Lucile, jeune trentenaire, a prévu une séance photo sexy seule en extérieur. Covoiturée par Antoine, ils se prennent au jeu pour devenir photographes l’un de l’autre. Petit à petit leur shooting dérape, pour devenir de plus en plus exhibitionniste. Les photos ne sont plus qu’un prétexte voyeuriste.
Proposée le 9/06/2023 par hannibaal
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Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Histoire vraie
Épisode 3 : Quand le shooting devient très exhib
Nus comme des vers, dans un endroit en principe désert sur les bords du lac de Lacanau, nous poursuivons ce shooting photo dont Antoine et moi sommes tour à tour les modèles et les photographes.
Le cadre est très plaisant pour nous adonner à cette activité quelque peu perverse, je dois bien me l’avouer. Une jolie petite clairière à l’herbe rase, bordée de grands arbres et par les eaux calmes du lac, qui donne naturellement l’envie d’y déambuler totalement nue.
Sous ce beau soleil de début d’été qui caresse nos corps, j’éprouve une certaine jubilation à exposer mon corps dénudé à cet homme, qui m’était encore inconnu il y a quelques heures. J’en arrive même à me sentir belle lorsqu’il balaye avec insistance mes courbes impudiquement offertes à son regard.
— Tu sais Antoine, l’érotisme de ce shooting a levé beaucoup de mes appréhensions sur l’exhibitionnisme !
— Tu as aussi pu constater que j’ai pris beaucoup de plaisir à être ton modèle, ma chère Lucile
— Vraiment ? C’est un fait que j’ai pu immortaliser ta superbe érection !
— Oui ! Ces photos de nus sont vraiment excitantes ! Je n’ai rien pu contrôler !
— ç’aurait été dommage … pour moi ! J’ai adoré !
— Et tu es toujours prête à pousser le jeu un peu plus loin ?
C’est vrai que me laisser photographier nue aussi intimement que j’ai pu le faire avec lui, ne me pose plus aucun problème de pudeur. Au contraire, j'en ressens une très forte envie et même de l’excitation sexuelle. S'il passait ses doigts dedans, il constaterait que ma petite chatte en est toute mouillée.
Mais là, le « jeu » consiste à nous photographier mutuellement nous caressant l’un pour l’autre ! Et nous savons parfaitement tous les deux que ces photos ne sont qu’un prétexte à explorer notre envie d’exhibitionnisme, ainsi que celle de voyeurisme, sans aucun doute.
— Oui ! Oui ! J’y suis toujours prête !
— Il faut bien reconnaître que s’offrir au regard d’une personne presque inconnue dans une situation aussi sexuellement explicite, c’est franchir une sacrée étape ! Pas si simple ! Mais j’adore l’idée ! Ce sera une première pour moi !
— Pour moi aussi Antoine, je te l’ai dit ! Et je suis sûre que de te regarder masturber ta belle queue finira de me désinhiber totalement vis à vis de l’exhibitionnisme !
— J’avoue que j’ai très envie de découvrir ta jolie chatte ouverte, caressée par tes doigts jusqu’à te voir jouir !
— J’ai bien remarqué que mon minou ne te laissait pas indifférent, vu de la façon tu ne le lâches pas des yeux. Et ça m’excite beaucoup Antoine !
Antoine extrait de son sac une fine couverture sur laquelle il me guide pour m’allonger, et me cale le dos avec nos sacs pour me redresser. Puis il s’assied en tailleur entre mes jambes et pose mes cuisses sur les siennes. Nos sexes sont si proches qu’ils sont presque en contact. Nos appareils photos sont posés à nos côtés, prêts à entrer en action.
Dans mon fort intérieur, je me régale. Son beau sceptre toujours bien érigé se dresse fièrement, le gland violacé luisant de liquide séminal. Ce type est quand même plutôt bien foutu, la quarantaine un peu grisonnante, doux et sympathique, et surtout pas mal monté ! En plus, ce n’est pas « un mort de faim » qui ne pense qu’à me sauter.
— J’espère ne pas te choquer Antoine, mais j’aimerais beaucoup capturer l’instant où ta verge éjacule. Tu veux bien ?
— Bien sûr !
— Tu me préviendras alors ?!
— Oui ! Oui ! Tu veux garder les photos pour toi ?
— Nous nous sommes promis de nous restituer nos photos, mais celles-ci oui, je voudrais bien les conserver, si tu m’y autorises. C’est la première fois que je vais regarder en réel life un homme spermer pour moi ! D’habitude c’est toujours avec préservatif quand je fais une fellation !
— Pas de souci ! Juste, je te demande de ne cadrer que mon bas ventre s’il te plaît !
Ooooh oui ! que je vais la cadrer ta belle queue ! Je n'ai jamais eu l’occasion de me trouver en face d’un homme qui se masturbe pour moi, devant moi. Oh ! Je l’ai bien imaginé, rêvé quelquefois dans mes songes érotiques qui peuplent mes nuits de femme célibataire.
Mais entre imagination et réalité d’une main masculine impudique qui va et qui vient sur sa queue dressée, luisante de son liquide, je trouve cela diablement érotique. Rien à voir avec les vidéos que des gros porcs m’adressent de temps en temps !
— Tu veux me découvrir plus intimement n’est ce pas ?, je lui demande un petit sourire provocateur au coin des lèvres.
