Dernière escapade torride et amoureuse avec cette fille rencontrée grâce à ce site. Tout un week-end à alterner sexe sauvage et câlins passionnés. Pour changer, la narration se fera de son point de vue à elle.
Proposée le 17/09/2021 par Nico
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Pour ce troisième volet, je vais tâcher de vous narrer le dernier week-end passé avec cette femme rencontrée sur ce site d’histoires. J’ai décidé d’écrire ce récit de son point de vue. Alors les faits seront, comme les deux histoires précédentes, véridiques, mais évidement, n’étant pas dans sa tête, je vais devoir inventer et imaginer certains ressentis, tout en essayant de raconter comme elle aurait pu le faire.
On est vendredi en début d’après-midi, je viens d’arriver dans le hall de l’aéroport et j'attends. Un an que je n’ai pas vu Nico. Un an sans le toucher, sans l’embrasser ou sentir le parfum de sa peau. Un an à se contenter de visios coquines pour calmer l'immense désir sexuel qui nous anime. Un an aussi à me poser des tas de questions concernant notre relation. Un an à me demander s’il est vraiment aussi amoureux de moi que moi de lui.
Alors quand, deux mois auparavant, il m’annonce qu’il a trouvé un moyen de se voir en évitant les pénibles 7 heures de route qui nous séparent, mes doutes s’estompent un petit peu. J’ai du mal à croire qu’un homme prendrait le risque de prendre un avion pour venir me voir, tout en prétextant un weekend ski avec des copains, juste pour un plan cul. J’ai aussi du mal à croire que ce même homme puisse m’appeler quasiment tous les jours depuis un an, et ce malgré nos vies de couple respectives et les doutes qui commencent à exister, s’il n’était pas amoureux de moi. D’autant qu’il semble vraiment sincère quand il me dit qu’il m’aime tous les jours, sans exception.
Alors une fois plantée au milieu du hall de l’aéroport, je décide de laisser ces questions de côté afin de profiter pleinement des trois prochains jours. Je suis incroyablement excitée de revoir cette homme qui me fait vibrer depuis des mois, qui a réveillé quelque chose chez moi, ce coté "petite salope" que j’adore assumer avec lui. Car comme avant chaque rencontre, le sentiment qui prédomine, et de loin, c’est l’envie de baiser comme des sauvages. Une fois les tensions sexuelles calmées, nous pourrons profiter l’un de l’autre, et de toutes les passions que nous partageons. Mais avant cela, je n’ai qu’une envie, l’emmener de l’aéroport jusqu’au Airbnb que nous avons loué pour l’occasion, et lui sauter dessus.
Son avion vient de toucher le tarmac et dans quelques minutes, il sera dans mes bras. J’ai le cœur qui s’emballe et l’entrejambe déjà humide. J’espère qu’il me trouvera aussi jolie qu’il y a un an, dans la tenue que j’ai choisie pour lui.
Enfin je l’aperçois, un sourire radieux qui illumine son beau visage. Je dois bien avoir le même à ce moment là. Il se précipite vers moi, lâche sa valise et m’attrape les hanches, avant de fondre sur ma bouche. Nous échangeons un long baiser passionné qui m’allume toutes les lumières à l’intérieur. Il s’arrête pour me regarder, me dit que je suis canon et m’embrasse encore plus intensément. Puis il me prend par la main et nous nous dirigeons vers la sortie. Mais à mi-chemin, il s’arrête de nouveau pour m’embrasser amoureusement. C’est trop bon après toute cette attente.
Dès que les portes de l’ascenseur du parking se ferment, il glisse sa main dans mon pantalon, sous lequel je ne porte pas de culotte. Mais les portes se rouvrent trop vite et deux personnes nous fixent au moment où il retire sa main. Vivement que l'on se retrouve seuls.
