Moi et les filles (Chapitre 17)

Manon me raconte avec qui et comment elle a offert sa première fois a un garçon qu'elle aime encore aujourd'hui malgré la distance qui les sépare. L'amour est un sentiment imprévisible...

Proposée le 16/08/2023 par Seblebeau

Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme

Chapitre 17
Manon et sa première fois

Un soir que Manon dormait dans mon lit alors que les parents n'étaient pas là. Jade n'étant pas en grande forme et que c’était sa période des règles. Elle a donc laissé sa place dans mon lit à sa sœur. Comme on ne trouvait pas le sommeil, elle m’a racontée sa première fois :

« Cet été-là, à la suite de la rupture avec mon mec, mon premier amour. Ce salopard m’a trompé avec une de mes copines qui s’est empressé de le raconter à tout le monde. J’avais donc le moral à zéro. Je suis parti en vacances avec mes parents et Jade. Direction, Aix en Provence, pour trois semaines dans la villa d’amis de la famille. Après plus de dix heures de routes, nous voilà donc arrivé devant ce grand portail de leur propriété. Mon père sonne et la grille s’ouvre. On remonte le long de l’allée, pour venir se garer devant cette somptueuse maison.

Ce que je ne savais pas, c’est que les propriétaires seraient aussi présents avec leur fils. Cela fait plus de deux ans que nous ne sommes pas revues. Ils sont tous les trois devant la porte à nous attendre. Le couple dans la cinquante fait très bon chic bon genre. Lui plutôt grand, chauve et avec une barbe bien fournie. Elle est plutôt petite, fine et les cheveux blonds comme le blé. Ils n’ont pas beaucoup changé depuis que je ne l’ai pas vue.

Leur fils a le même âge que moi. Il ressemble de plus en plus à son père mais avec de longs cheveux bouclés et sa barbe naissante. Il a quelque chose de changé en lui outre les quelques kilos de moins et des centimètres en plus. Il a quelque chose de plus animal… Tous les trois sont déjà bien bronzés sans doute dû au soleil de la Guadeloupe.

En effet, le père de famille est un haut fonctionnaire d’état en poste là-bas. Ils ne reviennent en métropole que pour les vacances scolaires ou pour quelques événements familiaux ou bien encore pour son travail. Mon père l’a connu lorsque celui-ci était en poste à Lille. Ils se côtoyaient dans un premier temps dans un cadre professionnel, puis ils sont rapidement devenus amis et les femmes aussi se sont rapidement appréciées lors de soirées partagées.

Après les chaleureuses embrassades des retrouvailles et les politesses d’usage, ils nous invitent à rentrer afin de nous rafraichir après notre long voyage. Il faut dire que ce début juillet est plutôt chaud et le soleil tape plutôt fort pour une famille nordiste peu habituée à la chaleur du sud. Ils nous proposent de déposer nos affaires dans nos chambres. Christophe, le fils, nous aide à transporter nos affaires du côté réservé aux jeunes de la bâtisse. Les parents eux sont à l’opposé dans les suites parentales.

Christophe m’indique ma chambre qui est voisine de la sienne et qui communique via une salle de bain que nous devrons partager. La chambre de Jade est de l’autre côté du couloir. C’est une grande chambre spécieuse où l’on aurait pu dormir toute les deux sens problème. Il y a plusieurs lits et une grande salle de bain. Elle faisait même un peu dortoir pour enfant. Christophe a du pensé que j’avais passé l’âge pour dormir là.
Après avoir déposé nos affaires, nous rejoignons sur la terrasse les adultes déjà en grande conversation, évoquant leur vie mutuelle des deux dernières années. Nos hôtes, nous expliques leur nouvelle vie à la Guadeloupe. Leur maison toute aussi luxueuse que celle-ci et les avantages à vivre là-bas où la vie est quand même bien plus paisible qu’en métropole. Mais leurs amis leur manquent et ils sont heureux de nous revoir. Ainsi passa notre première soirée en leur compagnie et épuisée par la route, je m’écroule dans mon lit.

