Ceci est un récit librement inspiré d’habitudes et de faits réels, de moments agréables vécus au début de mon adolescence dans une famille soudée, libre et insouciante, aux idées plus larges et aux mœurs sans doute plus libertines que la moyenne.
Proposée le 20/03/2016 par Lapilazuli
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première fois
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Histoire vraie
J’ai découvert au fil des ans que ma famille a une particularité vestimentaire certainement commune autrefois, mais qui me semble être de moins en moins répandue. En un mot, cela se résume au fait que dans notre foyer, le port des sous-vêtements était très loin d’être systématique. Cette habitude bien assumée par tous, a perduré chez nous de générations en générations, malgré la création de dessous de plus en plus affriolants pour les femmes… et pour les hommes. . Très certainement, cette pratique a contribué à me donner une grande précocité sur les choses de la vie. J’ai souvent vu mes parents enfiler qui une robe ou une jupe, qui un short ou un pantalon, directement, sans rien dessous. Idem pour ma sœur ainée. Et je sais que mon grand père paternel ne portait jamais rien, même en hiver, sous ses pantalons de velours…
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C’est ainsi que tout naturellement pour nous, à la fin des années soixante, nous avions été élevés, depuis tous petits, à ne pas mettre de sous-vêtement la plus part du temps en dehors de l’école, à la maison ou à la campagne chez mes grands parents. Il n’y a eu qu’au début de l’école primaire que j’ai porté des slips systématiquement, du moins c’est ce que croyait Maman, car très vite, il m’est arrivé plus d’une fois, à son insu, de ne pas en mettre. Maman y tenait, craignant toujours un incident avec ses petits; je ne crois pas que papa de son coté se serait battu. Lui avait toujours été à l’école primaire sans slip ou sans caleçon et il ne cachait ni ne regrettait cette éducation un peu à la dure. Il n’avait connu les sous-vêtements que beaucoup plus tard.
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C’est ainsi que pendant les vacances ou les jours sans école, Maman ne nous donnait pas de slip à mettre sous mes culottes ou sous ses jupes, à ma sœur. En effet, lorsqu’elle avait connu Papa, elle avait trouvé que c’était plus hygiénique d’être aéré, plus agréable, pour elle, pour la vie intime de son couple, et logiquement aussi par la suite pour ses enfants.
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Cela faisait accessoirement quelques économies en achats, avec des sous-vêtements qui duraient plus longtemps, et surtout moins de lessive à s’occuper ou de vêtements à emporter en vacances. Evidemment, assez vite au printemps, dès Pâques, dans le même esprit, chaussettes et maillots de corps étaient également bannis.
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A cette époque, nous les garçons, nous étions pratiquement toujours en culottes courtes. Ces culottes courtes, comme on les appelait par opposition aux culottes longues, étaient beaucoup plus courtes que maintenant, sans parler des shorts qui en ce temps, étaient minimalistes. Elles étaient portées dans l’année beaucoup plus longtemps, au printemps et à l’automne, à la maison, à l’école, bien sûr en vacances, et même au lycée. Pour certains enfants, et certains ados, c’était toute l’année sans interruption, mais ce n’était pas mon cas. Pour moi, les culottes courtes étaient de rigueur de mars à novembre, sans qu’on y revienne, même s’il refaisait un peu froid au début du printemps.
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D’enfiler directement mes culottes, courtes ou longues, sans rien dessous, j’en avais donc pris l’habitude très tôt, et même, je dois dire que cela me convenait bien. Finalement, je me trouvais mieux comme cela plutôt qu’avec quelque chose dessous qui me gênait. Aux rentrées scolaires de grandes vacances, je ne comprenais pas pourquoi je devais remettre un slip, alors qu’il faisait toujours aussi beau. Un peu plus vieux, cela m’arrivait d’aller de plus en plus souvent au lycée sans slip ou sans caleçons (caleçons que j’avais découvert entre temps). Les parents, et surtout Maman, pris au piège de leur propre éducation, ont complètement baissé le pavillon sur le sujet, nous disant alors simplement de « faire attention », après nous avoir dit, petits, de « serrer nos cuisses », lorsque nous étions nus sous nos shorts très courts de l’époque. Ma sœur Babette, elle aussi, pareillement nue dessous, portait des jupes au genou, et souvent également des shorts courts de garçon, assez masculins, que je lui chipais en nous chamaillant ou récupérais définitivement lorsqu’ils devenaient trop petits pour elle.
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Elle avait seize ans et moi treize, lorsque nous reçûmes une semaine avant les vacances de Pâques un correspondant Allemand à la maison, venu en France avec sa classe, pour un échange scolaire avec elle dans le cadre du lycée. Notre maison avait quatre grandes chambres, mais la chambre d’invités, un peu isolé dans la cour, remplie de bric à brac ne permettait guère de coucher décemment un invité au delà d’une nuit. Il avait été donc convenu qu’il serait hébergé dans ma chambre, où il y avait deux petits lits, tout comme dans celle de ma sœur. Pour que l’on soit entre garçons.
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Nous avons récupéré Dieter un vendredi soir au lycée, arrivant d’Allemagne avec un petit groupe de filles et garçons, fatigué, après un long voyage en car. Il avait dix sept ans, était nettement plus grand que nous, qui pourtant étions minces et élancés. Il était blond, avec une mèche barrant le front, des joues rebondies, des yeux bleu sombre. Bref, un beau jeune homme, sans doute bien sous tous rapports… et pour tous les rapports.
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Il ne parlait bien évidemment que très peu le Français. De notre coté, bien qu’à l’école étant tous les deux de bons élèves de seconde et de quatrième, j’avais un an d’avance, faisant Allemand deuxième langue, nous ne parlions pas plus Allemand que lui ne parlait le Français. Les parents s’essayèrent également à nos cotés en Anglais, avec peu de succès. Après le repas nous allâmes assez vite dans ma chambre pour se coucher, et je me déshabillais devant lui, normalement, sans penser à essayer de me préserver de son regard, car en famille, nous étions assez peu pudiques entre nous. De son coté, il avait une chemise, et un pantalon gris, banal, sous lequel il portait un petit caleçon jaune en toile fine qu’il retira sans hésiter, après m’avoir vu enlever ma culotte courte. Comme de plus en plus souvent, avec le beau temps arrivant, je n’avais rien mis ce jour là-dessous pour aller au lycée. Je pus voir qu’il avait un zizi plus gros que le mien, une paire de couilles bien pendantes, le tout entouré d’une toison blonde, alors que j’étais encore pratiquement imberbe. J’en étais complexé. Il faisait déjà chaud pour la saison et l’atmosphère de la chambre était tiède. Comme à mon habitude dans ces circonstances, je me couchai nu et il fit de même.