Le trajet d’une quinzaine de minutes en voiture paraît interminable mais nous arrivons finalement à l’appartement. Nous grimpons les deux étages à la hâte avant de nous précipiter dans la chambre. J’ai à peine enlever mes chaussures et mon pantalon que lui est déjà nu et me pousse sur le lit, en m’écartant les jambes pour y glisser la tête. Il adore me lécher et je savais qu’il ne perdrait pas une minute à retrouver le goût et le parfum qu’il aime tant. Sa langue me fouille aussi loin qu’elle peut, puis me lèche de bas en haut sur toute la longueur de ma fente. Je mouille comme une dingue. Elle me manquait cette langue !
Mais au bout d’un moment, j’ai envie de sa queue, ce n’est pas juste qu’il soit le seul à se délecter. Il s’allonge alors sur le dos. Je viens m’asseoir sur son visage. J’adore cette position dominante, et lui aussi. Je plaque ma chatte sur sa bouche et il reprend là où il s’était arrêté. Je suis à quatre pattes sur lui comme une chienne, la chatte et le cul bien offerts, et devant mes yeux se dresse une belle bite bien dure et trempée que je m’empresse de sucer avidement. Dès les premiers mouvements, il s’arrête un instant de me lécher pour pousser un soupir de plaisir et me dire à quel point je suce toujours aussi bien. Ma bouche alterne les va-et-vient et les rotations de langue autour de son gland. Ce délicieux préliminaire dure plusieurs minutes avant que je lui demande de bons gros coups de bite comme il sait m’en donner. Alors il me pousse sur le côté et vient se placer au dessus de moi.
Quelques jours avant ce week-end, je lui avais fait part d’une envie pour nos premiers ébats. Il éjacule beaucoup, et même après plusieurs orgasmes, il m’en met toujours partout, et j’adore ça. Il avait déjà joui partout en moi et sur moi, mais jamais dans mon cul. Et je voulais absolument remédier à ça lors de la première fois, celle où ses giclées seraient encore plus abondantes et épaisses. Je voulais me sentir remplie de son sperme.
Alors, plongeant ses yeux dans les miens, il me dit : « je sais que tu la veux dans le cul, mais il faut vraiment que je ressente la sensation d’être dans ta chatte avant ». Et il me planta immédiatement sa queue d’un coup sec dans mon vagin ruisselant qui n’opposa aucune résistance. « Oh oui ! Enfin je te baise ! ». Je me dis exactement la même chose. Que c’était bon de sentir enfin cette bite m’écarter les lèvres avant de me pilonner. Il me lima quelques instants de façon bestiale avant de m’ordonner de me mettre en levrette.
Dès que je me suis retrouvée à quatre pattes, j’ai tout de suite senti ses doigts m’écarter les fesses et sa langue me perforer l’anus, l’enfonçant le plus loin possible, déclenchant de délicieuses décharges électriques au fond de moi et dans mon bas ventre. Il a été le premier homme à me faire ça lors de nos premières rencontres et j’avoue, sans la moindre honte, que je trouve divin de me faire bouffer le cul.
Puis sa langue s’est retirée pour être tout de suite remplacée par son index, qui rentra sans problème tellement ma rosace était lubrifiée de salive. Qu’est-ce j’aime me retrouver offerte à lui dans cette position, à attendre que mon anneau soit suffisamment ouvert pour l’accueillir. Ce qui ne tarda pas à arriver. Je sentis alors son gland dur et gonflé commencer à forcer l’entrée. J’attendais avec impatience le moment que je préfère, celui où son extrémité vient faire céder ma rondelle et la transpercer. Et quand cela se produisit, nous laissâmes échapper un râle de plaisir en chœur, me sentant enfin bien remplie et lui, bien comprimé en moi.
