Un trio improvisé

En couple depuis plusieurs années avec Julie, je rencontre Alice. Nous commençons à nous fréquenter assidûment avant de vouloir passer aux choses sérieuses. Nous profitons de l’absence prévue de ma copine pour pouvoir organiser une semaine entre nous. Mais tout ne va pas se passer comme prévu…

Proposée le 20/01/2023 par Inconnu808

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Bonjour.

Aujourd’hui, je voudrais vous raconter une histoire qui me fait beaucoup fantasmer. Elle pourrait être vraie mais elle ne l’est malheureusement pas.

Je suis en couple depuis plusieurs années avec une fille que je nommerai Julie. Nous nous entendons bien, c’est indéniable. Malheureusement, elle manque beaucoup d’imagination au lit. Et il m’arrive souvent de penser à une autre au moment de faire notre affaire.

Depuis plusieurs semaines, je fréquente une autre fille que j’ai rencontrée par hasard, dans un café. Elle était avec ses copines et, naturellement, nous avons échangé, presque sans nous en rendre compte. Je lui ai donné mon numéro et nous nous sommes revus. Nous nous sommes plusieurs fois.

Cette fille, que je nommerai Alice, est clairement la plus belle fille que je connaisse. Elle a des cheveux lisses, soigneusement attachés et d’un noir absolument magnifique, deux petits yeux couleur noisette qui me regardent toujours d’un air timide, des sourcils assez fins et une bouche… Bon, vous voyez ce que je veux dire. Je ne m’attarderai pas sur le reste car je n’ai pas encore eu l’occasion de découvrir ce qui se cache sous ses vêtements.

Bref, nous nous sommes revus plusieurs fois. Chaque fois, nous avons dû redoubler d’efforts pour ne pas éveiller les soupçons. On se voyait dans des bars, des musées. Jamais encore chez nous car ma copine travaille depuis chez elle. Elle n’a pas de copain (et a bien de la chance). Mais elle habite chez ses parents et elle pense que nous ne serons pas à notre aise.

À chaque fois que nous nous retrouvons, nous ne pouvons nous empêcher de nous embrasser. Je sais que c’est mal mais le désir est trop fort. Nous passons tous nos moments de retrouvailles à nous toucher, à nous prendre la main, à nous regarder dans les yeux. Je l’imagine souvent nue et nous nous envoyons parfois des photos suggestives. Jamais rien de vraiment compromettant. Seulement de quoi deviner davantage et de quoi vouloir en découvrir plus.

Les semaines se passent bien, nous continuons notre petite histoire et tout va pour le mieux. Jusqu’à aujourd’hui. Ce matin, ma copine m’annonce qu’elle va devoir partir pour une semaine, dans le cadre de son travail. Je ne comprends pas ce qu’elle fait mais j’y vois une opportunité. Évidemment, je préviens immédiatement Alice.

Julie prépare tranquillement ses affaires. Elle s’en va dans deux jours. Je n’ai jamais été aussi excité de toute ma vie. J’ai l’impression de retourner au lycée. Mon cœur bat la chamade. Nous nous envoyons encore plus de messages qu’avant. Même les photos deviennent plus suggestives. Elle laisse deviner davantage de son corps.

Arrive le moment fatidique : ma copine s’en va. Je lui dis que je l’aime et qu’elle va me manquer. Nous passons une belle nuit, pour la première fois depuis plusieurs mois. Je sais que ce qui m’attend avec Alice est bien plus savoureux mais j’apprécie quand même le moment. Cela faisait bien longtemps.

Sitôt Julie absente, j’écris à Alice et lui dit que le terrain est libre. Elle habite à un peu plus d’une heure de chez moi donc il lui faut du temps pour arriver. D’autant plus que, d’après ses dires, elle a pris soin de se faire encore plus belle que d’habitude.

Il est 14 heures quand je lui écris et 18 heures quand elle arrive. Je descends lui ouvrir et… bon. Il paraît que les mots sont parfois impuissants pour décrire ce qu’on ressent. Et cette fois ne fait pas exception. Je la regarde en la dévorant. J’ai presque honte de la regarder comme ça. Mais je sais que je ne suis pas le seul à ressentir cette sensation.

