit puits. Elle est déjà bien humide et bien serrée. Jade, quant-a-elle, reprend ses mouvements de bassin sur le sexe de Charles. J’attrape ma partenaire par les anches pour lui imprimer le bon rythme pour ne pas jouir trop vite et pour la faire grimper aux rideaux elle aussi.

A côté, Jade et descendu de son partenaire, lui a enlever la capote et le branle vigoureusement. Je m’aperçois qu’il bande plus qu’à moitié. D’ailleurs, il ne lui faut pas longtemps pour éjaculer tout en poussant un long râle. Jade se fait un malin plaisir de lui étaler sa semence partout sur son corps tout en continuant de la branler doucement.
Puis après s’être essuyée les mains, elle vient alors s’allonger à côté de moi et commence à m’embrasser langoureusement. Pendant que Manon s’active toujours sur mon gourdin qui lui pilonne la chatte. Je sens qu’elle mouille de plus en plus cela coule jusqu’à mes couilles signe d’une jouissance toute proche. Qu’elle crie quelque instant plus tard :
- Putain tu me fais jouir comme une salope.

Tout cela accompagné de spasme musculaire incontrôlé. Cela provoque mon propre orgasme, je me cambre et mon pénis vient éjaculer tout au fond de Manon. Je suis en train de tapisser son utérus de sperme bien chaud. Je la supplie de continuer un peu afin de me vider complétement les couilles. Lorsque je retombe sur le lit, elle aussi s’effondre sur moi. Je caresse doucement se corps qui me recouvre, ce qui lui provoque de léger frisson. Au bout d’un moment, Jade rompe le silence :
- Qui m’accompagne à la douche ?
- Moi, lui dis-je
- Je vais rester avec Charles, on ne sait jamais, un sursaut de vigueur. Dit Jade en s’approchant du bel endormi et en lui caressant la queue.

C’est à deux que nous allons prendre une nouvelle douche pour moi. Mais, je viens de transpirer cela ne me fera pas de mal. Nous restons bien sages, nous nous savonnons mutuellement, nous nous frottons le dos, nous nous nettoyons même nos intimités mutuelles, avec quelques embrassades. Mon sexe n’a même pas relevé la tête. Puis nous ressortons, à poil de la Salle de Bain pour prendre nos affaires.

Manon est dans les bras de Charles en train de l’embrasser fougueusement tous les deux sont complètement nu l’un contre l’autre. Elle a pratiquement réussi à le réveiller enfin sauf son petit bonhomme en mousse qui reste insensible à ses caresses. Pourtant, elle le branle avec vigueur.

Jade ramasse le teeshirt qu’elle portait en arrivant. Moi, je mets juste un short et un polo. Puis on se dirige vers la cuisine car l’odeur de café montre que quelqu’un à du préparer un bon petit déjeuner. On retrouve donc les trois autres filles. Je dis bonjour à Sandrine et Gisèle puis je lance un : » Je te retiens toi. » en montrant du doigt Victoire. Les deux autres doivent être au courant car elles se mettent toutes à ricaner de la tentative de cette dernière de me faire baiser avec Charles. C’est avec un petit sourire qu’elle me lance :
- J’y suis presque arrivée…

Avec Jade, on se met à table pour déjeuner, j’ai trop faim après les efforts de la nuit et de la matinée. Mais ma gueule de bois est passée. Apparemment, c’est un très bon remède de baiser. Ce petit déjeuner s’éternise et les discussions vont bon train sur ce que chacun a fait la nuit dernière nuit. Il n’y a que Gisèle qui reste un peu à l’écart. Je lui demande :
- Tu n’es pas bien réveillé ou tu es redevenu timide ?
- Non ce n’est pas ça. Dit Gisèle
- Quoi alors ?
- Eh bien maintenant vous êtes tous en couple et moi je suis seul. Me répond elle
- Ce n’est pas grave tu peux nous rejoindre pour passer de bon moment quand tu le souhaite. Intervient Sandrine
- Et peut-être que Jade pourra te prêter Antoine de temps en temps. Surenchéris Victoire
- Peut-être… Répond Jade pas très heureuse de cette remarque
- Comme d’habitude je n’ai pas mon mot à dire ? leur dis-je d’un ton faussement énervé
- NON ! Me répondent toutes les filles en cœurs

Puis le reste de la matinée nous serre à ranger la maison et à nettoyer toutes traces de ce qui s’est passée cette nuit. Notamment jeter les capotes usagées et tous les cadavres des bouteilles picolée. Puis on grignote les restes de la veille devant la télé ce qui nous fait office de repas du midi. Il en manque toujours deux à l’appel. C’est au début de l’après-midi que l’on voit Jade passer récupérer les affaires de Charles. Il doit être encore à poile celui-là. Elle en profite aussi pour s’habiller. Puis enfin, ils descendent comme si de rien n’était.

Il est l’heure pour nos derniers invités de rentrer chez eux. Non, sans se faire la promesse de se revoir tous bientôt pour une nouvelle soirée. Gisèle et Charles repartent ensemble. Jade l’embrasse langoureusement et elle lui demande de l’appeler. Victoire et Sandrine eux aussi partent ensemble, en nous remerciant de la bonne soirée passée. Victoire me glisse à l’oreille qu’elle aimerait bien goutter de nouveau à ma bite rapidement parce que la nuit fut trop courte pour gouter à un si bel outil.

Nous étions plus que trois et nous nous installons dans le salon pour regarder la télé. J’écoute d’une oreille les filles papoter sur Charles. Jade dit à sa sœur qu’il lui fait penser à Christophe. C’est le premier mec qui lui a fait l’amour. Elle échange les points de comparaison physique. Mais le seul point sur lequel elles sont d’accord c’est qu’il est plutôt beau gosse mais avec un petit zizi. Christophe quant à lui habite trop loin mais Charles au moins elle l’a sous la main. Et puis Jade en a marre d’être célibataire.

Quand mon père et sa femme rentre, nous sommes toujours tous les trois en train de regarder la télévision sagement dans les fauteuils du salon. Ils nous demandent poliment si nous avons passé une bonne soirée et nous répondons tout aussi poliment que oui. Après un rapide descriptif de la soirée en oubliant quelques détails, nous nous dirigeons chacun dans nos chambres respectives, pour une bonne nuit réparatrice.

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