Après avoir rencontré cette fille qui m'avait contacté suite à une histoire publiée sur ce site, et après avoir passé une première nuit ensemble, nous avons eu la chance de pouvoir partager tout un week-end torride.
Proposée le 13/09/2021 par Nico
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Histoire vraie
Pour ceux qui n’ont pas lu ma première histoire, je fais un rapide résumé afin de planter le décor de ce nouveau récit. J’ai donc rencontré une fille grâce à ce site d'histoires. Elle m’avait contacté après avoir lu un récit publié ici. Tous les détails de notre rencontre et de la première nuit passée ensemble sont relatés dans le premier volet.
Notre liaison a duré 18 mois mais comme nous étions tous les deux en couple, et que 700 kilomètres nous séparaient, nous nous sommes vu que quatre fois. À chaque fois, ça a été magique mais la troisième a, je pense, été la meilleure.
Cela faisait six mois que notre relation existait et nous avons réussi à passer tout un week-end ensemble. J’avais prétexté un weekend avec des copains et elle, une thalasso entre copine. Nous avions loué un Airbnb à mi-chemin, et on avait quitté nos travails à midi le vendredi pour faire la route. On ne s’était pas vu depuis 2 mois, et la semaine avant ce fameux weekend, nous avions décidé d’avoir une activité sexuelle très limitée, voir inexistante, histoire de se retrouver dans un état d’excitation de dingue ! De plus, c’était autour de mon anniversaire et elle avait prévu une mise en scène surprise pour nos retrouvailles.
Nous avons donc fait la route en discutant tout le long par téléphone, en essayant d’éviter le sujet « cul » car, vu le niveau d’excitation, nous aurions eu du mal à nous concentrer sur la conduite.
Je suis arrivé à l’appartement vers 18h, juste après elle. Elle devait tout préparer pour mon « cadeau » et m’avait donc demandé d’attendre dans ma voiture que tout soit prêt. Ce petit quart d’heure a été interminable. Comme c’était mon anniversaire, elle voulait que je ne pense qu’à mon plaisir, que tout soit fait pour que je prenne un pied de dingue. Alors logiquement j’étais plus qu’impatient.
Puis le sms libérateur arriva. Je me précipitai vers la porte et entrai. Les volets étaient fermés et des bougies brillaient un peu partout. Dans l’entrée, un premier petit mot m’indiquait d’une flèche où je devais aller. Puis un second m’ordonna de quitter tous mes vêtements. Un troisième était posé sur une télécommande avec l’inscription « allume moi la chatte ». C’était la télécommande de boules de geisha vibrantes. Puis je montai les escaliers, en haut desquelles était posée une culotte avec le mot « respire moi la chatte ». J’adore son odeur, elle sait que ça me rend fou. En plus, avec l’excitation, elle avait mouillé toute l’après-midi et sentait divinement bon.
Puis je suis enfin entré dans la chambre. Elle m’attendait assise sur le lit dans une nuisette hyper sexy qu’elle avait achetée spécialement pour l’occasion. Elle était magnifique et avait son regard de salope affamée. Elle se jeta sur ma bite déjà bien dure et commença à me sucer. Comme je l’ai dit dans ma précédente histoire, elle suce incroyablement bien, jamais personne ne m’a sucé aussi bien, et de loin. Sa bouche allait et venait sur ma queue, me déclenchant des sensations divines. Après un petit moment, elle s’est arrêtée et ma regardé de la façon la plus cochonne possible. « Je veux que tu me prenne la chatte le plus fort et le plus vite possible. Tu ne te soucies pas de moi, tu as tout le week-end pour me faire jouir. Là je veux que tu jouisses sans te retenir. Tu me défonces et tu me remplis ! »
Ces mots m’ont électrisé. Elle s’est allongée sur le dos, jambes grandes ouvertes. J’ai retiré les boules de geisha qui vibraient encore et les ai remplacé par ma queue. Je me suis mis à la pilonner aussi fort que possible. On ne se quittait pas des yeux pendant que je la limais. Elle est vraiment très belle quand elle se fait baiser. La pipe magistrale qu’elle venait de me faire, ses mots et son regard ont vite eu raison de moi. Au moment d’éjaculer abondamment au fond de sa chatte, elle s’est mise à onduler ses hanches, décuplant encore plus un orgasme déjà sensationnel.