Je l’embrasse longuement et l’invite à monter chez moi. Mon appartement est assez grand. Je l’ai hérité de mes grands-parents et je profite plutôt correctement de ce cadeau. Nous avons une chambre pour nous et une chambre d’amis. C’est évidemment celle-ci que nous utiliserons pour passer nos nuits. Enfin si nous sommes amenés à dormir.

Je prends ses affaires et prends le temps de bien l’installer. Heureusement, nous avons une semaine pour nous tout seuls. Enfin huit jours. Nous sommes actuellement le lundi et ma copine revient mardi de la semaine prochaine. Malgré tout ce temps à notre disposition, nous avons l’impression de manquer de temps et avons envie de passer à l’étape d’après dans la seconde.

Pour rendre cette semaine inoubliable, nous décidons tout de même d’attendre pour la première fois. Nous commandons un petit repas que nous savourons sur le canapé. Nous avons pris soin de disposer quelques bougies pour l’ambiance. Nous discutons pendant que nous mangeons puis décidons d’aller prendre une douche. Ensemble, vous l’aurez compris.

La douche est grande également. Nous avons la place de tenir à deux sans problème. Je la laisse se déshabiller avant moi. Elle me prévient quand elle est prête et je la rejoins. J’entre dans la douche et je tombe des nues. Je n’ai jamais vu un corps pareil. Tout est parfait. Ses hanches ont des formes mais sans trop. Ses seins tombent en étant magnifiquement soutenus. Ils sont bien sculptés. Elle se retourne et je constate que ses fesses sont tout aussi bien dessinées. Pour finir, sa chatte est rasée de près, comme je l’aime. D’ailleurs, je dois préciser que je fais aussi de même.

Je n’ai même pas le temps d’ouvrir la bouche qu’elle m’embrasse et me saisit la verge qui a gonflé en une fraction de seconde. Puis elle se retourne encore plus rapidement, attrape une bouteille de lubrifiant qu’elle a visiblement apportée et qu’elle a pris soin de mettre à côté de la douche, me tartine allègrement et m’enfonce en elle. Je n’en reviens pas. Depuis tout ce temps, me voilà enfin en elle. Je la pénètre assez lentement pour être sûr de ne pas lui faire mal. Étrangement, son cul s’ouvre assez rapidement. Et me voilà en train de la prendre plus vite. Je la défonce, je la baise. Elle commence à crier. Je lui mets la main sur la bouche, même si je sais que les voisins ne nous entendront pas. L’immeuble est très bien insonorisé et heureusement.

Je continue à la prendre de la sorte pendant au moins dix minutes. Quand je ralentis, elle bouge ses fesses pour me faire signe de continuer. Arrivé au moment que je sais venir, je lui dis et elle ralentit. J’enrage mais ça la fait rire. Mon plaisir est tellement puissant que j’aurais voulu tout lâcher à cet instant. Elle se retire et me laisse contempler le trou où j’étais. Elle est complètement dilatée. Je pourrais continuer pendant des heures à la prendre sans qu’elle ne ressente absolument rien.

Elle me demande de m’asseoir et de m’occuper d’elle. Évidemment, je m’exécute. Je n’ai jamais léché une femme avec autant de plaisir. Son petit minou est superbe. C’est une invitation à la dévorer. Pendant ce temps, je laisse mon membre se reposer. J’essaye de m’appliquer autant que je le peux. Et, d’après ce que j’entends, je réussis plutôt bien. Je sens qu’elle mouille. Je me mets alors à la pénétrer avec un doigt en même temps que je lui lèche son clitoris. Elle est aux anges !

C’est à ce moment très précis, alors qu’elle est au bord de l’orgasme et que je lui dévore l’entre-jambes que la porte de la salle de bains s’ouvre. Je n’ai même pas le temps de décoller ma bouche et retirer mon doigt que nous voyons ma copine ouvrir la porte de la douche et nous regarder, complètement hallucinée. Nous apprendrons plus tard que Julie s’était trompée de semaine et était donc revenue.

