Le shooting photo entre Lucile, la jeune photographe trentenaire, et Antoine son covoitureur, n’est bientôt plus que prétexte à des jeux sexuels érotiques entre eux. Lucile prend progressivement du plaisir à l’exhibitionnisme, même lorsqu’ils ne se retrouvent plus seuls avec Antoine (lire E1 à E3)
Proposée le 14/06/2023 par hannibaal
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Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Histoire vraie
Épisode 4 : Quand Lucile et Antoine ne sont plus seuls à leur shooting
Après qu’Antoine se soit fait jouir, pour mon plus grand plaisir sous l’objectif indiscret de mon appareil photo, je reprends ma masturbation pour m’offrir à mon tour à son regard exalté. Et je me surprends à y prendre vraiment du plaisir.
À me caresser bien sûr - j’aime et je le pratique fréquemment -, mais aussi à sentir ses yeux fixés sur mes seins et mon entrejambe animé d’une houle langoureuse sous l’action de mes doigts.
Moi qui, jusqu’à présent, ne publie que quelques photos de charme sans vulgarité sur un réseau social, il me faut bien reconnaître que j’ai gravi quelques marches dans les degrés de l’exhibitionnisme et du voyeurisme avec Antoine !
Tout à la recherche de mon plaisir, les yeux mi-clos, j’éprouve le besoin de partager cette sensation avec mon partenaire du jour.
— Je ne comprends toujours pas comment je peux en arriver là !, je lui chuchote entre deux gémissements
— En arriver à quoi ?, m’interroge-t-il d’une voix douce et apaisante
— À me retrouver à poil en pleine nature et à prendre du plaisir à me caresser devant toi et à me laisser photographier, alors qu’il y a quelques heures tu étais encore un parfait inconnu !, je lui répond en me massant un peu plus rapidement le clito devenu très sensible
— Difficile de décrypter les mécanismes mentaux qui conduisent au plaisir de l’exhibitionnisme. Je suis dans le même cas que toi ! Tu ne regrettes pas au moins ?, poursuit-il en reprenant son appareil pour quelques gros plans de ma vulve, mes doigts enfouis dans mon antre
— Ooooh non ! Pas du tout ! Bien au contraire ! Mais je me demande si je ne suis pas une perverse, et jusqu’à quel point ?, hoquetais-je de plaisir, mes deux doigts accélérant leurs va et viens dans mon vagin dans un bruit de clapotis humides
— Peut-être, d’après ce que tu m’as expliqué, que tes relations sexuelles avec des hommes mariés sont trop centrées sur le plaisir immédiat. Manque de temps pour la mise en valeur de ton corps et de considération de tes envies plus diverses. Tes photos de charme que tu publies n’en sont que les signes précurseurs, se risque-t-il à m’expliquer sur un ton rassurant
— Oui sans doute ! Mais de là à prendre du plaisir dans l’exhibition … et le voyeurisme !, je geins au bord de l’orgasme
— Une fois tombées les barrières mentales sur le fait que le sexe est naturel et n’a rien de « sale » et celles de la pudeur et de l’indécence, ce n’est plus, je crois, qu’une question de lâché prise. Mais s’exhiber ne veut absolument pas dire baiser avec n’importe qui et n’importe quand !, achève-t-il de me convaincre.
Et je vais sans aucun doute être conduite à franchir un nouveau grand pas, puisque Antoine me prévient de l’arrivée d’un couple d’une cinquantaine d’années, par le chemin que nous avons emprunté.
L’homme, grand brun un peu massif, et la femme, petite blonde aux formes rebondies, ne cherchent pas à détourner leur promenade. Bien au contraire, ils se rapprochent résolument dans notre direction.
— Tu veux que je leur demande de partir et de nous laisser tranquilles ?, me questionne Antoine
— Non ! Non !, me surprenant moi même par ma réponses si spontanée
— Tu es sûre que c’est ce que tu veux ? Qu’ils nous regardent ?, insiste Antoine
— Oui ! je veux essayer ça ! Pas toi ? Mais juste qu’ils nous observent ! Et pas de photos de leur part, juste toi et moi pouvons en faire !, lui précisais-je
Le couple continue d’avancer vers nous. Et, sans doute pour nous rassurer qu’ils ne viennent pas à nous pour nous tancer sur notre conduite totalement inconvenante, l’homme adresse un mot à l’oreille de la femme qui déboutonne sa robe sous laquelle elle est totalement nue.
Ses gros seins un peu pendants aux larges auréoles carmins surgissent des pans de sa robe, que le type écarte sans pudeur, ainsi que sa légère toison pubienne toute aussi claire que ses cheveux.
— Certainement des habitués du coin, me murmure Antoine
— Heureusement que tu m’as accompagnée, j’aurais pu me faire surprendre seule en fâcheuse posture !, je le remercie à demi mots
— Oui ! Je pense que ton coin discret est en fait un lieu de rendez-vous des exhibitionnistes et des voyeurs, et peut-être même des échangistes.
— Si tu dis vrai, on risque d’en voir débarquer d’autres alors !
Lorsqu’ils sont à quelques mètres de nous, Antoine, d’un geste assez autoritaire, leur fait signe de stopper leur progression. Ils s’immobilisent, les yeux rivés sur nos corps dénudés.