Le Lendemain c’est une journée de bronzage au bord de la piscine qui m’attend. Pas la tête à autre chose, apparemment les femmes ont décidé de faire de même. C’est à quatre que nous passons l’après-midi à exposer nos corps au soleil en maillot de bain.
- Alors Manon, tu as un petit copain maintenant ? Me demande Géraldine, la maitresse de maison
- Elle en avait un mais ils ont rompu, il n’y a pas longtemps.
- Maman ! Lui dis-je d’un ton sec
- Ce n’était pas le bon et puis s’est tout ! Belle comme tu es, tu en trouveras bien un autre. Repris Géraldine.
- C’est ça, mais je ne suis pas pressée… Le répondis-je en repensant à l’autre connard qui m’a trompé !
- Et toi Jade, les garçons ? dit Géraldine sur un ton amusé
- Moi, non ça ne m’intéresse pas !
- Pas encore… Lui répond-elle

Les jours passent et je me suis un peu enfermé dans mes lectures. Ma peau a pris des couleurs du aux nombreuses séances de bronzages au bord de la piscine et aux balades à vélo dans la campagne environnante, parfois accompagné de Christophe. Il me fait découvrir de merveilleux paysage et tente de me sortir de mon marasme. Il est très attentionné à mon égard, plus que dans mes souvenirs d’enfance. Nous avons visité tout ce qui était possible de faire dans le coin à vélo.

Les parents passent des soirées entières à discuter sur la terrasse jusqu’au bout de la nuit. Les hommes refaisant le monde et les femmes parlant des ragots sur les connaissances communes. Nous devant la télévision profitant de l’impressionnante vidéothèque de la maison. Il nous faut toujours des heures avant de tomber d’accord sur le film à regarder.

Vers la fin du séjour, les hommes de retour des courses nous annoncent fièrement que ce soir c’est barbecue avant une sortie au village car il y avait un bal et oui quatorze juillets oblige. Je vis Christophe rapidement disparaitre dans la maison et réapparaitre en maillot de bain. Il a changé physiquement depuis deux ans et maintenant, il est quand même bien foutu. Je ne sais pas pourquoi je me faisais cette réflexion à ce moment-là, car cela faisait pratiquement quinze jours que je le voyais se baigner. On distingue bien ses muscles, un début de tablette de chocolat et sa peau est bien bronzés cela mettait en relief ses muscles. Il saute directement dans la piscine et m’éclabousse. L’a-t-il fait exprès ?

Je me lève et d’un bon, je plonge pour le rejoindre. Nous nous chamaillons comme des enfants que nous étions, il y a quelques années. Je le chatouille car je sais qu’il est sensible aux cotes. Lui à la faveur de sa taille, il essaie de me couler. Cela fait longtemps que je ne m’étais pas sentis aussi bien. Ma rupture a été longue est difficile avant d’ouvrir les yeux et de croire aux ragots que mon ex me trompait. Là, je ne pense à rien d’autre qu’au moment présent et cela fait du bien.

J’ai l’impression parfois que ses mains sont baladeuses, il m’effleure souvent les seins et ses mains se posent régulièrement sur mes fesses. Au bout d’un moment, on se calme et l’on se pose dans un coin de la piscine pour discuter :
- Cela te dirait ce soir de sortir avec moi et une bande de pote que je me suis fait dans le coin ? me demande-t-il
- Pourquoi pas, si les parents sont d’accord.
- S’est ok pour vous ? Dit-il en haussant le son de sa voix et en regardant en direction de la terrasse où se trouve les quatre adultes
- Pas de souci. Répondit ma mère
- Vous nous rejoindrez au bal pour dix heures. Ajouta la mère de Christophe
- Pas de souci, merci. Leur lança-t-il, avant de continuer moins fort en me regardant. On va se changer ?

Nous voilà tout deux parties vers nos chambres pour se changer et nous décidons que je passe la première à la douche. Une fois sortie, je lui cris qu’il peut prendre la place. Je l’entends prendre sa douche et en passant devant la porte de la salle de bain je vois que celle-ci s’est entre ouverte. Au moment où je regarde, je le vois sortir de la cabine de douche.

