Diner en espace réduits

Julien, un jeune homme un peu timide, va rencontrer Meg lors d'un diner entre amis classique. Alors que ses amis poussent la chançonette sur Johnny, Julien va vivre une expérience qu'il n'oubliera jamais.

Proposée le 18/08/2022 par herossWriter

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Toilettes
Type: Fantasme

Un soir d'août presque caniculaire, Julien était invité chez un couple faisant partit de ses meilleurs amis. Il les voyait souvent et passait toujours des moments remplis de rire, de bonne bouffe, et de vin.
Le groupe d'amis de Julien était plutôt restreint, 6 à 8 personnes, qu'il voyait très fréquemment, souvent en s'invitant respectivement chez eux les vendredi ou samedi soir.


Depuis quelques temps déjà, Julien n'était pas au mieux de sa forme. Il sortait d'une relation compliquée qui l'avait marqué, et la séparation lui laissait un gout amère dans la bouche, malgré les nombreux mois déjà écoulés. Il attendait ce genre d'occasions avec une certaine impatience, car il repartait toujours de ces soirées remontés à bloc et prêt à affronter la semaine à venir.


En arrivant chez ses amis, la première chose que Julien vu, c'était la Honda Civic bleue garée devant la maison. C'était plutôt inhabituel, car c'était généralement la voiture du couple chez qui il était invité qui était garée là.
Julien sonna, son amie Kim vint lui ouvrir, et après l'échange de quelques politesses il avança vers la salle à manger de la maison, qu'il connaissait désormais comme sa poche.
En arrivant dans la salle à manger il eut comme une petite décharge en voyant qu'à table, ses amis étaient là mais ils étaient acompagnés d'une tête brune inconnue qui était installée en bout de table.

Kim fit les présentations:
- "Julien, je te présente Meg ma cousine. Elle est chez nous pour quelques jours. Les autres tu les connais déjà je crois ?"
Un peu gêné Julien s'avança, et Meg se leva pour lui faire la bise et lui souhaiter la bienvenue avec un large sourire.


Meg donnait l'impression d'être l'étudiante typique. Elle était plutôt grande, un peu plus d'1m70, des cheveux bruns mi-long tombaient sur sa nuque, et elle avait un visage d'ange, tout en rondeur et en douceur. En plus de ça, elle avait un immense sourire qui illuminait son visage à la première occasion.
Julien sentit son visage légèrement changer de couleur lorsqu'il se pencha pour lui faire la bise, d'autant que du coin de l'oeil, il ne put s'empêcher de jeter un oeil furtif vers son décolleté. "90C". C'est ce que son analyse de professionnel avait conclut.


Après quelques verres de vins, l'ambiance était très détendue. Meg avait les joues rosées par l'alcool et la chaleur de la pièce, et malgré les ventilateurs qui ronronnaient, la chaleur extérieure de la journée caniculaire se faisait ressentir, et les murs de la maison relachaient une partie de tous ces rayons solaires accumulés pendant la journée.
Après le 3ème verre de fin, elle se pencha légèrement vers Julien assis à côté d'elle, et par dessus le vacarme ambiant lui demanda à l'oreille:
- "Est ce que tu pourrais me dire dans quelle direction je vais trouver des toilettes s'il te plait ?"
- "Oui biensur, c'est la première porte à droite en haut de l'escalier derrière nous"
- "Merci beaucoup !" soupira Meg soulagée et souriante.

En se levant, Meg passa derrière la chaise de Julien, et il eut l'impression l'espace d'un instant qu'elle laissait volontairement courir sa main le long du dossier de sa chaise. Il sentit la main de Meg lui frôler légèrement la nuque. Juste ce qu'il faut pour lui donner un début de chair de poule.