— Selon ton envie Aline. Ici tout n’est guidé que par l’envie et la confiance mutuelle, me répond Antoine d’une voix rassurante
— Je crois que j’ai vraiment besoin de mesurer jusqu’où je peux me laisser aller pour me libérer totalement, je lui réponds en le regardant droit dans le yeux, en même temps que de deux doigts j’ouvre délicatement ma vulve.
Je lui dévoile ainsi totalement mon intimité aux lèvres finement dessinées luisantes de ses effluves. Le sillon rose, au fond duquel se cachent mon clitoris et l’entrée de ma grotte, s’étire longuement jusqu’entre mes fesses.
D’une main, Antoine entreprend de prendre des clichés de mon corps et de nos deux sexes presque en contact, tandis que de l’autre il se branle la verge avec ardeur. Ce qui a le don de mettre encore plus mes sens en ébullition.
— Ça te gêne Lucile que je me masturbe devant toi en te regardant ?
— Noooooooon, au contraire ! Continue, j’adore te voir te branler ! Et toi profite de ma chatte trempée !
— Alors ose toi aussi, laisse toi aller !
Moi qui ai appris, en me caressant régulièrement, à connaître mes points les plus érogènes, instinctivement une main de mes mains caresse mes seins et joue à faire rouler et pincer les pointes des mamelons.
L’autre glissée entre mes cuisses, mes doigts investissent mon sillon détrempé. Je les fait voyager entre mon clito bourgeonnant que je masse délicatement, et ma grotte brûlante dans laquelle je les enfonce profondément. La tête rejetée en arrière, je gémis doucement, l’esprit totalement concentré sur la recherche de mon plaisir « ouiiii ! Ouiiii ! Mmmmm ! Ouiiii ! ... ».
Antoine me mitraille avec son appareil photo, surtout des plans rapprochés sur mes seins et mon entrejambe.
— Et si nous sommes surpris par des promeneurs, tu réagiras comment ?, m’interroge Antoine, la main qui s’agite toujours plus vite sur son membre qui semble avoir doublé de volume.
— Je suis tellement excitée que je ne chercherai pas à me cacher ! je crois même que je voudrai qu’ils nous regardent faire l’amour ! Et toi ?, je lui réponds avec perfidie pour lui insuffler l’idée que j’attends qu’il me baise.
— Tu ne pourrais plus voir ma semence gicler comme tu en as envie !, me provoque-t-il d’un clin d’œil rieur
— Si ! Si ! Que tu me prennes en levrette APRÈS m’avoir arrosée !, lui insinuant ainsi, avec tout autant de perfidie, que je veux qu’il se vide sur mon ventre et mon sexe.
— Alors, je préférerais que tu me chevauches pour ne rien perdre de tes seins, de ton clito et de ton orgasme
Encore quelques clichés d’eux en pleine action, puis Antoine abandonne son appareil le regard fixé sur ma main qui s’active dans ma chatte. Ses allées venues sur sa tige se font plus vigoureuses et rapides, laissant perler quelques gouttes de liquide sur le bout se son gland violacé, accompagnées de quelques grognements qui laissent à penser qu’il n’est pas loin du but.
— Lucile, je vais jouir, me glisse-t-il dans un râle pour me prévenir comme je lui ai demandé.
Je me saisis de mon appareil et je cadre son sexe et ses parties. Je déclenche des prises de vue en rafale lorsqu’il éjacule son sperme chaud sur mon ventre et mes cuisses, le visage déformé par un rictus de plaisir.
Je n’imaginais pas que voir ces grandes giclées de semence pourraient ainsi me tétaniser, et me faire jouir intellectuellement. Je dois vous avouer que j’y prends un réel plaisir que je ne sais pas expliquer et qui me fait redoubler de cyprine entre mes cuisses.
Hé ! N’allez pas imaginer que je suis une oie blanche ! J’ai quelques fois traîné sur des sites pornos où ce genre de situation est monnaie courante. Mais j’ai toujours trouvé que c’était très « impersonnel », et que cela relevait plus de l’étalage de viande sans vraiment d’intérêt. Et IRL, les quelques fois où cela aurait pu se produire, c’était toujours lors de rapports protégés qu’il m’a été donné de voir un mec jouir.
— Waouh ! Merci Antoine ! J’apprécie vraiment ! C’est très beau et très excitant à voir en direct !, lui dis-je en reprenant mes caresses entre mes jambes
— Merci Lucile ! Je dois bien avouer que tu me regardes a décuplé mon plaisir !, me répond-il alors que sa main poursuit de lentes allées et venues sur son sceptre gorgé de sang.
— À mon tour maintenant, Antoine !
Ma main s’accélère, les lèvres de ma vulve largement ouvertes, entre pincements, tiraillements et rapides caresses concentriques sur mon clito maintenant tout gonflé et érigé, entre rapides va et viens mon antre d’où s’écoule ma cyprine toujours plus abondante. L’orgasme ne saurait tarder à me submerger moi aussi …
— Ooooh Ouiiiiii ! Mais je crois que je ne suis pas le seul à apprécier !, me dit-il en dirigeant le regard vers le chemin que nous avons emprunté pour nous rendre ici.
Je tourne légèrement la tête dans la direction qu’il m’indique. Et en effet je distingue non loin de nous, un couple qui s’est arrêté et qui semble nous observer avec insistance ….
(À suivre)
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