Entre ses mains 2

Enfermée dans cette grotte, je me surprends à aimer son petit jeu. J’ai joui comme jamais la dernière fois . Mais je compte bien lui montrer que j’apprends vite et que je peux être surprenante. Je suis peut-être aussi cinglée que lui ?

Proposée le 26/04/2018 par Lectra

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Thème: Femme dominée
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme

Il est parti fâché, en me laissant seule dans ce trou à rat.
C’est sûr, je le déteste. Il ne peut pas me garder prisonnière. Il n’a aucun droit. Je suis révoltée, honteuse d’avoir aimé sa façon de me toucher, ses pratiques douteuses. Et pourtant, j’ai joui comme jamais.

Mais me voilà enfermée dans cette grotte, à tourner en rond. Que voulait-il me dire par « mon dressage »? Ça m inquiète. Mais pour l’instant, j’ai qu’une idée en tête. Je veux me tirer de là, rentrer prendre une douche et ne plus jamais le revoir.
Je regarde autour de moi, des murs recouverts de moisissure et cette horloge que je vais finir par démonter. Son tic-tac me rend complètement dingue.

Un bruit me fait sortir de ma causerie solitaire. C’est lui.
- Salut! Je t’ai apporté à manger. Viens t’assoir en face de moi car on a aussi à parler. Et dépêche-toi, je n’ai pas la journée. Déjà que tu as été vilaine hier soir.
- Je viens seulement parce que j’ai faim. Je veux que tu me laisses partir. Je ne suis pas ton esclave.

Il me saisit par le poignet, me tordant le bras, m’obligeant à m’assoir sur la chaise en face de lui. Il avait préparé un magnifique menu salade, sushi, vin, même des bougies, un parfait tête-à-tête. Mais je m’en fous, je veux sortir.
- Mange, s’il te plaît tu auras besoin de force.
- Pour m’enfuir et te poignarder?
- Ne dis pas de bêtises. Je vais te traiter comme une reine. Tu auras de bons repas, des parfums, des belles robes. En échange, je veux ta soumission. J’entends par là que sexuellement ton corps, tes orgasmes m’appartiendront, que tu m’obéisses et sois mienne pour les 3 prochains mois. Grâce à moi, tu vas apprendre à connaître ton corps, tes zones érogènes, la façon de parvenir à des orgasmes puissants...Tu me remercieras à la fin et tu me supplieras de te garder.

- Tu es fou de croire que je vais accepter. Mais j’avoue que hier soir j’ai adoré. J’accepterai si tu me laisses également te dominer, t’attacher, t’humilier au moins 1 fois par semaine, disons les mardis. Et on est mardi.
- Tu es dure en affaire. Tu m’énerves. Mais j’ai tellement envie de toi, de ton cul, de ta chatte étroite, que je ne peux pas refuser.
Mais ce sera juste le soir et tu as droit à une heure pas une minute de plus. Pour l’instant je vais m’occuper de toi. Enfin, tu vas t’occuper de toi. Je t’explique:

De un, tu iras tous les matins te prendre une douche sous la cascade au fond de la grotte. Tu auras à disposition gel douche et parfum de marque. Elle est un peu fraîche et ça va raffermir ton petit cul de salope.
De deux, toutes les heures tapantes, tu te masturberas devant la caméra. Je veux voir tes doigts entrer dans ta chatte. Je veux voir ton clitoris se gonfler et interdiction de simuler et de sauter une heure, sinon ma cravache marquera ta peau de soumise.
Et de trois, à 15h tu m’attendras sur le lit, à quatre pattes ton cul en l’air. Pour que dès ma venue, mes yeux se figent sur ta petite rondelle et sur ta chatte luisante.
-Tu es malade mon gars. Je ne vais pas me toucher toutes les heures devant une caméra.
-Tu te tais petite chienne. Je te laisse et ne déçois pas ton maître.
Il se tourne vers les caméras les enclenche et part en m’embrassant sur le front.

Je suis à nouveau seule. Je suis perdue. Il rêve s’il pense que je vais exaucer toutes ses demandes. Mais le voir en colère, me faire cravacher, ça me fait peur.
Tic tac , tic tac... cette horloge elle rythme ma vie dans ce trou.

Ding dong, il est 13h merde ! Je dois me masturber devant cette caméra. Je me sens pas du tout à l’aise. Pense à autres choses. Je me couche sur le ventre, mes doigts ajustés sur mon clito. Je le touche en imaginant sa bouche. Mes seins réclament mes caresses. Je passe mes mains sous mon t-shirt et palpe ma poitrine. L’excitation me gagne. Je commence à respirer plus fort, plus vite. Mes doigts s’invitent au fond de ma fente. Je rentre et sort mon plaisir coule et salit les draps. Je suis plutôt clitoridienne, donc je sors de mon trou et stimule ma petite fleur. Je sens l’orgasme monter dans mon bas ventre. Je pince mes seins et mon clito. J’aime prendre mon temps, mais là il est compté. Tous mes muscles se contractent et j’explose.

