Vous allez en savoir plus sur la relation qu'entretiennent mon épouse avec son amie. Ses confidences ne vont pas me laisser indifférent mais chasser le naturel, il revient au galop.
Proposée le 26/10/2022 par Sucette
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Homme soumis
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Résumé des histoires précédentes : Amoureux transi d'une fille admirable, je perds toute volonté et me laisse guider aveuglément.
Après une nuit de noce pitoyable, place au explications.
J'en assez entendu pour demander des ?claircicements à celle qui est devenue ma femme.
<< Ch?ri, tu es rentrée bien tôt ce matin, ça s'est passé comment après mon départ ? >> d'un ton plus inquiet qu'intrusif.
<< Je t'interdis de me faire des reproches, tu as été absent, incapable de me faire danser. Moi je sais m'amuser et heureusement que j'ai des amis qui me comprennent >> dit sur un ton péremptoire. Elle ajoute :<< Qu'est ce que tu sais de mes envies, mes besoins au moins Karine, elle , elle me comprends. Entre nous c'est une longue histoire. >>
<< Raconte, s'il te plait pour te comprendre, j'ai besoin de savoir. >>
Elle me raconte son enfance, les exigences paternelles, la soumission de sa mère, sa révolte, la revanche qu'elle veut prendre dorénavant,
Son père l'a mise en internat, c'est là qu'elle a rencontré Karine son aînée.
C'est avec elle qu'elle avait eu son premier baiser puis les premières étreintes et les premiers orgasmes.
Elle m'a raconté qu'elles prenaient la douche, d'abord en chahutant puis en se frottant pour se sécher et que l'usage du sèche cheveux pouvait servir a bien autre chose. Souvent cela finissait dans les toilettes tandis que le jet de douche couvrait leur jouissance.
Elle me racontait aussi comment elles tyrannisaient leurs camarades plus timorées et plus jeunes en leur privant de leur serviette ou de leurs effets personnels qui leur étaient rendus contre sévices et prix de leur silence. Elles les obligeaient à rester nue dans le vestiaire dans la crainte d'une intrusion, leur disant que l'entraîneur ou le gardien faisait son inspection.
Elles laissaient la porte et les vasistas ouverts alors qu'elles sortaient de la douche. Elle devait demander humblement à genoux leurs effets puis aller à quatre pattes ramasser leurs chaussettes ou d'autres effets avec les dents.
Une fois, la fillette avait dû leur lécher les orteils, une autre fois la gamine avait dû se soulager devant elles, porte des toilettes grande ouverte.
Dans le même registre, il y eut la fois ou découvrant une petite culotte souillée, la propriétaire avait dû la nettoyer avec sa langue. Je ne parle pas des petites culottes confisquées.
Elle me racontat aussi les sévices : coups de regle sur le sexe, fessée, étirements, poses humiliantes... Heureusement les portables n'existaient pas. Bien sûr cela se faisait quand il n'y avait plus personne.
A cette époque, on ne parlait pas de harcèlement et ces pratiques étaient courantes chez les adolescents des deux sexes.
Je mesurais notre dissemblance, j'avais eu une enfance sans histoires dans un milieu simple et modeste. Tout au plus quelques batailles de serviettes mouillées à la piscine publique. Quelques comparaisons de pénis aux toilettes et beaucoup d'histoires imaginaires racontés par mes camarades de classe.
En fait c'est Claire qui m'a deniais? er éclairé.
Ces confidences sur l'oreiller m'avaient bien émoustillé et j'étais au garde à vous pour un second round. Claire a perçu mon émoi : << Alors mon petit cochon, ça te fait bien bander tout ça. Attends tu vas voir ! >> et me saisit par les couilles en serrant de toute ses forces.
Elle me fait mettre debout les mains dans le dos et revient avec ma cravate, un foulard et défait les lacets de mes baskets. Elle m'attache les mains, me bande les yeux et noue mon sexe et mes testicules avec le lacet â m'en faire mal.
<< Avec ça tu vas tenir longtemps. >> me dit elle entre ses dents puis elle me demande ce qui a été le plus excitant.
Je lui avoue que l'épisode des sévices m'a beaucoup excité. Elle prend alors ma ceinture et m'assène une dizaine de coups sur les fesses et le sexe. Mon érection redouble , des gouttes s'échappent de mon m?at. Elle me caresse de son doigt l'extrémité de ma verge, c'est insupportable, je suis plus que chatouilleux, je me mets â genoux pour échapper à la caresse, elle en profite pour s'asseoir sur moi.
Plus tard, j'apprendrai le mot facesitting, elle veut que je la lèche puis elle me demande à nouveau ce qui m'a plu, je lui réponds la scène du pipi.
Elle me dit d'ouvrir la bouche et elle se lâche. Je suis inondé, l'urine coule sur mon torse, imprègne le foulard, j'en avale une partie. C'est salé et ça sent le vieux cuir. Ce n'est pas désagréable, c'est la surprise mais surtout l'humiliation qui m'envahit.
Ensuite la tension retombe, nous épongeons nos débordements, prenons une douche et nous faisons l'amour tendrement.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Commentaires de l'histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email