Histoire Erotique

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Entre ses mains

J’ai rencontré cet homme il y a un mois. Je l’aime mais j’en ai peur. Il me bande les yeux et me voilà emportée dans son univers sordide. Je vais le découvrir, me découvrir. Vais-je supporter sa folie ?

Proposée le 19/04/2018 par Lectra

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Thème: Femme dominée
Personnages: FH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Roman


Où suis-je ?
Je n’en sais rien . Il fait froid, humide et très sombre. Je peux entendre au loin le tic tac régulier d’une horloge. La pièce est juste éclairée par une petite lampe au fond de la salle. Mes yeux commencent à s’habituer peu à peu à l’obscurité. Je m’approche du mur, je tâtonne. Les murs sont abruptes, rugueuses . C’est une grotte, j’y crois pas.
Au centre de la pièce, un grand lit recouvert d’un drap noir de satin et un grand tapis rouge au sol tranchent vraiment avec le décor sordide du lieu. Des draps qui attendent d’être froissés et salis par nos corps. Plusieurs vieux meubles sont érigés derrière le lit, imposant, étouffant et de nombreux miroirs éparpillés dans chaque coin contrastent avec le mobilier. Je repère des caméras, un appareil photo sur une table. Et surtout une grande et majestueuse horloge rythmant le temps de ses grosses aiguilles. Ce temps qui me sera compté .

Je vois des grillages au plafond et une grande roue métallique juste à côté de moi, des chaînes pendent le long des murs et du plafond. Il plane une odeur de musc, de santal, de sexe dans ce lieu effrayant, intrigant, excitant. Tout est confus, comme ce bel homme que je découvre, que j’aime mais qui me fait peur.
Il m’a emmené, les yeux bandés dans cet endroit et m’a dit « tu as 1h pour visiter la pièce, te familiariser avec les jeux, les accessoires, t’imprégner de cette odeur de cette ambiance. A 22h, tu m’attendras devant la porte, à genou et les mains posées sur tes cuisses. »
Ce jeune homme rencontré il y a un mois, grand, cheveux brun, son corps parfaitement dessiné, des yeux profonds d’un vert émeraude m’a ensorcelé et piégé .
Il avait préparé sur le lit un collier noir avec un anneau, un string en dentelle rouge, un masque brodé.
Brrrrr! Pourquoi avais-je accepté ? Je frissonne de froid dans ma petite robe rouge, mais aussi de peur.
J’ai encore un peu de temps, je m’avance vers les armoires que j’ouvre et découvre des fouets de cuir, des martinets, des cravaches, des cannes, des tapettes à fessée.

Mes mains se mettent à trembler, en acceptant de venir, j’étais loin d’imaginer ce qui m’attendait ... j’ouvre les tiroirs, ohhhh! des vibros de toutes tailles, des plugs, des pinces, des œufs, des boules de geisha .... un arsenal pour me remplir de part et d autres.

J’ouvre un autre tiroir, je trouve des menottes des bâillons , du scotch ...des cordes ....
Je ne connais pas la moitié de ces accessoires.

Je sens la peur me gagner. Mes mains tremblent j ai envie de partir, de crier .
pourquoi m’a-t-il laissé seule ici? Je panique. Il me reste 10 min. Que dois-je faire. Je tourne en rond. Je ne suis pas une soumise. Je n’obéirai pas. Il ne pourra pas me casser. Mon corps cédera peut-être mais pas mon esprit.
Ce lieu est horrible, je peux même entendre les rats courir .
Mais cet homme, il m’avait prévenu que derrière son air angélique, son respect envers moi, ses mots doux, ses caresses envoûtantes, qu’il avait un côté sombre un côté diabolique, un côté dominant. Je ne sais plus si je peux avoir, je veux le découvrir, me découvrir.

Je respire et je me tresse les cheveux comme demandé, me déshabille, enfile le string et laisse mes seins nus. Je me sens pas très à l’aise. J’accroche le collier de cuir noir autour de ma gorge et me prépare à genou devant la porte sur le sol froid et sale, le masque sur mes yeux. Tout est noir. Je suis seule avec ma respiration, avec mes peurs, mon ignorance. Mon coeur bat fort et surtout une excitation certaine qui commence à m‘envahir.
La clé tourne dans la serrure, je ne respire plus, je sens mon cœur s’emballer.
Je l’entends s’approcher. Il tourne autour de moi, il ne dit rien. Il m’observe. Le silence est lourd .
J’ouvre ma bouche et lui demande s’il est content. En réponse il m’attrape par la tresse et tire en arrière fortement. Il m’embrasse brutalement.
-Tu n’as pas la permission de parler.
Il me lâche et s’éloigne. Je sens à nouveau la panique me gagner. Je ne suis pas comme ça, faible et docile. Mes genoux me font mal. Je décide de me redresser.
-J’aime que tu me défies, j’aime que tu aies du caractère, mais là, dans ma salle ce sont mes règles .
Tu ne parles pas!
Tu obéis sans rechigner!
Tu fais ce que je te dis de faire !
Et je te traiterai comme une reine .
Si tu désobéis , tu seras puni ...
Un froid me remonte le long de mon dos en pensant à l’armoire du fond celle que j’ai ouverte en premier.
Il me soulève du sol me prenant comme une princesse. Il avance de quelques pas, me dépose debout au milieu de la pièce. J’entends le bruit des chaînes, un tiroir qui s’ouvre. Il tire sur mes bras , prend mes doigts dans sa bouche. Il les suce, l’un après l’autre, sensuel, tendrement. Il finit par me menotter en croix suspendue à la chaîne du plafond, mes pieds touchant à peine le sol. Je suis à sa merci.

