Histoire Erotique

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Gang bang improvisé avec quatre mecs

Lors d’une soirée je me fais draguer très ouvertement par un étudiant, viril et plutôt beau gosse, qui me propose de le suivre chez lui. Alors que nous commençons à faire l’amour, trois de ses copains arrivent à l’improviste dans son appartement…

Proposée le 14/03/2019 par Lapin

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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: Groupes
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Gang bang improvisé avec quatre mecs Ce soir, je suis « de corvée » pour la cérémonie de remise des diplômes de fin du cycle de cinquième année qui se tient dans la prestigieuse sale d’honneur de l’école. Cette soirée marque, traditionnellement, l’aboutissement de leur formation pour les étudiants et, pour les professeurs et personnels administratifs, une occasion annuelle de se retrouver et d’échanger de manière agréable et le plus souvent informelles.
Comme à l’habitude, pour ce genre de soirée à laquelle je participe pour des raisons professionnelles, j’ai soigné ma tenue et je me suis minutieusement maquillée… Petit ensemble qui met en valeur ma silhouette svelte de blonde mature, veste légère et escarpins à très hauts talons aiguille, que j’ai agrémenté de bas noirs fantaisie et de lingerie coquine du genre que mon homme aime à me voir porter car ça l’excite de me trouver « bandante », comme il dit, et, je peux bien l’avouer, parce que cela me plait aussi de jouer sur ce registre de femme sexy et aguichante que je ne dévoile qu’à celui qui sait me mériter !
J’aurais aimé qu’il m’accompagne mais, malheureusement, il n’a pu se libérer de certaines obligations et pour tout dire, cette absence me cause une certaine frustration et me met en « manque », incitant mon imagination fertile à des fantasmes d’un érotisme torride et parfois si « porno » qu’ils m’amènent à jouer, le soir dans mon petit appartement, avec divers sextoys dont certains sont très « réalistes », pour trouver un peu d’apaisement à l’excitation de mes sens. Je regrette qu’il ne puisse profiter de mes « bonnes » dispositions et de mon (d’après lui !) insatiable appétit sexuel car cette abstinence enflamme ma libido d’une manière excessive… D’ailleurs, je le lui fais savoir de manière explicite dans des sms très osés pour le « motiver » et sans doute doit il être aussi impatient que moi car il a déjà envisagé un rendez-vous la semaine prochaine pour une nuit qui promet d’être incandescente…
Mais ce soir, mon rôle en tant que secrétaire particulière du Directeur consiste à me tenir aux cotés du jury pour éviter tout impair dans le protocole, et même si je n’ai plus l’âge des étudiantes, de certaines secrétaires ou jeunes professeures, quitte à faire « potiche », j’aime cultiver un côté « jolie blonde » séduisante, voire désirable, qui incite les hommes à se retourner sur mon passage, parfois à m’aborder et même, faire preuve d’une certaine insistance qui, souvent, me ravit plus qu’elle ne me gêne et à laquelle il m’est arrivé de céder pour peu que le mec sache y faire et me plaise ! Il suffit, en fait, de déclencher ce petit picotement au creux de mes reins qui me fait mouiller ma petite culotte et auquel je ne résiste que très difficilement, voire en fait, pas du tout…
La cérémonie de remise des documents étant terminée, les gens se regroupent pour bavarder et je discute avec mes collègues et des enseignants, avec des élèves aussi, profitant du passage des serveurs qui distribuent les coupes et, sans y avoir pris garde, je m’aperçois que le champagne me rends euphorique et me désinhibe au point de me faire perdre un peu de cette retenue dont je fais preuve dans mes activités professionnelles. Aussi, lorsque l’un des élèves s’approche de moi et entame une conversation sur les années passées à l’école, je le laisse me baratiner, voire me draguer, riant de ses blagues de gamin et mon intuition de femme me susurre à l’oreille que le brillant dans ses yeux provient peut être de la manière un peu teintée d’impudence dont il semble « m’envisager ».
Plusieurs de ses camarades, garçons et filles, se succèdent autour de nous et se joignent à notre entretien, mais il accapare mon attention et, c’est ce même garçon, que je connais pourtant mais qui n’a jamais osé le moindre geste ou parole déplacée durant ses années d’étude, qui semble s’enhardir maintenant en me donnant l’impression perturbante de me déshabiller du regard et en me témoignant une attention soutenue et plutôt « virile ».
Inconsciemment, je me sens flattée de susciter un si vif intérêt de la part de ce jeune « étalon » car, même si j’admets être « coquine » et un peu plus que ça parfois, je n’ai pas vraiment l’âme d’une « couguar ». J’aime autant les hommes mature, comme mon chéri, pourvu qu’ils soient charmants, bien conservés et à la fois sexuellement imaginatif et très endurant… Pourtant, lorsque que je baisse (discrètement) les yeux, cédant à une impulsion qui pourrait sembler éloquente quant à mon expérience des hommes, je m’aperçois que se dessine sous son jean serré une excroissance révélatrice d’un bien réel désir, et qui semble l’embarrasser…
J’avoue ressentir, dans mes petits seins dont les pointes durcissent en marquant le petit haut moulant que ma veste légère dissimule heureusement un peu, une certaine excitation qui me fait même mouiller ma petite culotte. Et, bien que je me raisonne, la douce chaleur qui envahit mon ventre se concrétise encore davantage lorsque, rougissant un peu de son audace, le grand gaillard s’enhardit à me proposer de passer dans son appartement, « Vous savez, Danielle, c’est juste pour prendre une petite collation » précise-t-il, le buffet ayant été littéralement vandalisé durant le temps de notre conversation.
