Jeux interdits 1

Cloé, étudiante à la fac, ne voit que ses études, elle n'a pas de petits copains, ne sort pratiquement jamais. Ses seuls loisirs sont la lecture, rarement la télé.

Proposée le 26/12/2022 par valeriane

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Cloé, étudiante studieuse, prépare un concours pour entrée dans une grande école. Elle n'a pas de petit copain, ne sort pratiquement jamais. Ses seuls loisirs sont la lecture, elle regarde que très rarement la télé. Ses parents l'ont eu sur le tard avec beaucoup de mal pour l'avoir, elle représente tout pour eux.
C'est avec des sous-entendus que le papa parle de sexe avec elle, car très timide de nature, il n'ose aborder le sujet directement. Cloé pour le rassurer lui répond :

-Papa, je sais où tu veux en venir, figure-toi que je ne suis pas tombée de la dernière pluie, pour l'instant ce sont ses études qui priment, le sexe peut attendre !

Souvent ses parents lui disent de sortir pour se changer les idées, habituellement, elle hausse les épaules, mais là, elle décide de sortir avec eux. C'est bras dessus bras dessous que le trio arpente les rues. La journée est très ensoleillée, Cloé dans sa jupe qui lui arrive à mi-cuisses, est ravissante, ses chaussures demi-talons, donnent un galbe parfait à ses longues jambes. Son corsage échancré laisse voir le profond sillon qui sépare ses seins. Tom, son papa, et Clarisse, sa maman sont fiers de tenir le bras de leur petite princesse comme ils l'appels. Plusieurs se retournent au passage du trio, quelques petits sifflets d'admirations font redresser Cloé. Elle est rayonnante, elle se blottit une fois contre sa maman, une autre fois contre son papa. Les trois semblent heureux.

Ils décident de prendre un verre à la terrasse d'un café. Lorsque Cloé s'assoie, sa jupe remonte sur le haut de ses cuisses, son papa, très, très prude, reste sans voix lorsque Cloé tire maladroitement sur sa jupe pour la faire redescendre. Le mouvement malhabile de sa fille fait que sans le vouloir, il aperçoit sa culotte blanche. Mal à l'aise, rapidement, il détourne les yeux puis s'assied à son tour. Il est tellement perturbé que son visage rosit légèrement. Clarisse le connait parfaitement, elle sait que quelque chose ne tourne pas rond, elle demande :

-Tom mon chéri, ça ne va pas ?

Avec des trémolos dans la voix, il répond en béguant un peu :

-Oui, tout va bien, juste un coup de chaud, cela va passer !

Il prend son verre de bière, malencontreusement, il fait tomber sur le sol le carton qui sert de sous-verre. Il se penche, ses yeux restent fixés sur les cuisses entre ouvertes se sa fille. Il ravale sa salive, la culotte de Cloé, très ajustée, c'est inséré dans le sillon que forme les grandes lèvres, et les met en évidence. Tom reste un instant scotché puis se redresse, il est rouge, reprend son verre, sa main tremble. Clarisse le regarde, elle fronce les sourcils et dit :

-Qu'est-ce que tu as, tu as vu le diable mon chéri ?

Il baisse les yeux pour ne pas répondre, Clarisse se baisse à son tour en comprend pourquoi son mari est perturbé. Elle secoue la tête, négativement, en poussant un soupir, connaissant le caractère chaste et handicapante de son mari. Elle se penche à son oreille et lui discrètement :

-Reprends-toi mon chéri, ce n'est pas grave, bois ton verre, ce n'est qu'une culotte !

Cloé regarde ses parents en fronçant les sourcils et demande :

-Vous parlez de moi ?

Sa maman lui répond en souriant :

-Ton papa a vu, involontairement, ta culotte, et cela le met dans un état de culpabilité pas possible, tu le connais, il est toujours aussi prude !

Cloé regarde son papa en souriant et lui fait un gros, clin d'œil et dit avec une pointe d'ironie :

-Alors mon petit papa, on fait le voyeur hein, on fantasme sur sa petite princesse !

Tom devient rouge de honte sans répliquer, il avale son verre. Ils reprennent leur lèche-vitrine avant de rentrer. Une fois à la maison, Clarisse, prépare le déjeuner, Tom prend place dans le canapé. Cloé vient s'assoir à côté de lui et se blottit contre lui, elle lui dit tendrement :

-Tu sais papa, tout à l'heure, je plaisantais, si je t'ai fait du mal, je te demande pardon !

Elle lève les yeux vers lui, il lui donne un gros baiser bruyant sur le front, d'un bras, il l'enlace et la serre très fort contre lui, il répond :

-C'est oublié ma petite princesse, je te pardonne !

Cloé se fait câline, elle ronronne comme une chatte, elle est heureuse. De temps en temps, elle regarde son papa en souriant. Soudain, sans prévenir, elle enjambe son papa, elle se met à califourchon sur ses genoux. Elle lui saisit la tête et lui donne pleins de petits baisers sur le visage, ses lèvres ne sont pas épargnées. Tom est surpris d'une telle ardeur, il regarde sa fille avec émoi, l'enlace et lui donne un gros baiser à la commissure de ses lèvres. Cloé reste coite, son cœur se met à battre fortement dans sa poitrine. Elle plaque sa joue contre celle de son papa, son souffle chaud le fait frissonner. Tom prend conscience qu'il se passe quelque chose, il repousse doucement sa fille et lui dit :

-Le diner doit-être prêt ma chérie, il est temps d'y aller !

Cloé reste sur les genoux de son papa en le regardant intensément. Lui, admire les formes de sa fille, sa jupe est entièrement remontée sur ses cuisses. Il se passe quelques choses dans son pantalon. Doucement sa verge augmente de volume, il pose ses mains sur la taille de sa fille, il ravale sa salive, en déglutissant bruyamment. Cloé sent sous ses fesses le membre prendre de l'ampleur. Malicieusement, elle agite très doucement son bassin. Les mains fébriles de son papa glissent le long de ses flancs en les caressant sans cesse. La maman se teint sur le pas de la porte, ses yeux sont rivés sur le corps de sa fille qui ondule sur les jambes de son mari. Soudain, elle intervient :

-Alors, on se fait un petit câlin ?

Le duo sursaute, Cloé descend rapidement des genoux de son papa, et s'assied à côté de lui. Clarisse dit en souriant :

-Continuez mes chéris, je sens que vous vous désirez, ne gâchez pas ce moment de bonheur, vous avez ma bénédiction !



À suivre

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