Je sens son souffle sur ma peau. Un souffle chaud. Il est calme, respire le pouvoir, l’excitation, le plaisir.
Il tourne autour de moi, une tension tel deux aimants qui s’attirent. Je veux le sentir en moi . Les papillons au fond de mon ventre se sont réveillés et demandent à être libéré. Il ouvre un tiroir, puis sur ma peau il balade ses doigts qui sont remplacés par une vibration douce. Il s’arrête sur mes bouts de seins, il les titille de son arme et de son autre main les pince violemment, mélangeant douceur et douleur. Je me tortille. Je veux qu’il me baise. Son vibro descend sur mon mont de Vénus le caressant et d’un seul coup l’ enfonce sans prévenir. Je suis juste humide et le vibro s’engouffre dans mon humidité. Il va et vient stimulant mon point g. Sa bouche s’écrase sur la mienne cherchant ma langue. La danse de nos baisers, le vibro au fond de moi accélèrent mon envi de jouir.
Mais mon dominant ne me laissera pas ce plaisir .
-Tu jouiras quand je voudrai . Tu es ma chose .
D’ailleurs, je veux que tu goûtes à la morsure de la cravache. Tu m’as défié. Je vais te punir juste ce qu il faut pour que ta peau soit marquée en souvenir. Tu compteras avec moi. Et je veux l’entendre clairement.
-Tu peux me cravacher, je ne te montrerai pas le moindre signe de douleur ni de faiblesse .
-Compte ma belle ...
-Un! Le coup s’abat sur mes fesses.
-Deux ! Une brûlure à travers mon dos.
Je tiens bon je souris, je le nargue.
-Dis moi, trois !? Je ne t’entends pas.
-Va te faire foutre !
-Oh ! petite chienne ! Respire fort car ce coup-là tu vas le sentir un moment.
-Trois ! Juste au-dessus de ma cuisse. Ça brûle, ça mord, ça tape ... je n’ai pas crié mais mes larmes ont rempli mes yeux. J’aime jouer la mauvaise élève, le provoquer.
-Ne t’en fais pas je prendrai soin de toi ma soumise. Laisse-moi te sublimer.

Une chaleur coule le long de mon dos, une brûlure vive même. Je me débats. Une deuxième descend sur mon sein. Oh! ça coule le long de mes jambes, sur mon ventre, mes fesses surtout mes fesses. La cire décore mon corps. Entre les rougeurs de la cravache et les couleurs de la cire, je suis une œuvre à ses yeux.
-Ne bouge pas je vais immortaliser ton corps de soumise, ton corps porte à présent ma signature.
Attachée, aveuglée, j entends les clicks de l’appareil photo.
-Tu es sublime, j’aime ton corps, tes fesses rebondies, tes petits seins, je bande juste en te regardant et j’ai loin d’avoir fini avec toi.

Je suis seule avec mes sensations. Il me décroche les mains, je tiens à peine sur mes jambes. Je suis toute engourdie. Il me place sur le tapis au sol à genou. Je veux le toucher et j’en profite pour essayer de le surprendre, de caresser son corps magnifique, d’effleurer son torse.
-Non ! Tu ne me touches pas !
-Baisse toi , montre ton petit cul, les mains le long de ton corps et tu ne bouges pas.
Je me sens infantilisée et humiliée. Il me fesse, 7 coups de plus en plus fort, au rythme incessant du tic tac. Je me mords les lèvres. Il ne va pas de main morte et je refuse de montrer ma douleur. Mais mes fesses sont écarlates. Puis je sens ses mains sur les endroits endoloris mes fesses, mon dos, ma cuisse. Il est doux applique une crème. Comment peut-il être si attentionné et si cruel en même temps. Mon corps se détend, mon entrejambe réclame une attention. Je suis mouillée et je le désire plus que tout. Mon corps me trahit. Il aime se faire violence, se faire dominer, se faire baiser.