Il va même aller jusqu'à m’avouer, en baissant la voix, qu’il m’a toujours trouvé « drôlement canon » sans avoir jamais osé me le dire, et reconnait avoir souvent « fantasmé » sur moi et mon allure de femme « inaccessible ». Et, lorsque je lui demande d’une voix volontairement un peu sensuelle ce qu’il entend par « fantasmer », il se penche vers moi pour me murmurer qu’il s’est déjà masturbé en imaginant ma bouche autour de son sexe, ce qui me fait sourire d’un air involontairement engageant ou sans doute charmeur que le garçon prends visiblement pour une invite…
Il est vrai que, malgré mon instinct de nana pragmatique et familiarisée avec le comportement des hommes, une petite voix intérieure murmure insidieusement dans ma tête qu’il désire bien plus que juste diner avec moi, mais je ne parviens pas à croire que ce «beau gosse» puisse avoir réellement l’idée de me « sauter »…
D’autant que, pour aller dans le sens de ma réflexion, durant le trajet jusqu’à son appartement, il ne cherche même pas à m’enlacer et se contente de chercher à m’amuser tout en étant tout de même assez explicite sur l’effet que provoque le «chaloupé» ensorcelant de mon petit cul sur sa virilité, ce que je ne suis tout de même pas assez « niaise » pour ne pas le remarquer !
Très vite, nous arrivons dans la résidence qui est à quelques pas de là et, dans le petit appartement où il me fait entrer, je m’étonne encore de mon audace lorsqu’une pensée fugitive pour mon mec me traverse l’esprit, mais je chasse cette pensée sournoise en m’installant dans le salon tout en me persuadant qu’il serait le premier à m’inciter à poursuivre cette petite « expérience ».... Alors que la même petite voix me laisse entendre que je me comporte comme une salope qui ne cherche qu’à se faire sauter, je peine encore à réaliser que je peux avoir un tel effet sur un beau gosse qui, au demeurant, doit multiplier les conquêtes féminines sans aucune difficulté ! Pourtant, il se montre rapidement un peu plus entreprenant sans que je fasse mine de le repousser et, si je lui dit qu’il « faut être sage », c’est d’une voix dont la sensualité inconsciente signifie tout à fait le contraire. Alors, s’approchant de moi pour effleurer mes longs cheveux blonds, nos regards s’accrochent et la tension devient concrète quand il constate que je lui dévoile, en m’asseyant après avoir retiré ma veste, le haut de mes cuisses et la lisère de mes bas noirs qui apparaissent lorsque ma jupe remonte un peu plus haut qu’il n’est raisonnable. Je me surprends à affectionner cette situation trouble et excitante qui lui, semble le rendre soudain tout à fait fébrile.
Le désir qui m’envahit alors d’une manière brutale me pousse à attirer doucement le garçon vers moi et à l’embrasser, légèrement d’abord comme pour vaincre ses réticences et le peu de remords qui me titillent, puis plus passionnément alors que ses mains malaxent maladroitement mes seins tandis que je m’assure, en effleurant au travers le tissu de son pantalon son sexe en érection, de l’intensité de sa convoitise à mon égard. Essoufflé par l’ardeur de mon étreinte, et tout rouge peut être d’une exigence qu’il retient de toutes ses forces, il se dégage un peu vivement pour me proposer de boire un verre de muscat qu’il me tend et dans lequel je trempe le bout des lèvres. Debout à côté de moi, il avale son verre avec une rapidité étonnante et, peut-être désinhibé par l’alcool, il s’enhardit à glisser une main le long de mes jambes sans rencontrer la moindre résistance de ma part, remontant le long de mon bas jusqu’à effleurer la chair souple et douce du haut de mes cuisses que j’écarte imperceptiblement, frôlant au passage le fin tissu de ma lingerie sous laquelle frémit ma petit chatte devenu subitement torride et toute moite. Puis, glissant à genoux devant moi, constatant dans mes yeux le pétillement d’un assentiment tacite, il s’enhardit à dégrafer ma jupe en ouvrant la fermeture éclair qui la maintient alors que je l’encourage passivement en cambrant néanmoins un peu les reins pour l’aider tout en entrouvrant encore un peu mes longues jambes. A ce moment, je lis, dans ses yeux extasiés par l’indécent spectacle que je lui offre, tout le bonheur de disposer si facilement d’une femme qu’il espère aussi experte que sexy et qui, à ses yeux (je ne suis pas assez godiche pour l’ignorer !) ressemble à une salope plutôt expérimentée.
Basculant d’un mouvement gracieux sur le divan en dégageant mes longs cheveux blonds, et afin de le maintenir sous pression un petit moment, j’attire sa nuque vers le bas de mon ventre et je n’ai pas besoin de lui expliquer ce que je désire qu’il s’empresse d’écarter d’un doigt impatient mon string diaphane pour poser sa bouche brulante sur mes petites lèvres déjà bien fiévreuse. Avec une vitalité toute juvénile et une ferveur malhabile mais touchante qui me trouble plus que je ne le voudrais, sa langue, après avoir agacée mes petites lèvres sensibles, s’enfouit dans ma chatte soigneusement et intégralement épilée en s’agitant énergiquement et le contact presque brutal de ses dents avec mon clitoris me fait pousser de voluptueux petits gémissements de plaisir qui le mettent au comble de l’extase et l’entraine à enfouir un, puis deux doigts très coquins dans ma vulve maintenant largement ouverte et déjà bien trempée. Une longue houle semble s’emparer de mes hanches et je viens à la rencontre de cette bouche gourmande qui, hardiment, dévore mon sexe en me faisant perdre toute notion de décence, m’offrant maintenant sans réticence à une irrésistible pulsion sexuelle. La pénétration de ses doigts qui me fouillent résolument, entrant et sortant nerveusement dans l’écrin intime maintenant trempé comme le ferait un sexe male en érection qui me posséderait et la caresse de sa langue agile entre mes petites lèvres m’échauffent au point de me livrer toute entière sans aucune retenue…
Et, de ce fait, certainement trop occupés à ces langoureux préliminaires, ni moi ni lui n’entendons la porte de l’appartement qui s’ouvre pour laisser entrer le colocataire de mon amant occasionnel, qui lui, n’est heureusement pas un élève de l’école, et qui arrive avec deux de ses copains après avoir été boire un verre dans un bar à proximité. Et, ce n’est que lorsque leurs rires grivois plus ou moins retenus, mais émoustillés par le spectacle scabreux qui s’offre à leurs yeux, attirent enfin notre attention que nous prenons conscience de la situation à la fois gênante mais terriblement excitante et infiniment érotique dans laquelle nous nous trouvons.