C’est la première fois que je vois un garçon complètement nu. Je le trouve beau, il est bronzé intégralement même sur ses fesses ! Son sexe dépassé de sa toison bien fournie. Tout en s’essuyant les cheveux, il se dirige vers sa chambre et disparait dans celle-ci. En effet, je n’avais jamais passé le cap de pelletage au-dessus des vêtements avec mes précédents copains. C’était ce que mon ex me reproché lors de notre rupture que c’était moi qu’il l’avait poussé dans les bras d’une autre. Car je ne lui faisais rien et que lui en avait très envie.

Je m’habille rapidement et l’on se rejoint dans le salon. Nous prenons congés des parents et de ma sœur qui boude un peu car elle ne peut pas venir avec nous. Après dix minutes de marche pendant lesquels nous parlons de tous et de rien. Nous arrivons sur la place du village. On y retrouve ses amis et après une brève présentation, nous nous dirigeons vers le bistro le plus proche.

Apparemment, les autres jeunes connaissent bien les lieux et après avoir commandé leur boisson le groupe s’éparpille dans l’établissement. Quelques-uns autour du flipper, Christophe et d’autre au billard, moi, je suis resté avec deux autres filles à table à boire ma menthe à l’eau à la paille. Mais je ne quitte pas des yeux Christophe que je trouve de plus en plus à mon gout. Je pense que cela doit se voir car les filles avec qui je suis me questionne sur lui et sur moi. Au bout d’un moment l’une d’elle me pose la question :
- Il y a quoi entre vous deux ?
- Rien… Lui répondis-je rapidement
- Pourtant tu le dévore des yeux !
- C’est juste que je sors d’une rupture difficile et pour le moment je n’ai pas la tête à ça… Lui dis-je à voix basse pour que personne d’autre nous entende. En lui disant cela, est-ce que c’est pour m’en persuader ?
- Écoute c’est les vacances alors lâche toi !

C’est le moment que choisi l’orchestre pour lancer le bal, la fille me prend par la main et l’on se dirige vers le centre de la place. Il y a déjà quelques couples qui dansent et après quelques instants nous les rejoignons. Petit à petit tout le groupe nous rejoins et j’ai l’impression que tout le village s’est regroupé. Je vois les parents arriver et se poser sur un banc un peu à l’écart. Jade se précipite à mon coup montrant son contentement de me rejoindre.

La soirée avance et d’un seul coup l’orchestre se tait laissant place au feu d’artifice. Je suis à coté de Christophe pour regarder les explosions multi-couleur dans le ciel. Les « Haaaa » succèdent aux « Hooo » puis aux applaudissements pour le bouquet final. Le groupe reprend instantanément avec une série plus calme. Les couples se forment rapidement et s’est tout naturellement que Christophe m’embarque sur la piste de danse.
La chaleur de son corps me détend rapidement et son odeur m’enivre. Je suis bien dans ses bras. Suis-je en train de tomber amoureuse de quelqu’un que je connais depuis longtemps, d’un ami ou est-ce simplement une révélation de quelque chose de plus ancien ? Nous sommes comme seuls au monde rien autour de nous ne trouble ce moment sauf l’orage qui gronde au loin comme l’écho des détonations du feu d’artifice.

Le temps reprend son court lorsque je sens la première goutte de pluie sur ma peau. C’est un sauf qui peut générale pour se mettre à l’abri avant que l’orage n’éclate. Nous courons comme des dératés pour rentrer à la villa, ce qui n’évite pas que nous somme tremper une fois à l’intérieur. On se regarde avec Christophe et nous éclatons de rire en voyant l’état de nos cheveux et de nos vêtements. Les autres arrivent à leur tour. Nous étions tous trempé et rapidement nous nous dirigeons vers nos chambres.