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Le lendemain matin, Maman est venue dans notre chambre, alors que nous étions encore au lit. Elle avait une serviette pliée à la main et a essayé d’expliquer à Dieter que c’était pour la douche. Comme il ne comprenait pas, je me suis levé, et l’ai emmené par la main à la salle de bains. On s’est retrouvé tous les deux ensemble sous la douche, face à face, et à un moment, par inadvertance, j’ai touché de la main son zizi. Dieter a rigolé, m’a regardé, et a pris le mien volontairement, dans sa main un instant. Ca m’a fait tout drôle ; j’ai repris le sien dans ma main, et on a rigolé. Les choses en sont restées là, et après nous être essuyés, nous sommes rentrés, toujours à poils, dans ma chambre.
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Pendant que j’enfilais à nu ma tenue d’alors de week-end, une vielle culotte courte en velours qui commençait à me serrer et ma chemise, je l’ai vu farfouiller dans ses affaires et en sortir une culotte tyrolienne, qui visiblement avait beaucoup servi. Il m’a fait comprendre quelques jours plus tard qu’elle avait d’abord été portée par son grand frère. Elle était d’un cuir épais et raide, de couleur beige, déformée et marquée par endroits de marbrures foncées et de plis d’usure qui luisaient sous la patine du temps. Elle avait des coutures curieusement montées à l’envers. Une paire de bretelles avec une sorte de plastron brodé sur la poitrine remplaçait la ceinture. Comme pour attirer l’attention sur les cuisses, les deux côtés extérieurs du bas des jambes de la culotte comportaient deux petites fentes fermées par des lacets de cuir.
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J’avais déjà aperçu de temps à autres de telles culottes, car dans ces années là, on pouvait en acheter en France dans quelques boutiques. J’avais entre autres, vu deux ou trois garçons qui en portaient régulièrement dans la cour de l’école primaire mais plus maintenant au lycée. Je n’avais pas attaché jusqu’ici spécialement d’intérêt à ces tenues, mes parents non plus.
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Ayant vu que je ne me cachais pas pour m’habiller et sans doute peu pudique lui-même, Dieter enfila sa culotte directement, face à moi, sans avoir pris non plus de caleçon ou de slip. D’un coup de rein qui dénotait son habitude, il fit redresser et disparaître sous le cuir sa bite et ses couilles qui pendaient jusqu’alors au repos devant le rabat à deux boutons qui remplace la braguette, releva ce rabat, le boutonna et ajusta à même son torse nu les deux bretelles. Il passa une chemisette sur les bretelles, le bas de celle-ci libre par dessus sa culotte. Je ne perdis pas une miette de ce strip-tease à l’envers et commençais à bander sous mon short. Cette curieuse culotte en cuir plutôt courte et ample sur ses fesses me laissait clairement imaginer son mandrin et ses boules en totale liberté sous les grands revers des larges jambes de short qu’il venait de relacer bien haut, après avoir regardé par la fenêtre le temps magnifique. Ses attributs que l’on ne pouvait voir dans l’instant, ne devaient certainement demander qu’à sortir par le coté de la jambe maintenu béant par la rigidité du cuir. J’eus soudain envie d’essayer cette culotte si suggestive.
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Nous sommes alors allés retrouver mes parents et ma sœur pour le petit déjeuner.
Ma sœur Babette avait simplement sur elle un short et un t-shirt ; et bien sûr pas de soutien-gorge pour envelopper ses seins naissants. Maman n’en avait pas non plus. Dieter s’en aperçut assez vite ; ses yeux ne quittaient pas les deux paires de seins. Lorsqu’il se leva de table, je vis que le rabat de sa culotte présentait une bosse. Ce premier jour, qui était un samedi, nous sommes allés faire un tour en ville, pour faire découvrir les environs à Dieter. Maman avait avais remis un soutien-gorge, une petite culotte, je ne crois pas. En tous cas, je savais à la forme de la bosse sous le short de papa, et aux mouvements de son paquet lorsqu’il marchait, qu’il n’avait pas lui non plus mis de slip.
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Mes parents avaient à cette époque une 404 Peugeot. Nous étions les trois enfants derrière, Dieter au milieu, les jambes légèrement écartées, les pieds de chaque coté de la bosse de la transmission arrière. Nos jambes nues faisaient plus que se frôler, et très vite je vis la main de Babette posée sur la cuisse de Dieter. Celui-ci ne la repoussa pas, au contraire, il mit sa main sur la cuisse de Babette. De mon coté, je ne pouvais m’empêcher de toucher le short de Dieter, tripotant son revers et ses lacets. Au voyage du retour, les mains de Babette et de Dieter étaient carrément enfilées sous les lisières des jambes de leurs shorts, assez profondément. Nul doute qu’ils se caressaient autre chose que les cuisses. Revenus à la maison, je vis que le short de Babette avait une tache humide devant. Dieter avait en descendant de la voiture une belle bosse devant. Il se tourna furtivement et passa une main par le coté de la bavette frontale de son tyrolien, pour remettre en place son matériel.
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Revenus à la maison, Babette emmena Dieter dans sa chambre, soit disant pour lui faire voir quelque chose et je les ai suivi. Je vis que le short de Babette avait une tache humide devant.
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Dieter s’assit sur le lit, et Babette, à coté de lui, l’embrassa tout de suite à pleine bouche et lui enleva sa chemise. Dieter prit le t-shirt de Babette et le lui fit passer par-dessus ses épaules. Ses seins avec leurs auréoles brunes pointaient en avant. Il l’embrassa de plus belle, tout en faisant glisser ses bretelles et déboutonnant son short tyrolien. Il le baissa et le fit gicler plus loin d’un coup de pied. Maintenant, Babette était également toute nue, à coté de lui. Et là, elle fit un truc auquel je ne m’attendais pas. Je n’en perdais pas une miette. Elle se baissa sur le bas ventre de Dieter, et commença à enfiler son sexe dans sa bouche. Après quelques va et viens, je vis qu’il se passait quelque chose : Dieter se raidit, poussa avec ses mains sur la tête de Babette qui visiblement avalait et déglutissait. Ils se détendirent, tous les deux, allongés sur le lit. Moi, je bandais comme un âne, et il me passa par la tête une idée.
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Je dis à Dieter qui était ailleurs dans les nuages et ne comprit pas sur le coup: « Dieter, j’essaye ta culotte »
Je retirai mon short par-dessus mon érection, et pris la culotte de Dieter. Il n’avait même pas défait les bretelles, seulement un des deux boutons de la bavette, et le seul bouton qui tenait les rabats en dessous de celle-ci. La culotte était vraiment très grande pour moi, et elle me pendait à l’entrejambe. Les bretelles dont je n’avais pas l’habitude, donnaient une sensation de liberté différente d’avec une ceinture serrée surtout avec une culotte courte trop grande. J’ai rapetissé ces bretelles au niveau du plastron et fermé les boutons devant. Et là, quel confort ! Quelle sensualité ! Je suis allé jusqu’à la salle de bain, me voir dans la grande glace et me dis qu’avoir une culotte comme ça, ça me plairait bien. J’avais une belle bosse devant. Alors que je revenais dans la chambre, Babette avait repris ses esprits. Elle était resplendissante, avec quelques traces blanches et humides dans ses cheveux et sur sa figure... Elle me prit par la taille, et pour rigoler, et commença à me tripoter a travers le short de cuir.