Pour autant, et même si aujourd'hui j’ignore encore quelle « pulsion diabolique » a bien pu exalter à ce point ma libido et me faire réagir ainsi, non seulement je minaude d’une voix sensuelle, mais explicite, au mec qui me « lèche » goulument de poursuivre son impudique étreinte, mais j’ouvre largement mes cuisses gainées de longs bas noirs en prenant appui de la pointe de mes longs talons aiguilles d’un côté sur la table du salon et de l’autre sur l’accoudoir du canapé comme pour accentuer encore le coté « porno » de la situation, comme si je voulais donner raison à la réflexion de l’un des garçons qui s’est écrié en vous voyant :
-« Oh … la vache, quelle meuf… Et, elle a l’air bonne, cette putain de blondasse! »
En quelques instants, l’ambiance sexuelle atteint son paroxysme et, à travers les cils de mes yeux mi-clos, j’observe les trois jeunes males, sans doute encouragés par mon attitude sans ambiguïté quant à mes intentions, maintenant visiblement en rut, et dont l’un a dégagé son sexe en érection pour se branler lentement en nous regardant, bientôt imité par ses deux autres compères. Doucement, comme attiré par la scène hard qui se joue devant eux, ils se rapprochent imperceptiblement jusqu'à ce que l'un d'eux, plus entreprenant peut-être, ou appâté par le regard enjôleur que je lui adresse en toute impudeur, effleure de l'extrémité gonflée de son sexe érigé ma bouche entrouverte comme pour l'accueillir...
Très "complaisamment", mes lèvres pulpeuses se séparent comme pour dessiner un « Ooooh » et introduire le gros gland violacé, le barbouillant au passage de rouge à lèvres, puis très vite, j’agace du bout de la langue le renflement sensible du membre ferme qui se dresse encore puis, tournant un peu la tête pour en faciliter l’intromission, je commence à le sucer en avalant, par petits à coups successifs, la longue hampe massive et pesante, déclenchant un long râle de délice de la part du garçon qui se cambre un peu pour mieux se prêter à cette incomparable caresse que je lui inflige avec une dextérité digne de la meilleure des actrices de hard.
Dans le même temps, celui qui me « léchait » avec un enthousiasme contagieux a entrepris de libérer l’érection qui menaçait d’exploser dans son pantalon et, tout en se tortillant pour dégager son membre bien tendu dans une éclatante virilité, il continue à embrasser fiévreusement mon sexe largement exhibé tandis que l’un de ses camarades s’exclame :
-« Ah, la garce, mais, elle est complètement rasée… comme une vraie pute ! »
Et, devenant le troisième acteur de ce scénario aussi dépravé qu’improvisé, il se joint à lui puis, de sa main libre, il stimule mon clitoris en l’agaçant du bout d’un doigt, pressant et malhabile, malaxant le petit bouton en déclenchant des spasmes de plaisir qui agitent mes reins en de brusques détentes tandis que je soupire en haletant de longs gémissements suggestifs étouffés par le sexe que j’engloutis maintenant sans retenue.
Sentant brutalement venir un orgasme irrépressible, mon admirateur se relève maladroitement en maintenant sa verge palpitante mais, incapable de retenir sa jouissance, il explose soudainement, en grognant autant de dépit que de plaisir, de longues giclées de sperme tiède qui éclaboussent sporadiquement mon ventre, le premier trait ayant fusé si vigoureusement qu’il en a atteint mon petit bustier relevé jusqu’au niveau de mon soutien-gorge en le maculant en pointillé d’une longue trainée de semence…
Le dernier mec, un « beau bébé » black se contente de continuer à masturber très lentement un sexe visiblement lourd et d’une dimension impressionnante en matant la scène torride qui se déroule sous ses yeux et, tandis que mon « premier » amant s’adosse au mur du salon pour récupérer de son éjaculation précoce, son compère a saisi l’une de mes jambes pour la soulever et pour se glisser entre mes cuisses maintenant écartelées. Profitant opportunément de ma position allongée et légèrement arquée, ma petite chatte bien lubrifiée par la salive de son prédécesseur, il s’enfonce, en grognant de satisfaction et sans aucune difficulté, dans mon ventre humide d’une longue poussée brutale puis, tenant d’une main l’une de mes chevilles et l’autre agrippée à mes hanches, il entreprends de me besogner à grand coups de reins puissants, propulsant son pilon épais et rigide en l’enfonçant rythmiquement dans le cocon délicat qui l’accueille entièrement et qu’il viole avec une délectation qui le fait ahaner sourdement. Ses longs mouvements de va et vient cadencés agitent mon corps de soubresauts qui me repoussent petits à petits vers l’extrémité du divan, ce qui infléchit ma tête en la renversant insensiblement vers l’arrière, mes longs cheveux blonds commençant à balayer l’air au rythme de la pénétration du sexe palpitant que ma bouche pompe avec une ardeur renouvelée et qui s’enfonce maintenant dans ma gorge de toute sa longueur.
Aussi précipitamment que son camarade, sans doute vaincu par le savoir-faire sexuel et la fougue digne d’une vraie salope dont je fais preuve en matière de fellation, son propriétaire jouit soudainement avec un cri d’extase en s’infléchissant subitement, me surprenant par tant de rapidité en inondant ma bouche de gerbes convulsives d’un nectar translucide que je me trouve plus ou moins contrainte d’avaler, étant dans l’incapacité de me dégager jusqu’à ce que le sexe moins tendu mais encore vibrant et dégoulinant de foutre palpite au-dessus de mon visage jusqu’à ce que le mec ne se laisse tomber sur un fauteuil, le souffle court, comme fauché par l’intensité de son orgasme.