Je m’allongeai contre elle pour un moment tendre et câlin...mais de très courte durée. Elle n’en avait pas fini avec moi, et n’avait pas eu le loisir d’être calmée par un orgasme. Elle se remit à me sucer et je redevins dur instantanément. Elle adorait me nettoyer la queue quand elle était pleine de sperme et de mouille. Elle ajouta même un doigt dans mon cul. Elle avait découvert ça avec moi lors de notre première rencontre et aimait beaucoup jouer avec mon petit trou depuis.
Je la repoussai alors sur le dos, lui écartai les cuisses puis commençai à lui lécher la chatte. Je passai ma langue sur toute la longueur de sa fente, l’enfonçai le plus loin possible en elle, puis pinçai son clito entre mes lèvres avant de le lécher. Elle était délicieuse après avoir mouillé une bonne partie de la journée. Au bout de quelques minutes, je sentis ses jambes se resserrer sur ma tête alors que sa main la plaquait contre son entrejambe. Je restai contre elle pendant qu’elle gémissait de plaisir. Puis je la prenai de nouveau, elle était encore plus serrée. Elle avait les yeux dans le vide alors je lui dis d'un ton ferme « regarde moi quand je te baise ! ». Son regard changea immédiatement et je vis que ce genre de phrase avait un effet de dingue sur elle. Après son deuxième orgasme, elle me fit gicler dans sa bouche et avala presque tout.
Nous étions enfin suffisamment apaisés pour partager un vrai moment tendre et amoureux. Nos mains parcouraient nos corps et nos bouches n’arrêtaient pas de se joindre.
Au cours des dernières semaines, nous avions parlé de ce week-end en projetant de réaliser quelques fantasmes. Notamment aller au resto sans culotte pour se faire caresser sous la table et aussi me sucer dans la rue en rentrant. Nous allions pouvoir mettre ce plan à exécution puisqu’elle nous avait réservé une table à quelques minutes de marche.
Je m’assis à côté d’elle au restaurant de façon à pouvoir régulièrement lui glisser un doigt dans la chatte. Elle dégoulinait. Il y avait un couple juste à côté de nous et c’était vraiment excitant de faire ça en public.
Après manger, nous marchions vers l’appartement en empruntant une petite rue. Au premier renfoncement nous permettant de nous cacher un peu, elle s’agenouilla et baissa mon pantalon. Alors qu’elle venait d’enfoncer toute ma queue au fond de sa bouche, une fenêtre s’ouvrit au premier étage, de l’autre côté de la rue. Une femme d’une cinquantaine d’années nous interpella et nous indiqua qu’il y avait un parc plus loin, beaucoup plus discret pour faire ce genre de chose. Nous partîmes à la hâte en rigolant. Mais à peine vingt mètres plus loin, elle me poussa contre un mur et repris là où elle s’était arrêtée. Nous n’étions même plus cachés du tout, juste sur le trottoir. Elle me suça intensément quelques minutes en pleine rue. Il devenait désormais urgent de regagner l’appart.
À peine la porte franchie, on se jeta sur le canapé du rez-de-chaussée, pas le temps d’atteindre la chambre. Elle se mit à quatre pattes et me dis « traite moi comme une chienne ! ». Je ne me suis pas fait prier. Je me suis planté dans sa chatte ruisselante juste le temps que mon doigt dilate son anus. Puis j’enfonçai toute ma bite dans son cul, lui attrapai les hanches et l’enculai comme un sauvage. Elle m’avoua plus tard que, des quatre fois où l’on s’est vu, je ne l’ai jamais baissée aussi fort que cette fois là en rentrant du resto. J’étais surexcité par les préliminaires publics que nous avions commencé à table. Elle se caressait pendant que je lui martelais le cul et finit par se déclencher un orgasme surpuissant. Puis je me mis face à elle avec la ferme intention de lui inonder le visage. Elle me glissa un doigt dans le cul en guise de consentement. Je ne tardai pas à jouir et lui recouvrai son joli visage de grosses giclées épaisses. Je jute beaucoup, même après plusieurs orgasmes. Elle était sublime ainsi souillée.
Après une douche à deux, elle s’assit sur le rebord de la fenêtre de la salle de bain. Juste histoire de se reprendre un bon coup de bite rapide, sans orgasmes, juste pour essayer un nouvel endroit du logement.