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Je m’étais déjà masturbé quelque fois. Papa m’avait expliqué quelques mois avant, à quoi ça correspondait, et comment faire, avant d’avoir une copine qui s’occuperait de moi. Se masturber le soir dans un mouchoir, c’était efficace pour éviter de salir les draps, comme le matin où je m’étais réveillé dans l’humidité, honteux, croyant avoir refait pipi au lit, mais trouvant tout de même curieux l’aspect gluant de ce qui était sorti. C’était ce qui avait motivé le petit cours de Papa. Mes parents contrairement à beaucoup d’autres à cette époque, considéraient qu’il ne fallait surtout pas à nos âges être ignorant en matière sexuelle pure, ainsi qu’en matière de baise. Pour eux, il n’y avait pas de mal à se faire du bien. Les sujets un peu lestes revenaient souvent dans les discutions à table, sans gène. Papa disait : « La bouffe et le cul, il n’ya que ça qui mène le monde. » C’est vrai que dans notre famille, on est plutôt bons cuisiniers… Pour le reste aussi, finalement.
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Babette ne s’attendait pas à ce que ses caresses apparemment anodines pour elle sur le short en cuir de Dieter produisent un tel résultat si vite. Malgré mon jeune âge, j’explosai plusieurs fois dans la culotte, et elle le vit bien. J’étais tout rouge, honteux. « Jean, mais fais quelque chose, retiens toi ! », me dit-elle. Elle défit alors tous les boutons, la culotte tomba par terre. Elle la prit et, essuya avec une serviette le plus gros de ce liquide blanchâtre qui était à l’intérieur. Pendant ce temps là, j’essuyai ma bite avec un mouchoir, et remis mon short. Dieter, lui rigolait, en regardant ma sœur. Il remit sa culotte toute mouillée et encore gluante à l’intérieur, comme ci de rien était. Rien n’était visible de l’extérieur. Tout ceci n’avait duré guère plus qu’un quart d’heure.
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Babette avait dans sa garde-robe une jupe fauve en croute de porc épaisse et rigide, faite de deux pans sans doublure, qui s’assemblaient sur le devant et sur le derrière, du haut en bas par deux séries de pressions en inox. Elle prit celle-ci plutôt qu’un short propre. Elle l’enfila bien entendu sans mettre quoi que ce soit dessous. On la vit très souvent ainsi vêtue avec cette jupe les jours qui suivirent. A travers les boutons pression espacés, Dieter avait un accès aussi facile qu’elle à travers la bavette de la culotte tyrolienne. Ma chaude sœur l’avait bien compris. Et c’était également aussi discret que le short en cuir, pour les fuites. Plus tard, elle devint une adepte des jupes en cuir.
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L’après midi, nous avons été tous les trois faire un grand tour de vélo. A chaque fois que Dieter enjambait la barre de son vélo pour monter dessus, pourvu que l’on soit sous le bon angle, on voyait tout à chaque fois: vue plongeante le temps d’un éclair sur le chibre bien souple et bien détendu, et les valseuses dansantes. Babette et moi avons apprécié ce spectacle à plusieurs occasions au cours de ces ballades.
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Nous rencontrâmes une Allemande du groupe de Dieter, avec sa correspondante Française et un autre copain du lycée. Impossible de se tromper sur l’Allemande, elle portait une grande tresse blonde, et également l’inévitable culotte tyrolienne, qui sans doute devenant un peu petite, contrairement à celle de Dieter, lui moulait les fesses à la perfection. Cette culotte était vert foncé, avec le rabat de devant se fermant avec deux fermetures éclair. Nous rentrâmes dans un café, Babette et Dieter étaient déjà bras dessus, bras dessous. Je m’assis à coté de l’Allemande qui ne fit rien pour repousser ma main baladeuse sous la table. J’appris qu’elle se prénommait Inge. Nous convînmes de nous revoir tous le lendemain, chez nous.
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Le lendemain après midi, comme convenu, nous vîmes le trio débarquer. Mais les deux Français avaient prévu de s’éclipser… et de nous laisser leur Allemande. Les parents n’étaient pas là. Arrivés dans la chambre de Babette, celle-ci commença à embrasser Dieter. Et nous nous sommes regardés, Inge qui n’avait pas refusé mes mains sur ses genoux, et moi. Debout, nous nous sommes approchés l’un de l’autre, et je l’ai embrassé maladroitement. C’était la première fois que j’embrassais une fille à pleine bouche. Inge ne s’est pas refusée ; nos lèvres, puis nos langues se sont rencontrées. Je me souviens avoir été surpris par le contact de ma langue sur ses dents. En même temps, je la serrai contre moi, et bandai de plus en plus contre elle. Je sentais sa poitrine enfermée dans son soutien gorge, et mes mains descendirent vers son derrière et glissèrent sur le cuir lisse et doux de son short tyrolien que je caressai. De son coté, elle avait passé ses mains sous ma chemise, dans mon dos, puis sous la ceinture de ma culotte. Je fis de même, et découvrais qu’elle avait une petite culotte. Babette et Dieter, de leur coté, étaient très occupés sur le lit. Ne sachant où s’assoir à deux, j’ai emmené Inge dans ma chambre.
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Inge m’a alors enlevé mon short et mon t-shirt , je me suis retrouvé nu. De son coté, dans un premier temps, elle a gardé sa petite culotte. Puis elle s’est penchée sur mon bas ventre et m’a pompé copieusement, comme j’avais vu Babette le faire à Dieter la veille. Elle savait si bien le faire, que pour cette première fois, je ne m’appartenais plus. Je me suis cambré et ai eu plusieurs saccades. Puis elle a arrêté quelques instants, a enlevé sa petite culotte, et elle m’a fait s’allonger sur elle. Le contact de sa peau douce, de ses seins et son odeur, m’a électrisé, et m’a instantanément redonné toute ma vigueur. Je ne croyais pas que cela pouvait être si bon. Je l’ai encore embrassé à pleine bouche. Elle a alors passé une main entre nous deux et m’a guidé en elle. Une sensation extraordinaire, de chaleur, d’étreinte très douce. Puis je me suis spontanément enfoncé le plus loin possible et suis resté quelques minutes qui m’ont semblé une éternité, sans bouger, tétanisé, respirant à peine… Je me suis redressé, j’ai remué en elle, je crois encore qu’elle a joui. Quand à moi, j’étais vidé d’avance, et je commençai à me ramollir. Lorsque je suis ressorti, Inge m’a fait mettre tête bêche, pour que je lui nettoie la foufounette, pendant qu’elle suçait une dernière fois mon zizi redevenu tout rabougri. Entre ses cuisses, j’ai aimé l’odeur, le nez dans sa toison blonde, et la douceur de ses lèvres dans ma bouche. J’ai titillé avec ma langue son petit bouton, et à mon tour, j’ai aspiré et léché. Et Inge s’est à nouveau cambrée de bonheur. A treize ans, je n’étais plus puceau ! En se rhabillant, je vis qu’elle ne remettait ni petite culotte ni soutien gorge. Ceux-ci finirent dans son sac à mains.