Entre mes cuisses, le troisième s’active avec un acharnement passionné dans de longs va et vient syncopés, arc bouté contre moi, me labourant rythmiquement de toute la longueur de sa queue que ma petite chatte gourmande engloutit voracement en cadence avec la houle qui fait onduler mes hanches et l’accélération subite de ses assauts impétueux me laisse deviner l’imminence de sa jouissance. Libérée de la pression qui s’exerçait sur ma figure, ayant déjà comblé de bonheur deux hommes mais pourtant pas encore rassasiée tant je me découvre avec une certaine stupéfaction un insatiable appétit amoureux dans ces circonstances, je bascule en avant en repoussant mon séducteur sur le dos, prenant bien soin de maintenir profondément enfoncé dans mon fourreau délicat et ruisselant le pieu qui y est enfoui et, prenant l’initiative en le chevauchant dans une position « dominante » que j’apprécie tout particulièrement, j’entreprends, avec un entrain de nana dévergondée, de m’empaler en cadence en me cambrant pour bien sentir au plus profond de ma vulve la pénétration de l’engin qui s’agite follement en me labourant résolument.
D'un geste vif, je me débarrasse du top tirebouchonné et souillé de sperme sur ma poitrine et je dégrafe rageusement mon soutien-gorge inutile en le jetant au travers du salon, pour saisir à pleine mains mes seins bien fermes et pincer entre mes ongles carmin les mamelons érigés et sensibles. Sentant monter de mes entrailles le frémissement du plaisir qui crispe mon ventre et fait déferler en moi les ondes exquises d’un orgasme aussi bref qu’intense sans pour autant me rassasier de la boulimie de sexe qui m’a saisie, j’accentue encore les impulsions de mes reins, tout en découvrant devant mes yeux extasiés le dernier de mes « violeurs » qui, ayant sans doute envie de profiter aussi de mon indicible expérience, s’approche du couple que nous formons avec le désir implicite de me voir prendre les choses en main.
Je ne résiste pas à ce magnifique sceptre de chair noire, luisant et tendu, qui se dandine impudemment juste à portée de mon visage et dont l’extrémité gonflée semble me mettre au défi de le téter. Levant les yeux vers le superbe mâle d’un noir d’ébène dont le corps d’athlète délicieusement musclé et totalement imberbe suffirait à me faire mouiller, je devine dans son regard lubrique l’implicite désir de se faire sucer par la ravissante pute blonde qu’il voit en moi. Aussi, lorsqu’il prend ma nuque en entortillant en un chignon improbable mes longs cheveux blonds furieusement désordonnés par nos ébats libertins, je devance le mouvement de sa main qui pèse sur ma nuque en me penchant docilement vers le manche tendu pour le saisir et l’engloutir. J’ai toujours dans la bouche le gout du sperme de son prédécesseur, lequel macule encore la commissure de mes lèvres, et je le masturbe habilement d’une main avertie tout en prenant ses couilles de l’autre pour les presser en les faisant vicieusement rouler entre mes doigts, puis je débute une languissante fellation qui contraste avec la fébrilité du garçon que je chevauche avec une ardeur qui imprime à mes seins une folle et excitante sarabande tandis que lui semble au bord de la commotion et de l'explosion...
Durant quelques instants, les seuls bruits qui émanent de ce scandaleux, mais délicieux tableau sont les soupirs langoureux des deux protagonistes qui me baisent, l’un avec une exaltation enflammé et l’autre avec une lenteur étudiée, spectacle torride qu'accompagne mes longs soupirs sensuels, jusqu'à ce que, au grognement presqu'animal de mon étalon et aux spasmes brusques qui le secoue, je me sente envahie par la chaleur moite de la lave brulante qui résulte de l'éjaculation vigoureuse de mon troisième partenaire qui se répand en moi en contractions spasmodiques qui lui arrache de longs râles de jouissance.
Inconsciemment, je tire une perverse satisfaction de cette «performance» à laquelle j’aurais jurée, le matin même, de ne jamais me livrer. Et maintenant, je prends comme un défi de libérer l'engin que je suce avec ravissement en y mettant toute ma science amoureuse et sexuelle.
Envahissant ma bouche, glissant entre ma langue et mon palais contre lequel je le plaque avec délicatesse, le mandrin dur et raide s'enfouit profondément dans ma gorge sans que je parvienne à l’avaler entièrement alors que j’enserre la base de ce pylône dans ma main et que je le masturbe en excitant la grosse veine qui bat sous mes doigts, soumise à la cadence que m'impose sa main crispée sur ma nuque. Dans ma chatte brulante, je perçois encore le membre qui s'affaisse insensiblement et je ne proteste pas lorsque le noir viril m'annonce d'une voix rauque de désir qu'il veut m'empaler sur son engin, répondant ainsi à une pulsion inavouable qui me donne le sentiment honteux mais exquis de me comporter comme une salope avide de sexe!
Avec une force insoupçonnable, le gorille en rut m'arrache à l'étreinte ramollie et moite du numéro trois et, sans se soucier du foutre qui dégouline et s'échappe de ma vulve encore béante et glisse jusqu'à la lisière de mes bas, debout face à moi, il me soulève avec légèreté pour me coller contre son torse. Avec souplesse, je noue mes bras autour de son cou et, dans le même geste témoignant d’une certaine virtuosité dont je ne me croyais plus capable et d’une soumission étonnante, je croise mes longues jambes très haut sur ses reins et je ne me retiens même pas lorsque, ses mains agrippés à mes hanches, il me guide en me laissant retomber sur sa verge droite et tendue, m'emmanchant d'un seul coup puissant jusqu'à heurter le fond de mon vagin distendu de son gros gland turgescent, me donnant l’impression de littéralement m’ouvrir en deux de toute la longueur de son énorme pal érigé à la verticale et dont notre position acrobatique rends la pénétration plus profonde encore.
