Un covoiturage discret

Julien s'inscrit sur une plateforme de covoiturage en espérant rentrer dans sa famille à moindre cout. Il va vivre sur le chemin une expérience à laquelle il ne s'attendait pas.

Proposée le 18/08/2022 par herossWriter

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Thème: Masturbation
Personnages: FH
Lieu: Transport
Type: Fantasme

Julien, étudiant Lillois, venait de réserver sur un site de covoiturage, son trajet Lille-Lyon, pour pouvoir retrouver sa famille quelques jours pendant ses vacances d'été.
Les modalités de la réservation étaient extrêmement simple, Emilie la propriétaire d'une Ford Focus grise, donnait rendez vous à Julien et à une autre passagère, vendredi soir aux alentours de 20h, à côté de la place de la République à Lille, pour un départ immédiat.
Seule contrainte, se limiter au niveau des bagages. Avec 3 passagers dans la voiture, pas question de venir avec deux grosses valises chacun.


Julien arriva 5 minutes en avance sur le lieu de rendez vous, une grosse valise à roulettes à ses côtés et fut agréablement surpris de voir que tout le monde était déjà là, mais inquiet, de se rendre compte qu'Emilie et la passagère inconnue, était déjà dans une discussion plutôt animée.
La troisième passagère pour ce trajet, Meg, 26 ans, était venue avec bien plus de bagages que prévus. Le coffre de la Ford Focus étant déjà bien remplis, impossible de tout faire rentrer.
-"Je l'avais pourtant indiqué dans l'annonce, de bien faire attention au nombre de bagages et à leur volume !" dit Emilie.
-"Je suis vraiment désolée", dit Meg visiblement confuse.
-"Tu es Julien ?" Demanda Emilie en direction de l'homme qui s'approchait du véhicule en les regardant.
-"Oui c'est ça. Il y a un problème ?"
-"Meg nous a amené deux grosses valises, impossible de les faire rentrer dans le coffre. Avec ta valise en plus, je ne sais pas comment on va faire".
Meg dit alors:
-"Ce n'est pas l'idéal, mais on a pas essayé de les mettre sur le siège passager avant ? On a souvent plus de hauteur de plafond, en reculant le siège on y arrivera peut être ?" dit-elle, pragmatique.
Suite à sa suggestion, la troupe entreprit une partie de Tetris grandeur nature, et parvint finalement à faire rentrer tous les bagages dans le coffre, ainsi que sur le siège passager à l'avant, comme l'avait suggéré Meg. Le siège en question avait dû être reculé à son maximum, et laissait par conséquent peu de place derrière lui.
-"Bon maintenant que c'est fait, Julien, je te conseille de prendre le siège derrière moi", dit Emilie, "tu auras beaucoup plus de place. Ca ira quand même Meg ?"
- "Pas de problème ! Je sais m'adapter." dit Meg, souriante malgré tout.


La voiture prit alors la route et commença à avaler les kilomètres. La Ford était vieille et en plutôt mauvais état. L'insonorisation était catastrophique, et on avait du mal à s'entendre parler, par dessus le bruit de la route, et de l'auto-radio qui crashait une musique difficile à entendre distinctement.
Il faisait déjà nuit, et sur l'autoroute désert, la rare source de lumière arrivant dans l'habitacle était les phares des quelques camions qu'on pouvait croiser en contresens.
La route serait encore longue, et Julien commençait à fatiguer.

Dans le vacarme ambient, Meg, qui ne lui avait pas décroché un mot depuis le départ, se pencha vers lui pour lui demander:
-"Je suis épuisée, ça te dérange si je m'allonge un peu ?"
-"Euh, je suppose que non, mais comment tu..."
-"Merci ! " le coupa Meg.
C'est alors qu'elle entreprit par un jeu de contorsions, à décaler son buste au maximum vers la portière située à sa droite, avant de faire basculer sa tête sur la gauche, et de la poser sur les genoux de Julien, interloqué.
Julien n'osa rien dire, même s'il se demandait si elle prenait souvent ce genre de libertés ?


Julien était habillé décontracté. T-shirt, et short de sport. Ce n'était pas le plus esthétique, mais c'était tellement plus confortable pour voyager. Il avait aussi sous son short, un vieux caleçon délavé, et sans aucune forme d'elasticité, tans il avait été passé à la machine de nombreuses fois au fil des années. Encore une fois, c'était moche mais terriblement confortable.

Avec Meg désormais allongée sur lui, Julien était en mesure d'observer son corps dans toute sa splendeur. Elle portait un pantalon beige plutôt moulant, des Nike rose, et un bustier imprimé d'un motif à fleurs. Elle était svelte, et semblait avoir le corps d'une fille qui pratiquait un sport très régulièrement.
Meg étant inclinée sur lui, Julien avait aussi une vue très plongeante sur le décolleté de son bustier, et il pouvait deviner une paire de seins lourds, et ferme. Le bustier était plutôt flottant, presque trop grand pour elle, et Julien arrivait presque à voir l'un de ses tétons, caché au fin fond de ce décolleté vertigineu.
Une série d'images et de fantasmes traversa en un instant la tête de Julien. Il s'imaginait faire glisser sa main gauche le long du coup de Meg, pour arriver jusqu'à ce décolleté incroyable, et y plonger la main de toutes ses forces pour caresser et malaxer cette paire de seins désormais si proches. Il ferait glisser ses doigts jusqu'à ce téton qui se laissait deviner, et commencerait à jouer avec lui, le titillant et le tordant doucement, dans toutes les directions.

