Ma reine aux boucles

Ma bonne amie devient ma dominatrice, récit d'une de nos premières rencontre. vénération des pieds, contrôle de l'orgasme, face sitting, mention de watersports

Proposée le 22/06/2023 par olivier6490

Thème: Homme soumis
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Ça me fait toujours rire intérieurement de prendre le transport en commun quand j'en vais à un quelconque rendez-vous de nature sexy. Dans le bus quand l'heure de pointe se termine à peine, aux travers de tout le monde qui ont leur journée dans le cul, moi l'air de rien avec mon vieux sac à dos Lavoie, l'air d'un étudiant anodin avec un sens de l'esthétique discutable je ne fait qu'imaginer qu'au moins une autre personne dans le bus se doute qu'il n'y a aucun matériel scolaire dans mon sac. J'avais pourtant l'habitude d'y ranger une belle règle en bois mais Maîtresse l'avait un peu détruite en punissant mes fesses un peu fort lors de ma dernière visite.

La journée fut longue au travail alors que je rêvassait constamment à une seule chose, servir ma reine. Je ne comprends encore pas comment je n'ai pas pu voir toute sa beauté la première fois que l'ai vu. Je l'avais trouvé charmante sans plus quand j'avais croisé son regard accoudé au bar de Karaoké où j'allais finir par passer la majorité de mes mardi soirs. C'est d'ailleurs quand elle a pris le micro pour chanter le parapluie de Daniel Bélanger que j'ai réaliser mon erreur. Sa voix et son énergie m'ont transpercé la poitrine. Sa prestance était hypnotique , j'avais toujours eu un faible pour les femmes plus grandes étant moi même passé les 6 pieds, et elle n'échappa pas à la règle. J'avais le drôle de sentiment que je pouvais développer quelque chose de beau avec cette personne que je venais de rencontrer mais jamais je n'aurais imaginer qu'elle deviendrait ma dominatrice

Elle m'avait réclamé chez elle pour 19 h. Je dois avouer que j'ai pensé prendre mon temps afin d'arriver volontairement en retard afin de me dégoter une punition bien mérité. Cependant, le dernier avertissement qu'elle m'avait fait lors mon dernier retard me stimulade plus belle. Je redoublai donc d'efforts pour être certain d'être sur le seuil de sa porte à l'heure H. Deux semaines auparavant un petit quart d'heure de retard m'avait attiré , en plus de 15 coups de règles , la menace de perdre le privilège de pouvoir me soulager à la fin de nos séances si cela se reproduisait. En effet,elle avait pris l'habitude de me laisser jouir par moi-même à la fin de nos rencontres en me rappelant toutes les bassesses que je venais de lui faire. Les seuls orgasmes qu'elle me donnait lors de nos sessions étaient ruinés volontairement par ma Reine. En cessant toute stimulation au moment où je passais le point de non-retour il s'en résultait une presqu'éjaculation qui me laissait plus excité qu'au départ et permettait à ma Maîtresse de garder son emprise sur moi et me faire faire tout ce qui pouvait lui passer par la tête. Quelques fois, lors de la finale où j'obtiens normalement le droit de jouir pour vrai et évacuer toute la tension accumulée, elle me faisait le cadeau de caresser du bout des doigts mes testicules pendant que je me masturbais. C'est tout ce que je méritais merappelait elle à chaque fois.

Avant de quitter sa demeure, lors de notre dernière rencontre elle m'avait fait promettre de ne pas éjaculer pour les sept jours précédant la rencontre d'aujourd'hui. Une requête qui semble simple pour la plupart, mais pour un petit cochon comme moi qui a l'habitude de se masturber en moyenne trois fois par jour, le défi était de taille. Elle m'avait cependant donné le droit à une exception. J'avais le droit de jouir seulement si je réussissais à me stimuler sans toucher ma vulgaire queue. J'avais essayé toute la semaine d'atteindre l'orgasme en me doigtant le cul et chaque fois je n'ai réussi qu'à frôler l'objectif recherché. Maîtresse avait tellement habitué ma prostate à son doigté presque digne d'une pianiste, que ma démarche maladroite ne faisait que me donner envie de toucher ma queue en rêvant du moment où j'allais enfin pouvoir jouir. Si j'étais un bon garçon j'allais peut-être pouvoir avoir le privilège de jouir avec mon visage enseveli de son divin postérieur. Bon encore une fois je rêvasse à mes dernières séances et je manque presque l'arrêt d'autobus où je débarque souvent un peu bandé.

