Alors que nous étions avec mon mari dans un hôtel des Alpes pour un simple week-end tranquille, une occasion de nous amuser s'est présentée. L'hôtel était équipé d'un espace balnéo et un autre couple l'utilisait en même temps que nous…
Proposée le 9/06/2023 par Hannapurna
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: Hôtel
Type: Histoire vraie
Dimanche 2 mai 2004
Bernard étant allé en Haute-Savoie pour encadrer une formation, nous avions décidé que je le rejoindrais à la fin pour partir ensemble une semaine dans la région puis en Italie du Nord en passant par le tunnel du Mont Blanc. C’est le meilleur moment: la saison de ski se termine ce week-end ainsi que les vacances scolaires. Nous avons demandé à ma tante Marie-Lou avec qui nous avons toujours des relations très proches (voir “une Famille en Or”) de garder notre fille Lola pendant ces quelques jours. Elle peut sans problème la loger chez elle et l’emmener à l’école.
Après une route sans encombre jusqu’à La Cluzaz étant donné que les derniers retours de vacances sont dans l’autre sens, je rejoins Ber à l’hôtel où il a été logé et où il a conservé sa chambre pour cette nuit. Autant en profiter, c’est payé par l’organisme de formation. Arrivée à l’adresse indiquée je me suis retrouvée devant les Airelles, un hôtel bien dans le style local et à l’aspect très accueillant.
A l’accueil, une aimable dame d’un certain âge qui a l’air d’être la patronne me reçoit et m’indique la chambre où je retrouve Ber. Elle est aussi dans le même style, avec des lambris sur les murs. Je pose mes bagages et me fais une petite fraicheur car l’heure est déjà bien avancée et il serait bon d’aller manger. Le moment des câlins poussés viendra après, nous avons le temps.
Pendant que nous nous remplissons la panse avec une bonne raclette dans le restaurant au rez-de-chaussée, Ber m’apprend qu’il y a dans l’hôtel un espace détente avec jacuzzi et sauna pour quatre personnes, gratuitement à disposition des clients. Il est ouvert jusqu’à 22 heures et il faut le réserver par chambre pour une demi-heure.
Je suis agréablement surprise de trouver cette possibilité mais ça tombe bien, après ce long trajet en voiture j’ai besoin de me relaxer avant d’aller dormir. Nous décidons donc de profiter du jacuzzi et de l’espace détente de l’hôtel ce soir.
Nous passons à la réception pour savoir s’il est possible de réserver l'espace détente pour ce soir. La femme est en train de s’occuper d’un autre couple qui est au comptoir et qui justement se renseigne pour la même chose. Elle nous apprend au passage que vu la fin des vacances, nous sommes ce soir les quatre seuls clients de l’établissement, et qu’elle même est en équipe réduite, ayant mis son personnel en repos bien mérité après cette longue saison de travail. Elle nous demande donc de nous mettre d’accord pour nous répartir les créneaux d’utilisation de l’espace.
Pendant qu’elle va s’occuper d’encaisser les derniers clients du restaurant, nous faisons connaissance du couple en question. Ils sont tous les deux apparemment dans la trentaine d’années. Lui est de taille moyenne et de corpulence plutôt sportive, avec des cheveux bruns mi-longs. Elle est plutôt petite, de ma taille, assez ronde avec un peu de poitrine pour autant que son pull le laisse deviner, blonde avec les cheveux en deux couettes sur les côtés.
Comme ils ont l’air sympas, nous nous entendons très rapidement sur le fait de partager l’espace, ce qui nous permettra d’y rester plus longtemps. En effet, comme il est presque 21 heures, ça nous donnera une heure bien pleine à quatre au lieu de nous laisser une demi-heure pour chaque couple séparément.
Nous prévenons la patronne qui n’y voit aucun inconvénient. Aussi elle nous passe des peignoirs et nous dit qu’il y a déjà des serviettes dans l’espace détente. Nous remontons tous dans nos chambres pour nous mettre en tenue. Pour Ber et moi, c’est vite vu, nous nous mettons à poil et enfilons le peignoir pour redescendre au rez-de-chaussée.
De ce fait, nous sommes les premiers à investir l’espace, qui est très cosy, tout en bois avec un grand miroir pour donner l’impression que la pièce est deux fois plus spacieuse. Au milieu de la pièce trône le jacuzzi, avec le mini-sauna dans un coin avec sa porte vitrée et un vélo elliptique sur la place restante dans l’autre coin près de la porte. Un faux bananier près du miroir et la porte bordeaux donnent des touches de couleur sur le fond de bois blond et le blanc des appareils.