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De toutes ses vacances en France, Dieter ne porta que sa culotte courte en cuir, y compris la semaine où il alla avec Babette en cours, les revers généralement bien relevés en short, quelques fois dépliés en culotte un peu plus décente, par exemple au Lycée. Lorsque maman lui demanda si il avait du linge à laver, il ne lui remit que le caleçon qu’il avait le premier jour, et quelques chemises. Je dis à maman qu’il était comme nous quatre, pratiquement toujours sans slip. Je lui expliquai qu’il m’avait fait comprendre que si les coutures de sa tyrolienne étaient à l’extérieur, c’était volontaire pour que cela ne créée pas d’aspérité à l’intérieur ni ne gène les mouvements, que son short en cuir ça ne se lavait pas souvent, et qu’il absorbait pratiquement tout, justement parce que c’était du cuir… D’ailleurs j’étais bien placé pour en savoir quelque chose. Celui-ci avait déjà été porté plusieurs années par son frère ainé, ce qui expliquait la grande taille sur Dieter et la patine bien prononcée qui faisait que cette culotte ne craignait plus rien. C’était un peu, comme de nos jours, un jeans usagé.
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En ce printemps, maman voulait me racheter lorsque l’occasion s’en trouverait dans les magasins, un short pour l’été, ma précédente culotte courte en velours gris, usée aux poches, élimée aux fesses, et maintenant réservée pour la maison devenant trop petite. Et je me chamaillais régulièrement avec Babette pour lui prendre l’un de ses shorts aux larges jambes que j’aimais bien. Voulant quelque chose de solide et pratique, maman pensait me prendre un short en jeans, comme on commençait à en voir. Avant la venue de Dieter, l’idée me convenait bien.
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Maintenant qu’il était là, je dis à Maman plusieurs fois que finalement je voulais une culotte en cuir comme la sienne ; les autres garçons Allemands et quelques filles de leur groupe linguistique, dont Inge, qu’elle avait vu plusieurs fois à la maison, en portaient sans arrêt. J’avais vu ces kürze lederhosen, comme les appelait Dieter, sur le catalogue d’été des Trois Suisses qui était à la maison. Je me rappelle encore aujourd’hui de ce qui était écrit en dessous des photos du catalogue, «Mamans habillez vos garçons avec ces jolies culottes tyroliennes en cuir inusable; avec bretelles; jusqu’a 16 ans ». Maman hésitait car ces culottes courtes coutaient nettement plus cher que les autres, mais Papa appuya ma demande, estimant que si je les portais plusieurs années, comme Dieter, cela serait un bon achat.
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Finalement, elle céda et commanda un seize ans, qui serait un peu trop grand pour moi, qui venait d’avoir mes treize ans ; un quatorze ans aurait suffi. Lorsque ma culotte tyrolienne arriva, Dieter était reparti depuis une semaine. En rentrant du lycée, je l’ai trouvée à la cuisine où maman avait ouvert le paquet des Trois Suisses apporté par le facteur. Le cuir vert foncé lisse et brillant comme celui du tyrolien de Inge, était lourd et épais, quelque part sensuel. Cela sentait bon le cuir neuf. La culotte me paraissait très grande et était d’un poids et d’une raideur sans comparaison par rapport à la culotte courte en flanelle que je portais ce jour là. La culotte était effectivement taillée pour un grand adolescent : à l’intérieur, imprimé à même le cuir, en gros caractères, il était écrit « 168 », ce qui faisait plus grand que le seize ans Français, qui correspondait alors à une taille de 164 cm.
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Maman dit : « Jean, essayes la, qu’on voit ce que ça donne sur toi. J’ai l’impression que c’est peut être un peu grand.»
J’ai alors sans attendre improvisé un mini strip-tease dans la cuisine, en enlevant ma chemisette et ma culotte courte en flanelle sous laquelle comme pratiquement toujours en cette fin d’année scolaire, et surtout après les aventures des vacances de Pâques, je n’avais rien mis dessous. J’étais maintenant tout nu devant maman et ma sœur qui était arrivée entre temps.
Maman me fit une réflexion, trouvant que j’exagérais et pourrais mettre un slip au moins pour aller au lycée. Je répondis que j’étais mieux sans et que de toutes façons j’en avais un dans mon sac de sport que je mettais avant les heures de gym; elle me redit de « faire attention » et que je finirai par « me faire avoir avec ça ».
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Plus petit, « je m’étais fait avoir avec ça» une seule fois. Avec mon année d’avance, j’avais huit ans en cette fin de CE1, et jouais à vélo avec un copain dans la rue. Soudain, je ne sais comment, on s’est fracassé contre la voiture de son père, et il y avait une belle rayure sur la portière. Le père était sorti, furieux, nous avait dit de rentrer et … de nous déculotter… pour recevoir le martinet.
A cette époque, dans beaucoup de maisons, y compris chez nous, il y avait un martinet, qui sévissait sur nos culs nus dans les grandes occasions.
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Mon copain a enlevé sa culotte courte, puis son slip. La mère qui était arrivée entre temps, m’a alors demandé sur un ton qui n’admettait pas de réplique, ce que j’attendais. Honteux, baissant les yeux, j’ai baissé mon short et me suis trouvé nu directement. Les parents n’ont rien commenté à ce sujet et nous avons reçu du père une bonne raclée au martinet, bien cuisante. J’ai remonté mon short, le moins haut possible, pour cacher les zébrures les plus basses infligées par les lanières du martinet, et suis rentré chez moi, sans me vanter de mes exploits.
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Mais les parents ont parlé peu de temps après avec les miens qu’ils connaissaient; seconde raclée cul nu, au martinet de la maison pour la rayure inavouée. Mais quelques jours après j’ai pu voir que mon copain n’avait plus de slip. Apparemment, Maman avait eu des arguments convaincants ; lui et son petit frère, en cet été qui approchait, n’en mettaient plus, même pour aller à l’école. J’en étais jaloux, mais Maman avait été inflexible cette année là pour l’école ; un matin que j’avais remis le sujet sur le tapis, citant leur exemple une fois de plus, elle vérifia même avant que je ne parte, si j’avais bien un slip. Mais le vers était dans le fruit… L’année suivante, secrètement, j’ai commencé, sans rien dire à ne plus mettre de slip, certains jours. C’est au lycée, en sixième, que maman le comprit, après m’avoir laissé partir un jour avec mon slip de bain sur moi, mais sans rechange.