La porte était débarrée, maîtresse m'avait informé que ses colocataires étaient absentes. Je pouvais donc me rendre directement à la salle de bain pour me préparer convenablement avant de me présenter sur le seuil de la porte de sa chambre. Une douce odeur de cannabis et de cigarette s'échappait de sous la porte de l'antre de ma reine. J'avais déjà des frissons dans le bas-ventre anticipant ce qui m'attendait lorsque j'allais entrer dans son royaume. Dans la salle de bain j'ai mis la tenue que j'avais reçue dans la dernière semaine. Ma Reine et moi l'avion commandé ensemble sur internet. Un petit déshabillé deux pièces et des bas collants de style écolière en était la base. La culotte du déshabillé était fendue en arrière me permettant d'enfiler le Tail Plug afin de me sentir comme le petit animal soumis que je suis. Dernier détail, un cerceau sur ma tête arborant deux petites oreilles de chienne. J'avais trouvé ce nouvel ajout au magasin à un dollar, c'était une surprise pour Maîtresse et j'avais hâte de lui montrer que je suis sa belle petite chienne

En sortant de la salle de bain je me suis tout de suite mis à quatre pattes et je suis allé gratter la porte de ma maîtresse comme une petite bête piteuse. J'entendis seulement un autoritaire "Entre". Le ton directif de ma reine avait toujours le même effet sur moi. Un mélange de terreur et d'excitation m'envahissait à chaque ordre qu'elle me dictait. Je m'approchais doucement du lit a quatre pattes en m'approchant de ses pieds, elle m'avait bien appris les formules d'usage lorsqu'un soumis rencontre une déesse. Elle me dit sur un ton ricaneur :

"Aon c'est beau tes petites oreilles ma chienne, prends bien ton temps sur mes pieds, ta Reine a des devoirs à finir et elle a besoin d'encouragements".

Je bécotai doucement ses divins pieds même si j'avais une terrible envie de sucer ses orteils comme si chacun d'entre eux était un magnifique petit pénis d'ange. J'avais de la difficulté à retenir toute la salive que cette merveilleuse entrée me faisait produire. Je suis un grand gourmand, mais je sais me comporter. Si ma Reine veut que je prenne mon temps je ravalerai toute la salive nécessaire pour que les pieds de ma reine soient doucement vénérés. J'ai léché et sucé chaque recoin de ses pieds pendant un bon vingt minutes. Ma reine laissa s'échapper quelques gémissements ici et là me provoquant à chaque fois un frisson de plaisir. J'aime tellement servir ma reine. Quand elle en a eu assez elle dit:

" Bon j'ai presque fini, mais je dois changer de position. Ce serait une bonne occasion de me servir de ta petite face de chienne. Viens t'étendre sur le lit, tu as fait du bon travail avec mes pieds tu mérites une récompense".

Elle s'est levée sur ses genoux et en soulevant sa jupe m'a fait signe de me faufiler sous sa croupe. Elle avait encore une coquette petite culotte, mais simplement la chance d'avoir le visage écrasé sous sa vulve me faisait bander dans mes petites bobettes de garce. Ma reine a tout de suite remarqué que ma vulgaire queue tentait de s'évader de sa prison de coton et elle dit en ricanant :

" Oh la belle queue de chienne dure et excitée. Je t'ai à peine crissé ma plotte dans face que tu bandes comme un cheval mon gros cochon. Pauvre pénis prisonnier de belles bobettes de fille. Je pense qu'il mérite quand même de prendre de l'air! Tu as tellement bien bouffé mes pieds ma chienne."

Elle libéra ma queue d'un mouvement délicat touchant presque seulement à ma culotte du bout de ses doigts pour être certaine de me toucher le moins possible. Un courant électrique me traversa de la plug dans mon cul jusqu'au bout de mon gland tellement la tension était grande. J'avais la bouche compressé sur la chatte de ma reine, mais j'ai réussi à gémir du plus fort que j'ai pu un gros "Merci". Ma reine répondit:

"Aon tu aimes ça petit cochon, ça paraît que tu ne t'es pas crossé de la semaine , tu coules déjà comme une salope. Je vais encore te torturer un petit peu".
Elle se souleva légèrement de mon visage pour écarter sa culotte pour que je puisse enfin pleinement goûter mon repas favori et en profita pour agripper quelque chose sur sa table de chevet. Elle dit:

"Bon j'ai fini mes devoirs je vais bien fumer une clope pour me récompenser, en plus j'ai mon cendrier préféré tout dur pour moi".

J'ai gémi dans son sexe du plus fort que je pouvais. Mon niveau d'excitation était tellement élevé que je sentais le temps ralentir. Le bruit de la pierre du briquet, ma reine qui inspire profondément, l'odeur de tabac qui remplit doucement la chambre, je ressentais chaque détail du rituel de la cigarette comme d'un préliminaire. Je sentais le pre-cum couler de mon pénis comme si c'était une petite champlure à mouille. J'étais hypnotisé par l'intensité du moment. J'étais à la fois dans un de mes endroits préférés sur terre (entre les cuisses de ma reine) et je me faisais cendrer sur le pénis comme un vulgaire objet. J'étais sur le bord de jouir à chaque fois que je sentais une petite sensation de brulure sur ma queue. J'entendis de la réconfortante voix de ma Maîtresse:

" J'espère que tu as soif ma petite chienne, ta reine a bu beaucoup de café pour faire ses devoirs et elle n'a pas envie d'aller à la salle de bain. De toute manière pourquoi me lever alors que je suis déjà installé sur une toilette bien dressée".

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.

Commentaires de l'histoire :

Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email