Il se reprit. Il n'en fallait pas plus pour commencer à déclencher chez lui un début d'érection, et il sentait son sexe qui commençait à se gonfler, sous son caleçon lâche et ce short de sport fluide.
Il détourna le regard de Meg, pour se concentrer sur les 36 tonnes qui passaient dans son champ de vision dans la nuit noire.
Alors qu'il commençait à reprendre ses esprits, il sentit une main partir de son genoux, et remonter le long de sa cuisse. Meg venait de décaler sa tête, pour la faire remonter au niveau de sa ceinture, et son bras s'était allongé pour entreprendre de se glisser sous le short, et sous le caleçon de julien.
Sa main fine et douce, parvenait sans mal à se faufiler sous les couches de tissus lâches, et lentement elle remontait, jusqu'à atteindre sa verge à moitié gonflée.


L'obscurité était telle, et les mouvements de Meg lents et furtifs, qu'il aurait été impossible pour la conductrice de s'aperçevoir du moindre évènement derrière son siège.


Meg avait déjà entrepris de faire remonter complètement le caleçon et le short de Julien, il était à présent complètement retroussé le long de sa jambe gauche, la droite quant à elle étant resté parfaitement en place.
La petite main de Meg avait dévoilé du short, un sexe désormais dur et gonflé. Elle le tenait en position verticale face à son visage, toujours la tête posée au niveau du bas ventre du jeune homme.
Sans dire un mot, elle entreprit des mouvements de va et vient, de bas en haut.
Julien ne pouvait pas voir son visage dans l'obscurité, mais il aurait pu jurer que Meg étudiait avec attention les moindres détails de sa bite désormais libérée. Il lui semblait qu'elle étudiait du regard la forme de son gland et les veines qui couraient le long de son sexe.
Mais cette étude approfondie ne la détournait pas de la tâche qu'elle s'était auto-attribuée. Sa petite main tenait fermement le sexe imposant de Julien, et ses mouvements étaient de plus en plus rapide. Elle parcourait le sexe sur toute sa longueur, remontait faire courir ses doigts sur son gland, puis replongeait vers la base vigoureusement.
Julien avait le souffle lourd. Il faisait de son mieux pour garder le contrôle et ne rien laisser paraître, dans l'éventualité où Emilie déciderait de se retourner pour lui parler.
Meg continuait ses mouvements toujours plus intenses, Julien sentit qu'elle ne faisait pas ça juste pour s'amuser. Elle voulait désormais le voir jouir.

Julien commençait à s'abandonner au plaisir qu'il rencontrait actuellement. Il fermait les yeux. Sa bouche était sèche. Il sentait le plaisir monter.
Dans un élan de courage, il fit glisser sa main droite vers le décolleté de Meg.
Aucune réaction.
Il entreprit alors de commencer à lui carésser les seins par dessus son bustier. Mais le plaisir devenait trop incontrôlable, et toucher uniquement le bustier ne l'intéressait déjà plus. Il attrapa le bord du bustier pour le faire glisser vers le bas, et dévoiler dans l'obscurité du véhicule, les seins de Meg, bougeant à peine de leur position d'origine. Il put enfin les admirer dans toute leur superbe, les caresser sous tous les angles, et les presser à volonté. Il s'amusait à jouer avec le téton de son sein droit. Il le tordait. Rêvait de pouvoir s'incliner pour le prendre dans sa bouche, et continuer avec sa langue les tortures qu'il avait entrepris avec ses doigts.
Ce petit jeu de tortionaire, c'était l'excitation de trop, il allait jouir.
Meg pu voir son gland se gonfler encore plus. Elle sentit son pénis se raidir, et à mesure qu'il devenait plus dur, elle accélérait encore ses mouvements. Elle ne s'arrêterait pas, elle voulait sentir Julien exploser sous ses doigts. Julien aggripa le sein de Meg, figé, et dû puiser au plus profond de lui pour ne pas lâcher un énorme râle lorsqu'il jouit enfin, et que son sexe relâcha son sperme en fusion, qui coulait le long de sa verge et sur les doigts de Meg. Pendant encore de longues secondes, Meg continua ses mouvements de masturbation, avant enfin de lâcher prise, sentant Julien relâcher l'étreinte autour de son sein, et voyant son sexe qui commençait à se dégonfler.



Discrètement, elle fit glisser vers elle son sac à main qui était jusqu'à maintenant à ses pieds, l'ouvrit d'une main pour en sortir un paquet de Kleenex, et commença à les nettoyer tous les deux. Une odeur lourde de sperme commençait déjà à envahir la voiture, et Julien ouvrit rapidement sa fenêtre de quelques centimètres, avant que l'odeur n'arrive jusqu'aux places avant.
Emilie sembla ne rien avoir remarqué, et les deux passagers ne dirent pas un mot non plus.
Meg remis en place le caleçon et le short de Julien, et resta à la même place. Quelques minutes plus tard elle dormait.

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