Nous avons encore baisé une fois avant de se coucher l’un contre l’autre vers 3h du matin. Ce moment fût génial. Plus aucunes tensions sexuelles, que des câlins d’amoureux.
Mais le matin, l’excitation était de nouveau bien présente. Elle me sortit de mon sommeil en me suçant. Délicieux réveil ! Après un nouveau round torride, nous sommes sortis acheter de quoi cuisiner ensemble, une passion commune. Nous en avons profité pour tester la cuisine. Elle me suçait pendant que je coupais des légumes et je lui mangeais la chatte sur le plan de travail. Après manger, un pote m’a appelé sur mon portable. Elle a insisté pour que je décroche et, dès que j’ai commencé à parler, s’est jetée sur ma queue pour l’aspirer le plus fort possible. Elle s’amusait de me voir lutter pour essayer de parler normalement. Et plus ma voix flanchait, plus elle suçait fort.
Puis elle a voulu que je m’allonge sans bouger, que je me laisse faire pendant qu’elle s’occupait de moi. Elle commença par me lécher le cul. Au tout début de notre relation, je lui avais demandé si elle aimait se faire lécher ainsi. Elle avait parut un peu réticente pour la première fois. Puis quand on s’était vu, elle avait adoré que je lui fasse, mais elle avait surtout aimé me le faire. Elle trouvait ça aussi décadent qu'excitant. Et elle ne ratait jamais une occasion de recommencer. Et j’avoue prendre beaucoup de plaisir à sentir sa langue me fouiller ainsi. Mais elle n’en avait pas fini avec mon cul, elle avait amené un gode qu’elle espérait m’enfiler. Il était bien plus gros que les doigts qu’elle glissait régulièrement en moi, mais tout en douceur, il a fini par rentrer. Les vibrations étaient agréables mais je préférais quand même ses doigts. Elle semblait s’éclater à me faire ça. Puis elle remplaça le gode par son doigt et son autre main m’astiqua la bite avec de l’huile jusqu’à la faire cracher de nouveau.
L’après-midi a continué sur la même lancée, alternant instants tendres et sexe bestial. Après quelques heures à baiser sans passer par la case douche, sa chatte avait un parfum terriblement enivrant. Elle sentait si fort et si bon que je percevais son odeur même en la prenant en levrette. Ça me rendait complètement dingue.
La deuxième soirée a été plus courte et beaucoup plus câline que la précédente…et tout aussi agréable. Après un long moment de caresses et de bisous, nous avons fini par nous endormir l’un contre l’autre, exténués par une journée d’étreintes sauvages.
Au réveil, je l’ai sortie des brumes avec un cunni matinal. Elle sentait très bon après une nuit de sommeil. J’adore la lécher. J’ai toujours aimé ça. Mais elle, elle avait un goût et un parfum qui décuplaient mon plaisir. Et elle avait une chatte magnifique, toute douce et qui mouillait beaucoup. Jolie chatte que je défonçai de nouveau à grands coups de queue après l’avoir fait jouir sur ma langue. Puis je finis par me répandre sur ses gros seins.
On s’est encore sauté dessus dans la matinée puis il a fallu ranger et se préparer à partir. Mais avant, nous voulions réaliser un dernier truc ensemble : baiser dans la nature. En venant, j’avais remarqué qu’entre l’autoroute et la ville où nous étions, la route passait à côté d’un petit bois. Alors en quittant l’appartement, elle m’a suivi jusqu’à cet endroit. Après avoir marché un peu, nous nous sommes arrêtés à l’entrée du bois. Nous étions un peu abrités par les arbres sans pour autant être complètement cachés. C’est bien plus excitant comme ça. Elle m’a sucé bien fort une dernière fois avant de se faire démonter contre un arbre.
Et il a fallu se quitter. Moment difficile après autant de plaisir et d’intensité. Comme à l’aller, nous avons fait la route en discutant par téléphone. Mais avec moins d’entrain, dans une ambiance plus lourde. Nous ne le savions pas à l’époque mais nous n’allions plus nous revoir pendant un an. Et deux mois après cette quatrième et dernière rencontre, notre relation a explosé. Depuis, dès que je me mets à écrire ces récits, je me replonge dans cet état d’excitation et de bien-être vécu pendant ces 18 mois, des souvenirs aussi exaltants que douloureux. Plus d’un an sans aucuns contacts…mais pas un seul jour sans penser à elle.
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