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« Et toi, Babette, continua maman, tu mets une culotte pour aller au lycée ? Je n’en vois plus guère à toi non plus aux affaires sales. ».
« J’en mets les jours où j’ai mes ragnagna, et pour le sport. »
« Quelle famille ! Enfin, de toute façon, je suis pareille ! » Soupira-t-elle « N’en parlons plus, faites ce que vous voulez, vous verrez bien ! ».
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J’ai pris ma culotte en cuir neuve et l’ai enfilée. Elle était nettement trop grande à la taille, surtout à poils. J’avais du mal avec les boutonnières neuves, et je voyais que ma sœur se marrait à la vue de mon zizi qui se baladait de droite et de gauche. Mai j’ai finalement pu refermer le rabat et ajuster les boucles des bretelles au minimum devant. Pour moi qui n’en avait jamais eu, les bretelles créaient une sensation totalement différente d’avec une ceinture. Surtout, la culotte, bien que trop grande, restait bien en place lorsque je bougeais durant ce premier essayage. A même la peau du torse, on se sentait à la fois libre et bien harnaché, comme en sécurité, bien dans son linge. Je compris tout l’intérêt de ces bretelles et du plastron.
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Et là je me suis tout de suite senti bien dans cette nouvelle culotte sous laquelle je me trouvais plus en liberté que sous tout autre short. Il y avait quelque chose d’érotique dans tout cela. Quasiment instantanément, je me suis mis à bander, comme lorsque j’avais essayé la culotte de Dieter. J’ai rapidement remis par-dessus ma chemisette, le tour était joué, plus rien à voir, mais maman n’était pas dupe. Elle passa sa main derrière, dans la culotte et dit en me caressant doucement les fesses : « Heureusement qu’il y a les bretelles, sinon tu la perdrais ! », avant de revenir avec sa main par devant. «De ce coté la, ça va plutôt bien ! ». Cela me parut durer une éternité. . Finalement maman s’écarta et me fit une petite claque sonore sur le cuir qui enveloppait mon derrière. « Elle est trop grande pour toi», dit elle en se reculant pour me voir d’un peu plus loin, « mais étant donné le style, et surtout avec les bretelles, finalement, ça se tient bien à l’entrejambe, ça te donne un peu d’épaisseur et ça te va plutôt bien. Ca fait sport, c’est joli. Cela devrait te faire de l’usage longtemps.» J’étais aux anges.
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Je suis sorti dans le jardin, et au bout de quelques pas, j’ai éprouvé le besoin de relever les bas de jambes en revers, en reprenant leurs lacets, pour que cela fasse plus short, comme était souvent Dieter. . Ma sœur que je n’avais pas vu venir, ma surpris par derrière, et me mis une grande tape qui claqua bruyamment sur le cuir. « ça va frérot ? »
Le soir à l’heure du diner, Papa dit que ma culotte m’allait bien et que je devais être contant. Effectivement, je l’étais !
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Comme sur tout vêtement neuf, il y avait des étiquettes : une en Français qui expliquait très sommairement comment entretenir le cuir, et une autre, l’originale en Allemand, que j’ai encore et qui m’a longtemps servi marque page, avec un joli dessin d’un gamin en short en cuir, et avec un texte un peu long au verso.
“ Kürze Lederhose.
Lederhosen sind haltbar, bequem und praktische.
Sie sind leicht und einfach zu reinigen: etwas angewarmte seifenlauge -Ca 40°C-. Mit Schwamm reiben.
Wenn Sie gewöhnlich Lederhosen ohne Unterwäsche tragen, können Sie diesem Lederhose gelegentlich mit kaltem Wasser und Seife waschen. Abspülen. Nicht wringen. Zum trocknen flach, ohne hitze. So wird die Lederhose nicht in der Wasch schrumpfen und nicht verformen.
Wenn die Lederhose getrocknet ist, ist es notwendig, mit Fett der Außenseite zu füttern. Mit den Nähten zu beginnen.”
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Avec Babette, pour une fois que nous voyions autre chose qu’un texte scolaire, et sur un sujet qui nous intéressait, nous nous sommes collés à notre dictionnaire Allemand- Français.
Cela donnait à peu près ceci:
« Culotte courte de cuir.
Les culottes en cuir sont durables, confortables et pratiques.
Elles sont aisées et simples à nettoyer : un peu de mousse de savon à 40°, frotter avec une éponge. »
Et surtout la suite :
« Si vous portez habituellement vos culottes en cuir sans sous-vêtement, vous pouvez laver cette culotte-ci de temps en temps à l’eau froide et avec du savon. Rincer. Ne pas essorer. Faire sécher à plat sans source de chaleur (sèche-linge ?). Ainsi elle ne rétrécira pas au lavage et ne se déformera pas.
Quand votre culotte est sèche, il est obligatoire de la nourrir de graisse sur la face extérieure. Commencer par les coutures. »
On découvrait au travers de cette étiquette que pour certains Allemands, il était courant de porter leurs culottes tyroliennes directement, sans jamais rien mettre dessous, puisque c’était prévu dans l’explication. Dieter était dans le ton.
Nous avons fait part de notre découverte à papa et maman.
Papa dit qu’à y réfléchir, le slip avait dû être inventé bien après la culotte tyrolienne.
Maman était contente de savoir comment entretenir correctement cette culotte de cuir.
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Après m’avoir vu porter mon tyrolien très régulièrement au retour du lycée, à la place de mes anciennes culotes, Babette a voulu l’essayer. Elle vint à poils dans ma chambre me le demander et elle a passé sur elle ma culotte que je retirai ; c’est moi maintenant qui étais à poils. Le cuir lui allait bien, c’était très sexy avec ses seins nus, directement sous les bretelles ! Mais elle déchanta vite car cela l’irritait au niveau des têtons, et elle dut mettre un soutien gorge, sinon une petite culotte, lorsqu’elle me l’empruntait de temps à autres pour aller voir ses copines.
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Après quelques semaines, un lundi matin, je me décidai à aller carrément au lycée avec mon short en cuir. Après tout, je ne serais pas le premier à porter une telle culotte au lycée ; il y avait eu les Allemands avant Pâques.