J’enlève le peignoir et me glisse directement dans le jacuzzi, suivie de près par Ber. L’eau est chaude, les bulles roulent sur ma peau. Je ferme les yeux, c’est bon.
Alors que je suis bercée par la chaleur de l’eau, j’entend du bruit dans la pièce. J’ouvre les yeux, et comme je suis face à la porte, je vois entrer l’autre couple, en peignoir eux aussi.
Ils sont arrêtés un instant en découvrant que ma poitrine n’est apparemment masquée par aucun soutif de maillot. Je me dépêche de les décontracter en la jouant cool:
- Je n’ai pas pensé à prendre un maillot dans mes bagages en cette saison, et je ne savais pas qu’il y avait ce jacuzzi dans l’hôtel. J’espère que ça ne vous dérange pas?
Ils se regardent et c’est elle qui me répond:
- Non, c’est bon. Je vais même enlever le mien, comme ça on sera à égalité…
- Merci.
Elle ôte son peignoir, nous dévoilant son deux pièces avec bas brésilien et haut bandeau, hésite un instant puis fait sauter le soutif qui contrairement à ce que j’avais estimé à la réception à cause du pull large libère deux seins assez volumineux et bien lourds avec des cabochons tout petits. Son mari se retrouve caleçon de bain de type boxer, pas un grand bermuda. Elle se glisse le long du bord pour entrer dans l’eau face à moi en faisant en sorte de garder ses seins sous l’eau. Lui se trouve entre elle et moi, face à Ber.
Je me glisse en arrière pour faire apparaitre ma poitrine hors de l’eau et j’étire les bras sur le rebord. Dans le mouvement, mes doigts viennent effleurer l’épaule du gars mais je les rétracte immédiatement. Je me retourne vers le gars et m’adresse principalement à lui:
- D’habitude, ça n’est pas dans ce genre d’endroit où je peux profiter d’un jacuzzi ou d’un sauna. C’est vraiment une bonne surprise. Et vous?
- Nous on a pu en profiter déjà deux fois cette semaine, et c’est vraiment agréable après le ski. On est resté cette nuit pour skier encore un dernier jour et on remonte dans le Nord demain tranquillement, on avait posé un jour de plus pour être à l’aise.
Ber s’adresse pour sa part à la nana:
- Il me semblait bien vous avoir croisés dans la semaine. J’y étais aussi, mais pour le travail. Il faut dire que l’hôtel était plein à craquer. Ça change bien ce calme.
- Oui, moi aussi je me rappelle vous avoir déjà vu.
- Je crois qu’on peut se tutoyer, non? Commençons par les prénoms? Moi c’est Bernard.
- Nous c’est Michel et Michèle.
- Tiens, c’est rigolo, le même prénom pour tous les deux. Moi c’est Anna. On est de la région de Marseille.
- Et nous d’Amiens.
Nous laissons passer un moment à profiter des remous qui nous massent partout, puis je décide de pousser un peu les choses. On verra bien:
- En fait, quand j’ai dit que je n’avais pas de maillot, c’était pas du tout.
Ils restent interloqués, surtout que Ber rajoute:
- Et moi non plus. De toute façon, un jacuzzi et un sauna, c’est mieux tout nu, non?
C’est Michèle qui sort la première de son mutisme et dit en me regardant:
- Euh, c’est vrai. Et d’ailleurs, si on avait été tous seuls, c’est ce qu’on aurait fait.
- Et je parie que vous ne vous en êtes pas privés cette semaine.
- Oui, j’avoue qu’on a bien apprécié ce moment de relâchement.
- Eh bien, lancez-vous, faites comme nous!
Ils se regardent, puis comme s’ils étaient synchronisés, ils enlèvent lui son boxer, elle son petit brésilien et le posent sur le plat derrière le rebord du jacuzzi. Michèle fait bien attention à garder ses seins en-dessous de la surface. Nous ne faisons pas de remarques pour ne pas les effaroucher et continuons à profiter des bienfaits de l’eau.
