La campagne de dénigrement contre Spittrain pourrait bien caché une affaire beaucoup plus grave, un dîner pourrait bien permettre de monter une opération à la James Bond, Cal va quand même devoir trouver un traiteur.
Proposée le 3/05/2023 par Stan23JR
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Marine, Devine qui vient dîner
30 janvier 2022 (avenue du Pavillon Sully, Le Pecq)
Suite aux révélations de Léa (Épisode L), Cal a contacté dès le lendemain, après le départ de son ancienne rivale sur leur messagerie Zoom cryptée.
Au vu des informations communiquées de la directrice commerciale, Béa était sceptique mais ne pouvait quand même pas écarter cette piste sans la creuser.
Cal demanda à Léa d’être prudente, mais aussi de ne pas prendre d’autres initiatives personnelles au risque de compromettre leur plan et surtout pour ne pas se mettre en danger, les gens peuvent être impitoyables quand il s’agit d’argent et de pouvoir.
Béa s’arrangea à la dernière minute pour faire un saut à Paris avec Brittany pour le nouvel an.
Si leurs retrouvailles furent très chaudes une fois les enfants couchés, il était quand même nécessaire de définir une stratégie.
La rousse lui annonça qu’elle avait contacté un de ces vieux amis, un ancien Marines qu’elle avait connu du temps où elle était marié à Brad.
Ce Marines s’appelait Travis Bishop et à été colonel dans l’armée américaine notamment en Afghanistan et en Irak avant de montée une entreprise de sécurité privée appelé B3K.
Cette société avait déjà piraté le système de sécurité du siège a la demande de la vice-présidente (Episode B).
B3K avait eu le temps de mener une petite enquête à Nur-Sultan au Kazakhstan où se trouvait les locaux de Digital Med Ltd.
Le bâtiment était bien protégé mais pas inviolable. Le groupe privé de sécurité arriverait à infiltrer un de leurs membres, pour pirater les serveurs.
Il devait probablement y avoir beaucoup de salle de stockage, il allait falloir les aider un peu.
Béa se mit alors à lui expliquer un plan à la James Bond ou SAS, une véritable opération d’espion.
Bishop lui avait dit qu’il devrait pirater les téléphones d’Antoine et d’Antonin et probablement en même temps.
Le défaut des matériels utilisés pour ça,
c’est que sans un brouilleur efficace, ils toucheraient les données de tous les téléphones dans un rayon d’au moins 300 m à la ronde, ce qui pouvaient représenter des milliers d’appareils, surtout si c’était au autour du siège où dans un restaurant.
Ils leurs faudrait donc les réunir les Dumarais père et fils dans un endroit où les équipes de Bishop auront pu au préalable installé des brouilleurs.
Une fois les téléphones piratés, il leur sera plus facile de savoir ce qu’ils devront récupérer au Kazakhstan.
Béa eut donc une excellente idée : un contrat allait vraisemblablement être signé entre Spittrain et la nouvelle entité australo-américaine d’ici au 20 janvier et dans ce cas là, on organisait toujours une immense réception avec la plupart des parties concernées pour célébrer l’accord, surtout quand l’affaire portait sur 550 millions de dollars.
Le patriarche et PDG du groupe Power : Joseph, allait refuser d’être présents à la
réception, car lui et sa femme Thérésa étaient devenus de vrai parano à cause du Covid.
Il n’acceptait plus que des galas ou des réceptions en petit comité ou tous
les participants devaient être testés au préalable.
Après ce refus, Béa solliciterait donc Tatie Françoise qui les les connaissait bien pour organiser une petite réception chez Cal avec des invités triés sur le volet et en nombre restreint, afin de rassurer les Power.
Elle était persuadée que Tatie allait réussir à les convaincre.
Elle était forte sa Béa : tout s’est déroulé comme elle l’avait prévu et donc un dîner serait organisé chez Cal le 3 février 2022.
La liste des invités fut affinée par chaque entreprise, cela donnait :
Pour Spittrain :
Antoine, sa sœur Françoise avec son époux Vincent Claudel, son autre sœur Danielle avec son assistant Mehdi qui tout le monde le savait faisait office de toyboy, les deux vice - président(e)s Béa et Antonin, leurs directeur commerciaux : Cal et Léa.