Saisissant mes fesses a deux mains, mon partenaire me remonte vers le haut alors que je gémis de plaisir sous l’assaut viril en comprimant très fort les muscles intimes de ma chatte, comme pour mieux retenir le piston qui coulisse en m'écartelant, puis il me laisse à nouveau me ficher à fond sur le membre auquel je m’ouvre avec extase, cravachant nerveusement mon vigoureux poulain avec mes talons aiguilles qui lui labourent les flancs. Cette séance hard, que ne renierait pas un scénariste porno, a pour effet de redonner à l'un des spectateur assez de tonus pour que la vision paradisiaque de mon petit cul qui monte et descend, guidé par la rampe rigide qui empale si délicieusement mon sexe et que je cambre dans une attitude involontairement provocante, lui donne l'envie de se joindre à son pote pour m'infliger une double pénétration dont il suppose, avec raison, qu'une "catin" dans mon genre ne puisse qu'aimer ça.
Se glissant subrepticement derrière moi, profitant du sourire complice de son ami qui a bien compris son inavouable pulsion et qui, juste un instant, me maintient dans une position surélevée, il en profite pour fléchir un peu les jambes et immiscer sa queue maintenant bien bandée dans le sillon de ma croupe qu’instinctivement, je cambre un peu vers lui pour qu’il me pénètre lorsque je sens son gland effleurer l’anneau souple de mon anus délicat. Alors, avec une lenteur étudiée et vicieuse, le black monté comme un poney me laisse redescendre le long de son engin énorme qui envahit ma vulve en m’écartelant jusqu'à envahir mon ventre et son copain, lui, en profite pour s'enfoncer sans à coups en déflorant l’œillet sensible et bien lubrifié de mon petit cul qui se dilate pour l’avaler sans peine, heureusement habitué à se faire défoncer par le sexe surdimensionné de mon chéri ! Puis, il s’enfouit entièrement dans la gaine souple et sensible en écartelant sans ménagement l’anneau souple de mon petit orifice soudainement écartelé, m'arrachant une longue plainte de jouissance qui dure tout le temps que les deux membres virilement plantés en moi soient intégralement engloutis. Alors, prenant l'un et l'autre une cadence syncopée, de plus en plus rapide, ils vont et viennent, l'un labourant fougueusement mon ventre avec d’amples coups de hanches et l'autre s'engouffrant impétueusement entre mes reins, le type qui me sodomise avec une passion déchainée agrippé à mes seins qui tressautent sous les coups de boutoirs successifs et qui s’accélèrent tandis que, par réflexe, et malgré la posture acrobatique et relativement instable de notre trio, je me cambre et que ma tête oscille follement en balayant l’air de mes longs cheveux blonds qui s’éparpillent comme un soleil. Impossible de contenir à ce moment une série d’orgasmes exaltés qui me balayent en m’irradiant de brusques décharges exquises qui me tétanisent comme des tornades en me faisant crier d’abord puis gémir sourdement au fur et à mesure des soubresauts qu’entrainent successivement la vague de jouissance qui déferle en ondes continues qui finissent par s’apaiser et me laisse, pantelante telle une poupée lascive, à la merci des deux mecs qui poursuivent virilement et avec entrain leurs va et vient syncopés avec une passion sexuelle qui va crescendo.
Les deux autres, revigorés par l’indécent spectacle qu’ils matent sans vergogne se masturbent avec acharnement et, alors que dans une série de longs feulements sensuels, je continue d’exprimer explicitement mon plaisir, mes deux amants jouissent pour ainsi dire simultanément en râlant, m'inondant spasmodiquement de leur semence en de profondes giclées qui envahissent en même temps ma petite chatte et le plus profond de mes reins de leur moiteur jusqu’à ce que, essoufflés et paralysés par leurs orgasmes, ils me laisse lentement retomber sur le divan, le haut mes cuisses barbouillées de leur semence qui s’échappe sporadiquement de mes deux orifices béants, dilatés par leur ardeur virile et juvénile.
C'est le moment que choisissent les deux autres gars, dont l'un murmure d'une voix contractée par l'effort :
-« Attends un peu, p'tite pute, on va te couvrir de foutre... » tout en s’approchant de moi et, soudainement, profitant de la pose lubrique dans laquelle je m’exhibe lascivement et de ma passive complicité, exploser brusquement sur mes petits seins dressés de belles trainées de liqueur tiède tandis que l'autre, je le « finis » après l’avoir saisi d’une main ferme en le branlant résolument sur ma bouche, éclaboussant de son sperme tiède mes lèvres à peine closes lorsqu’il jouit en accueillant d’un air gourmand sur ma langue une partie de son éjaculation brutale puis en m’aspergeant du reste de sa sève mielleuse qui fuse encore de son sexe tressautant jusqu'à la racine de mes cheveux blonds...
Echevelée et toute poisseuse de leurs jouissances successives, je m'étire langoureusement comme une tigresse rassasiée, ravie, même pas honteuse d’une telle prestation, et, contemplant mes quatre partenaires un peu "rabattus" et qui semblent difficilement récupérer de leurs intenses jouissances, je leur demande en me relevant avec l’intention d’aller prendre une douche, d'une voix volontairement provocante :
- « Hé bien alors, c'est déjà fini... Quel dommage… » !!! »
Sans hâte, je regroupe mes affaires éparpillées par la fougue de nos ébats et, si je retrouve mon soutien gorge qui a volé dans un coin du salon, impossible de remettre la main sur ma petite culotte dont je ne me souviens même pas, dans le déchainement de cette séance brûlante, comment je l’ai retirée ou lequel me l’a arrachée !