Puis je décide de les brusquer un peu, surtout que j’ai noté que la position de Michel le met en face de l’entrée du sauna. J’annonce que je vais un peu me faire rôtir et me lève, leur dévoilant ma nudité totale et surtout mon épilation radicale. Je vais vers le sauna et m’assois face à lui, cuisses écartées, sans prendre la peine de fermer la porte.
Il a l’air un peu tétanisé, essayant de ne pas trop lorgner sur mon entre-jambes mais sans y parvenir. Je prends le seau d’eau, y plonge la cuillère et en verse tout le contenu sur les pierres chaudes. Un énorme nuage de vapeur se forme et remplit le sauna, me masquant un moment à sa vue avant que l’atmosphère s’éclaircisse.
Ber se lève aussi, leur faisant la deuxième surprise de la soirée. En effet, bien qu’il ne bande pas sa queue est suffisamment au-dessus de la moyenne pour impressionner le commun des mortels, et son épilation presque totale à part son petit plumeau sur le pubis ne cache rien du volume généreux de ses couilles. Il vient me rejoindre après leur avoir proposé de le suivre. Mais ils déclinent l’offre et restent bien tapis dans le bain.
Nous restons un moment à nous faire suer sans esquisser le moindre geste de nature directement sexuelle, puis nous retournons dans le jacuzzi. Ber a maintenant un début d’érection qui n’échappe certainement pas à nos partenaires de bain et il s’installe plus près de moi pour attaquer dans le vif du sujet. J’envoie donc discrètement ma main la plus proche sur sa bite qui ne tarde pas à réagir à mes sollicitations et se développe progressivement jusqu’à une érection plus qu’acceptable.
Et donc, je commence tout naturellement à le branler en douceur. Au début, les mouvements de mon poignet son si faibles qu’ils se confondent aisément avec ceux des remous du jacuzzi. Mais je donne volontairement de plus en plus d’ampleur à mon mouvement et nos voisins commencent à le remarquer, donnant l’impression de se dire que ce n’est pas ce qu’ils croient que je suis en train de faire.
Je continue doucement, mais comme ils n’ont pas l’air de bouger, je leur lance:
- Allez, profitez, ne vous gênez pas pour nous, faites-vous un peu plaisir, il n’y a personne!
Je m’étais laisser descendre pour être bien à l’aise mais je me redresse pour laisser ma poitrine émerger au dessus des bulles et lâche la bite de Ber pour me rapprocher sensiblement de Michel. je regarde bien Michèle en lui disant:
- Mais si tu préfères que je m’en occupe…
En disant cela, je me rapproche encore un peu de Michel et ma main glisse sous les bulles vers ses cuisses en regardant sa femme dans les yeux. Elle soutient mon regard quand je continue à faire progresser ma main sous laquelle je sens une bonne érection. Je prends ce sexe à pleine main, décalotte le gland et commence à faire des va-et-vient lents et réguliers. Comme ni elle ni lui ne s’insurge, je continue en amplifiant le mouvement.
Ber se rapproche de Michèle et lui demande carrément:
- Branle-moi toi aussi. Et redresse-toi, qu’on voie tes seins, c’est dommage de les cacher.
Elle ne résiste pas et s’exécute, ses doudounes flottant avec leurs petits bout tout durcis par l’excitation. Personne ne parle pendant un moment, Michèle me regardant toujours droit dans les yeux comme en signe de défi, Michel regardant apparemment le mouvement de la main de sa femme sur la bite de Ber qui a fermé les yeux pour mieux savourer.
Je propose à Michel de changer un peu de position:
- D’habitude, arrivée à ce stade je suce Ber. Tu devrais sortir et t’assoir sur le rebord, comme ça je pourrai le faire sur toi à sa place, si ça te dit.
Il jette un œil vers sa femme qui a un imperceptible hochement de tête qu’on peut prendre pour un acquiescement. Il se lève pour monter d’un cran et s’assoit au bord du jacuzzi, sa queue toujours serrée dans ma main. Son gland gonflé apparait et disparait pendant que je le masturbe. Puis je me penche et tends ma langue pour lui lécher le gland. Enfin j’ouvre mes lèvres et le gobe, descendant de plus en plus sur sa queue tendue à l’extrême.
Ber ne compte pas en rester là et attend que je sois lancée pour demander à sa voisine:
- Elle te fait envie ma queue?
