Une rencontre incroyable 3

La nuit est torride, les doigts et la bouche de Paul font de miracles sur le corps de Marianne, les assauts de Paul, font délirer la soumise. Le bougre sait comment s'y prendre pour la faire gémir comme une bête blessée.

Proposée le 22/06/2023 par michelle2

Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Hôtel
Type: Fantasme

Paul regarde le corps frémissant de Marianne, dont les yeux jettent des étincelles de bonheur. Il s'agenouille entre les jambes accueillantes de la femme qui désire cet homme intensément. Il pose ses doigts sur le fruit gorgeant de jus, les fait glisser de base en haut dans le sillon humide, à la recherche de la perle précieuse. Marianne se cabre lorsque Paul s'en empare et la roule doucement entre ses doigts noueux. Avec une douceur extrême, il commence une masturbation très délicate du clitoris qui rapidement prend du volume.


Paul, pendant qu'il branle la boule de chair gonflée, regarde avec émotion, la vulve relâcher son surplus de cyprine. Les gémissements de Marianne ressemblent à ceux d'une bête blessée. Paul accélère, Marianne se tend comme un pont en pleine tempête, en poussant un long râle de jouissance.
Paul regarde en souriant le corps secoué par de nombreux spasmes que Marianne en peut contrôler. Il pose sa bouche sur la vulve qui suinte comme un fruit trop mûr et en aspire le liquide suave que la femme rejette en abondance.

Un rugissement résonne dans la chambre, Paul vient d'enfoncer sa langue dans le vagin en ébullition de Marianne, elle souffle comme un dragon, en s'agrippant à son amant d'un soir. La langue habile de Paul lui fouille profondément la gaine brulante de désir. Elle s'arque-boute fortement lorsque son amant lui gobe le clitoris. Le bougre sait faire gémir Marianne, il suce et tète la perle comme un beau diable. Ce traitement inhabituel fait jouir pour la seconde fois Marianne. Paul se redresse, ôte son slip, il bande comme un âne, prend place entre les cuisses tremblantes de Marianne, qui respire rapidement.


Paul pose son gland contre la fente dégoulinante de jus et pousse doucement. Les grandes lèvres s'ouvrent, sous la poussée, le gland s'engage dans le conduit brulant. Lentement, la verge s'enfonce dans le ventre de Marianne qui écarquille les yeux, elle a la bouche grande ouverte, très étonnée par l'importance du membre de son amant occasionnel.
La verge large et épaisse progresse dans le conduit dilaté par elle. Marianne s'accroche à Paul en gémissant de plaisir. Lui, tire sur les hanches de son amante pour la pénétrer totalement. Une fois les bourses en contacte du pubis, Paul commence un lent va-et-vient. À chaque enfoncement du mandrin dans le vagin, le gland rabote les parois, aux muqueuses sensibles. Marianne est au bord de la syncope, elle dit de mots inaudibles en agitant son bassin.


Le ramonage dure un bon moment, Paul sait quand il faut accélérer ou ralentir le rythme, pour que Marianne ne jouisse pas trop rapidement. Elle s'accroche à lui en gémissant comme une agonisante, elle n'en peut plus. Paul enfin lâche les chevaux, ses coups de reins deviennent redoutables, à chaque coup qu'il porte, Marianne rugit comme une bête en cage. Elle souffle fortement en geignant de plaisir. Elle se cambre, et jouit en poussant un hurlement terrible. Paul continue de la déglinguer, il accentue les assauts, jusqu'à ce qu'il lui remplisse le ventre de son sperme visqueux.

Enfin, il se retire du ventre, son gland est gluant, Marianne le regarde, et le saisit d'une main. Comme pour remercier son bienfaiteur, elle lui fait une fellation monstrueuse, jusqu'à ce qu'il lui deverse sa semence dans la bouche. Ils s'embrassent longuement, et s'endorment dans les bras de l'un de l'autre jusqu'au matin. Après une nouvelle baise torride, les deux amants prennent une douche et le petit déjeuner avant de se séparer.

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