Nous restons à nous considérer pendant plusieurs secondes. Personne ne réalise vraiment la situation. Jusqu’à ce qu’Alice ne s’extirpe de sa position et n’embrasse Julie. Celle-ci commence par la repousser mais Alice est persévérante. Elle l’embrasse de nouveau et réussit cette fois à la garder contre elle. Je les regarde ainsi pendant un temps qui me semble infini, sans parvenir à saisir ce que je ressens.

Quand les deux filles se décollent l’une de l’autre, Alice explique à Julie qu’elle est une fille que je fréquente depuis plusieurs mois et qu’il s’agit de notre première fois. Julie semble énervée mais je sens un certain désir qui monte elle. Julie sait très bien que nous ne faisons plus beaucoup l’amour et que ses capacités sexuelles n’ont jamais été très poussées. Aussi, elle comprend et Alice lui demande de prendre sa place. Julie s’exécute. Elle se déshabille rapidement, fait une toilette rapide et Alice place ma tête entre les cuisses de Julie. Je ne réalise même pas ce que je fais. Je la lèche comme un robot. Alice me dit d’y mettre plus d’entrain, voyant la mine peu satisfaite de ma copine. Je me mets alors à la dévorer comme je dévorais Alice avant. Là, Julie commence à gémir. Elle essaye de retirer ma tête d’entre ses jambes mais Alice l’en empêche. Elle lui dit d’accepter son plaisir. Elle arrête alors de bouger et reste dans cette position jusqu’à ce que les muscles de la langue et de la bouche me fassent trop mal pour continuer. Je n’en peux plus. Julie a joui et j’en suis agréablement surpris.

Après cet épisode, je me relève et Alice nous demande d’aller dans la chambre. Nous faisons ce qu’elle dit. Puis elle nous explique que nous allons devoir suivre toutes ses indications à la lettre. Elle veut absolument que nous prenions du plaisir. De plus, elle veut éduquer Julie.

Suivant les ordres d’Alice, je m’allonge sur le lit. Alice prend la main de Julie et la guide vers mon engin. Elle lui fait faire des mouvements de bas en haut et des pressions au sommet de ma verge. Puis elle prend le lubrifiant qu’elle avait apporté et m’en met de nouveau une bonne couche. Julie et moi n’avons jamais mis de préservatif et Alice m’explique qu’elle n’en aura pas besoin non plus.

Alice retire les mains de Julie et commence à monter sur moi. Julie lui dit qu’elle pensait que ce serait à elle de faire les choses. Mais Alice lui rétorque qu’elle doit d’abord voir comment bien exécuter certaines tâches pour ensuite les reproduire. Elle se met donc au-dessus de moi, prend mon membre dur comme du bois et me glisse en elle. Je la vois envahie d’une sensation de bien-être absolument incroyable. Elle se positionne correctement et monte et descend tout de suite à une vitesse ahurissante. Heureusement que j’ai eu le temps de descendre. Sinon, je lui aurais giclé à l’intérieur en une seconde.

Alice reste dans cette position pendant cinq bonnes minutes en regardant Julie. Elle finit par ralentir puis par se retirer pour se placer à côté de moi. Elle invite alors ma copine à la remplacer pendant qu’elle commence à se caresser. Julie semble un peu perdue mais obéit quand même. Elle se place à califourchon au-dessus de ma bite toujours bien raide et commence à monter et descendre. Visiblement, elle ne s’y prend pas très bien car Alice le lui fait remarquer. Elle lui dit de se retourner et de se mettre dos à moi puis de s’empaler franchement sur ma verge. Julie obéit à nouveau et je suis alors au comble du plaisir. Alors que je m’apprête à déverser toute ma semence en elle, Alice dit à Julie de partir. Je suis frustré mais je sais que c’est pour son bien.