Il est 13h35. Oh! je dois recommencer dans 25 min, mais je vais mourir. Pfff! en attendant, je vais essayer de me laver sous cette cascade. Je me déshabille. Je m’approche de cette douche naturelle. Je passe une main sous le jet. Elle est glacée. Je ne pourrai jamais me laver là-dessous. Mais je sens le sexe à plein nez. Je passe une jambe. J’ai des frissons partout. Mes seins sont tendus et me font presque mal. Je me frotte en vitesse. Le shampoing sent trop bon.

Ding dong ! Non! il est déjà 14h. J’ai pris beaucoup trop de temps à essayer de rentrer sous cette eau. Je me rince en vitesse. Je n’y arriverai pas. Je sors de l’eau, attrape le peignoir, je cours sur le sol caillouteux, je me lance sur le lit, les cheveux trempés dégoulinant le long de mon dos. Il est 14h10. Je suis en retard il ne va pas être content. Je tente de me toucher, j’y arrive pas. Je suis gelée.
J’ai une idée, je vais dans une armoire et en sort un vibro rose de belle taille. Ça va me sauver. Je l’enfonce directement au fond de ma chatte et je l’enclenche . Oh oui! Vibre au fond de mon ventre. Je dois jouir au plus vite. Je me touche de plus en plus, me caresse, je l’active au maximum faisant monter l’intensité des vibrations. J’arrive enfin à sortir un petit orgasme. Je ne tiendrai jamais le rythme . Et à 15h, il va arriver. Je m’effondre sur le lit, je pleure, je craque.

Tic tac ... tic tac...
Il faut que je me reprenne, il arrive dans 5 min et comme je lui ai désobéis que je me suis mise sur le ventre et qu’en plus j’étais en retard. Je vais prendre, c’est sûr. Je tremble déjà en pensant à la morsure de la cravache.

Ding ding , il est 15h. Je m’installe sur le lit, j’ai envie de le narguer, mais je me sens trop faible. Alors comme sa petite chienne, je me positionne à 4 pattes, mon cul en l’air dévoilant toute mon intimité.

- Salut beauté ! Oh! J’aime cette vue. Ton cul est un plaisir pour mes yeux. Je me régale et bande déjà comme un taureau. Ton corps est sublime. Reste comme ça encore un moment que je prenne quelques clichés.
- Arrête tes conneries je veux que tu me considères comme ta copine, un être aimé, pas comme ton esclave.
- Si tu savais à quel point je te vénère. Je vais te faire tellement jouir, avec tellement d’amour, d’intensité que tu comprendras à quel point je t’ai dans la peau.
D’ailleurs voici un bracelet. Je veux que tu le portes 24h/24h, signe de ton appartenance et de ta fidélité. Je t’ai également acheté cette robe, car on va sortir tout à l heure. Je n’aimerai pas voir ta tête au info pour une disparition, donc tu iras chez toi annoncer à ta famille que tu pars en vacances, pareil pour tes cours. Tu as 2h30. Puis tu me rejoindras devant le bar « La Corde Rouge » ok?

- Non tu es fou ! Jamais je ne serai à tes ordres. Sitôt que je mettrai les pieds dehors tu ne me reverras plus.

À ces mots, il me saute dessus, tire mes bras derrière mon dos. Il les attache avec sa ceinture, ma tête écrasée contre le coussin. Mon cul toujours en l’air, il profite pour me fesser violemment.
Une! pour le retard,
Deux! car tu t’es caché devant la caméra,
Trois! pour ce ridicule orgasme, Quatre! pour ta méfiance,
Cinq! pour ta désobéissance.
Mon cul est écarlate. Je ne pourrai plus m’assoir pendant des heures.
- Je vais te faire voir qui est ton maître.
- Je ne veux pas, laisse-moi.

Il se lève, tourne autour du lit. Il est furieux. Il s’approche de moi, desserre la ceinture et m’enlace, me serre dans ses bras.
-Pardon, je suis désolé. Tu n’étais pas prête à ça.
Je n’y comprends rien mais je me laisse aller dans les bras de l’homme que j’aime. Je ne peux m’empêcher, je le déshabille, je l’embrasse, je me colle à lui. Je veux respirer son odeur, boire sa salive, avaler son pré-foutre, caresser sa belle bite, m’empaler sur sa poutre. Je veux le baiser à ma façon.

Toute ma haine s’est envolée. Ce gars me rend dingue. Je lui enlève sa chemise bleue, je déboutonne son pantalon qui tombe à ses pieds, puis je libère enfin son sexe. Je le pousse sur le lit. Je tire sur les lanières que j’avais repérées sous le matelas et lui ligote les bras, je fais pareil avec les jambes, le voilà en croix à ma merci.