Nous entrons tous les deux dans la salle de bain commune. Christophe a déjà enlevé son teeshirt. L’humidité de mes vêtements me fait frissonner. Je prends une serviette mais au moment où j’allais m’essuyer les cheveux, Christophe me dit :
- Laisse-moi faire
- Merci, lui répondis-je en me rapprochant de lui

Au bout de quelques instants à m’essuyer les cheveux, un coup de tonnerre plus fort que les autres me fait sursauter. Comme un reflex je me colle à lui, l’entourant de mes bras tout en posant ma tête sur son torse cherchant une protection dans ses bras. Mes frissons s’estompent au fur et à mesure que sa chaleur se diffuse dans mon corps. Mais je continue de sursauter à chaque éclaire ou coups de vent. Je crains l’orage qui gronde autour de nous et du déluge qui s’abat sur la maison. Délicatement de sa main, il tourne mon visage vers le sien.
- N’ait pas peur je suis là.
- Je sais, merci de me prendre dans tes bras
- Cependant, il va falloir que tu prennes une douche et te changer aussi. Car tu vas prendre froid. Me dit-il en essayant doucement de se dégager.
- Je n’ai pas envie que tu me laisses toute seule. Lui répondis-je d’une petite voix hésitante.
- Cela va être difficile de prendre une douche, coller comme ça.
- Prend la avec moi ? Je me décolle de lui et commence à me déshabiller.
- Tu es sûr de toi ?
- Oui si tu n’es pas trop entreprenant. Lui dis-je en baissant les yeux.
Je suis en sous vêtement devant un garçon qui me plait énormément. Lui aussi enlève son bermuda et son caleçon est collé à sa peau laissant transparaitre son anatomie. Je me décide à continuer mon effeuillage en enlevant mon soutien-gorge dévoilant pudiquement ma poitrine à Christophe. C’est à ce moment qu’il se rapproche pour venir m’embrasser. Au début timidement, par de petit smack répété, puis nos lèvres se collent et s’entrouvrent pour laisser passer nos langues.

Ce baiser, me réchauffe de l’intérieur et fait vibrer tout mon être. Nos deux corps sont collées l’un à l’autre, je sens son sexe prendre vie contre mon ventre. Ses mains me caressent et partent à l’exploration de mon corps de jeune femme. C’est la première fois que d’autre mains touchent ma poitrine, me les caressent et jouent avec mes tétons.
J’ai envie de toucher son sexe. Je descends doucement une main sur son torse, puis sur son ventre et j’arrive enfin sur le haut de son caleçon. Je décide de passer ma main sous l’élastique pour toucher directement l’objet de mon désir. Je le sens frémir sous mes doigts. Instinctivement, je le sers délicatement et je commence un léger va et vient qui lui fait sortir de petit soupir de satisfaction. Il me glisse a l’oreille :
- Tu sais c’est la première fois qu’une fille touche mon sexe.
- C’est la première fois que j’en touche un aussi.
- Alors c’est notre première fois à tous les deux ? me demande-t-il
- Oui
- On va sous la douche. Reprit Christophe après une temps de réflexion et en descendant son dernier vêtement

Il est là devant moi complètement nue, sa queue dans ma main et ses yeux plantés dans les miens. Attendant sans doute que j’en fasse de même avec ma petite culotte. Je finis par lâcher mon nouveau jouer et baisse, moi aussi, le sous-vêtement qui cache ma petite toison. Après un rapide coup d’œil, il m’entraine sous la douche. Il fait couler de l’eau bien chaude afin de finir de nous réchauffer. Après un court moment, il se rapproche de moi et commence de nouveau à m’embrasser. Puis me dit :
- Tu es trop belle, tu sais que cela fait très longtemps que j’avais envie de te voir nue ?
- Ah, bon ?
- Je crois que je suis amoureux de toi depuis bien longtemps.
- Pourquoi, tu ne me l’as pas dit avant ?
- Je suis un garçon timide et je n’avais pas très confiance en moi à l’époque où l’on vivait à Lille. Maintenant que j’ai perdu mes kilos en trop je me sens mieux dans ma peau.
- Il est vrai que tu es plutôt un beau gosse. Mais je pense aussi que j’avais des sentiments pour toi mais jusqu’à aujourd’hui, je ne savais pas qu’il était amoureux.