J’interromps un moment ma fellation pour regarder comment ça se passe. Devant l’absence de réponse de Michèle, Ber s’est levé et se tient debout à côté d’elle. Elle n’a pas lâché sa bite et continue à le branler, maintenant à quelques centimètres de son visage. Elle jette un nouveau regard de défi vers nous et enfin s’avance pour passer sa langue sur le gland qui la nargue. Puis elle le gobe et se met en mouvement, ses lèvres coulissant de plus en plus loin sur la tige pendant que sa main est descendue empoigner les couilles. Du coup, je reprends mon action sur celle de son mari.
Un petit moment plus tard, j’entends un bruit d’eau et je vois apparaitre Ber qui vient s’assoir à côté de Michel. Michèle ne tarde pas à se positionner à genoux à côté de moi pour continuer à s’occuper de Ber tout en jetant des coups d’œil vers la queue de son mari dont je prends grand soin. Elle m’imite sans attendre plus. Tandis que Ber prend ses seins, elle baisse sa tête et le pompe avec soin.
Alors, je tente une main vers son dos qu’elle me laisse lui caresser. Du coup, je descends jusqu’à sa croupe que je flatte sans qu’elle ait un geste de retrait. Mes doigts viennent donc explorer son sillon où ils trouvent son œillet et sa fente qui est bien humide. Et c’est un peu gluant, donc ce n’est pas que de l’eau du jacuzzi.
Je la doigte un moment d’une main tout en suçant la bite de Michel à qui je dis:
- Un peu à moi, non? Viens me prendre en levrette.
Il ne se le fait pas dire deux fois et se positionne immédiatement derrière moi. Vu que je suis bien excitée, il n’a aucune difficulté à faire passer le seuil à son gland puis à toute la longueur de sa tige. Il me cramponne les hanches et me pilonne d’abord en douceur avant d’y aller plus en force et en profondeur. Ber propose à sa partenaire:
- Quand tu en veux toi aussi, tu me le demande.
- Oui, je veux.
- Non, pas comme ça, demande-le de manière plus crue.
- Viens, baise-moi!
- Ah, tu vois quand tu veux…
Il se dégage de sa bouche et vient à son tour se positionner derrière elle pour lui investir la chatte sans trop de ménagements. Elle marque le coup, apparemment pas habituée à ce calibre, mais elle s’y fait assez vite. Pendant ce temps Ber a un peu attendu que sa queue fasse sa place et maintenant il se met en mouvement très doucement pour ne pas la meurtrir.
Michèle et moi nous faisons baiser accoudées côte-à-côte sur le bord du jacuzzi. Michel ne tient pas trop longtemps, excité par la situation et me lâche tout au fond. Il reste un moment sans bouger puis ressort de ma chatte pour s’assoir sur le banc dans le bain. Pour ma part, je profite que je suis plus libre de mes mouvements pour caresser les seins de Michèle pendant qu’elle commence à annoncer son orgasme.
Elle jouit sans retenue et Ber attend un peu qu’elle redescende pour sortir da bite toujours en pleine érection. Il la fait s’assoir à côté de son mari et se fait pomper sous son nez, Ne ressortant pas au moment d’éjaculer. Elle a un haut le cœur mais ne se retire pas et avale tant bien que mal une bonne partie de la quantité abondante de sperme qu’il lui délivre.
Je dis à Michel dont je caresse la queue que cette vision a remise en forme:
- Dis donc, elle suce bien ta femme, tu as de la chance!
- Euh, c’est la première fois qu’elle va jusqu’au bout, elle a jamais voulu.
- Eh bien, comme ça tu pourras en profiter maintenant.
Sur la proposition de Ber, nous sortons du bain et allons nous poser sur les bancs du sauna. Les deux bancs intégrés sont superposés et Ber attend que Michel soit assis sur celui du haut pour se poser juste en dessous de lui, laissant Michèle monter à côté de son mari. Je me place en dessous d’elle et commence à m’occuper avec une main de remettre Ber en forme. C’est surtout pour inciter Michèle à faire pareil et j’entends très vite qu’elle ne s’en prive pas.
J’attends juste un peu, puis je me retourne pour m’agenouiller sur le banc, ce qui me met la tête à hauteur de son pubis qui est d’autant plus apparent qu’elle a les jambes ouvertes. Comme elle ne fait pas le mouvement de les refermer, je lui dis:
- J’adore ton petit triangle de poils, on voit bien que tu es une vraie blonde.
- Euh, merci. Et toi, j’ai vu que tu étais entièrement épilée.
