Valériane et Isabelle 3

Valériane la jeune amante très amoureuse, ne vit que pour Isabelle. Isabelle par contre, n'est pas encore sur de ses sentiments. Malgré cela, les deux femmes se donnent à fond dans leurs ébats amoureux.

Proposée le 27/06/2021 par michelle2

Thème: Couple, passion
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie

Valériane, devient de plus en plus pressante. Elle ne veut plus quitter son amour, elle tente de la persuader de vivre ensemble. Isabelle réticente, n'est pas très chaude à cette idée, car elle n'est pas sûre de ses sentiments, en plus cela la gêne, car elle a une fille de 20 ans qui étudie en Angleterre, elle se demande comment elle va prendre la chose.

Le harcèlement continuel de Valériane, fini par porter ses fruits. Isabelle presque contrainte, accepte que Valériane habite avec elle. Cela se passe très bien entre eux. Isabelle s'attache de plus en plus à Valériane, la jeune gourmande de sexe arrive par moment d'épuiser son amante.
Isabelle Très connue de certains notables, a reçu des invitations pour assister à la première d'une pièce de théâtre, la tenue de soirée est de rigueur. Isabelle enfile une longue robe fendue sur le côté, Valériane plus moderne, doit se plier à la tradition. C'est en faisant la moue, qu'elle revêt également une longue robe. Elle entre dans le théâtre bras dessus bras dessous, dans le hall plusieurs couples attendent, les hommes fiers portent un veston queue de pie. Les femmes en longues robes, sont couvertes de bijoux.

Valériane murmure à l'oreille d'Isabelle :

-Oh la vache, les hommes on dirait des pingouins et les femmes une exposition de quincaillerie !

Isabelle lui fait signe de se taire. Un homme d'un certain âge s'avance, il est souriant, il les salue, c'est un ami d'Isabelle, celui-la même qui lui a envoyé les invitations. Ils papotent un bon moment, Valériane commence à bouillir, l'homme tient Isabelle par la main. Il faut dire que Valériane est d'une jalousie maladive. Enfin une hôtesse arrive, Valériane est soulagée, elle regarde le vieil homme d'un sale œil. L'hôtesse les place dans une loge avec deux autres personnes.

La pièce commence, contre toute attente, est plaisante. Valériane qui est venue à contre cœur, est ravie. Un court entracte permet de se désaltérer. Puis la pièce reprend. Valériane, profitant que la loge est sombre, pose discrètement sa main sur la cuisse d'Isabelle et la glisse par la fente de la robe. Rapidement elle atteint l'entre jambe de son amante, doucement Isabelle desserre les cuisses, la main s'engage sur sa fente et la caresse de bas en haut. Rapidement sa culotte s'humidifie.


Deux doigts agiles s'insèrent dans sa culotte et lui titille la boule d'amour. Isabelle se mord la main pour ne pas crier de plaisir. Elle détourne son regard et là, elle écarquille les yeux. Dans la faible lumière, elle voit la femme de l'autre couple sucer la verge de son compagnon. Isabelle fait un signe à Valériane, elle cesse toutes activités et prend une pose plus confortable. Les deux, se mettent à observer le couple en action. La bouche de la femme monte et descend sur la hampe veineuse, l'homme geint doucement. La femme se redresse et branle énergiquement le membre de son homme. Son regard de pose sur Isabelle et Valériane, elle sourit et cesse de branler l'engin. Elle allume la petite veilleuse de la loge et toujours en souriant elle décalotte le gland. Les yeux des deux voyeuses se braquent pour bien voir l'énormité.

Le gland imposant et rapidement gobé par la femme vorace, elle suce et tète fortement le manche tendu. Soudain l'homme se raidit en poussant un râle, il éjacule en remplissant de son sperme épais la bouche de la suceuse, qui avale le nectar. Quelques coups de langues suffisent pour nettoyer la verge gluante. L'homme range son engin et comme par miracle, s'intéresse à la pièce de théâtre. Valériane reste bouche bée, elle prend la main de sa chérie et la serre très fort. La pièce se termine, il est temps de rentrer. Avant de quitter les lieux, le couple se présente, ils sont avocats tout les deux. Ils discutent un bon moment avec Isabelle et Valériane. Les deux personnes, qui ne sont pas de toute dernière jeunesse, sont très sympathiques et les invitent à prendre un dernier verre chez eux. Isabelle hésite, mais Valériane dit :

- Oui, oui allons-y Isabelle, je n'ai pas envie de rentrer !