Julien vit du coin de l'oeil Meg s'éloigner de la table pour rejoindre le bas de l'escalier qui revenait vers eux en montant. Elle était vétue d'un débardeur bleu foncé flottant, et d'une jupe grise à volant arrivant mi-cuisse. Bien que parfaitement opaque, on devinait facilement que Meg ne portait pas de soutient-gorge. Outre le fait qu'on ne voyait pas de bretelles dépasser de son débardeur, les ventilateurs de la pièce avait eu tendance pendant tout l'apéritif, à presser son débardeur contre sa poitrine à chaque rotation qu'ils effectuaient. Julien avait évidemment vu ce détail à plusieurs reprises.
Mais alors que l'hôte de maison commençait à apporter les entrées, Julien jeta un dernier coup d'oeil vers l'escalier situé derrière lui, et vit Meg finir son ascension. La fraction de seconde pendant laquelle Julien avait levé la tête était suffisante. Meg ne portait pas de culotte. Certes, il faisait chaud dans la pièce, mais la couleur que prit le visage de Julien à ce moment là n'était absolument pas dû à la météo. Et si une caméra sous la table avait filmé les invités en commençant par les pieds, elle aurait vu que Julien avait à ce moment là une érection capable de faire exploser la braguette de son jean.


Le reste du repas se poursuivit sans encombre. Mais au fur et à mesure que la température de la pièce continuer de grimper, Julien pouvait sentir que Meg se raprochait de lui. C'était subtil, presque instangible, mais il pouvait jurer qu'elle se raprochait, et quand vint le moment de servir le déssert, sa chaise était presque collée à la sienne.

Kim, qui profitait à fond de l'ambiance joyeuse de sa soirée, eut alors "l'idée du siècle":
- "Et si on faisait un karaoké avant le café ?!"

La quasi totalité des invités s'exclamèrent alors en guise d'approbabtion, à l'exception de Julien et Meg assis en bout de table.
"- Alors là très peu pour moi, j'ai déjà suffisament chaud comme ça. Je ferais les coeurs pour vous, de toute façon la télé est juste en face de nous !" dit Julien.
"- Je vous laisse mettre en route la machine, je reste un peu avec Julien, et je te promets que j'en fais une avec toi après !" dit Meg en direction de Kim.
"- Ok va pour cette fois, mais je compte sur toi tout à l'heure".
Meg acquiessa avec son large sourire.


Les invités s'éloignèrent légèrement de la table pour rejoindre le salon adjacent, et ils commencèrent à chanter sur des "tubes" plus ou moins de bon gout.


Julien quant à lui était quelque peu figé. Figé parce qu'il était seul avec Meg, et qu'il lui était compliqué d'engager la moindre conversation sans la dévorer du regard. Mais figé surtout, parce que sous la nappe de la table, la main de Meg venait de se poser sur sa cuisse, et avait commencé à faire un mouvement de va et vient le long de l'intérieur de sa cuisse.
Il sentait très distinctement la chaleur de la paume de sa main, passer à travers son jean plutôt épais compte tenu de la météo de ces derniers jours.
Sans dire un mot, il détourna la tête en direction de Meg. Elle le regardait fixement avec ses grands yeux marrons, et comme depuis le début de la soirée, un grand sourire illuminait son visage. Elle était légèrement tourné vers lui, une main posée sur sa cuisse, et l'autre posée sous sa joue, tenant le poids de sa tête grâce à son coude posé sur la table.
Sans rien dire, Julien la dévorait des yeux. Son regard parcourait tous les recoins de son visage, et son attention commença ensuite à glisser lentement vers sa nuque moite, puis vers sa poitrine tourné dans sa direction.
Alors que dans le fond de la pièce ses amis étaient en train de chanter, hilares, Meg commençait elle à faire remonter sa main vers la braguette de Julien, et sans dire un mot elle était déjà en train de la faire glisser lentement, pour libérer l'érection que Julien ne pouvait plus du tout dissimuler.

"-Qu'est ce que tu..." commença à dire Julien
"-Tais toi." le coupa Meg. Son ton n'était pas autoritaire. Elle lui signifia juste, que tout ce qui se passait était volontaire, et qu'il serait plus malin pour lui de profiter, plutôt que de discuter.