- Oui, c’est plus pratique pour Ber quand il me mange le clito. Ça te plait à toi aussi?
- Euh oui, j’adore quand Michel me le fait.
- Alors, je peux?
- Euh, j’ai jamais rien fait avec une femme.
- Mais si, juste tout à l’heure quand je t’ai caressée pendant que tu suçais mon mari.
- C’est vrai, je me suis laissée allée, j’étais prise dans l’action.
- Eh bien, laisse-toi aller encore.
Je la prends par les genoux pour la faire assoir bien au bord du banc et je plonge dans sa fourche. Elle ne se retire pas et même finit par poser ses mains sur ma tête pour me tenir bien contre sa chatte. Elle remue le bassin et gémit, donc c’est gagné.
Toute à mon ouvrage, j’entends Ber demander à Michel:
- Elles nous ont laissés en plan. On s’en occupe sans elles?
- Comment ça?
- Ben, de la même manière, évidemment…
- Oh! Mais… Euh, non, arrête.
- Quoi, c’est pas bon?
- Si, mais tout de même…
- C’est ta première fois aussi? Eh bien il y a un début à tout. Laisse-toi aller et profite!
Je relève la tête pour vérifier que c’est bien ce que je pense et oui, Ber est en train de le branler. Michèle le regarde faire elle aussi. Je replonge. Mais il fait un peu trop chaud dans le sauna pour des ébats qui nous chauffent déjà bien assez par eux-même. Je propose donc de retourner continuer dans le jacuzzi. Ce que nous faisons sur le champ.
Comme la plage en bois du bain est trop étroite, je fais allonger ma partenaire sur le tapis en bois tressé au sol, en prenant soin d’y poser une serviette pour qu’elle ne se râpe pas le dos. Puis je me positionne en soixante-neuf et reprends mon action. Mais en même temps, je lui présente ma chatte devant sa bouche. j’insiste un peu en me frottant sur ses lèvres et elle finit par céder et commence à me lécher la fente tout en me pétrissant les fesses. Pendant ce temps, Ber a fait assoir Michel sur les marches d’accès au jacuzzi et a repris sa branlette. Puis il monte d’un cran dans les découvertes de son partenaire en lui suçant le gland en test avant de carrément le gober. Vu que Michèle a la tête de ce côté, elle a une vue directe sur son mari en train de recevoir cette fellation masculine.
Ne voulant pas l’épuiser, Ber arrête sa gâterie et l’entraine pour venir s’occuper de nous. C’est Michel qui vient me prendre en levrette, mais Ber ne se positionne pas tout de suite entre les cuisses de Michèle. Il vient d’abord se mettre debout à cheval au-dessus de moi pour demander à Michel qui s’active déjà dans ma chatte:
- Tu m’en dois une!
Je ne vois rien car c’est dans mon dos, mais je sais qu’il lui présente sa bite à sucer. Ça n’est pas gagné tout de suite car il continue:
- Oui, avec la main, c’est bien, mais mets-y aussi la langue. Oui, voilà, fais comme tu aimes qu’on te le fasse. Oui, c’est bien pour une première fois.
Je sens que ça excite Michel de sucer un mec pour la première fois de sa vie, mais comme je n’ai pas envie qu’il parte trop vite et encore au fond de mon vagin, je me retire en me faufilant entre les jambes de Ber pour me redresser derrière lui. Le spectacle n’est pas mal, y compris pour Michèle qui voit enfin en contre-plongée son mari sucer un mec. Mais je ne les laisse pas continuer, je demande aux deux de venir s’occuper de moi ensemble. Ber s’allonge sur le tapis à la place de Michèle et je viens m’empaler sur sa queue en me couchant sur son torse tout en demandant à Michel:
- Allez, viens m’enculer, que j’en profite un max!
Il ne se fait pas prier et vient illico s’agenouiller derrière moi pour présenter son gland contre ma rondelle. Il hésite un peu, mais comme il sent que la porte s’ouvre sans peine, il s’introduit et a la surprise de se retrouver sans à-coups au fond de mon boyau. Il me cramponne par les hanches et se met à faire des va-et-vient de plus en plus amples au fur et à mesure que sa bite prend sa place. C’est tellement bon que je prends mon pied rapidement, et c’est tant mieux car lui aussi annonce qu’il vient. Cette fois, c’est au fond de mon cul qu’il lâche ses salves, bien enfoncé jusqu’à la garde.