De plus, Antonin serait accompagné par sa conquête du moment : la ballerine russe Aleksandra Fedorova.
Enfin le dernier membre de la délégation serait le directeur général historique du groupe : Simon Beschler.
Pour McEwen Fly :
le PDG du groupe Randy McEwen ainsi que ses deux assistantes Carly Norton et Sue Anne Grey.
Et enfin pour Power Aeronautics :
Joseph et Theresa Power donc ainsi que leur fils, l’actuel Directeur Général Exécutif Mike qui deviendrait avec le nouvel accord, le nouvel homme fort du groupe, il était accompagné de son actuel numéro 2 : Rick Shepherd.
Béa lui rappela quand même que même que si ce dîner était un faux prétexte pour leur opération secrète, il fallait quand même faire bonne impression auprès de leurs clients. Le repas devait être de qualité et il faudra trouver un chef pour s’occuper du repas de la réception.
Cal s’est d’abord adressé à son ami Fabien qui dirigeait le restaurant Au bon Morbier (épisode D) mais celui - ci déclina. Le
restaurateur, n’étant pas disponible, lui a recommandé une de ces anciennes chef de cuisine qui depuis s’était mise à son compte : Marine Brenier.
Il avait prit contact avec elle dès le 4 janvier avant même la réponse de Joseph Power donc.
Plusieurs rendez - vous en visio sur Zoom eurent lieu pour déterminer ce qu’il voulait ou ne voulait pas pour préparer le repas et choisir le menu.
Elle arborait un carré blond platine rendant ces cheveux presque gris par endroit, mais on voyait quand même ses racines brunes en dessous.
Une barrette, or en forme de feuille accentuait bien sa couleur.
Plusieurs rendez-vous furent pris à son atelier afin que notre héros puisse goûter déjà certains plats. Marine, quant à elle, portait toujours sa tenue blanche de cheffe, ainsi que sa toque. Il ne put donc pas vraiment donc se faire une idée de son physique.
Le dernier rendez-vous avait été fixé chez lui pour le repas test le 30 janvier soit à 5 jours de la réception.
Dans un style très décontracté : Elle portait un slim bleu marine qui moulait parfaitement son fessier avec une paire de converses haute également bleu. En haut, elle avait opté pour un top en maille transparente noir avec des motifs à fleurs, afin que son soutien – gorge ne soit pas trop visible, le tout recouvert par une veste d’aviateur rembourré.
Devant l’air ébahi de Cal, la cheffe sut aussitôt qu’elle faisait auprès de lui son petit effet. Cal, de son côté, impressionné par Marine, se mit à penser, qu’elle avait volontairement caché ses atout lors de leur précédant entretiens zoom.
En attendant, ils avaient du travail à faire et pas qu’un peu. Il l’aida donc à décharger l’ensemble de son matériel de sa voiture.
Sa cuisine se transforma en champ de bataille, mais très bien organisés bien sûr. Divers plats furent préparés. Il goûterait à différentes choses et il conserverait ceux qui pour lui conviendraient le mieux pour lui et pour ses invités.
Il testa, tout un panel de saveurs, du doux, de l'amer, du plus onctueux, du salé, du sucré…, le tout en petite quantité bien sûr. Après une longue hésitation, le choix n’étant pas simple à faire, il finit par retenir en entrée :
Des huîtres gratinées, noisettes et parmesan dont la particularité est le sabayon œuf-beurre qui englobe le crustacé.
En plat, sera servie une compoté de poireaux qui se marie parfaitement avec les Saint Jacques et agrémentée d’une chantilly de chorizo. L’originalité de ce plat tenait, comme lui expliquait a expliqué Marine, au dressage qui faisait toute la différence.
Enfin en dessert, après moult essai, il opta pour des bananes rôties au miel avec de la vanille et de la cannelle sans oublier la quenelle de glace pour apporter une touche technique.
Ils se posèrent l’un en face de l’autre au niveau du bar où elle leur avait servi des rolls de jambon pata negra avec poire et roquette façon Maki japonaise, le tout autour de deux grandes bières Leffe.
- Je sais par Fabien que vous avez travaillé pour lui pendant deux ans commença Cal, puis vous vous êtes mis à votre compte, c’est bien cela ?