Après quelques mouvements de va-et-vient en douceur où il se retirait presque entièrement avant de me pénétrer bien à fond, le passage était grand ouvert. Les hanches fermement tenues, je commençais à le sentir me percuter violemment les fesses, ses couilles venant s’écraser sur ma chatte et mes gros seins se balançant à chaque coup. Il les attrapait de temps en temps, leur pinçait doucement les tétons, les empoignait avant de s’enfoncer encore plus fort. Je me faisais enculer comme une chienne et ma main s’était frayée un chemin jusqu’à mon clito, car je voulais me faire jouir en même temps que lui. Au bout de quelques minutes, j’étais au bord de la jouissance, en sueur et tremblante, quand j’entendis à sa respiration qu’il n’était pas loin non plus. Il s’enfonça alors au plus profond de moi d’un dernier coup sec, et je sentis sa queue palpiter dans mon fourreau, puis la première d’une longue série de giclées épaisses qui vint claquer tout au fond de mon cul bien dilaté. C’était exactement ce que je voulais ressentir et ça me déclencha un orgasme phénoménal alors qu’il finissait de m’inonder copieusement le cul.
Après ce moment si intense, j’appréciai avec grand plaisir le traditionnel calme post coït. L’animal sauvage redevenait mon amoureux tendre et câlin qui me couvrait de baisers et de caresses. Après de longues minutes délectables, ses mains commençaient à tourner de nouveau autour de mon entrejambe. Il y enfonça deux doigts d’une façon inhabituelle. Il les insérait le plus loin possible, les recourbait vers le haut et bougeait les extrémités pour me gratter à l’intérieur. C’était très agréable et il s’en aperçut, continuant la manœuvre jusqu’à me remettre rapidement la chatte bien en feu.
Il m’a alors demandé de lui sortir le gode que j’avais emmené. J’avais voulu le prendre car j’avais la ferme intention de lui mettre dans le cul. J’avais déjà essayé avec un plus petit et j’avais adoré lui faire ça, et comme il n’était pas contre essayer plus gros… De son côté, il voulait que je le prenne car, après m’avoir regardé en visio pendant un an me faire jouir avec, il voulait à son tour l’utiliser pour me combler. Il s’agit d’un gode d’une assez bonne taille avec une tête rotative et un stimulateur clitoridien vibrant, qui me procure de puissants orgasmes. Mais personne ne l’avait encore essayé sur moi. Je n’ai pas été déçue, il m’a gentiment défoncé la chatte avec, en vibrations maximums, et j’ai très vite atteint l’extase sur cette bonne tige de silicone rose.
Ma chatte était encore toute contractée quand il m’écarta les jambes pour s’y glisser. Il était super dur et c’était divin de me faire marteler ainsi juste après avoir joui. J’étais sur le dos et, étant très souple, mes mains pouvaient tenir mes cuisses le plus ouvertes possible. Il adorait me baiser dans cette position, et moi aussi. Je pouvais voir ce regard de dingue qu’il avait quand il me prenait brutalement et ça me rendait folle. Puis ses yeux se révulsèrent et il gicla en moi, continuant de me limer entre chaque giclée, pendant que j’ondulais des hanches sur sa queue. Il s’effondra à côté de moi et on était de nouveau l’un contre l’autre, lui haletant, et moi ravie de me retrouver ainsi souillée, mes deux orifices pleins de son sperme.
Après une bonne douche suivi d’un bon coup de bite, penchée sur le lavabo, nous sommes sortis faire quelques courses pour le weekend. Nous adorions cuisiner ensemble et nous avions déjà prévu les plats que nous allions faire. Mais malgré les deux heures euphoriques que nous venions de passer, je n’ai pas pu m’empêcher de ressentir une certaine mélancolie à cet instant. En effet, nous voir tous les deux dans ce magasin me rappelait que je rêvais de faire régulièrement avec lui ces tâches du quotidien, comme un vrai couple, que nous n’étions pas.