Il se calme et perd du volume, donc me quitte et je me dégage de la bite de Ber qui est toujours en pleine forme pour qu’il en fasse profiter Michèle qui n’a été que spectatrice de cet épisode. Il choisit de retourner dans le jacuzzi où il la fait mettre à genoux sur le banc intérieur et la reprend comme tout à l’heure en levrette. Mais je vois bien qu’il ne veut pas s’en tenir à ça car il commence à lui caresser l’anus avec le pouce.
Comme elle le laisse faire, il continue à l’assouplir avec de la salive pour bien faire glisser et enfin aventure son pouce de plus en plus vers l’intérieur jusqu’à ce que la première phalange passe entièrement. Il lui branle le cul tout en la baisant en levrette et elle a l’air de bien apprécier. Puis il passe à la phase B en sortant sa bite pour la pointer sur la rondelle et la promener de haut en bas pour déposer de la mouille. Michèle proteste:
- Euh, non, pas là. J’ai pas l’habitude.
- Eh bien justement, laisse-toi aller et tu vas la prendre très vite.
Il pousse un peu, en douceur, remet le gland dans la chatte pour le lubrifier, recommence à le promener tout autour de la rondelle, repousse un peu et enfin le gland est absorbé. Michèle ouvre la bouche pour dessiner un “Oh” muette Ber reste figé pour lui laisser le temps d’accepter cet intrus qui prend du volume dans ce conduit.
De mon côté, j’ai pris soin de Michel en lui nettoyant un peu sa queue souillée et en le branlant pour le remettre en forme. Je suis aidée en cela par la scène qu’il a sous les yeux et que je ne me prive pas de lui commenter:
- Ouah, pour une novice, elle l’a pris assez facilement. Et pourtant c’est une belle pièce.
- Euh oui, je suis étonné, elle n’a jamais voulu qu’on le fasse.
- Eh bien tu vois, elle s’améliore.
- Quand j’avais essayé, j’arrivais pas à entrer tellement elle était crispée.
- Maintenant, ça va aller beaucoup mieux quand tu vas vouloir recommencer.
- Oui, je vois ça, surtout après le calibre de Bernard.
- Tu devrais aller l’aider en te faisant sucer pour qu’elle soit moins fixée sur ce qu’il lui fait.
Il ne se le fait pas dire deux fois et va présenter son gland à sa femme qui le gobe sans hésiter et se consacre à le sucer goulûment. Du coup, Ber sent qu’elle se décontracte et pousse pour prendre possession de tout son rectum. Elle marque le pas tout de même et donc il attend encore un peu qu’elle se détende en pompant son mari pour commencer à la sodomiser tranquillement puis de plus en plus fort lorsqu’il sent qu’elle est prête.
Lorsque j’estime qu’elle est bien rodée je propose de lui faire découvrir aussi le sandwich. Je fais allonger Michel au sol et Ber la libère pour qu’elle puisse sortir du bain et aller s’empaler sur la bite de son mari. Puis il se positionne derrière et la fait bien se pencher en avant pour reprendre sa place avant que l’anneau ne se soit rétracté. C’est lui qui mène la cadence, la faisant décoller chaque fois qu’il va butter sur ses fesses puis la laissant retomber sur le pubis de Michel. Je profite que celui-ci soit plutôt passif dans cette position pour venir m’assoir su son visage afin qu’il s’occupe un peu de moi. Ce qu’il fait de la langue et des doigts pendant que sa femme grogne de plaisir.
C’est à ce moment que ce que j’attendais se produit enfin. On entend frapper doucement à la porte de l’espace détente et la voix de la patronne nous dire:
- Mesdames, messieurs, l’espace détente doit fermer. Je vous invite à libérer les lieux.
Comme nous ne répondons pas, elle réitère son appel:
- Allons, ça fait dix minutes que l’heure est passée. Merci de quitter l’espace détente.
Toujours sans réponse, elle pense peut-être que nous avons quitté le local à un moment où elle était affairée ailleurs dans l’établissement car cette fois elle ouvre la porte et nous découvre en pleine action dans cette position bien mélangée. Et elle ne peut avoir de doutes sur notre occupation car nous sommes de profil par rapport à la porte. Occupation que nous n’arrêtons pas malgré son intrusion. elle reste bouche bée puis réagit enfin. Elle ressort et nous dit par la porte qu’elle garde entre-baillée:
- Euh, bon, je ne voudrais pas vous déranger dans vos… ébats, mais j’ai besoin de fermer. Alors si vous pouvez terminer assez vite, ça m’arrangerait bien. Je compte sur vous.