Pendant plusieurs dizaines de secondes après ça, sous la longue nappe à carreaux rouge et blanche, Meg avait entreprit de masturber Julien. Ses gestes étaient lent, sa poigne ferme, et de temps à autre ses doigts courraient le long de son sexe, pour aller délicatement faire le tour de son gland, ou redescendre caresser ses testicules.
Le sexe de Julien était bouillant, et dur. Il semblait réagir à chaque contact entre la main de Meg et son membre.


Julien était maintenant de la même couleur que la bouteille de bordeau à moitié bue sur la table.


"- Meg ! Tu viens ? Celle là je sais que tu l'adores !" lança Kim depuis le salon.
"- OK j'arrive, mais une seule hein ?" répondit Meg.
Elle retira sa main de sous la table, et de la façon la plus naturelle qui soit s'éloigna pour aller en direction du salon. Julien n'en perda pas une miette, et alors qu'elle s'éloignait, il n'essayait même plus de dissimuler le fait que son regard était maintenant rivée sur ses fesses. Sa jupe à frange rebondissait sur ses fesses à chaque pas en direction du salon. Julien ne pouvait s'empêcher de se rappeler qu'elle ne portait rien sous cette jupe, et que le moindre coup de vent dans l'angle adéquet, révélerait à ses yeux ces deux merveilles qu'il regardait fixement.
Quelques secondes passèrent, Julien vit Meg empoigner le micro, et elle se mit à chanter. Julien se ressaisit, referma comme il put son jean, et après s'être quelque peu calmé, il se leva en direction de l'escalier.
"-Julien tu t'en va déjà ?" Lâcha Kim entre deux couplets.
"-Ah ah non non, je vais juste aux toilettes promis !" dit Julien gêné.
Meg le regarda monter, le regard souriant ... et expressif.


Julien alla jusqu'aux minuscules toilettes situé sur le pallier en haut à droite des escaliers, ferma la porte, et reprit son souffle. Il n'avait absolument pas besoin de se soulager, juste d'être dans une pièce neutre, où il ne ressentait pas une tension sexuelle assomante l'envahir.
Après quelques grandes bouffées d'air, il tira la chasse d'eau pour maintenir les illusions, tourna le vérrou de la porte, et à peine avait-il la main posée sur la poignée, que celle ci s'ouvrit, et Meg se faxa rapidement à l'intérieur du minuscule toilette.
*clic clic*. Le verrou était déjà remis.


Julien était maintenant face à face avec Meg, dans cette pièce minuscule. Ils n'avaient pas beaucoup de place pour bouger, et son dos était contre le mur, mais sa poitrine était pressée contre les seins fermes de Meg. Il sentait ses tétons pointer à travers le débardeur, quand elle commença à l'embrasser à pleine bouche.
Sans dire un mot, elle entreprit de déboutonner son jean tout en l'embrassant. Il tomba à ses chevilles et Meg reprit là où elle s'était arrêtée, en faisant glisser ses mains le long de son sexe en érection. Sa main droite faisait des aller retour de bas en haut, et de sa main gauche elle avait entreprit de carésser doucement ses testicules.
Julien n'avait pas souvenir d'avoir déjà eu une érection aussi forte. Il pouvait sentir sa verge avoir de légères pulsations. Des soubresauts, qui semblait exciter Meg à chaque fois un peu plus.
Julien laissa sa main gauche courir le long du corps de Meg, et alla se glisser sous sa jupe. Meg était chaude et humide. Les doigts de Julien plongeaient en elle avec une facilité déconcertante. Il inséra un doigt, puis deux. Collés l'un à l'autre, il entendait Meg étouffer ses gémissements à son oreille. Mais elle continuait inlassablement de le masturber.
Lui aussi continuait ses va et vient sans relâche. Il allait toujours plus profondément, et ressortait ses doigts en les glissant et en appliquant une pression sur son clitoris désormais dur.

Julien sentait l'orgasme monter, à la fois pour lui, mais aussi pour elle. Elle était écarlate, et son corps dégageait une chaleur suffoquante dans la petite pièce.
C'est alors que Meg tourna la tête vers son oreille, et chuchota:
"- Prends moi par derrière."
Là encore, ce n'était pas un ordre qu'elle lui donnait. C'était la phrase d'une femme qui connaissait son plaisir, et qui savait ce qu'elle voulait, et quand elle le voulait.


