Valeriane et Isabelle 6

Valériane est tentée par la proposition de Raymond, mais Isabelle doit récupérer. Une douche salutaire puis un petit encas et voila le quatuor prêt pour de nouveaux délires

Proposée le 2/12/2022 par michelle2

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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: 2CPL
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Valériane est très tentée par la proposition de Raymond, d'utiliser des jouets, mais Isabelle doit récupérer. Après une bonne douche salutaire et un encas. Voilà que le quatuor et prêt pour de nouveaux délires. Charlotte, réclame un verre de champagne, elle veut trinquer avec ses nouvelles amies qu'elle ne trouve pas farouches. Les quatre, toujours nus, vident quelques verres, Charlotte est souriante, elle raffole de ce qui va suivre. Malgré son âge, elle est prête à tous pour assouvir ses désirs, les plus pervers les uns que les autres.

Raymond propose de se rendre dans la salle des plaisirs, c'est une salle qui est équipée spécialement, pour satisfaire les pires phantasmes, et les démentiels désirs. Isabelle et Valériane écarquillent leurs yeux en entrant dans la pièce. Un banc matelassé, muni à chaque pied d'une paire de menottes, les fait sursauter. Au centre, une table basse très épaisse, sur le côté une croix de saint André, juste à côté un cheval d'arçon très bas, avec à son centre un pas de vis. Sur un râtelier, plusieurs fouets, badines très fines, cravaches et martinets à neuf queues. Sur une étagère, une panoplie complète de gode et vibro de toutes longueurs et de tous diamètres. Du plafond pendent deux cordes à leur bout, des menottes, des fers rivés au sol qui permettent de tenir les jambes écartées des utilisateurs de cet engin.


Isabelle et Valériane se regardent en fronçant les sourcils. Isabelle dit :

-Mais c'est une salle de torture !

Charlotte l'apostrophe :

-Non ma chérie, une salle des plaisirs, nul n'est obligé d'y participer, les volontaires sont les biens venus !

Raymond, vis sur le cheval d'arçon un gode monstrueux, il appuie sur un bouton, l'engin se met à vibrer et à onduler terriblement. Valériane s'approche, elle regarde l'engin et demande :

-Mais qui peut supporter un truc aussi monstrueux dans le corps !

Charlotte répond en riant :

-Moi ma chérie, je le peux, mais une fois bien préparée, vous aussi, pourrez l'avoir, je vais faire l'exemple, regardez bien mes petites cochonnes !

Charlotte regarde son mari, le bougre habitué à ce genre d'exercices, invite sa femme à prendre place sur le banc. Ses poignets et ses pieds sont rapidement menottés. Il verse sur la chatte et les seins de Charlotte une huile parfumée, qu'il étale bien, sur le corps en insistant sur la vulve. Isabelle et Valériane sont un peu inquiètes, lorsque Raymond s'empare d'un fouet. Il fait glisser la lanière sur le corps de sa femme, avant de donner le premier coup. Charlotte se cabre en serrant les dents, une strie rouge marque ses seins, un deuxième coup lui cingle le ventre, Charlotte souffle comme un animal. Raymond jette le fouet et saisit la fine cravache. Le coquin vise particulièrement la vulve, il frappe deux trois coups, sa femme grogne en se tortillant sur le banc. Il jette l'engin.


Les grandes lèvres sont très gonflées, Pour se rendre de l'efficacité de ses coups, Raymond les caresse un court moment, il sourit et prend la fine badine en bambou. D'une main, il écarte les grandes lèvres boursouflées et donne plusieurs petits coups très rapides sur le clito. Rapidement, il devient méconnaissable, les gémissements de douleur de Charlotte, font trembler les deux voyeuses. À chaque coup que Charlotte reçoit, Isabelle et Valériane sursautent. Raymond donne encore sur les seins quelques coups avant de jeter la badine. Il regarde les invitées et dit en souriant :

-Voilà, elle est prête !

Le corps de Charlotte est zébré de marques rouge foncé. Le bourreau libère sa femme, il lui verse encore un peu d'huile et en badigeonne les blessures. Charlotte regarde en marin en souriant et dit :

-Tu m'as bien chauffé mon chéri, j'ai failli jouir lorsque tu tyrannisais mon clito, vieux cochon, j'ai hâte de monter sur le cheval !

Elle enjambe l'engin et présente à sa vulve enflée le gode hors norme. Elle s'assied dessus, les grandes lèvres s'ouvrent et le gland, s'engage de peu dans le vagin. Charlotte supplie son mari :

-Aide-moi, ne me laisse pas comme ça mon chéri !

Raymond appuie de toutes ses forces sur les épaules de sa femme, elle grimace en s'empalant totalement sur le monstre de silicone. Distendue comme jamais, sa chatte est au bord de la rupture. Raymond appuie sur le bouton magique. Charlotte se cabre, l'engin lui fouille le ventre en vibrant férocement. L'engin infatigable la fait hurler de plaisir. Isabelle et valériane se serrent l'une contre l'autre, leur chatte commence à suinter. Raymond intervient, il demande une volontaire pour la croix de saint André. Valériane pousse son amour :

-Vas-y ma chérie !

Hésitante, mais très curieuse, Isabelle s'avance vers la croix, elle se ravise :

-Raymond, je préfère tester les cordes qui pendent du plafond !

Il répond :

-Tes désirs sont des ordres ma chérie !

Il emprisonne les chevilles dans les fers et les bras aux cordes. Sur le cheval, Charlotte ne cesse de jouir, ses gémissements ressemblent à des plaintes, ses orgasmes sont terribles, sa cyprine noie l'engin. Elle hurle :

Raymond, Raymond !