- Oui, j’ai pendant longtemps été la numéro deux d’Agnès (l’épouse de Fabien) et puis est arrivé le confinement en France qui a été un déclencheur pour moi, à ce moment là je me trouvais à Dubaï et vu que je ne pouvais pas rentrer. De toute manière, même si je pouvais rentrer…
- Vous n’auriez pas pu reprendre le travail, c’est bien cela ? A conclue notre héros.
- Oui, tout à fait. J’ai eu l’opportunité par un ami sur place de me mettre à mon compte, il m’a loué des locaux à un prix dérisoire et cela m’a permis de me lancer sur place.
Après avoir bu un peu de sa Leffe et tout en observant ses réactions, elle reprit :
- Ce qui n’était au départ qu’un job d’appoint en attendant de pouvoir reprendre une activité et devenu mon activité principale. Ça m’a donné l’occasion de varier ma clientèle, de faire des choses que je n’avais pas l’habitude de faire, d’innover. Et puis, je suis mon propre patron et ça, c’est un confort indéniable même si j’ai adoré travaillé pour Agnès et Fabien.
- Oui, vous inquiétez pas, Fabien a été dithyrambique quand il vous a recommandé, vous avez laissé un excellent souvenir au Bon Morbier.
Il but un peu de son verre, prit un rolls de jambon qu’il trouva vraiment très bon et reprit.
- Je suis un peu curieux, sans indiscrétion, vous avez dû faire beaucoup de réception, quel est votre meilleur souvenir ou le repas le plus étonnant que vous ayez organisé.
Elle sembla réfléchir et ses yeux semblèrent s’illuminer à ce souvenir, elle se racla la gorge et commença :
- Il se trouve qu’il y a moins d’un an de cela, j’ai organisé le repas de fin de tournage d’une production Marc Dorcel.
J’étais là au milieu des équipes techniques, des acteurs et des actrices, il y avait quand même du beau monde : Anna Polina, Lana Rhoades, Lana Roy, mais aussi Ian Scott, Kristof Cale.
L’organisateur du repas m’avait dit vouloir maintenir une ambiance relativement chaude donc c'est limite s’il ne m’a pas demandé de mettre du gingembre dans tout les plats.
À la façon dont elle se tortillait sur son siège, il se doutait comment cela avait fini pour la soirée et pour elle.
- Je vois à votre tête que vous imaginez la scène et je ne vais pas vous détromper, oui cela a terminé en mode partouze, c’était aussi chaud que l’espérait l’organisateur.
J’étais un peu gênée au départ, je les ai laissé faire leurs petites affaires et puis à un moment donné, l’un des acteur Kristof est venu vers mon stand, il était totalement nu et il avait une de ces triques, je n'ai pas résisté, en moins de 20 secondes, je me suis agenouillé pour lui tailler une pipe.
Cal commençait à trouver la tournure de la discussion tout à fait intéressante et l’invita à continuer.
- J’étais un peu perturbée de faire ça devant tout le monde, alors il m’a attirée vers la cuisine. J’avais déjà fait ça dans une cuisine. Disons que vu mon métier c’est un peu normal, mais c’est la première fois que je faisais ça avec un professionnel de la chose.
Il était vraiment très doué avec sa bite et à la fin, j’en ai même redemandé tellement, il m’avait fait grimper au rideau.
Quand elle eut terminé son histoire, ses pensées semblaient toujours là-bas, mais il perçut un éclat qu’il connaissait bien désormais dans le regard des femmes, il ne fut pas trop surpris de la tournure des événements.
Comme par enchantement, elle renversa par inadvertance sa bière sur son pantalon et pile au niveau de l’entrejambe.
- Oh, mon Dieu, que suis-je maladroite ? Je vais vous éponger cela dit-elle tout en prenant une éponge et en se mettant à genoux au niveau de son tabouret de bar.
Ce qui était sur c’est que ce n’est pas en s’y prenant comme elle faisait qu’elle allait nettoyer son pantalon, Marine étalait la bière sur son pantalon au niveau de sa braguette qui bientôt se retrouva ouverte avec sa queue emprisonnée dans la main de Marine.
Elle avait un regard affamé et très vite sa bite se retrouva au chaud entre ses lèvres, sa langue jouant langoureusement avec son méat. Il se laissa aller en arrière et savoura la douce fellation de Marine.