Avant que Julien ne sente un énième soubresaut de son sexe, Meg s'était déjà retourné, et elle avait soulevé sa jupe à franche, dévoilant des fesses blanches et rebondies. Elle entreprit de prendre le sexe de Julien avec sa main gauche, et le guida jusqu'à elle. Jusqu'à ses fesses. Elle fit glisser son pénis jusqu'à son sexe chaud et trempée, et passa de longues secondes à se frotter à lui. Sa verge était trempée de la moiteur de Meg.
Alors que Julien commençait à avoir un mouvent de bassin vers elle, elle l'arrêta de la main droite, le fit reculer de quelques centimères, et de la main gauche elle remonta le pénis de Julien pour le guider un peu plus haut, vers l'épicentre de ses fesses étonamment fraiches. Une fois le gland de Julien pressé contre son anus, elle lâcha le penis de Julien et passa sa main droite derrière lui pour l'attirer à elle.
Le mouvement, et la force de sa pression, ne laissait aucun doute quand à son désir à ce moment là, et Julien commença à faire basculer son bassin en avant, pour faire pénétrer son sexe en elle.
Son anus était chaud et serré, et il hésitait à mettre plus de force pour pénétrer plus loin. Mais la main de Meg continuait de l'attirer toujours plus près d'elle, toujours plus profond. Lentement, Julien s'insérait en elle, et commençait à sentir ses fesses se plaquer contre son bas ventre. Il continuait à se presser contre elle, et Meg à lâcher un gémissement, qui s'il n'avait pas été contenu, aurait fait trembler la porte de la petite pièce.
Julien était tout entier en elle. Pressé contre ses fesses. Meg était plaquée contre le mur, presque incapable de bouger, et ses jambes commençaient à trembler. Elle continuait à guider Julien de la main droite, en des mouvements de va et vient de plus en plus rapide, mais toujours aussi profond.
Les gémissements de Meg étaient de plus en plus dur à atténuer, et Julien se sentait au bord de l'explosion. Il fit glisser sa main gauche vers son entre-jambe, et n'eut aucune difficulté à trouver le Clitoris de Meg, qu'il commençat a carésser comme il pouvait entre deux va et vient. Rapidement, elle prit sa main, et l'enleva de son entre-jambe. Ce n'était pas nécessaire.

Meg avait laissé tombé sa main droite, elle n'avait plus besoin de donner un rythme à Julien, il faisait ça très bien maintenant. La respiration de Julien commença à s'intensifier. Et à mesure que ses inspirations se faisaient plus fortes, et que Meg sentait son orgasme arriver, elle gémissait elle aussi plus fort, comme à l'unisson. Il accéléra encore ses mouvements, en se cramponant à elle. C'était là, c'était maintenant. En un dernier mouvement, il plongea aussi profondémment que possible en Meg, la plaquant encore un peu plus contre le mur blanc des toilettes, et il eu le sentiment que son pénis explosa en elle au moment de l'éjaculation. Il était encore cramponé à ses fesses, et Meg lâcha un dernier gémissement à peine dissimulé, alors qu'elle sentait le sexe de Julien la remplir, dans un feu d'artifice de contractions, qu'elle sentait dans son anus et jusque dans son vagin.



Toute la scène s'était déroulé en l'espace d'une poignée de minutes, et après s'être nettoyé, les deux se sont rapidement rincés, habillés et sont sortis furtivement des toilettes à tour de rôle.

Quelques minutes plus tard, Julien rejoint Meg dehors pour une cigarette, mais surtout pour sortir de la fournaise qu'ils avaient créé tous les deux.
"- C'était incroyable" dit Julien.
"- ...".
Meg ne dit rien, elle se contenta de le regarder fixement avec son grand sourire vissé sur le visage.
Julien compris à ce moment là, que c'était la seule et unique fois où il croiserait Meg dans sa vie.

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