Nonchalamment, toujours perchée sur mes talons et dégoulinante de leur sperme qui macule mes seins, mon visage, ruisselle même en fines gouttelettes sur mes flancs et, débordant le long de mes jambes, marque de taches humides le liseré en dentelle de mes bas, jusqu’à mes cheveux dont les mèches blondes sont toutes collées par les trainées de semence, je me dirige vers la salle de bains, bien consciente de leurs regards qui s’attardent sans vergogne sur ma silhouette somptueuse aux courbes rondes et encore affriolantes…
Je connais bien ces appartements pour en assurer la gestion et la répartition dans le cadre de mes fonctions et celui-ci, un grand F3 très récemment réhabilité qui doit permettre d’héberger jusqu'à 3 personnes possède une belle salle de bains équipée d’une douche à l’italienne « king size ». Tandis que je fouille un peu dans les divers produits masculins pour dénicher du gel douche et un shampoing qui puisse me convenir, je les entends discuter et rire, ravis sans doute de l’aubaine qui s’est offerte à eux et qui a donné à leur soirée un tour qu’il n’avait sans doute pas imaginé, même dans leurs fantasmes les plus osés ! Ayant trouvé mon bonheur, je me glisse entre les cloisons de verre en ouvrant l’eau chaude à fond, puis je me laisse aller langoureusement à savourer le contact jubilatoire de l’eau qui tombe en cataractes délicieuses avec une sensation de délassement très agréable.
Alors, je ferme les yeux en m'étirant voluptueusement pour profiter du contact de l'eau chaude qui ruisselle sur mon corps, faisant saillir mes petits seins et tendant ma croupe dans une attitude involontairement sexy et provocante, inconsciente d’offrir ainsi un spectacle terriblement excitant pour qui pourrait être en train de « mater ». Aussi, lorsque j’ouvres les yeux que je gardais mi-clos en relevant mes longs cheveux blonds pour les rincer du nectar qui les rends tout collant, je découvre devant moi mon bel étalon Black, nu lui aussi et un sourire coquin et gourmand qui fait pétiller ses yeux lorsque son regard descend sur mon corps mouillé offert à sa concupiscence et je ne peux m’empêcher de remarquer son sexe qui se dresse à nouveau dans une érection dont la raideur manifeste s’exhibe sans pudeur sous mes yeux extasiés.
-" Tu veux que je te mette du gel sur le dos ?" me dit il d'un air faussement innocent en entrant à son tour sous la douche et, voyant que je ne protestais en aucune manière, il me prends dans ses bras en posant au creux de mon cou mouillé ses lèvres pour embrasser ma peau lisse parfumée du gel que je commençais à faire mousser, sa verge déjà bien bandée dont la tension s'accroit encore en durcissant, frottant contre mes cuisses dans un contact électrisant.
-"Mmmmh, oui mon cœur," murmurais-je langoureusement en nuant mes bras autour de son cou, et j’ajoutais : "étales-moi ta crème partout", riant sous cape du sous-entendu explicitement sexuel et volontairement vicieux tout en me lovant contre lui avec un soupir long et sensuel, mes hanches entamant une lente ondulation qui a pour effet de faire "rouler" sa queue rigide contre le haut de mes cuisses en massant ma chatte que je presse contre lui dans une invite aussi délibérée que délicieusement salope.
Alors qu’il m'attire vers lui, le jet d'eau le couvre à son tour et très vite, nous sommes tous les deux complètement trempés et ruisselants, et je résiste à la tentation soudaine qui me prends de me faire « violer » en pesant sur ses épaules pour lui faire fléchir un peu les genoux et m’empaler brutalement sur son membre maintenant bien raidi…Pourtant, sans doute sûr de son affaire, il préfère fermer le robinet, puis, saisissant le flacon de gel douche, il en fais couler une bonne quantité sur sa main et entreprend de me masser en commençant par mes épaules puis, subrepticement, ses mains s’égarent sur mes seins menus dont je sens palpiter les pointes durcies sous ses paumes tandis qu’une mousse généreuse s’écoule le long de nos corps enlacés. La houle qui agitait mes hanches s’amplifie au fur et a mesure que sa caresse se fait plus précise, épousant la rondeur de mes hanches pour effleurer maintenant la chair soyeuse de mon charmant petit cul tandis que de son côté, il a pris juste assez de recul pour que je saisisse, entre mes doigts agiles, la hampe rigide que je masturbe légèrement avec une lenteur exquise, attardant vicieusement le mouvement de va et vient avec mon pouce sur l’extrémité sensible du gland rosé qui semble gonflé au point de devenir énorme avant de presser la gaule tendue jusqu’à venir saisir ses couilles qui me semble lourde comme des boules de pétanque malgré leur récente « décharge »…
Puis, mes yeux fixant les siens d’un air d’insatiable salope en manque, je remonte la main en le branlant comme une professionnelle tout en poussant mes reins vers lui, pétrissant langoureusement son sexe tendu en le roulant contre mon ventre de droite à gauche, me cambrant imperceptiblement pour amener ma petite chatte à la rencontre de ses doigts qui, après avoir suivi le sillon entre mes fesses s’enfoncent maintenant entre mes petites lèvres ourlées bien lubrifiés par le gel que je répand généreusement avec une idée dont je suis bien certaine qu’elle ne lui a pas échappée… Tout en masturbant sensuellement la grosse colonne rigide et bien soyeuse surmontée d’une tête rosée, toute lisse et bien boursouflée, par une soudaine association d’idée parfaitement saugrenue qui amène sur mon visage un sourire que le mec traduit comme une incitation à me baiser, je songe que le sexe de Patrick, mon mec, est d’une dimension a peu près équivalente à celle de mon éphémère amant mais que sa vitesse de récupération et la vigueur de l’érection que je caresse avec ravissement reste l’apanage d’une jeunesse dont, finalement, je ne déteste pas user et abuser à cet instant !