J’avais à peine fini ma phrase qu’il se rue vers moi, me soulève de terre et me plaque contre la paroi de douche tout en m’embrassant. Mes jambes instinctivement entoure son bassin et je plante mes ongles dans son dos. On ne m’a jamais embrassé avec autant de fougue et de passion. J’ai du mal à reprendre ma respiration. Je sens son sexe tendu aux portes de mon intimité, prêt au moindre mouvement à déchirer ma chair. Il s’arrête soudainement, recule son visage, plante de nouveau son regard animal dans le mien et me dit d’une voix haletante :
- Tu es prête ? Je peux ? en bougeant légèrement son sexe vers l’avant comme pour souligner ce qu’il veut.
- Vas-y doucement… Comme pour lui signifier de se contrôler un maximum car je crains d’avoir mal.
- Pas de souci mon cœur. Me dit-il tendrement en se relâchant un peu.

Je sens le bout de son gland se présenter plus précisément sur mes lèvres vaginales. Puis d’une petite pression, il entre en moi petit à petit, centimètre par centimètre, repartant doucement mais revenant lentement toujours plus profondément en moi. Au bout de quelque minute, son pubis et contre le mien. Je me sens bien, je n’ai ressenti qu’un léger pincement et là j’apprécie le moindre de ses mouvements. Son pénis me faisait du bien et me chauffe le bas ventre. Tous les deux nous poussons de léger soupir de satisfaction entre coupé par des baisers fougueux. C’est moi maintenant qui a envie de le manger tout cru.

Au bout d’un moment, il me repose au sol. Je regarde cette queue un peu rougie par le sang de mon hymen. J’entreprends alors de la nettoyer en la savonnant et en la branlant délicatement. Pendant que lui me suce les tétons et fait rouler mon clitoris entre ses doigts. Je sens qu’il ne va pas tarder de jouir car sa bite palpite.
- Oh bon dieu que c’est bon ! Me lance-t-il furieusement

Je suis impressionné de voir la quantité de sperme qu’il éjacule et la puissance des jets qui finissent sur mon ventre. Une fois soulagé de cette tension, il me dépose un baiser sur le front et me dit :
- Merci de m’avoir offert ta première fois. Il n’y a pas de mot pour décrire ce que je ressens pour toi à cette instant… tu n’as pas eu mal ?
- Non ça va et pour moi aussi c’était très bon.
On finit de se laver pour sortir de la douche, on s’essuie chacun de son côté. Puis il me demande :
- Tu veux dormir avec moi cette nuit ?
- Et si les parents nous trouvent dans le même lit ?
- T’inquiète, ils doivent être occupés ensemble eux aussi ? Me dit Christophe un brin rieur…
- Comment ?
- J’ai déjà surpris mes parents avec un autre couple en train de s’amuser…
- S’amuser ?
- Faire des choses comme on vient de faire, tout est possible avec mes parents et je suis sûr que les tiens ne sont pas en reste aux vues de leur proximité depuis que vous êtes arrivés…
- Tu déconnes, je n’ai jamais rien remarquée
- Je vais chercher des affaires et je te rejoins dans ta chambre ou tu me rejoins ?
- Je te rejoins dans la tienne

En me dirigeant vers ma chambre, je crois entendre ma porte se refermé. Je vérifie mais personne dans le couloir, il y a juste de la lumière sous la porte de Jade. Je retourne prendre un long teeshirt et une culotte mais que je n’enfile pas. Je rejoins Christophe dans son lit. Lui aussi est resté nu et sa bite a déjà repris vie.

Nous avons fait l’amour toute la nuit, je lui ai fait ma première fellation. J’ai mis pour la première fois une capote à un garçon. Il a joui en moi, sur moi et j’ai gouté à son sperme. Depuis cette nuit-là, Je crois bien que je suis tombée amoureuse de lui.

Pour le reste du séjour, nous avons essayé de ne pas montrer à nos parents notre rapprochement. Mais dès que nous le pouvons, on s’éclipse pour passer un moment intime à deux. A la fin de notre séjour, je savais que je n’allais pas le revoir rapidement. Mon cœur était serré et je ne l’oublierais jamais. On s’écrit parfois pour se donner des nouvelles, cela fait plusieurs années que je ne l’ai pas vue et il me manque…

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