La chaleur des tropiques (2)

Ema, trentenaire dévergondée qui est en voyage sur son île natale et qui choisi pour guide un de ses ami d’enfance monté comme un étalon. Seul mot d’ordre : carte blanche, profitez de tout ce que la vie lui offre.

Proposée le 25/01/2023 par Héroze

Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme

Ema, trentenaire dévergondée qui est en voyage sur son île natale et qui choisi pour guide un de ses ami d’enfance monté comme un étalon. Seul mot d’ordre : carte blanche, profitez de tout ce que la vie lui offre.


Après une arrivée haute en émotion, une soirée en tension et une nuit torride, Ema se réveille dans les bras du beau Clément.

Petit déjeuner en terrasse au rythme du chant des oiseaux, la peau qui rougit au soleil levant, et des discussions légères, sincères et discrètes entre les deux amis.
Après un bon moment, Ema voulait revoir ses parents et les autres membres de sa famille et peut être savoir où elle allait installer ses affaires pour le temps de ses vacances. Mais Clément, non sans une pointe de gêne, lui fait une proposition alléchante… « Reste à la maison le temps de tes vacances et peut être que tous les deux on pourrait en profiter un peu. Carte blanche, tu as dit en arrivant non ? »

Ema ne pu réprimer son sourire coquin et ne pu s’empêcher de le regarder avec le feu du désir qui faisait déjà chauffer le bas de son ventre.
Clément comprit que cette mou était une invitation à bien de belles choses.
Alors avant qu’il ne la dépose chez ses parents, ils conviennent alors de quelques règles… carte blanche, ouverture d’esprit mais si l’un d’eux arrive à sa limite, un mot de code : Coco.

A ses mots, les nouveaux amants se séparément devant chez les parents d’Ema. Elle passa la journée avec ses sœurs et sa mère à aller voir toute la famille qui étaient le plus proche.
Quand arriva le couché de soleil, les filles retrouvèrent le père d’Ema qui les attendaient dans le bar d’un hôtel en bord de plage. Ema proposa à Clément de les rejoindre, comme ça, ils pourraient rentrer ensemble…
C : Tu es avec qui ?
E : Avec ma petite sœur, ma mère et mon père. Normalement Fred , Romain et Virginie devraient arriver aussi. (Des amis de lycée)
C : qu’est-ce que tu portes ?
E : la meme chose que ce matin ????
C : détailles-moi ta tenue. Donne-moi envie de venir. ????
E : Je porte ma jupe à fleurs orange et jaune. Elle me caresse les cuisses selon le sens du vent. Sous celle-ci, j’ai encore mon petit boxer en dentelle orange. J’ai aussi mon petit top en soie jaune sans soutif. J’avoue que parfois, quand le soleil disparaît et que la brise effleure mon dos, je frissonne et j’ai le bout des seins qui durcissent. Suis-je assez précise ?
C : mmmh… ça me mets l’eau à la bouche. Je voudrai être le vent pour soulever ta jupe et faire durcir tes magnifiques seins.
E: alors tu viens ? ????????
C : à une condition…
E : laquelle ?
C : vas aux toilettes, et enlève ton boxer. Tu le mettras dans ton sac et quand j’arriverai, je veux pouvoir vérifier que tu ne le portes plus.
E: alors ramène-toi et considère que c’est déjà fait.
C : je suis là dans 20 minutes.

Comme convenu, Clément arriva au bout de 20 minutes. Entre temps, les amis d'Ema étaient déjà installé et tout le monde profitait du soleil. Clément salua tout le monde et se glissa sur la banquette près d’Ema. Elle avait posé son sac derrière elle. Et quand il prit la carte des boissons, il glissa sa main dans son sac à demi ouvert pour y demi-ouvert le morceau de dentelle qui s’y caché. Il pu même constater qu’il était un peu mouillé.. Il dû se contrôler pour ne pas montrer la petite monter en pression dans son jeans. Ema le regardant en coin et lui sourit en faisant glisser sa main le long de sa cuisse.