Mon souffle qui s’accélère, devenant de petits gémissements de plaisir, accompagne le rythme de ses doigts qui s’enfoncent de plus en plus profondément dans ma vulve maintenant largement ouverte et, de l’extrémité de son pouce, le salaud agace avec une vigueur presque brutale par de petits mouvements circulaires le bouton turgescent de mon clitoris enflé, provoquant des secousses convulsives qui agitent mes longues cuisses qui s’entrouvrent maintenant pour faciliter sa pénétration. Alors, tout en me disant que je suis décidemment incorrigible en matière de tentation sexuelle, aux palpitations qui agitent spasmodiquement son sexe gonflé au bord d’une explosion, je devine qu’il lui est difficile de rester de marbre devant une telle maestria et ma science amoureuse pourrait bien avoir "raison" de sa résistance avant même qu’ait pu me pénétrer sa verge énorme dont j’ai une folle et impérieuse envie !
Se libérant alors de mon étreinte avec une relative brusquerie, prenant mes hanches avec fermeté, il me fait pivoter pour me mettre face au mur, un peu pour jouir de la vision lubrique de ma chute de reins, certes, mais surtout pour pouvoir se coller tout contre moi et abuser de cette situation afin d'ajouter encore un peu de gel qui se répand le long de mes flans et entre mes seins qu’il prend entre ses doigts pour en faire rouler, en les pinçant vicieusement, les mamelons durcis par le désir avec pour effet de me faire gémir et d'accentuer encore la cambrure de ma croupe et le galbe de mes fesses.
Posant à plat mes mains sur le carrelage, j’allonge sensuellement mon corps rendu encore plus désirable par la mousse qui le recouvre en m'étirant comme une chatte en chaleur cherchant a se faire "saillir" par un gros matou en rut et, ce faisant, je peux sentir son sexe dur comme un gourdin dressé a la verticale qui coulisse délicieusement dans le sillon bien marqué de mes fesses tandis que, entre mes cuisses maintenant largement ouvertes, l'une de ses mains s'agite en introduisant sans difficultés entre mes délicates petites lèvres bien glissantes ses doigts dans un va et vient agile, explorant profondément ma chatte brulante.
L'agitation rythmée de mes hanches traduit mon impatience et mon souffle devient plus marqué puis s'accélère alors que je rejette en arrière ma jolie tête blonde ce qui a pour effet de creuser mon corps dans une attitude délurée digne d'une scène de film porno et, sans doute volontairement pour exacerber son désir, je laisse échapper entre deux gémissements :
-" Oooh mon coeur, vas-y maintenant... Baises moi vite de toute tes forces !!!"
Lui tournant le dos, je ne peux que supposer l'envie féroce de m'emmancher qui doit le tenailler et je m’étonne de n’avoir pas encore réussi, malgré tous mes indécentes provocations, à l’inciter à me violer en n'écoutant que l'instinct sexuel que je cherche à susciter.
Aussi, quelle n’est pas ma surprise lorsque je tourne la tête de constater que ce petit vicieux vient de s’emparer d’un vibro mauve, totalement surdimensionné et qui représente, dans une matière lourde à la fois souple et rigide un phallus énorme avec des détails d’un réalisme saisissant. Sans doute l’avait-il caché en profitant du fait que je ne l’ai pas vu entrer dans la salle de bain et je réalise que les rires que j’entendais tout à l’heure devait être le résultat de la mise au point de leur stratagème… Malgré moi, je me sentis envahi d’un trouble teinté d’une nuance d’affolement devant les dimensions hors norme de l’engin avec lequel je le soupçonnais de vouloir me violer tout en m’interrogeant, avec une curiosité malsaine, sur l’effet terriblement excitant de ce sexe disproportionné s’il me pénétrait et le sentiment de me sentir complètement envahie, voire ouverte en deux, qui en résulterait… J’use certes de sextoys, mais jamais, même avec mon chéri, je n’avais osé un « monstre » de cette taille là !
Dans un souffle, je lui demandais :
- « Waouh… tu as vraiment besoin de ça… je te trouve tout à fait à mon gout, pourtant… et puis, je me demande d’où il sort, ce truc… »
- « T’inquiètes, il est tout neuf… on vient de le déballer… on voulait s’en servir pour un bizutage… je suis sur que tu vas aimer… » me dit il tout en caressant mon dos que, malgré moi, je cintrais pour apprécier le contact de sa main qui m’électrisait.
- « Tu sais, c’est la représentation de la queue de l’acteur porno noir le mieux membré du monde, tu imagines… », poursuit-il en prenant un air facétieux tout en approchant le godemiché géant du sillon de ma croupe bien cambrée.
Tenant l'engin encore plus gros que sa queue pourtant énorme qui se dressait majestueusement tel un sceptre glorieux, il l’approcha de ma petite chatte en se collant à moi, me laissant supposer, au début tout au moins que c'est son pieu qui s'immisçait a l'orée de mon ventre pour me déflorer d'une langoureuse poussée, puis je devine qu’il le guide d'une main rendue fébrile par l'excitation en l'enfouissant dans le fourreau de ma vulve distendue par le manche puissant que ma chatte absorbe pourtant petit a petit. Impossible de décrire l’intense sensation de plaisir qui m’envahit tandis que je me prête a cette insidieuse et lente pénétration, étouffant tout de même un léger cri en le suppliant d’aller doucement au moment ou l'engin force le passage entre mes petites lèvres qui se distendent sous la poussée rectiligne que j’accompagne en gémissant puis qui, petit à petit, me remplit maintenant, s’ouvrant un chemin en labourant mes chairs intimes, semblant littéralement écarteler mon délicieux petit abricot pour finir par venir buter au fond de mon ventre alors que je m’ouvre largement en adoptant une posture acrobatique avec un pied posé très haut contre le carrelage de la douche.