Et elle referme la porte, ce qui ne change rien à notre activité en cours. Michèle était tellement partie déjà que c’est tout juste si elle avait noté la présence de la femme. Elle annonce son orgasme sans retenue. heureusement que le lieu est insonorisé, ça aurait pu déclencher une avalanche…
Ber la quitte et la fait retourner avec lui dans le bain où il la fait asseoir et lui présente son gland à gober après avoir fait une toilette à sa queue souillée. Michel et moi les rejoignons et nous mettons à coté d’eux dans la même position. Je mets tout mon savoir pour pomper Michel et il ne met pas longtemps à me tapisser le palais avec ce qu’il lui restait au fond des couilles. De son côté, Ber a enlevé sa bite de la bouche de Michèle qui le suçait voracement et se fait plaisir entre ses seins avec une belle branlette espagnole. Ça m’étonnait aussi de lui qu’il ne l’ait pas fait avant, vu qu’il adore ça et qu’avec ma poitrine peu volumineuse, ce n’est pas l’idéal. Il la guide pour qu’elle enserre sa tige et la fasse coulisser entre les deux globes jusqu’à ce qu’il sente la sève monter et qu’il se dégage pour lui éjaculer un reste de sperme encore conséquent sur les seins avant de lui donner son gland à nettoyer de la langue.
Cette fois, il est temps de mettre fin à notre petite séance, sinon la femme va finir par se fâcher vraiment. De toute façon, Ber a eu son compte et Michel est apparemment bien essoré. Il n’en revient toujours apparemment pas d’avoir non seulement éjaculé dans ma chatte, mon cul et ma bouche, mais aussi d’avoir vu sa femme se gouiner avec moi, se faire prendre par tous les trous et avaler sans sourciller. De bonnes perspective pour lui dans l’avenir.
Comme ils commencent à remettre le peignoir pour sortir, je leur propose de tout laisser là et de retourner à poil jusqu’à nos chambres. Michèle fait remarquer:
- Mais, il risque d’y avoir la femme au comptoir quand on va passer dans le hall.
- Eh bien, justement, c’est rigolo. et elle nous a vu en position bien plus chaude.
Donc, ils se laissent faire et prennent juste leurs maillots dans la main pour nous suivre. Et évidemment, comme je l’espérais, la patronne de l’hôtel est là, a nous attendre pour fermer l’espace détente. Elle marque encore sa surprise et je lui dis:
- Bon, pour vous faciliter la tâche, on a tout laissé à l’intérieur. Bonne nuit!
Et nous passons, la laissant bouche bée devant tous nos attributs offerts à sa vue. Dans l’escalier, nos partenaires finissent par rire avec nous de la bonne blague et nous les quittons sur le palier du premier car notre chambre est à l’étage au-dessus. Nous ne leur proposons pas de reprendre les festivités car en plus d’être vidés, il est un peu tard et nous devons prendre la route tôt demain matin. ils ne nous le proposent pas non plus de leur côté. Donc nous leur faisons une dernière bise et les quittons.
Lundi 3 mai 2004
Au matin, nous nous préparons et descendons avec nos bagages. A la réception, c’est une autre femme plus jeune qui est là. Celle d’hier doit encore dormir, je pense. Et elle n’a rien dû raconter de ce qu’il s’est passé la veille car celle qui est de service nous accueille d’un grand sourire sans aucun regard suspicieux. Elle nous sert le petit-déjeuner, bien copieux, puis nous réglons la note et partons. Nous n’avons pas vu Michel et Michèle, ils doivent faire la grasse matinée. Evidemment, nous avons pensé à échanger nos coordonnées avec eux. Ils sont cordialement invités à venir quand ils veulent à la maison. Pareil pour nous.
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Commentaires de l'histoire :
Doc64
Magnifique, une belle séance de détente comme nous aimerions en vivre tous et toutes. Bravo, c’était un récit des plus excitants. Vous êtes vous à nouveau rencontrer pour vous découvrir plus en profondeur ?
Posté le 25/07/2023
Anonyme
super excitant plus encore merci
Posté le 11/06/2023
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