Ils profitèrent du soleil, du monde pour partager des anecdotes et des tas de choses. Quand arriva 19h00, la famille d’Ema proposa un dîner chez eux. Sa maman répartie les tâches : les amis d’Ema iraient chercher un dessert, les parents s’occupent du repas et Ema devait aller avec Clément chercher des boissons et des chips.
Tout le monde en route, arrivée dans la voiture de Clément, il l’embrassa sans attendre et y passa sa main sur la cuisse pour remonter jusqu’à son intimité. Ema se cambra et soupira en souriant. Clément glissa un doigt, puis deux entre ses lèvres.
C : j’adore sentir ta chatte mouillée sous mes doigts.
E : ne m’excite pas trop, quand on sera au magasin, je vais en avoir partout.
C : alors allons-y.

Devant le magasin, Clement interdit à Ema de prendre son sac. Dans les rayons, il fait en sorte de la laisser passer devant lui. Il en profite pour l’observer et apprécier sa croupe qu’il sait libre. Il détaille ses seins et aperçoit le bout de ses tétons quand ils arrivent dans les rayons frais des boissons. C’est dans le rayon des chips, qu’Ema se penche vers le bas en le défiant du regard. Il entrevoie la naissance de ses fesses et peut presque voir sa chatte qui s’ouvre. Elle joue maintenant avec lui et il apprécie chaque moment.
Arrivés dans la fil d’attente de la classe, Clément colle sa queue entre les fesses d’Ema qui se redresse, surprise. Il s’approche de son oreille et lui murmure : « je voudrai m’accrocher à tes hanches et te prendre le cul sans vergogne. Tu es tellement belle et excitante. »
Ema passe à la caisse et finit par serrer ses cuisses pour ne pas sentir sa mouille qui commence à couler. Sur le chemin de ses parents, Ema se tortille et serre bien les cuisses. Clément remarque son excitation et juste en arrivant dans la rue de la maison, balade sa main sur sa cuisse et remonte sans tarder à l’assaut de sa chatte qui constate trempée. Garés, il fait pivoter Ema sur son siège et glisse sa tête entre ses cuisses. Il entame alors une danse frénétique avec son clitoris qui transpire de désir. Ema se cambre, tombe un peu sur son siège pour ouvrir encore plus ses cuisses. Elle lui tient la tête et sent sa langue jouer, sucer et embrasser goulument sa chatte qui maintenant ruissèle. Quand elle s’abandonne complètement elle sent alors l’orgasme arriver. Elle retient sa tête et pousse un soupire qu’elle tente d’étouffer. Clément se redresse, la regard, s’approche doucement et l’embrasse. Elle sent sa mouille sur ses lèvres. Elle lui essuie le visage et ils descendent alors retrouver le monde.

La soirée se déroule plutôt bien, des rires, encore des anecdotes et des émotions en pagaille. Ema profite de chaque moment en oubliant presque que sous la jupe, elle est nue.

Avant le dessert, Clément s’éclipse vers les toilettes, quand Ema le voit entrer dans le couloir, elle lui emboîte le pas rapidement. Une fois dans la salle de bain, elle s’empresse de déboutonner son jeans et de lui empoigner sa queue qui ne tarde pas à durcir. Elle le prend à pleine bouche, entame des vas et vient et joue avec sa langue. Sa main vient progressivement enserrer la base de sa queue qui est maintenant bien dure et raide. Clément se délecte de tous les mouvements qu’elle exécute et glisse ses mains dans ses cheveux. Il lui maintient bientôt la tête enfoncée bien au fond. Ema salive et les bruits de bouche sont de plus en plus fort. Elle passe ses mains autour de ses fesses et en profite pour baisser plus bas son caleçon. Elle lâche son emprise et glisse le bout de sa langue sur sa queue et descend sur ses bourses. Elle les aspire goulument mais avec douceur tout en continuant à le branler avec sa main. Elle joue avec sa langue et Clément tombe sa tête en arrière. Elle reprend sa queue à pleine bouche et l’enfoncer jusqu’à la garde. Augmente la fréquence de ses vas et vient et le caresse en même temps. Il finit pas jouir bien au fond de sa bouche et Ema s’en lèche les lèvres.
Ema se recoiffe, l’embrasse et sort tout sourire aux lèvres. Clément sort quelques instants plus tard, après avoir repris ses esprits mais sans pouvoir opprimer ce sourire satisfait.

