Gaède se retrouve assise sur le dos de la reine, son serpent à la main. La porte entrouverte, il peut tout voir, sans que la reine ne se doute de rien. Se laissera-t-elle faire jusqu'au bout par sa suivante ?
Proposée le 25/01/2021 par odysseus
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Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FFH
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme
Il voyait le cul de la reine et sa chatte blonde. Gaède, son serpent à la main, eu un sourire narquois. Elle n'oserait pas, se dit-il. Sa rigueur de garde lui interdisait d'assister sans rien faire à l'humiliation de sa bienfaitrice. Mais sa curiosité d'homme voulait que Gaède aille au bout de ses projets, et même plus loin. Le serpent siffla, la reine poussa un petit cri de stupeur. Elle en avait une peur bleue.
- Sshhhhhh, Madame, doucement, lui dit Gaède. Si c'est bien moi que vous êtes venue quérir il va falloir vous laisser faire. Voici le seul rituel qu'on m'ait enseigné pour accéder aux secrets de la chair.
- Mais que vas tu faire avec ce serpent Gaède ?
La suivante pressa le cou du serpent, qui dirigea le bout de sa queue vers la chatte joufflue de la reine. Il avait été dressé spécialement à cet effet, et savait quels gestes exécuter. Du bout de sa queue il caressa l'intérieur des cuisses, remonta jusqu'au sexe et en fit le tour, jusqu'à frôler le clitoris. La reine, prise de panique mais ne pouvant se résigner à interrompre ce pourquoi elle était venue, était parcourue de spasmes. Chaque fois que le serpent la toucha, son corps entier se contractait. Gaède eut alors une idée. Déjà elle extirpa sa poitrine du haut de sa robe. Ses deux seins lui remontaient à hauteur d'épaules. Hodryn fit des yeux ronds sa queue déjà bien dure se gorgea d'encore plus de sang. Puis d'une main, Gaède écarta les lèvres de la reine, pour que le garde puisse avoir une meilleure vue sur l'entrée du vagin. La serpent vint poser le bout de sa queue sur l'anneau plissé de la reine et on vit le périnée se contracter, le trou du vagin se rapetissant. Hodryn eu envie de courir s'enfoncer dans cette cave étroite. Bien sûr il ne le fit pas.
- Mes fesses aussi Gaède ?
- Madame... lui répondit-elle moqueuse, évidemment vos fesses aussi.
Et elle lappa son cul d'une langue molle, la reine commençait à émettre de petits gémissements pudiques. Les seins écrasés sur le haut cul de la reine, Gaède en profita pour regarder Hodryn. Elle voyait la queue saillir sous le pantalon en toile. Elle laissa de la salive couler sur la chatte de sa maîtresse, puis le serpent plongea le bout de sa queue dedans. La reine eut un cri. Qui se transforma vite en gémissement. Le serpent effectuait de très rapides allers retours, plongeant à peine le bout de sa queue.
- Encore, fait le rentrer encore; supplia-t-elle timidement.
Et la suivante s'exécuta. Le serpent s'enfonça, et une fois à l'intérieur, tournoya doucement, épousant entièrement les parois. Quand il sortit, sa peau luisante brillait plus qu'un diamant. Gaède mouillait abondamment, elle se pencha en arrière en appuyant son bras sur la nuque de la reine, souleva sa jupe et le serpent s'u enfonça. Il passait ainsi de l'une l'autre, rentrant une fois, puis deux. La reine commençait à dégouliner. Alors Hodryn saisit sa queue. D'un regard sévère, Gaède lui fit non de la tête. Il devait attendre encore. Elle laissa tomber le serpent qui se chargeait seul d'enfiler la chatte bouffie de plaisir de la reine. Gaède degraffa le haut de sa robe et ses seins fermes retombèrent. Elle se retouna et vint poser son con sur le sommet des fesses de la reine. Avant de se coucher sur elle, elle lui enfonça une tige épaisse dans le cul puis s'allongea en attrapant la reine par la poitrine. Hodryn pouvait voir les deux l'une face à lui, pour lui, tout la chorégraphie n'était que pour lui, pour le malmener de désir. L'une avait un serpent dans le chatte qui sifflait et une tige de verre coincée dans le cul, et l'autre au-dessus d'elle frottait son con contre la tige. La reine ne tenait plus, elle allait bientôt jouir. Gaède lui empogna davantage les seins, les écrasants entre ses mains, tirant sur les tétons, les claquant. Et plus elle les pétrissaient, plus elle malmenait la reine, plus elle remuait son con. Les deux femmes commencèrenet à gémir bruyamment, la reine presque pleurante de plaisir, et Gaède enragée. Enfin elle saisit la tige et l'enfonça plus avant dans le cul. La reine cria. Entre la douleur et un plaisir intense , tout son corps se contracta, enserrant la tige et le serpent. Elle jouit par à-coups, plusieurs vagues s'enchainant, et Gaède qui s'était relevé l'accompagnait en infligeant d'énormes claques sur ses fesses. La reine fondit en larmes de plaisir, elle ne tenait plus, s'étala sur la table. Hodryn, choqué, n'osait pas bouger et à peine respirer.
Quelques minutes s'écoulèrent puis la reine, gênée, se releva. Hodryn se cacha et Gaède lui ôta son bandeau. Elle lui donna aussi quelque chose à boire.
Elles firent le point sur ce qu'il fallait retenir de l'expérience, puis la reine rentra dans ses appartements.
Gaède regarda la porte coulissante. Personne. Alors elle se mit à quatre pates, et recula jusqu'à l'ouverture de la porte. Elle attendit, le cul en face de l'ouverture. La porte s'ouvrit.
Il se baissa, sortit sa queue et lui enfonça dans la chatte d'un seul coup. Elle remua dessus, la graisse de ses fesses s'agitant contre le ventre du garde. Il lui donna une énorme coup de queue, pour la faire avancer dans la pièce. Elle fut légèrement projetée en avant et il fermit la porte .
_ Non, dit-il, pas comme ça.
Il la retourna sur le dos et tint ses jambes écartées en V. Il la pilonna comme ça de longues, pouvant laisser aller toute sa rage accumulée, et elle continuait de remuer autour de sa queue dure comme du bois. Puis elle se retira, se mit debout et posa son pubis en face de la bouche d'Hodryn. Il l'attrappa par les fesses et plongea sa tête entre ses cuisses, remuant son nez et sa langue comme un dératé. Elle ne sentit plus ses jambes, des convulsions brûlantes l'assaillirent un épais coulis blanc coula sur le torse du garde. Ereintée, elle s'allongea sur le ventre. Il posa son gland à l'entrée de ses fesses sa main féroce entama des va-et-vient sur la tige fonçait. Elle se retourna et l'accompagna en lui malaxant les couilles. Il ne tint pas longtemps et un jus épais lui gicla de la queue. Il s'endormirent sur le sol. Le lendemain, le bruit de la porte de la reine les réveilla.
A suivre.
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