Pourtant cela faisait des mois que j’étais prête à tout plaquer pour en devenir un. Mais pas lui. Je pense vraiment qu’il y a souvent réfléchi mais sans jamais oser franchir le pas. Il aimait encore sa femme et je pense qu’il n’a pas eu le courage de lui faire du mal, quitte à passer à côté d’une très belle histoire. Mais je vais arrêter de plomber l’ambiance de ce récit et me concentrer sur la suite de ce weekend torride, si bien sûr il reste encore des lecteurs après ce solo de violon.
Donc, après être rentrés et avoir baisé encore une fois, nous sommes ressortis manger au resto. Un petit italien très sympa où tout était très bon. En plus d’aimer cuisiner, il adore également manger, et a bon appétit. Mais à chaque fois qu’on mangeait ensemble, il se limitait à un seul plat, ne mangeait pas de pain, ne finissait pas mon assiette, tout ça pour être encore en état de me sauter sauvagement après le repas. Je trouvais ça mignon de le voir prendre sur lui pour ne pas céder à la tentation juste pour notre plaisir. Et il est vrai que l’énergie qu’il mettait dans chacun de nos ébats n’était pas compatible avec un ventre trop plein.
Cette technique de régime raisonné porta donc naturellement ses fruits dès notre retour à l’appartement, quand on se jeta l'un sur l'autre, la porte à peine franchie. Après une nouvelle séance de marteau piqueur, j’ai voulu qu’on se regarde mutuellement se masturber. J’avais envie de m’achever devant lui, tout en le regardant s’astiquer. J’étais sur le dos en train de me caresser et lui, qui venait de sortir de ma chatte, était à genoux entre mes jambes, la bite toute luisante de mouille à la main. Le spectacle devait lui plaire car je sentais qu’il n’allait pas tarder à m’arroser. Je voulais le voir se répandre sur moi avant de jouir, j’adore le voir éjaculer.
Sa bite cracha un premier jet avec une telle puissance qu’il atteignit ma joue, puis un deuxième s’écrasa en plein sur mes seins, et tout le reste de sa semence se déversa sur ma chatte et sur mes doigts qui s’activaient ardemment dessus. Me branler devant lui ainsi couverte de son foutre allait avoir raison de moi et, au moment où le feu envahissait mon bas ventre, il me regarda intensément et me dit : « branle toi avec mon sperme, petite salope ! ». Ces mots me firent vriller et l’orgasme que je sentais monter se déclencha avec une telle puissance que j’en hurlai de plaisir.
La soirée s’est terminée de la manière la plus douce et tendre possible. Étant suffisamment apaisés sur le plan sexuel, il ne nous restait plus qu’à nous câliner longuement avant de sombrer dans un sommeil réparateur, bien collée contre son corps tout chaud.
En me réveillant, je sentis ses mains me caresser tout doucement le dos et les fesses. Alors, encore dans les brumes et les yeux fermés, je me tournai sur le dos, avec une petite idée en tête. Et je savais qu’il avait la même et qu’il n’attendait que ça. Avoir accès à ma chatte. Il adorait son odeur le matin au réveil. Ses mains caressaient très délicatement mes seins, mon ventre, mes cuisses, et effleuraient de temps en temps ma fente toute lisse. Il me faisait languir, mais je savais qu’il craquerait avant moi. Il parcourut ensuite mon corps de petits baisers et approcha enfin sa bouche de mon entrejambe. Il m’embrassa tout autour des lèvres tout en m'écartant les jambes de ses mains. Puis il passa un grand coup de langue appuyé de mon anus à mon clito. Ça m’électrisa immédiatement et finit de me réveiller.
J’ai alors pensé que j’allais le laisser me manger la chatte jusqu’à l’orgasme, que je ne lèverai pas le petit doigt tant que je n'aurais pas joui. Et je suis sûre que c’est également ce qu’il voulait. Il pinçait mes lèvres entre les siennes, sa langue passait partout, explorait les moindres recoins de mon intimité. Puis il glissa deux doigts dans ma fente trempée et les bougeait doucement au fond, tout en léchant mon clito de façon régulière et soutenue. Je savais qu’il continuerait comme ça jusqu’à ce que j’explose dans sa bouche, sans jamais s’arrêter.