Comme à chaque fois, Isabelle cède aux caprices de sa jeune amante. Les quatre arrivent à destination. C'est une grande bâtisse, plantée au centre dans un grand parc, le tout clôturé par un haut mur. Le couple fait entrer les deux invitées au salon. L'homme sert du champagne, Isabelle et Valériane, sont installées sur le canapé la vieille femme dans un fauteuil. Elle regarde avec insistance Valériane, elle lui sourit et dit :

-Le petit spectacle dans la loge vous a plus ?

Valériane, regarde Isabelle puis répond :

- Oui, même avec le peu de lumière nous avons rien manquées, je dois dire que monsieur est bien monté !

La femme au prénom de Charlotte, éclate de rire puis, s'adresse avec autorité à son mari :

-Raymond montre ta queue à ses dames !

L'homme sans se froisser, baisse son smoking et son slip et ondule du bassin pour faire balancer son engin. Charlotte souriante dit :

- Beau morceau, n'est-pas mesdames !

Isabelle est un peu gênée, c'est Valériane qui répond en ironisant :

- Il est curieux que monsieur à son âge bande encore, ou alors il utilise la petite pilule bleue !

La réponse de Charlotte remet les pendules à l'heure :

- Il est encore vert mon Raymond, il ne faut pas se fier aux apparences !

Vicieusement Valériane réplique :

- Cela reste à prouver !

Isabelle est outrée. Le culot de son amante la gêne terriblement et pour qu'on ne la voit pas rougir, elle avale rapidement son verre. Charlotte regarde son mari et ordonne :

- Raymond branle-toi, montre à cette petite personne douteuse, de quoi tu es capable !

L'homme retire son pantalon et son slip et prend palace dans un fauteuil. Il saisit son engin encore mou puis commence la masturbation. Rapidement son mandrin prend du volume. Charlotte se lève, saisit le manche de son homme et le branle sauvagement. Le vieux râle de bonheur, sa queue ne cesse de grossir. Isabelle rouge comme une pivoine, ne peut s'empêcher de regarder la main de la femme décalotter à chaque descente de son poignet le gland large et épais.

Valériane se trémousse sur le canapé, ses yeux sont rivés sur la queue de Raymond. Un petit filet de cyprine s'échappe de sa fente et mouille sa culotte. Elle saisit la main d'Isabelle et la serre très fort. Isabelle grimace de douleur et parvint à desserrer l'étau. Charlotte jugeant que la queue de son mari est opérationnelle. Elle s'approche de Valériane et lui demande de se lever. La jeunette obtempère, la vieille commence à lui dégrafer la robe, la lui fait glisser des épaules. Le tissu léger se retrouve sur les sol. Valériane se retrouve en soutien-gorge et petite culotte devant les inconnus. La femme regarde en souriant, la tache humide qui s'étend sur la culotte.

Lentement, Charlotte fait descendre la culotte de Valériane, qui ne cesse de regarder Isabelle. La culotte rejoint la robe sur le sol. La vieille bascule Valériane sur le canapé, elle fait un signe à son mari. Le coquin s'approche, sa queue est tendue au maximum. Charlotte écarte les cuisses de la jeune curieuse et dit :

Maintenant tu vas constater par toi-même, la virilité de mon chéri !

Isabelle regarde la queue avec inquiétude, cela fait un longtemps que Valériane n'a pas reçue en elle un membre d'homme et particulièrement celui-la au fort calibre. Raymond constate, que les préliminaires sont inutiles. Valériane mouille comme une fontaine, la coquine est excitée comme jamais. Le vieux frotte son gland violacé contre la fente dégoulinante de la soumise. Il pousse doucement, les grandes lèvres s'ouvrent, le gland s'engage lentement dans le cratère en ébullition. Valériane saisit brutalement la main d'Isabelle et la regarde. La queue raide s'enfonce en elle doucement. Raymond s'accroche aux hanches de sa soumise et donne un violent coup de reins. Valériane pousse cri en écrasant la main de d'Isabelle.


Le membre et entièrement en elle, le gland épais but contre le col de son utérus. La sensation est Phénoménale, Valériane se cabre et s'agrippe à son amant. Elle grogne dit des mots inaudibles. Le pilonnage commence, Raymond ne la ménage pas ses coups de boutoir sont terribles, sa queue voyage dans les entrailles en fusions de Valériane qui ne cesse de geindre, elle regarde toujours Isabelle, les yeux brillants de Valériane, semblent l'implorer. Pour la première fois Isabelle dit quelque chose.

- Donne-toi à fond ma chérie, profite de ce bon moment, prends ton pied !

À suivre.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.

Commentaires de l'histoire :

Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email