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Au moment de partir, Maman qui ne m’avait pas vu m’habiller dit «Jean, Tu ne crois pas que c’est un peu décontracté pour le lycée ? En plus, je suppose que comme à ton habitude, tu n’as pas de slip dessous ! Fais attention assis à ne pas écarter les jambes ! Ce short est beaucoup plus large que tes culottes en flanelle». Avec cette réflexion, je me croyais revenu à mes cinq ans. Je répondis :
« La fin de l’année approche, la classe est de plus en plus relaxe depuis Pâques. De plus en plus de copains viennent en shorts en jeans, alors pourquoi pas moi avec mon tyrolien ? Et ces lederhosen sont faites depuis toujours pour être portées sans rien dessous, c’est écrit sur l’étiquette, Maman, on ne l’a pas inventé! Pourquoi alors s’enfermer dans un slip ? J’en ai pas envie. ». J’ai tout de même délacé les lacets des larges revers, pour les déplier, les jambes de la culotte sont devenues un peu plus longues, mais toujours aussi larges. Ainsi la culotte faisait moins short, et surtout protégeait mieux des regards indiscrets.
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Et je suis parti…
Comme elle me plaisait cette culotte tyrolienne ! D’un cuir lisse, vert bouteille avec ses lacets sur les côtés, ses bretelles en cuir assorties et son plastron sobrement décoré, elle était à la fois, belle, inusable, ne craignant pas les taches à la cantine, et, je l’avoue, d’un contact doux et très sensuel sur la peau nue et le sexe en liberté. En pensant à Inge, j’aimais me caresser sur son cuir et je me sentais si à l’aise que je ne voulais plus porter mes culottes de flanelle. Je bandais souvent, mais avec la bavette et le cuir épais, ça ne se voyait pas. Certains camarades de classe se sont moqués de moi la première fois qu’ils m’ont vu en disant que c’était « un short de gonzesse ». Cela n’a pas duré. A l’inverse, mes copines de lycée me l’enviaient me trouvaient « très bath » ou « très mignon » ou « très chou » dans cette tenue. Et dés le lendemain du jour où j’avais été au lycée avec cette culotte, un autre garçon de ma classe, d’habitude habillé de façon plutôt élégante en portait une semblable, du même vert foncé, mais qui visiblement avait déjà fait un peu plus d’usage; elle l’habillait plus près du corps que la mienne ne le faisait. Il me dit qu’il avait toujours eu depuis tout petit des culottes tyroliennes, parce que sa mère trouvait ça pratique, pas salissant, et inusable. Et lui aimait bien les mettre. Il les avait porté souvent à l’école primaire, mais plus au lycée, jusqu’à ce jour. Il avait à nouveau eu un tyrolien, celui qu’il portait maintenant, l’année précédente, pour aller pendant les grandes vacances un mois dans un camp Scout. La veille sa mère m’avait vu à coté de lui à la sortie des cours, ils en avaient parlé et il avait repris sa culotte de cuir pour le lycée. On parla des Scouts, chez qui je n’allais pas ; il m’expliqua tout ce qu’on y faisait, que c’était génial de partir de chez lui tout un mois, et qu’il lui était même arrivé de se retrouver sans slip sous sa culotte après la baignade ou certains jours vers la fin du séjour, parce qu’il n’en avait plus de propre. Je n’ai pas relevé. S’il savait… Comme moi, il vint avec sa culotte en cuir régulièrement jusqu’à la fin de l’année scolaire. Un peu vicieux et voyeur, j’avais pu voir qu’il avait un slip blanc dessous.
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Entre temps, fin juin, Babette étaient partie en Allemagne. Un peu jalouse de moi, les parents lui avaient donné de l’argent pour qu’elle s’achète un short en cuir. Elle nous revint rayonnante, portant à la descente du car une vraie culotte tyrolienne qui lui allait comme un gant : il était taillé dans le même cuir vert foncé que le mien, mais faisait bien fi-fille avec ses revers et la bavette soulignés de bordures rouges, les lacets rouges assortis et une multitude de petits rivets décoratifs en inox sur les poches, la bavette et sur le plastron entre les bretelles qui avaient de grandes boucles en métal nickelé. Ces bretelles, en H devant et ce plastron en travers faisait bien ressortir sa poitrine. J’avais l’impression que ses seins avaient grossi. Elle avait un soutien gorge. Je lui demandai si elle avait une petite culotte dessous. Elle me répondit, droit dans les yeux, avec un regard rieur: « Jamais !».
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Aux grandes vacances, je n’ai porté que mon tyrolien comme short, les revers bien relevés, souvent torse nu. Il n’y avait pas plus pratique pour aller chez mes grands parents qui avaient encore une petite ferme et quelques animaux. Je les aidais dans les travaux domestiques ou allais jouer, trainer n’importe où avec les copains, sans avoir à faire attention. Le short restait toujours propre… au moins à l’extérieur. Discrètement lorsque je repensais à Inge, je me branlais, et giclais à travers la bavette déboutonnée. A l’intérieur, il y avait souvent des traces qui une fois sèches étaient brillantes ; elles disparaissaient assez vite, remplacées par d’autres. Plus d’une fois, j’ai retourné le short, et ai nettoyé vite fait l’intérieur avec du savon et une éponge, puis ai réenfilé instantanément celui-ci encore bien mouillé à l’intérieur. Très pratique, personne ne voyait rien. A la campagne, cela m’est arrivé de prendre les jours de pluie, la veste de ciré de mon grand-père; je pouvais aller dehors sans craindre l’humidité, les jambes, ça sèche vite. Le cuir lisse ne craint pas l’eau qui coule dessus. Il n’y avait pas à faire spécialement attention à quoi que ce soit, je pouvais essuyer mes mains, grimper aux arbres sans me salir, m’assoir n’importe où, un coup d’éponge suffisait, ou franchir des clôtures sans que les griffures laissent des accrocs irrémédiables comme sur du tissu.
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Mon meilleur copain de l’époque avec qui je discutais bien, avait facilement vu par les larges entrejambes créés par les revers que j’aimais bien relever, que je n’avais jamais de slip en ces premiers jours des vacances. Il m’en parla, me demanda pourquoi et si c’était confortable. Je lui dis que notre mère ne nous donnait pas de slip à mettre en été, ni à Babette, ni à moi, que j’étais déjà comme ça les années précédentes s’il avait prêté attention, en fait depuis tout petit, et que de toute façon, à l’habitude, je me sentais bien mieux sans rien dessous.
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Il s est mis à faire comme moi dés le lendemain, et il n’était pas au repos sous son short quand je le revis. Ca se voyait bien. La toile, ça masque moins que le cuir. En rigolant, je lui ai passé la main sur son engin qui s’est encore raidi, je lui ai dit que ça allait lui passer rapidement quand il n’y pensera plus. Il me répondit que sans rien dessous, c’était vraiment génial, qu’il aurait dû y penser plus tôt. Je ne crois pas qu’il ait remis un slip cet été là sous ses culottes courtes. J’ai bien vu également qu’il regardait intensément Babette, qui promenait aussi tous les jours son derrière caparaçonné de cuir. A la fin des vacances, elle m’a dit qu’il ne s’était rien passé entre eux.