J’apprends très vite et je compte bien le lui montrer.
Je suis toujours nue. Je me tiens debout au-dessus de son corps d’athlète. J’imagine de la musique et je me pavane, je me déhanche.

- Regarde-moi bien. Je préfère 1000 fois me masturber devant tes yeux que devant tes fichues caméras.
Je caresse mes jambes montant direction ma chatte, j’y plonge un doigt et le porte à ma bouche. J’effleure mon ventre, pince mes seins et quand je me sens bien mouillée, je m’agenouille juste au-dessus de sa bouche.
- Oh! oui bouffe-moi, lèche-moi. Tu pourras respirer que quand je l’aurai décidé. J’attendrai que tu suffoques.
J’écarte mes jambes le plus possible. Son nez contre mon clito, sa langue dans ma fente. J’aime le voir sous mes ordres.
Je comprends pourquoi il bande tellement quand il est dominant.
Je me relève le laissant reprendre son souffle et je redescends, son visage prisonnier de mon entrejambe.
- Continue, bouffe-moi cette chatte. Mmm! J’adore.
Je dois abréger cette torture car je me sens déjà partir et il est hors de question que je lui laisse cette fierté. Mais j’avoue sa langue est incroyablement douée.

Je me lève, regarde autour de moi et trouve la fameuse cravache, un manche tressé de cuir noir et rouge. Ça me ressemble, doux et sauvage, ange et démon, je me sens reine, pouvoir en main.
- Tu es prêt?
- Vas-y sale garce, marque-moi. J’aime la folie au fond de tes yeux. En fait, tu es comme moi.
Je frappe de toutes mes forces sur son torse dessiné. Une marque rouge apparaît juste en-dessous de son téton et le pire c’est que ça m’excite. Je frappe encore et encore. Son corps est couvert d’ecchymoses. Je m’acharne. Toute ma rage passe à travers mes coups.
Je m’arrête enfin. Lui, n’a pas montré le moindre signe de faiblesse et pourtant je suis sûr que je lui ai fait mal. Je sens mon sexe se remplir de mon liquide. Je suis bouillante.
Je m’agenouille cette fois-ci entre ses jambes et j’engloutis son sexe dans ma bouche. Je suis comme possédée. Je le dévore, je le pompe comme une cinglée. Il gémit, il se débat, mais les lanières sont solides. Je continue mon rythme acharné. Je veux l’emmener loin.
Son membre devient de plus en plus dur, je lèche sa petite veine qui s’est formée. Ça pulse fort. Sentir le pouvoir de la jouissance entre mes mains, dans ma bouche est incroyable. Mais je refuse qu’il jouisse de suite, je veux jouer encore et encore. J’aime son bout tout doux, d’où perle une petite goutte de son nectar. Je la lèche et l’avale en le fixant dans les yeux.
- Débats-toi... tu as raison je suis pire que toi.

Je me lève et m’en vais au rythme du tic tac. J’ai une idée, il va goûter à son eau. Je trouve un seau que je remplis de son eau raffermissante.
- Je vais te rafraîchir très cher. Prêt pour la douche?
- Tu es une salope . Mais continue, deviens diabolique. Arrose-moi, noie-moi, puis chevauche-moi comme une amazone.
Je lui lance le seau d’eau à la figure et saute sur sa queue bandante. Je la positionne à l’entrée de ma fente et je descends d’un coup sec. Je suis trempée et son membre glisse dans ma chatte étroite. Elle l’a avalé cm par cm sans se soucier de son gabarit. Son membre est tellement imposant qu’il tape dans ma cloison au fond de mon vagin à chaque coup de reins. Mais j’aime me sentir étirer.

Mon corps est en sueur. Mes seins sont fièrement dressés. Je monte et descends le long de son sexe. Je sens que je vais venir. Mes muscles se contractent autour de son manche. J’accélère la cadence, faisant avancer le lit dans cette fichue grotte.

Ding dong ... L’horloge sonne mon orgasme. Je jouis dans un hurlement. Lui, ne peux se
retenir et me remplit de son sperme chaud.
Je m’effondre à côté de lui, sentant sa semence couler entre mes cuisses.
-Tu es démoniaque. Et tu es ma chienne.

Il se tourne vers moi. À ma grande surprise, il s’est détaché tout seul.
- Et oui, ça s’est passé ainsi car je t’ai promis 1h et que j’ai aimé te voir possédée par la folie. Mais c’est moi, ton maître.

Dépêche-toi de t’habiller et d’aller annoncer tes vacances à ta famille. Et surtout n’oublie pas ton bracelet. Rendez-vous au bar dans 2h30.

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