Cette fois, Alice, qui revient sur moi, prend mon membre et le glisse vers son trou du cul. Bien sûr, elle a pris soin de remettre du lubrifiant. Son trou semble toujours aussi dilaté et la suite me donne raison. Alice se déchire son propre cul avec ma bite et prend un plaisir fou. Elle reste à peine deux minutes, juste le temps de montrer à Julie la marche à suivre.

Julie et moi n’avons jamais pratiqué la sodomie et je sais que Julie ne l’a jamais fait avec qui que ce soit auparavant. Aussi, elle est un peu tendue. Alice dispose Julie à quatre pattes, se place derrière elle et commence à lui lécher le petit trou. Julie se détend assez rapidement, même si elle ne se laisse pas encore totalement aller. Puis Julie prend du lubrifiant, en recouvre l’entrée de ses fesses et commence à lui insérer un doigt. Julie manque de s’écrouler sur le lit tant la sensation est nouvelle pour elle. Elle ne se plaint pas et pousse même quelques gémissements de plaisir. Alice y voit des encouragements et se permet donc de glisser un deuxième doigt puis un troisième. En la voyant, j’ai l’impression que Julie va s’évanouir. Elle est blanche et rouge en même temps. Puis Alice retirer ses doigts et me demande d’enculer Alice.

Évidemment, l’envie est présente pour tous les deux mais Julie est terrifiée. Alice regarde fixement Julie et la rassure. Elle lui explique qu’il faut se détendre et que ça rentrera tout seul. Elle s’occupera de mettre le lubrifiant. Julie lui fait confiance et se décide à monter sur moi. Alice prend mon sexe entre ses mains, met la totalité de ce qu’il restait de lubrifiant et demande à Julie de descendre lentement vers ma queue. Elle s’exécute et Alice guide mon chibre dressé vers l’entrée de son fessier.

Je sens le contact arriver et Julie se tend d’un coup. Alice la rassure de nouveau et Julie continue de descendre. Son anus s’ouvre petit à petit. Julie me fait rentrer très lentement en elle. Peu à peu, je la vois et la sens me faire venir de plus en plus profondément. Jusqu’à ce que plus un bout de mon sexe ne reste encore apparent.

Je me sens au Paradis. Julie reste comme ça pendant encore une poignée de secondes avant de remonter lentement et de commencer à faire de très lent mouvements, sans qu’Alice n’ait eu besoin de lui dire quoi que ce soit. Julie n’a jamais fait ça de sa vie mais elle se débrouille plutôt bien.

Elle monte et descend de plus en plus vite. J’ai l’impression de rentrer dans les tréfonds de son corps. Elle commence à crier de plaisir. Alice, qui avait repris ses caresses à côté, commence elle aussi à crier. Je n’en peux plus. Notre plaisir est au sommet et je sens que je vais exploser. Je me contiens aussi longtemps que possible. Pris par l’émotion, j’ordonne à Julie de se retirer de moi. Elle se lève, je la prends par le bras et la mets à quatre pattes devant moi. Elle n’a même pas le temps de comprendre que j’ai déjà enfoncé ma bite dans son trou du cul. Je la baise comme je ne l’ai jamais baisée. C’est tellement bon. Je prends mon pied et elle aussi. Je continue à la pénétrer de plus en plus fort et de plus en plus vite. Au moment où je vais me déverser en elle, je me retire, je la tourne vers moi, Alice vient aussi et je me branle jusqu’à gicler plusieurs rasades de foutre sur leur visage. Elle me regardent en souriant avant de rigoler.

Alice prend la tête de Julie entre ses mains et l’embrasse pour échanger mon sperme. Elle me regarde en même temps et saisit mon sexe pour continuer de me branler. Je suis complètement vidé. Alice se tourne vers moi et se lèche les lèvres avant d’ouvrir la bouche pour me montrer qu’elle a bien tout avalé. Elle demande à Julie de faire de même. Puis les deux se regardent, me regardent et se relèvent.

Alice me dit qu’elle a passé un merveilleux moment et que nous allons passer une semaine très agréable semaine.

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