Elle l’aspirait très rapidement comme une ventouse, le ressortit pour le lécher comme un cône glacé sur toute sa longueur à plusieurs reprises, prit ensuite chacune de ces boules en bouche et lui fit subir un traitement royal à base de léchage et d’aspiration.
Marine savait y faire la donzelle, elle badigeonna son gland et son pubis de crème fouettée et lécha le tout avec gourmandise.
Cal resta béat quand elle trempa son doigt dans la confiture de fraises et l’étala du haut vers le bas de sa bite pour venir ensuite lécher toute la mixture. C’était très agréable.
La blonde recommença l’opération plusieurs fois avant de passer la vitesse supérieure et de pomper de plus en plus fort. Si bien qu’il finit par se laisser aller et lâchant une quantité conséquente dans la bouche bien accueillante.
La cheffe de cuisine absorba le tout sans broncher tandis que notre beau brun se vidait en des rasades plus ou moins conséquente, elle lui montra ensuite sa bouche remplie de son foutre et en avala le tout en plusieurs déglutitions.
Cal put admirer son string qui dépassait de son slim pendant qu’elle récupérait les dernières gouttes de son foutre, cela lui redonna un surplus de force.
Il se débarrassa prestement de tous ces vêtements qui allaient finir par coller puis il entreprit de la déshabiller.
Sous le haut transparent, Calvin découvrit un soutien - gorge bleu foncé, collection savage not sorry by Rihanna, un modèle sans armature, mais avec bretelle, en bas une fois retirée le slim, le string coordonné.
Il l’assit dans le tabouret de bar, lui baissa les bretelles de son soutien pour saisir ses deux seins à pleine main, la faisant gémir puis déposa une liquette de crème de marron sur chaque pointe et lui lécha, la faisant crier encore plus fort.
Il recommença l’opération avec divers ingrédients tels que la crème anglaise, des groseilles ou des morceaux de fraise, la faisant soupirer toujours plus fort.
Mais Marine gémit plus fort quand il dégusta une huître sur sa chatte après l’avoir aspergée de citron avant de lui faire partager la sauce mélangée à sa cyprine.
Ses doigts n’étaient pas restés en reste pendant ce temps-là puisque qu’il lui avait doigté la chatte et le cul si bien que c’est elle qui se retourna, monta à l’envers sur le tabouret de bar et lui présenta bien haut son fessier.
Cal comprit parfaitement le message et sans ménagement, il s’enfonça mètre après mètre dans son rectum. Mais au bout d’un moment sa prudence, faisait trop languir Marine.
Prenant appui sur la table, la blonde s’enfonça à fond son pénis dans son fondement, poussant au passage un cri extatique.
La cuisinière ne voulait pas de précaution, il est vrai qu’elle avait été défoncée par un acteur porno donc notre beau héros la besognait sans ménagement.
À un moment, il l’attrapa par les cheveux qu’il roula en boule dans son poing et s’enfonça encore plus fort après l’avoir bien cambré.
Il regarda vers le bas et n’hésita pas à lui écarter les deux globes pour pousser encore plus loin.
C’est Marine qui initia le changement, le repoussant et se retournant sur le tabouret où elle se coucha presque et écarta au maximum ses deux jambes qu’elle écarta au maximum.
Il s’enfonça dans sa chatte qu’il n’avait pas encore visitée, fit quelques allers-retours, puis vint investir son cul juste en dessous à nouveau. Il alterna plusieurs fois entre les deux orifices et chaque fois qu’il ressortait, le beau pineur ne laissait que le bout du gland à son entrée, la regardait et dès qu’il parvenait à capter son regard, Cal se renfonçait tout aussi brutalement.
La cheffe de cuisine perdait de plus en plus le contrôle à chacun de ses coups de butoir, il l’attrapa ses cheveux blond platine par en dessous et la força à le regarder alors qu’il accentuait ses coups et qu’il trifouillait son clitoris avec ses doigts.
Il vit et sentit avant de l’entendre sa jouissance poindre le bout de son nez. Celle-ci explosa donc sous ses yeux. Ses muscles se raidirent, elles avaient enfoncé ses ongles dans ses fesses et ses yeux se révulsèrent alors qu’elle exhalait un cri qui venait du plus profond de son être.