Alors je fermai les yeux et je profitai pleinement de cette caresse exaltante, sentant monter l’apothéose petit à petit. Chaque coup de langue irradiait ma chatte encore un peu plus que le précédent. Sans même m’en rendre compte, mes hanches se sont mises à bouger pour aller encore plus à la rencontre de sa bouche et ma main appuyait sur sa tête. Alors ma chatte se mit à convulser violemment pendant que je gémissait bruyamment, délirante de plaisir. Je serrai instinctivement mes cuisses sur sa tête, ne lui laissant plus que le loisir de taquiner mon clito du bout de sa langue, amplifiant encore le torrent brulant qui envahissait mon corps.
Quelques instants plus tard, après avoir repris mes esprits, il vint m’embrasser à pleine bouche. Et j’en profitai pour lécher ma propre mouille qui recouvrait son visage. Je me demande comment j’aurais pu mieux démarrer la journée ! Ah si ! En me faisant démonter en levrette comme une chienne juste après. Et finir avec les fesses couvertes de sperme chaud.
Du coup, étant tous deux agréablement apaisés pour quelques temps, nous pouvions passer la matinée à jouer et cuisiner. J’aime partager ces moments avec lui, même si nous n’en avions pas beaucoup l’occasion lorsque l'on se voyait, étant bien trop occupés à se grimper dessus. Ceci dit, je portais juste une nuisette et lui était tout nu (quand on se voit, il ne s’habille que pour sortir), donc ces activités étaient parsemées de caresses coquines. Un petit coup de langue par ci, un petit doigt par là… C’est assez excitant de se chauffer doucement de cette manière.
Après le repas, ayant toujours mon réveil divin en tête, je voulais lui rendre la pareille. Le sucer jusqu’à le faire jouir. Mais avant cela, j’avais un truc à faire. Un truc qui a nécessité que je trimballe un gode jusqu’ici et qu’il est hors de question que je le ramène sans passer par la case "joli p'tit cul de mon amoureux". Il n’y a pas de raisons pour que je sois la seule à me faire défoncer le petit trou. Il n’est pas réticent, il adore que je joue à cet endroit là. Mais comme c’est plus gros que mes doigts, il demande de la douceur, sans insister car il sait que je peux être très délicate.
Il se vautre alors dans le canapé et relève ces jambes écartées. Très joli spectacle que ce petit cul rasé et offert, surmonté de sa queue, déjà bien dure. Je ne peux pas m’empêcher de le sucer un court instant, avant de faire glisser ma langue sur ses couilles lisses pour finalement arriver sur son anneau. Je le lèche et lui enfonce ma langue dedans à plusieurs reprises. Je trouve ça tellement décadent que ma chatte en dégouline.
Puis, après avoir bien ouvert le passage avec un, puis deux doigts, je viens présenter le gode lubrifié devant l’entrée. Je pousse tout doucement, millimètres par millimètres, jusqu’à le rentrer entièrement. Je fais quelques va-et-vient et je m’aperçois qu’il soupire de plaisir avec un léger sourire. C’est qu’on aimerait ça on dirait. Et quel pied je prends à voir cette tige disparaître en lui. J’active alors la tête pivotante à fond. Après un regard surpris, il ferme les yeux et semble vraiment apprécier d’être fouillé ainsi. Encore plus si je le suce en même temps.
Il finit par me demander de le retirer car il préfère de loin mes doigts. Je m’exécute, mais sans que ma bouche ne lâche sa bite. Je vais le sucer tout en douceur jusqu’à l’amener à l’orgasme. Je vais bien prendre mon temps pour qu’il sente son plaisir monter de plus en plus. J’alterne les coups de langue, les légères succions, les aspirations plus soutenues, les mouvements de va-et-vient avec ma bouche et aussi ma main. Je joue avec sa bite en usant de tous mes talents de suceuse experte (c’est pas moi qui le dit, c’est lui).