Je dois bien reconnaître que son beau phallus toujours aussi raide, et que mes seins nus et ma main glissée dans ma vulve trempée de son sperme et de ma cyprine, ont de quoi subjuguer leur attention.
— S’il vous plaît ! Vous mâtez si vous souhaitez et vous faites ce que vous voulez, mais à distance ! Vous ne vous mêlez pas à nous, et pas de photos !, leur adresse-t-il d’une voix autoritaire qui ne souffre d’aucune discussion.
— Pas de souci ! Vous êtes nouveaux ici, non ?, lui répond calmement l’homme faisant glisser la robe des épaules de la femme, qui se trouve à son tour totalement nue, sans aucun signe de protestation
— Oui ! Ma compagne et moi sommes juste de passage et nous ne cherchons absolument pas à faire de rencontre !, insiste Antoine
Je sais qu’il l’invente pour me protéger. Mais, malgré tout, la façon dont il prononce ce « ma compagne » me fait un petit pincement au cœur, ce dont je le remercie d’un léger sourire complice.
La femme s’agenouille devant l’homme et lui baisse son short, mettant à jour un pénis assez imposant. Elle s’en empare et le branle vigoureusement pour le faire se redresser et l’enfourne goulûment dans sa bouche pour le pomper avec ardeur. Lui guide le rythme, les mains accrochées à ses cheveux, le regard toujours rivé sur nous.
— Viens puisque tu en avais envie !, m’ordonne Antoine qui attrape un préservatif dans son sac et l’enfile prestement sur son sexe dressé
— Oooh Ouiiiiii !! Mais avant, fais moi jouir s’il te plaît, j’en ai trop besoin !, je lui réponds en le poussant d’une main sur le torse pour l’obliger à s’allonger.
Agenouillée au-dessus de son visage, j’abaisse mon bassin jusqu’à ce que je sente sa langue s’insinuer entre mes lèvres vaginales et explorer mon sillon avec délicatesse.
La rencontre de cette dernière avec mon clito érigé est instantanément explosive. Tétanisée par la jouissance, mon corps s’arc-boute lorsque le plaisir me vrille le ventre, mon vagin incandescent contracté, ma bouche ouverte lâchant des petits « ouiiiiiiiiii !!! Ouiiiiii !!! Ouiiiiii !!! » plaintifs.
La bouche collée à ma chatte noyée de cyprine, Antoine laisse courir mon orgasme, mon bassin secoué de spasmes tant mon plaisir est violent. Mon esprit se vide, je m’abandonne totalement au plaisir qui me vrille le ventre.
Je ne me souviens pas avoir déjà joui aussi fort, ni mouillé autant. Ni seule, ni en baisant avec un mec. Peut-être la longue attente de ce moment durant ces quelques heures avec Antoine, et peut-être l’envie d’autre chose de plus sensuellement intime avec lui qu’il m’apporte.
— J’avoue que tu m’as fait intensément jouir Antoine, c’était délicieux !, lui glissais-je dans un souffle en reprenant place à califourchon sur son ventre, en veine de confidences érotiques avec lui
— Mmmmm ! Je crois que je m’en suis aperçu Lucile ! Tu es … comment dire … explosive ! Ta petite chatte est délicieuse !, me répond-il dans un large sourire complice, le visage encore ruisselant de ma liqueur
— Je suis contente que tu l’aimes, ça m’arrange ! Et maintenant tu vas la prendre avec ta belle queue, n’est-ce pas ?
Mue par un élan incontrôlé de tendre reconnaissance, je me penche et je prends possession de sa bouche pour un long baiser sucré qu’il ne refuse pas, bien au contraire. Dans le mouvement pour m’abaisser vers lui, son penis bien dur se cale entre mes fesses, et je le stimule par de petites ondulations du bassin.
Ooooh ! Doucement ma belle ! Tu ne vas pas tomber amoureuse de ce type qui t’est pratiquement inconnu ! Il ne manquerait plus que çà ! Bon, il est beau, prévenant et très délicat ! En plus très libre et inventif sexuellement, comme tu en rêves depuis longtemps ! Pour autre chose qu’une baise vite fait entre 19 et 20h à la sortie de ton cours de sport. Mais quand même, tu ne sais rien de lui et de sa vie ! Il est même peut-être marié, s'il le faut ! Alors calme toi !, me houspillais-je dans mon fort intérieur. Le problème, c’est que je n’ai vraiment aucune envie de me calmer !
— Ouiiiiii ! Viens te planter sur moi et nous ferons plaisir à notre cercle de spectateurs qui s’est agrandi, si tu ne l’as pas remarqué !, m’invite-t-il avec douceur
En effet ! D’un côté, se trouve le couple du début, dont la femme fait une fellation endiablée à l’homme. D’ailleurs, au vu de la crispation de son visage, l’aboutissement ne saurait tarder.
De l’autre, un second couple s’est approché discrètement sans que je les entende arriver. Elle, la soixantaine grande brune un peu maigrichonne, la jupe relevée sur les hanches, se masturbe la chatte ornée d’une abondante toison noire jambes écartées. Lui, dans les mêmes âges, la braguette ouverte, se branle la queue avec ardeur en nous regardant avec insistance.
(À suivre)
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