Sa jouissance emporta la sienne, il n’eut pas le temps de ressortir et lui fit un beau creampie qui badigeonna le fond de son cul de foutre.
Il y en avait tellement que cela débordait de son cul, il se pinça légèrement pour en extraire les dernières gouttes.
Marine était totalement indécente avec les cheveux défaits et reposant sur la table, le corps avachi sur le tabouret de bar, les jambes écartées avec son sperme qui coulait.
Le directeur commercial n’en avait pas fini avec elle et la vue de son corps à moitié nue lui redonna de la vigueur, mais il avait aussi le corps qui collait donc il joint l’utile à l’agréable en lui proposant une douche qu’elle accepta volontiers.
Il eut donc le loisir d’être sucée dans la douche à l’italienne du rez-de-chaussée, elle s’était, en effet, placée à genou entre ses jambes, sans oublier la partie endiablée qui suivit sous la cascade d’eau chaude où il la prit par tous les côtés et dans tous les trous.
Cela avait été une magique nuit, mais dès le lendemain, leurs opérations secrètes se rappelèrent à lui avec la venue des hommes de Bishop déguisés en équipe de livraison d
de meubles.
La mission consistait à installer des brouilleurs un peu partout chez lui, afin de restreindre la zone de piratage. Sans oublier l’installation de l’appareil qui servirait au vol des données, un petit boîtier qui était à peine plus grand que la Box TV de chez Orange.
Le jour dit, il put recevoir en grande pompe tout ce petit monde. Le plan de table qu’il avait fait avec Béa, l’avait placé à côté d’elle en face d’Antonin et de Léa notamment.
Antoine était entre Joseph Power et Randy McEwen, tatie Françoise et son mari furent mis à côté de monsieur Power et son épouse, car ils se connaissaient et c’est grâce à la tante de Béa que le dîner pu être organisé.
Béa et lui se marrèrent bien ce soir-là, surtout en voyant les attitudes concupiscentes des uns et des autres. Simon Beschler était au bord de l’apoplexie, rouge comme une écrevisse, il avait du mal à se détacher du décolleté sans soutien - gorge d’Aleksandra Fedorova (pour sa défense, le décolleté tout comme la robe semi transparente était presque indécente).
Tatie Danielle écoutait les conversations de façon discrète, mais on voyait qu’elle attendait avec impatience le moment où elle serait seule avec Mehdi qui curieusement regardait très souvent à gauche de Mike Power, vers Rick Shepherd.
Apparemment le toyboy n’était pas qu’hétéro, ce qui devait être le cas aussi de Rick qui le regardait avec bien peu de discrétion, Mike Power ne voyait pas le manège de son adjoint, engagé soit dans les discussions soit les yeux tournaient vers les deux assistantes de Randy qui ne semblaient pas farouches du tout. Leurs patrons lui aussi semblaient pressés que le repas se termine pour probablement s’envoyer en l’air dans un beau foursome.
Antoine lui semblait bien soucieux, il écoutait et répondait à ses interlocuteurs, mais regardait souvent son téléphone comme s'il attendait un coup de fil important.
Les Power et les Dumarais-Claudel semblaient bien indifférents à cette ambiance électrique, au contraire, ceux sont eux qui furent les plus sensibles à la qualité du repas et félicitèrent le plus chaudement Marine.
Il fut content de voir Tatie Françoise et son époux échangeant leurs coordonnées avec la cuisinière professionnelle, signe qu’elle allait remporter un autre contrat.
Sitôt la fin du repas, beaucoup repartirent les étoiles pleins les yeux.
Les Claudel raccompagnèrent Joseph Power et son épouse au Bristol. Mike avait encore des détails à régler avec Randy McEwen et se rendit à la villa que ce dernier avait loué à Saint-Cloud.
Tiens Tatie Danielle proposait à Rick de le raccompagner à son hôtel avec Mehdi, cela promettait.
Antoine Dumarais, après avoir salué tout le monde, s’engouffra dans son véhicule et fila avec son chauffeur vers une direction inconnue.
Il proposa à Marine de revenir pour l’after chez lui d’ici une heure le temps qu’elle repasse par son atelier. Léa était partie la première prétextant qu’elle voulait repasser par le siège pour superviser l’écriture de l’accord définitif, ce qui n’eut même pas l’air d’étonner son patron, qui de toute façon n’avait d’yeux que pour Alessandra, mais devrait supporter encore un peu Simon.