Il sait ce que sa femme désire, il fait cesser les vibrations et les ondulations du gode, il l'aide péniblement à se des-empaler, ses cuisses sont trempées de jus. Il lui dit en souriant :

-Ouah, tu as bien joui hein ma salope !

Entre deux halètements, Charlotte lui répond :

-Oui, oui, la suite maintenant, vite mon chéri !

Isa et Val se demandent, qu'est-ce la suite. Elles vont être vite fixées. Charlotte présente à son anus huilé, le gode dégoulinant de son jus. Elle se laisse tomber de tout son poids, Mais son mari doit l'aider pour que l'empalement soit total. Il actionne l'ondulation et la vibration, Charlotte se met à couiner comme un animal. Son conduit est distendu au maximum, surement habitée à ce genre de pénétrations monstrueuses, Charlotte prend un pied d'enfer. Raymond revient près d'Isabelle, une fois qu'elle est bien fixée au sol, jambes bien écartées et bras tendus, vers le plafond, il prend un martinet. Isabelle commence à avoir peur, elle dit en tremblant :

-Pas trop fort Raymond, je t'en prie, je suis novice pour ce jouet !

Il sourit et réplique :

-Pour ta jouissance soit complète, il faut ce qu'il faut ma chérie !

Il lui donne quelques coups pas très fort sur les lobes fessiers. Isabelle se cabre en poussant des petits cris. Les trois derniers coups sont très violents. Isabelle en a les larmes aux yeux. Ses fesses sont écarlates. Raymond passe devant, il donne trois coups violents entre les cuisses ouvertes. Isabelle croit que sa chatte va éclater, elle se tortille comme elle peut en disant plusieurs fois :

-Oh putain que ça fait mal, oh putain !

Sa chatte est boursouflée, Raymond la caresse doucement, puis y enfonce trois doigts et les tourne dans le conduit, la brulure du martinet plus les doigts qui la fouillent, Isabelle s'agite en geignant. Il s'accroche au clito, le branle jusqu'à ce qu'il sente qu'Isabelle va jouir. Il retire les intrus et sans aucune précaution, il enfonce un gode de bonne taille dans le vagin au bord de l'explosion, il le tourne férocement en lui faisant faire un va-et-vient terrible.

Sur le cheval d'arçon, Charlotte n'est qu'une machine à jouir, elle gémit férocement en marmonnant :

-Oh que c'est bon, oui, oui, je veux jouir encore, encore !

Une flaque d'eau s'entend de plus en plus sur les côtés de l'engin.
Valériane ne sait où donner de la tête, elle veut voir son amour se faire massacrer la chatte et en même temps Charlotte jouir comme une damnée. Le vieux Raymond sait manier l'engin, il le tourne en le faisant voyager dans le ventre d'Isabelle qui, tout d'un coup, pousse un hurlement. Il jouit comme une bête, son corps se met à trembler. Il laisse l'engin bien enfoncer dans le ventre de la jouisseuse et va se placer derrière elle.
Il crache sur l'anus, le fouille avec deux doigts, avant d'y enfoncer sa verge. Il défonce le rectum d'isabelle comme un soudard. Hébétée, Valériane regarde, la queue puissante du vieux bonhomme démonter le cul de son amour. Sa chatte est en feu, elle se caresse énergiquement lorsque qu'un cri inhumain retentit.

Charlotte vient de Jouir pour la énième fois, son corps tremble sous les ondulations et vibrations incessantes du monstre qui lui fore le cul, elle se masturbe le clito avec rage, elle est au bord de la syncope, ses yeux sont révulsés, un filet de bave s'écoule à la commissure de ses lèvres. De peur d'un accident, Valériane arrête l'engin, puis de se caresser. Isabelle halète fortement en disant :

-Oh Valériane, je meurs de plaisir, ce Raymond est un enculeur parfait, mon Dieu comme il me défonce !

Valériane accélère, les paroles de son amour l'excitent terriblement, elle dit avec une voix pleine de trémolos :

-Raconte, moi ce que tu ressens ma chérie, raconte oui, raconte !

Oh ma chérie, il me dilate le cul et cela me fait un bien fou, ma chatte va de déchirer oh, je re-jouis ouiiiiiiiiii !

Une deuxième jouissance plus puissante que la première la fait trembler, Valériane s'enfonce trois doigts dans la chatte et la ramone vivement, de sa main libre, elle martyrise le clito. Raymond répand sa semence épaisse dans les entrailles brulantes d'Isabelle qui ne cesse de geindre. Le coquin continu de lui dévaster le cul, jusqu'à ce qu'elle jouisse une nouvelle fois.

Valériane s'allonge sur le banc en écartant les cuisses au maximum. Elle se fouille maintenant avec quatre doigts, son vagin dilaté lui donne un plaisir intense, elle se cambre, en jouissant fortement. Raymond a libéré Isabelle, il s'approche comme un affamé de Valériane, il la retourne brusquement sur le bon et sans crier gare lui plante sa queue dans le fondement. Il la défonce comme un sauvage, valériane gémit en agitant sa croupe, le bougre lui démonte le cul avec une ardeur exceptionnelle. Elle se cambre comme un pont un jour de tempête et jouit du cul comme une bête en rut. Raymond repand au fond du conduit en feu, le peu de semence qu'il lui reste dans les couilles.

Enfin on aide a descendre de son cheval Charlotte, qui s'écroupe sur le sol les bras en croix.

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