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En septembre, j’ai fait ma rentrée de troisième avec ma culotte tyrolienne, les revers tout de même dépliés. Les bretelles et le plastron m’avaient fait des marques de bronzage. Dans le vestiaire, au moment du premier cours de gym, des copains de classe me l’ont fait remarquer. Maman m’avait racheté une culotte courte en Tergal, que je portais en alternance. Je n’avais pas voulu que maman me rachète des slips et je n’en ai plus mis du tout, hormis pour la gym au début de l’année. J’avais découvert les caleçons courts avec celui de Dieter et Maman m’en avait acheté deux, peu après la rentrée, sur je ne sais quel catalogue. Sous le short de gym, ça faisait curieux, le caleçon dépassait parfois et je crois que plus d’un copain a vu mon matériel. Cette année là J’ai porté mes culottes courtes très tard en automne, avec des chaussettes montant juste au dessous des genoux, et tout de même un de ces caleçons court pour le froid, les derniers jours de novembre. A l’hiver, je suis passé aux culottes longues, avec ou sans caleçons courts dessous, selon la température et l’humeur…
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L’été suivant, l’après midi du 14 juillet, il m’est arrivé une aventure qui a duré quelques temps, le temps de l’été. Comme d’habitude aux beaux jours, je portai mon tyrolien, avec simplement une chemisette par-dessus les bretelles et la culotte. Il y avait beaucoup de monde, nous étions une bande de copains et de copines à la fête du village de mes grands parents. Je remarquai assez vite à son manège, qu’une fille, Evelyne, que je savais avoir un an de plus que moi, semblait s’intéresser à ma personne particulièrement. J’ai esquissé un mouvement pour la prendre un instant par la taille et elle ne s’est pas écartée.
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On s’est regardé les yeux dans les yeux, et spontanément, on est resté en retrait de la bande de copains. Elle m’a passé sa main dans le dos, sous ma chemisette et est arrivée sur mes bretelles. Elle a facilement glissé sa main sous celles-ci, il n’y avait pas de ceinture, puis directement sur mes fesses, ce qui m’a électrisé. Par devant, j’ai commencé à me durcir, à me redresser franchement, en déformant avec une bosse le rabat du tyrolien.
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Puis changeant de posture, elle enfila facilement sa main par en dessous mon short, retroussant le large entrebâillement de l’entrejambe et, avec un regard appuyé, droit dans mes yeux, en tripotant consciencieusement mes boules, faisant rouler celles-ci entre ses doigts agiles et étirant ma hampe gonflée, maintenant bien dure et verticale, murmura: « J’ai l’impression que je te fais de l’effet ! ». Elle retira sa main de la culotte, m’attira vers elle, me prit dans ses bras et m’embrassa à pleine bouche et me dit « je t’aime très fort». Et « J’ai envie de toi ! ». Je me tenais plaqué contre elle, bloquant mon sexe contre son ventre. Je sentais ses seins contre ma poitrine et sous mes mains, ses fesses libres sous le tissu léger de sa robe. Elle non plus n’avait pas de soutien gorge ni de petite culotte ce jour là. Je commençais à malaxer ses fesses fermes. Finalement elle s’écarta et me fit une claque sonore sur le cuir qui habillait mon derrière.
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Et puis elle a passé sa main par devant dans le rabat de mon tyrolien; elle a empoigné ma bite qui ne débandait pas et m’a dit « Viens dans les prés d’à coté, il y aura moins de monde! ». Ainsi tenu par sa main, je n’avais d’autre choix que de la suivre, ce qui n’était pas pour me déplaire. Je n’ai jamais su si quelqu’un avait remarqué notre curieuse façon de déambuler.
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Arrivé dans le pré, je sentais que je commençais à être franchement humide. Evelyne s’est mise à genoux, et m’a attiré, debout face à elle. Elle a juste défait les deux boutons de la bavette de ma culotte et mon membre a jailli, libre, toujours bien raide. Sans que je m’y attende, elle a commencé avec sa main à me caresser, a fini de me décalotter ce qui m’a occasionné une grimace. « Oh mon Dieu » dit-elle, « Je vois que tout ça a un grand besoin !... » Et elle commença à me lécher, puis mis mon gland dans sa bouche et commença à me pomper. Le résultat se fit sans attendre, je giclais dans sa bouche. J’allais de surprise en surprise, en constatant qu’elle ne me lâchait pas, en déglutissant et en avalant. Elle en redemandait et visiblement adorait ça. Subitement, elle changea de position, se releva, et m’embrassa à pleine bouche. « Goutes », me dit elle, en lâchant ma bouche dix secondes, « tu verras, c’est bon.». Je goutais pour la première fois ma semence ; c’était légèrement salé, gluant. Elle m’avoua que c’était la première fois qu’elle osait faire ça à un garçon. C’était mère qui lui avait expliqué que de sucer et d’avaler, c’était bon, et que ainsi de vider complètement le garçon à plusieurs fois, immédiatement avant de se faire pénétrer, cela tenait lieu de contraception. En ces temps là, il n’y avait pas la pilule. Incidemment, c’est ce que j’avais vu faire par Babette à Dieter, et que Inge m’avait également fait pour ma toute première fois, un an auparavant, ce que je me gardai bien de lui dire. Visiblement, pour sa première fois, Evelyne se révélait également être une experte. Entendant des voix proches, craignant d’être dérangés, nous n’osâmes pas nous déshabiller pour aller plus loin ce jour là.
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Evelyne me laissa me détendre, me lécha une dernière fois et rajusta les deux boutons de la bavette de ma culotte que je n’avais même pas quitté. Celle-ci était restée retenue par les bretelles. Décidément très pratique, ce short tyrolien ! Et nous sommes retournés à la fête. Elle m’avoua qu’elle nous avait vus, déjà l’année d’avant, ma sœur et moi avec nos culottes de cuir. Elle s’était posé des questions, balançant sur ces shorts peu communs entre curiosité et envie. Enfin, et ce n’était pas le moindre pour elle, quelques jours auparavant, elle avait pu apercevoir furtivement le temps d’un instant, l’extrémité de mon sexe à un moment où je m’étais assis, les jambes un peu écartées par le mouvement. Elle surveilla alors mon entrejambe sans que je m’en rende compte et confirma son soupçon en voyant mes aines totalement nues, sans jamais apercevoir la lisière d’un slip, quelque soit le coté. N’en croyant pas ses yeux, de me penser nu et en liberté sous une telle culotte, sous du cuir, elle avait trouvé ça sauvage, irrésistible… viril. Elle avait alors décidé de ne pas mettre de petite culotte, pour essayer… et surtout de chercher à mieux me connaître, bien que je sois à peine ado, et plus jeune qu’elle.