Son patron Antoine l’avait quelque peu oublié et il se retrouvait sans véhicule pour rentrer et plutôt que d’attendre un Uber, il repartit avec Antonin et la belle blonde donc.
Béa et lui attendirent un peu avant de voir Léa revenir discrètement. Elle fut suivie quelques minutes plus tard par Bishop, qui avait avec lui plusieurs disques durs. Le visionnage leur fit avoir d’abord plusieurs fous rires.
Les données des téléphones de tous les invités avaient été extraites. Ceux qui étaient au courant, comme Béa, Léa et Cal n’avait laissé dit que des banalités. Le téléphone de Marine leur appris que Cal était un excellent coup selon ces échanges de SMS avec sa sœur, sous les rires
des deux demoiselles et le regard peu étonné de Bishop (il devait être habitué de ce genre de révélation.)
Rien de concluant ne vint des téléphones des personnes les plus calmes de l’assemblée.
Par contre les échanges de SMS entre Mehdi et Rick remontait à avant la soirée preuve qu’il se connaissait déjà, ils apprirent notamment que les deux hommes avaient rendez-vous à l’hôtel sous le patronage de Danielle afin d’obtenir des informations sur Power Aeronautics par Rick.
Les données issues des téléphones de Randy et Mike furent bien fructueuses, notamment une série de photos et de vidéos où l’ont voyait Carly et Sue Anne en maillots de bain en train de s’embrasser dans la piscine, les deux en train de faire un strip - tease en lingerie, Carly en train de sucer Randy probablement filmé par Mike, celui - ci avec l’appareil en contre - plongé au dessus d’une Sue Anne totalement nue lui taillant une pipe.
Beaucoup d’autres vidéos les montraient en train de copuler, chaque fille prise en sandwiches, et même une incroyable de Carly subissant un double anale. Et enfin les deux filles à quatre pattes côte à côte en train d’être sodomisée par les deux hommes goguenards, avant de lâcher une avalanche de foutre sur des culs très accueillants.
Après ces belles vidéos, des mails qui prouvaient notamment, que cette opération servait surtout à Mike pour rapidement supplanter son père aux méthodes d’un autre temps. Randy lui y voyait le moyen de s’implanter aux USA.
Mais les informations les plus intéressantes vinrent des téléphones d’Antoine, de son fils, de Simon Beschler et d’Aleksandra.
Nos trois protagonistes furent très étonnés. Sur le téléphone de la Russe, des photos d’Antoine dans des situations scabreuses avec diverses filles, et probablement des prostituées, dont certaines devaient être à peine majeures, mais également avec elle, preuve qu’elle couchait avec le fils comme avec le père.
Ils ne furent malheureusement pas surpris d’apprendre que la campagne de dénigrement de Spittrain par des comptes Twitter tel « Stukas 72 » et lancé par Digital Med Ltd avait bien pour commanditaire Antonin avec les fonds de son père venant d’une société de production : Riverside Vision, dont le patriarche était actionnaire.
Mais ils découvrirent des choses encore plus intrigantes sur une boucle de messagerie cryptée Telegram avec deux hommes d’affaires chinois.
En effet, Le 26 décembre, un certain Hanyu Chen affirmait à Antonin que lui et son associé Hong-Kongais Jimmy To avaient créé le Joint Venture domicilié à Macao comme prévu par l’accord tripartite passé ensemble le 14 décembre. Le nom de l’entité était Iron Fortress.
Le 27, le fils du patron de Spittrain lui a
annonçait qu’il avait été décidé avec son père en conseil stratégique, que Simon Beschler leur directeur général, accompagné par Aleksandra Fedorova, se rendrait en Russie dès le début du mois de janvier.
Que la danseuse étoile devait l’introduire auprès des investisseurs et qu’à cette occasion, il récupérerait les contrats signés, ainsi que le montant des investissements comme prévu en cash.
La suite du message informait monsieur Chen que Simon irait superviser
les transferts des outils de production de Nijhni Novgorod, d’Oufa et de Iekaterinbourg vers Douchanbé, Tashkent et Hotan dans le Xinjiang et c’est là que lui et Aleksandra rencontreraient leur interlocuteur privilégié Matt Le Garrec qui ramènerait comme prévu les mallettes à Pékin.