La soirée se termine en douceur et les deux amants rentrent chez Clément comme si cela duré depuis toujours.
Arrivés dans la maison, Clément alla directement à l’assaut de la bouche d’Ema. Il l’embrassa langoureusement et profita pour glisser ses mains sous sa jupe. Il parcouru ses fesses, et fini par lui défaire le nœud qui la maintenait à sa taille. Entre deux baisers, il lui enleva son débardeur et entama une descente vers sa poitrine déjà dressée. Il prit un de ses seins d’une main pendant que sa langue s’affairait sur l’autre : Ema sentait le bout de sa langue s’enrouler autour de son téton qui durcissait de plus en plus, puis du bout de ses dents lui pinçant doucement celui-ci. Elle était paralysée par le plaisir et son désir croissant.


Alors, Clément prit sa main et la guida vers la chambre. Il sortit d’un des tiroir une écharpe qu’il noua sur les yeux d’Ema. Il l’installation à califourchon, sur le dos, au milieu du lit, sur une montagne d’oreiller. Ayant la tête vers le bas, il lui enfila sa queue déjà bien dure au fond de la gorge. Elle déglutit, et avala sa salive. Il lui maintenue la nuque et fit des vas et vient qui lui permis de gémir.
Au bout de quelques minutes, Clément se retira, Ema commençait à s’étouffer mais elle salivait tellement qu’il en était tout excité. Il la guida et elle se plaça à califourchon sur le ventre pour lui offrir plein contrôle de sa coupe, les jambes bien écartées.
Il lui claqua les fesses gentiment. Il parcouru ses fesses doucement et descendit jusqu’à sa chatte qui commençait à ruisselait de désir. Avec dextérité, il entrouvrit ses lèvres gonflées et passa sa langue. Elle se cambra et poussa un petit cri. Il y mit sa bouche en entier et glissa un doigt, puis deux, puis trois dans son entre mouillée. Ema sentait déjà le plaisir lui brûler le bas du ventre et ses jambes ne lui appartenaient déjà plus. Elle tentait en vain de se maîtriser mais elle gémissait maintenant au rythme des vas et vient des doigts de Clément.


D’un coup, il se retira, il se diriga vers ses fesses du bout de sa langue et glissa ses fesses autour de ses fesses bien bombées. Il joua d’abord avec l’entrée de son cul encore bien fermé. Mais à l’approche de sa main, il sentit le désir qui arrivait. Il y glissa un doigt, puis deu, encore un autre et doucement essaya d’un glisser sa main. Il s’affairait avec beaucoup de douceur et après moment, il se retirait et laissait une goût de salive tomber de ses lèvres au cul d’Ema. Il la sentait gémir de plaisir et elle finit par le supplier de continuer…
Quand sa main entra en entier, il plaça son autre main sur sa chatte qui dégoulinait de plaisir… Ema criait de plaisir et lui demanda de la prendre.

Alors sans attendre, il plaça sa queue veineuse à l’entrée de sa chatte avec toujours son autre main dans son cul. Elle gémissait maintenant plus fort et se cambrait encore davantage pour laisser une bonne marge de manœuvre à Clément. Quand il entra dans sa chatte, il ne pu retenir mes mouvements de son bassin qui se firent de plus plus rapides et profond. Il finit par sortir sa main délicatement de son cul pour pouvoir admirer ce trou bien ouvert qu’elle lui offrait maintenant en écartant bien les deux pommes fermes de son cul.
Avec un peu plus d’assurance, Ema se redressa un peu sur ses bras pour se coller à lui. Il s’emboîte bien sur elle en passant de sa chatte à son cul. Ils prenaient tellement de plaisir.

Il enroula ses bras autour de sa poitrine pour la maintenir contre lui, et il continuait ses vas et vient jusqu’à la garde. Il revint dans sa chatte qui suait maintenant de plaisir.

Quand arriva le plaisir ultime, Ema glissa sa main sur son clitoris et le plaça entre deux doigts. Elle se crispa et poussa un cri qu’elle ne pu réprimer. Clément s’accrocha à ses hanches se lâcha complètement dans son cul bien ouvert en laissant passer un râle de satisfaction.

Ils tombèrent tout deux dans le lit, épuisés er heureux.

Bonne nuit ????

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