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Au début de cet été là, avec Evelyne, nous avons organisé nos petites séances de jeu de jambes en l’air plusieurs après midi de suite. Nous avions trouvé un endroit discret à l’écart du village, ou nous nous retrouvions à bicyclette. Nous sommes passés à des choses plus sérieuses. Une fois nus, le déshabillage était rapide, nos corps s’attiraient l’un l’autre. Après une étreinte et embrassade passionnée, très vite, je la pénétrais. Entrant en elle facilement, plus facilement que le souvenir que j’avais d’Inge, elle m’avoua la première fois qu’elle avait déjà fait l’amour avec un garçon, mais ne voulut pas me dire qui. Sans doute que je le connaissais. Je n’ai pas osé lui dire que moi aussi, j’avais déjà eu une expérience. Elle se dégageait rapidement, me pompait, avalait et me redonnait vigueur pour que je la pénètre à nouveau. De mon côté, je la léchais et la suçais, aux seins, dans sa toison qui était trempée. Et nous recommencions dans l’herbe, par devant, à genoux, par derrière.
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Après ces ébats, nous reprenions alors lentement nos esprits et discutions.
Evelyne m’a interrogé sur mon absence de sous-vêtements. Je lui expliquais que c’était comme ça à la maison, avais été élevé petit avec l’habitude de ne pas en mettre en dehors de l’école, et me trouvais maintenant mieux ainsi. Je lui parlai aussi de Dieter, des culottes tyroliennes qu’il nous avait fait découvrir l’année d’avant à Babette et à moi, et de sa façon de les porter, également sans rien dessous, d’ailleurs comme beaucoup d’autres Allemands. Mes parents n’avaient rien inventé. Elle fut surprise de savoir que l’on pouvait grandir comme ça, sans sous-vêtements. Elle me confia qu’après avoir essayé, sans rien dessous, c’était finalement loin d’être désagréable. Mais elle n’avait pas osé le dire à sa mère.
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En aout, Evelyne est partie deux semaines à la mer avec ses parents. Elle est revenue toute bronzée, mais avec des marques blanches à l’emplacement de son maillot de bain, en haut et en bas.
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Quelques jours après son retour, un après midi alors que nous n’étions que tous les deux chez elle, surs de ne pas être dérangés pour un bon moment, elle me dit : « Viens, il faut que je t’apprenne à me faire un truc que tu ne dois pas connaître. ». « Cette fois, tous les deux, on va aller au bout du bout. ». Je ne comprenais pas ce qu’elle voulait dire. « Mais avant, il faut que l’on prenne une bonne douche. » Après une longue douche que nous avions prise ensemble et qui nous avait bien excités, bien préparés, s’embrassant avec des mains baladeuses et glissantes de savon sur la peau, et sur les sexes, nous avons joué à nous essuyer l’un l’autre. Puis Evelyne a pris le pot de crème Nivea qui était toujours dans la salle de bain, et m’a entrainé dans sa chambre. Je ne comprenais pas le pourquoi du pot de crème. Elle s’est assise sur son lit, a commencé à me sucer tout doucement, mais lorsque j’ai été bien raide, elle a arrêté son manège, et m’a enduit le gland et son pourtour d’une bonne couche de crème. Elle m’a dit « il faut que tu pousses très fort. ». Et elle s’est retournée, mise à genoux le corps sur le bord du lit et m’a tendu son derrière et sa petite ouverture toute rose. J’ai compris ce qu’elle voulait. Je me suis mis à genoux derrière elle, j’ai appuyé, effectivement assez fort avec mon gland, ça faisait mal, et c’est rentré d’un coup. Elle a crié. Je me sentais beaucoup plus enserré que de l’autre coté, dans son vagin. J’ai remué fort en elle, la tenant par les hanches, en poussant au maximum, les boules à taper plusieurs fois contre ses fesses, totalement excité. Et je me suis déchargé.
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Epilogue.
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Babette n’a pas pu porter son short en cuir au lycée, les shorts et culottes courtes étant alors proscrits pour les filles par le règlement intérieur. Elle me jalousait, et par jeu, chaque fois qu’elle en parlait, le lendemain matin, je mettais ma culotte tyrolienne. Les garçons avaient droit aux culottes, courtes, ou longues, eux.
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Nous avons échangé quelques lettres avec Dieter, puis les contacts se sont distendus. Je n’ai jamais eu de nouvelles d’Inge, même lorsque Babette avait été en Allemagne dans le cadre de l’échange scolaire. Par contre, je croise toujours de temps à autres Evelyne. Comme Babette, elle est adepte des jupes et des jeans en cuir.
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Je n’ai jamais racheté de slips et je n’ai que quelques caleçons courts que je ne porte que très occasionnellement. A l’intérieur des shorts de bains, je supprime toujours le slip qui est cousu. Rien que d’essayer ces maillots au magasin, je sens que je ne supporte pas cet espèce de filet. Sous les pantalons en cuir que j’ai eus, très vite, j’ai retiré la doublure pour avoir le contact direct du cuir. Je n’ai jamais non plus essayé les strings ou les jocks-strap, cela ne m’a jamais tenté. Rien, c’est mieux, y compris au travail, sauf sous quelques pantalons d’été en tissu trop fin. Idéal sous les jeans. Je n’ai jamais été exhibitionniste. Je suis simplement sur les traces de mes géniteurs. Et après avoir converti celle qui allait devenir ma femme, je crois que ma fille est pareille.
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Adolescent, j’ai beaucoup porté de nombreuses années cette première culotte tyrolienne qui m’a fait découvrir le cuir. Je l’ai utilisée sans arrêt à la maison, au lycée, en dehors du lycée en toutes circonstances, avec les copains, en vacances, en voyage. A quinze ans, je l’avais souvent sur moi lors de mon premier séjour linguistique en Angleterre et des Anglais m’ont demandé si j’étais Allemand. L’ayant portée plus de cinq ans avant qu’elle ne devienne franchement trop petite, l’investissement initial avait largement été rentabilisé. L’usage et le temps l’avaient déformée, avaient infligé des marques d’usure, et des griffures aux fesses, mais sans plus. Un peu de graisse sur le cuir vert bouteille et il n’y paraissait plus guère, contrairement à des cuirs plus clairs qui se patinent. L’intérieur, lui, s’était lissé à en devenir brillant, derrière et devant, aux endroits les plus sollicités. Un de mes jeunes cousins a hérité de mon premier tyrolien. Il l’a portée quelques années, et sans rien dessous, comme je le lui avais suggéré, il me l’a dit.
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De mon côté, au fil des ans, je me suis racheté plusieurs fois, en Allemagne ou en Autriche des kürze lederhosen, et encore aujourd’hui, j’en porte régulièrement l’été. J’ai également revu il y a peu Babette avec une culotte tyrolienne à mi cuisse. C’est quelque part indémodable, en dehors du temps. Toujours aussi pratique, confortable et …érotique si on le veut bien.
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