Enfin, Antonin, l’informa que tout serait près pour la phase 2 de l’opération « Stuckas 72 », comme lui avait assuré Lazarov et son patron Sandor Rymski.
Le transfert des unités de production avant le début de l’opération spéciale permettrait d’être en phase avec les futures demandes de la communauté internationale car il ne resterait bientôt plus que les administratifs sur site.
Chen le félicitait pour ses avancées et lui répondit que Le Garrec lui transmettrait les dernières évolutions après leurs entrevues. Il conclue en lui souhaitant de bonnes fêtes de fin d’année.
- Mais c’est quoi ces méthodes, on se croirait dans un roman d’espionnage commença Cal, des contrats en format papier, des mallettes d’argents liquides et plein d’intermédiaires. Moi, je vous le dis, ça ne sent pas bon. Je n’arrive pas à le croire. Ce faux-jeton de Beschler est impliqué jusqu’au cou. Et puis c'est quoi cette opération spéciale ?
- Franchement, j’en ai aucune idée, lui répondit Léa. Par contre, je connais Le Garrec, il est de mon agence à Shanghai, c’est un petit frimeur de première. Il est rattaché à la cellule juridique. C’est une lèche-botte qui ferait tout et n’importe quoi pour réussir et là, on est vraiment proche du n’importe quoi.
- Moi ce qui me choque enchaîna Béa, c’est qu’apparemment l’opération de cyberattaques va passer dans une nouvelle phase. Qu’est-ce qu’ils vont faire ? Et puis pourquoi déplacer nos unités de production. Les usines que cite Antonin en Russie compose la quasi - intégralité de notre capacité de production sur place. Et enfin pourquoi ce joint - Venture si ce n’est pour lancer une OPA probablement agressive. Moi, je pense qu’ils vont tenter de s’emparer de Spittrain, vraisemblablement avec de l’argent sale.
Je ne le connais pas vraiment ce Chen, mais To lui, je le connais, il possède bons nombres de casinos à Macao et à Hong – Kong. Les rumeurs disent qu’ils seraient téléguidés par les Triades. Cela ne me dit rien qui vaille.
Bishop, qui jusque-là était bien discret, se racla la gorge et se lança :
- Effectivement Béa, tes rumeurs sont bien fondées. Les informations que je tiens des renseignements américains c’est que To est lié aux Triades de Hong – Kong. Chen lui est plutôt proche du pouvoir chinois. Il semblerait qu’il fasse partie du cercle restreint du premier ministre. C’est un entrepreneur qui est habitué à faciliter les
opérations financières. Il a beaucoup d’entregent, il connaît pas mal de monde. Par contre moi ce qui m’inquiète plus c’est que Rymski soit lié à cet affaire. C’est un ancien des forces spéciales, un Spetsnatz. On le dit même faisant partie du FSB, notamment à l’époque de l’assassinat de la journaliste Anna Politotskaïa.
Après quelques secondes, il reprit son exposé :
- Nos dernières infos disaient qu’il a dirigé un temps la prison du Loubianka à Moscou, c’est une prison de sinistre mémoire où toutes sortes d’acte de torture sont pratiqués, on a un peu perdu sa trace et il semble s’être reconverti dans l’agence de communication et de conseil en digitale.
Voyant leurs mines atterrées, il rajouta avec plus d’espoir :
- Je ne sais pas ce que ce beau monde fait dans cette aventure, mais ce que je sais, c’est qu’on a désormais assez d’élément pour notre opération à Nur – Sultan. Laissons mes équipes se charger du reste. Profitez de votre after. Faites comme si de rien n’était pour donner le change, je ne manquerai pas de vous tenir au courant.
Il quitta sa maison juste quelques minutes avant le retour de Marine avec qui ils trinquèrent à la réussite du dîner.
Cal se dit qu’ils ne pourraient rien faire de plus à l’instant T, donc autant profiter du moment présent.
Il se le dit encore plus une vingtaine de minutes plus tard quand la rousse, la brune et la blonde rampaient à quatre pattes sur son parquet avec le cul bien tendu en direction de sa bite qui n’avait jamais été aussi dure.
Ces problèmes à cet instant-là lui paraissaient tellement loin.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Commentaires de l'histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email