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Enculé comme une reine

Une chaste amitié, les mois passent. J'aime me faire désirer. Glissements progressifs du plaisir, nos corps n'en pouvant plus d'attendre, et ce qui devait arriver arriva. Nous avons fait l'amour entre hommes.

Proposée le 6/08/2024 par Sacha

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Thème: Première fois
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Il avait vite flashé sur moi quand j'avais vingt ans, et lui quarante. Comme je ne gagnais pas encore ma vie, c'est lui qui chaque fois m'invitait au restaurant. Au sortir du restaurant il me disait souvent, pour me taquiner sans doute, mais au fond je ne savais pas s'il plaisantait ou non, qu'un beau jour il faudra bien que je le rembourse "en nature". Un beau jour, ou peut?être une nuit.

Il me disait sans détours toute l'attirance qu'il éprouvait pour moi, sachant bien que je n'étais pas insensible au fait de faire bander un mec.

Pour jouer franc jeu, je ne lui avais pas caché ma propre attirance pour les garçons. Me sentir désiré m'excitait, j'aimais bien l'émoustiller et l'aguicher.

Et ce petit jeu nous convenait dans un premier temps. Nous n'étions pas pressés de conclure, nous savions l'un et l'autre que notre chaste amitié ne tarderait pas à se convertir en de fougueuses étreintes charnelles. Et qu'un jour nous ferions l'amour.

Moi, j'aimais bien ces glissements progressifs vers le plaisir partagé. Je le chauffais, je voulais devenir pour lui irrésistible.

Durant des semaines j'ai dormi dans sa chambre d'ami en tout bien tout honneur. Chacun se masturbait de son côté en fantasmant sur les plaisirs qu'il nous était réservé de partager et goûter ensemble.

Avant de prendre ma douche, il m'arrivait de déambuler nu dans son appartement, dans le couloir, la cuisine, le salon. Mon côté exhibitionniste lui plaisait bien, il me matait.

Ça lui plaisait que je me sente aussi à l'aise en sa compagnie. Il avait seulement exigé que je m'épile intégralement les parties intimes, ça l'excitait encore plus comme ça. Ce que je fis bien volontiers, si ça excitait davantage mon homme.

Il savait bien que si je faisais ma salope, ce n'était pas pour me refuser éternellement à lui.

Un soir, je ne portais sur moi qu'une légère chemisette qui découvrait mes parties intimes, j'ai poussé le vice jusqu'à feuilleter avec lui, à ses côtés sur le canapé, un catalogue de dessins érotiques très osés de Jean Cocteau. Alors il vit à quel point tout cela me faisait bander. Il posa sa main sur mon sexe en érection, puis l'empoigna et me branla. Je laissais faire, jusqu'à l'orgasme.

Le lendemain, il me pelota les fesses, j'étais cul nu.

Puis, en sí bon chemin, nous avons couché. On se réchauffait l'un contre l'autre au cœur de la nuit, on bandait ferme. Agenouillé sur moi, il tenait nos deux sexes dans sa main, et ensemble nos deux queues giclèrent.

Peu après il m'a montré un plug anal qu'il venait d'acheter en me disant que c'était pour moi, que ça me ferait du bien, et que ça me préparerait. Qu'il allait bien falloir que j'y passe, il appelait ça ma punition bien méritée. Que dorénavant il ne giclerait plus sur moi mais en moi.

J'ai donc consenti un soir à me mettre en levrette. Il a commencé par empoigner mes couilles et ma queue, puis à glisser ses doigts dans ma fente. J'ai alors commencé à me dandiner du cul, tellement c'était bon. Puis il m'a léché le pourtour anal.
- C'est qu'elle aime ça !
Oui, j'aimais ça.

Puis il m'a introduit le plug anal dans le cul, en me disant que je serais sa prise femelle et que cet avant-goût faciliterait nos échanges, quand j'aurai sa pine au cul.

J'éprouvais des sensations très fortes, il sentait à quel point cela me faisait bander, mais pas autant que lorsque j'ai senti son gland à l'entrée de mon embouchure, bien dilatée et prête à l'accueillir. Au début ça faisait juste un peu mal, mais très vite j'y ai pris goût, à sentir sa queue coulisser ainsi en moi. Il me baisait enfin Et alors il a giclé en moi au moment où sa main, continuant à me branler, me fit éjaculer.

Je l'ai entendu soupirer:
- T'est bonne, tu sais.

Puis nous nous sommes endormis, blottis l'un contre l'autre. L'aube nous surprit bandant l'un contre l'autre, et nous avons encore connu la volupté entre hommes.

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