Je continue sur le même rythme pendant de longues minutes, sans accélérer. D’ailleurs, il ne me le demande pas, il semble prendre un pied de dingue à être sucé de la sorte. Sa respiration me fait comprendre que je ne vais tarder à avoir la bouche bien remplie. Mais finalement non. Au dernier moment, il attrape sa queue, la sort de ma bouche et la branle juste sous mon nez. Monsieur préfère me crépir le visage que jouir dans ma bouche ? Pas de soucis. J’ouvre quand même la bouche pour recueillir les premières giclées qui commencent à pleuvoir sur moi. C’est un véritable feu d’artifice, j’en ai partout et je ruisselle de sperme.
Quand il revient sur terre, il attrape son téléphone et me prend en photo. J’adore me voir souillée comme une salope de films pornos. Ça complétera la collection de vidéos que nous faisons à chaque fois que l’on se voit, et qui nous sert bien lors de séances solos. Je reste quelques instants dans cet état en me collant contre lui, en mode petite cochonne toute salie et docile.
Passage obligé par la douche après avoir poursuivi sur cette lancée toute l’après-midi, puis retour en cuisine. Hormis le fait de me retrouver debout, à cheval sur sa bouche, alors que j’étais en train de m’activer sur la planche à découper, nous restons plutôt sages et partageons un excellent repas.
Soirée plus calme en amoureux. Je ne me lasse pas de ces longs moments tous câlins. Même si forcément, ça finit toujours par déraper, notamment avec un orgasme tonitruant que mes doigts me donnent alors que j’ai une bite dans le cul. Quand il se retire, il n’a pas joui et je veux l’achever d’une façon qu’il adore. En lui branlant vigoureusement la queue, la main pleine de gel lubrifiant. Nous sommes assis côte à côte dans le canapé et je m’applique à l’astiquer comme il faut. Bien fort et sans changer de rythme, jusqu’à ce que ça gicle. Ce qui finit par se produire inévitablement. J’ai beau avoir placé une serviette devant le canapé, les jets de sperme atterrissent un peu partout. Mais d’où il sort tout ce jus ? J’espère que les proprios ne passeront pas la pièce au luminol.
Au moment de se coucher, je sais que le sommeil va être difficile à trouver. Je suis lovée contre son corps doux et chaud, fatiguée par tous nos ébats, mais malgré ça, la tristesse me gagne. C’est notre dernière nuit et il va falloir se séparer demain. Sans savoir quand nous pourrions revivre de tels moments. Je ne pense pas pouvoir passer encore une année comme celle qui vient de s’écouler. Je veux me réveiller à ses côtés tous les jours.
Mais cela n’arrivera malheureusement pas. Quand il a passé le portique de l’aéroport pour arriver dans la zone où je ne pouvais plus l’accompagner, c’était la dernière fois que je le voyais, juste après un ultime baiser.
Nous avons bien sur continué de nous appeler tous les jours, mais au bout d’un mois, après que sa femme ait tout découvert, des tensions sont nées entre nous pour la première fois. Et le confinement n’a pas aidé à faire en sorte d’avoir du temps à nous pour s’expliquer sereinement. Tout s’est arrêté brutalement, dans les larmes et la colère. Depuis plus d’un an, je ne sais pas ce qu’il est devenu et je traîne ces souvenirs avec peine. On ne s’est plus jamais contacté et je ne sais même pas s’il pense encore un peu à moi…
(Bien sur que je pense à elle…tous les jours sans exception)
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Commentaires de l'histoire :
Daphné
Bonjour, Sincèrement retrouvez la sinon vous continuerez à le regretter.... On a qu'une vie ??
Posté le 19/09/2021
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