Il attrape mes mains et les attache à mes chevilles à l’aide d’une corde. Ahah ! c’est très serré mais je m’offre à lui, ligotée, mon cul à la vue de tous.
Il attend ... terrible attente, terrible torture ne sachant ce qui va m arriver. Il attend quoi ? Je suis sûr qu’il se branle. Je sens son regard sur ma peau. Je peux deviner son sourire. Le ding dong de l’horloge sonne la fin de mon attente. Enfin ses mains me touchent brisant la distance entre nos corps. Il me masse les épaules, le long de mon dos, me caresse, prend mon visage dans ses mains et m’embrasse tendrement. À genou en face de moi, il libère son sexe. J’ai qu’une envie être actrice, lui faire du bien, me rendre juste inoubliable que mon corps, que mes actes, que mon cul resteront gravés dans son esprit. Il promène son sexe contre mon visage avant de me l’enfiler dans la bouche. Mmm! je le suce. Il s’enfonce loin dans ma gorge, j’arrive à peine à contrôler mon haut le coeur. Il abuse de ma bouche avec violence. Je le lèche, enveloppe son bout tout doux de ma langue. Je joue et me délecte de son pré-foutre. Il a envi de moi, je sens, je le sais ... je lèche plus fort plus vite. Je le pompe encore et encore.
Ma tresse enroulée autour de sa main, il me tire en arrière, m’obligeant à lâcher son glaive. Il se dirige vers mes fesses exposées et encore rougies de la fessée, il s’accroupit.
Je pense .... Je ne suis pas sûr de vouloir mais je suis tellement excitée, je suis en feu. J’aimerai le sentir en moi ... il titille mon petit trou avec ses doigts puis avec sa langue, il humidifie ma sortie . Je n’ai jamais ressenti une telle sensation j’en veux plus. C’est tellement étroit et serré, son sexe est imposant. Je suis partagée entre excitation et peur, douleur et plaisir.
Les liens me font mal mais rien n’est comparable à l’excitation au fond de mon ventre. Je sais qu’il va s’enfoncer au fond de mes entrailles, me sodomiser comme un animal. Le moment est venu il enfonce petit à petit, ça m’étire, c’est douloureux. Surprise ce n’est pas son sexe, c’est froid et lourd et c’est au fond de moi. Un plug énorme monté d’un diamant rose décore mon cul. Je me sens remplie.

Il ne me laisse pas le temps de réfléchir, ni de m ‘y habituer car ses doigts ont déjà trouvé l’entrée de ma fente. La cyprine coule le long de mes cuisses. Je ne peux plus cacher que je suis une vrai chienne attendant que son maître la pénètre. Ses doigts en crochet font des va et vient faisant couler encore et encore mon plaisir. Je vais jouir autour de ses doigts. Il arrête, se lève. Frustration
Je vais filmer ton corps se cambrer, voir les spasmes t’animer quand tu jouiras.
Il appuie sur des boutons, positionne la caméra. Action !

Il se place devant mon entrée et s’invite brutalement jusqu à la garde .... mmmm! je suis tellement trempée qu’il glisse à l’intérieur de moi ... va et vient il me tient par les épaules ... l’orgasme se prépare à exploser.
Je ne peux jouir s’il ne m’en donne pas l’ordre. J’essaye de retenir la boule de feu qui se forme au fond de mon ventre.
Mon pouls accélère, ma respiration est saccadée .
-Pitié ! laisse moi hurler de plaisir.
Son sexe entre et sort ne me laissant pas de répit . Je sens la sueur dans mon dos.
-Donne moi l’ordre je t’en prie.
-Non! Petite chienne! Tu jouiras à 00h pile, dans 5 min.
Il continue, il me torture , me pilonne il s’accroche à mes seins, je ne peux pas me retenir et j’explose.
Je hurle, je n’ai jamais joui aussi fort. J’éclate en mille morceaux.
Lui, se retire et éjacule toute sa semence sur mon dos, cette douce chaleur réchauffe mon corps et mon âme. Il trempe ses doigts dans son foutre et caresse mes lèvres, je lèche son petit goût sucré, salé. Je suis heureuse et vivante.

Il se tourne ses yeux, fou de rage.
-Tu as échoué et désobéis mes ordres. Je te garderai car tu m’appartiens et il faut vraiment que je finisse ton dressage petite insolente.
Mon dressage ?
Il dénoue mes liens, me lave et me porte jusqu au lit. Il se couche à côté de moi, me dorlote me caresse et applique une crème à la lavande sur mes rougeurs. Il me murmure des mots doux . A travers ses yeux, je vois la tendresse l’homme que j’aime tant, mais aussi l’homme fou terrifiant qui a joué de mon corps. Est-ce que je vais pouvoir supporter sa folie .
Il me regarde tendrement m’enlace et me dit :
-Ne t inquiète pas ma soumise ici tu seras bien .
-Pardon ?

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Commentaires de l'histoire :

Lectra
Merci pour votre commentaire, envoyé par mail, comme pour moi c’est une première. Je vous remercie. La suite est pour bientôt.
Posté le 23/04/2018


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