A la grande satisfaction du salaud qui me baise en usant de cet artifice, je ne me détourne pas du tout de la caresse de l'engin que maintenant, il retire avec une lenteur étudiée, bien au contraire, et je me soumets avec une exquise impudeur a la pénétration cadencée de l'engin qui fouille rythmiquement mon intimité, la houle qui agite voluptueusement mes reins semblant accompagner les va et vient du pieu énorme qui me laboure en m'arrachant une série de gémissements qui semble pousser mon tortionnaire au paroxysme de l'exaltation alors que maintenant, je l’encourage à continuer…
Debout derrière moi, son sexe lourd et érigé gonflé d’une sève qui ne demande qu’à exploser tant je le sens enflammé par ma «prestation» à laquelle il pensait peut être que j’allais me dérober, ballote alternativement contre les rondeurs de mes fesses et je devine qu’il se contente de maintenir le phallus violet sur lequel je viens de moi même m'emmancher par de langoureuses oscillations du bassin avec une ardeur inépuisable tout en l’exhortant d’une voix suave et rauque dans laquelle je ne me reconnais même pas :
- « Continue, oh ouiii… vas-y, défonces moi comme ta petite pute… »
Emportée par l’élan fougueux de notre étreinte, je le laisse faire lorsque il saisit une de mes cuisses pour m'ouvrir plus encore en m'obligeant a poser mon pied sur le bord du meuble posé près du lavabo, m'écartelant plus encore tout en obligeant mes reins à se creuser dans une posture risquée, peut être inspiré du yoga, mais dont le côté "pute" est encore accentué lorsque il m'attrape avec une certaine douceur par mes longs cheveux blonds qu’il torsade dans sa main en un chignon approximatif pour me guider en les tirant progressivement en arrière, abusant perversement de cette posture hyper hard pour enfoncer le vibro en me procurant l’impression folle de m’emplir le ventre en défonçant littéralement ma petite chatte martyrisée.
Pourtant, docilement, je m’exhibe sans pudeur et sans retenue en constatant sans réelle surprise que ses trois copains matent par la porte grande ouverte sans aucune discrétion le spectacle intensément porno que nous leur offrons, leurs sexes semblant retrouver la vigueur d’une érection naissante, leurs regards extasiés par la vision du membre rigide en latex qui s'enfonce, se retire puis s'enfonce encore et encore sans paraitre satisfaire mon insatiable appétit sexuel, leur donnant sans doute l'exaltante sensation de vivre un fantasme délirant. Avant que l'irrémédiable explosion que je sens monter du fond de mes reins ne survienne, j’entend mon étalon qui susurre à mon oreille, en se montrant volontairement "grossier" dans un chuchotement quel "supplice" il est tenté de t'infliger!
-" Mmmh, ça t’excite, hein, qu’on te mate en train de baiser… c’est vrai que tu es bonne, espèce de petite salope, je suis sûr que tu aimerais que je défonce ton petit cul..."
Et, profitant de ma position instable, il glisse un doigt dans le sillon de ma croupe dégoulinant de mousse et de gel puis s'arrêtant sur le petit bourgeon fragile de mon anus délicat sur lequel il s'attarde en le palpant par des impulsions répétées et rapides, il le viole en même temps qu’il accélère la vitesse des coups de boutoir qui pistonne mon sexe sans relâche et l'enfonce dans le fourreau étroit et fragile que je sens s'ouvrir et palpiter autour de son index. Obnubilé par son indécent fantasme que mon attitude l’incite a croire que je souhaite autant que lui le voir s’accomplir, emporté par une vague de désir impulsif et délirant, il cherche fébrilement ma main dont les doigts encadrent ma petite chatte éventrée dont les petites lèvres sont distendues à l’extrême et dont l'agitation convulsive lui laisse a penser, avec raison, que j’en profite pour exciter la petite bille toute dure de mon clitoris saillant et gonflé qui m’envoie de longues décharges de jouissance qui sont la cause de mes gémissements volontairement bien peu discrets, puis, fermement, il guide ma main pour me faire saisir le vibro par le socle formé d’une paire de couilles si grosses que mes doigts peinent à les contenir.
Alors, tel un fauve en rut excitée par une tigresse aussi sexy que perverse, il saisit mes hanches avec une assurance presque brutale puis, pesant de tout son poids en fléchissant légèrement les jambes afin de se "positionner" entre mes cuisses largement ouvertes pour que son pieu dressé, raide à en être douloureux tant la pression qui l’habite est ardente, glisse dans la fente de mon magnifique cul somptueusement arqué.
Puis, tout en s’exclamant d’une voix rendue rauque par le désir fou qui le gagne « Mmmh, j’ai toujours rêvé d’enculer une salope de blondasse dans ton genre… » il pose l’extrémité gorgé de sève sur l’anneau étroit et sensible de mon petit orifice pour le forcer en enfonçant sans effort d’une seule traite, avec le secret espoir de me faire crier de jouissance, le manche entier dans l’écrin soyeux et brulant, rendu plus serré encore par le vibro énorme qui envahit mon sexe en le distendant jusqu'a paraitre m'écarteler, et que je continue d’instinct à faire aller et venir dans un mouvement aussi enflammé que la montée du plaisir que je sens irradier d’une manière irrépressible du plus profond de mes reins.
Lentement d’abord, il commence à impulser de profonds et vigoureux coups de boutoir en pilonnant mes fesses avec une ardeur sexuelle décuplée par la sensation exquise de la gaine sensible qui comprime voluptueusement sa verge gonflée qui me pistonne de plus en plus vite offrant le spectacle ensorcelant d’un érotisme torride ou je m'exhibe sans retenue.
Presque malgré moi , oubliant les mecs qui nous regarde maintenant en se branlant et dont je me fous complètement, je donne au membre de latex qui me défonce le rythme cadencé qu’il m’impose, tandis qu’il enfouit à un rythme exaltée en ahanant de longs grognement de satisfaction qui se mélange avec mon souffle et mes plaintes délicieusement pornos, son sexe puissamment bandé en même temps que le phallus monstrueux dans une double pénétration qui me remplit et me procure une satisfaction si intense que je l’exprime d’une manière "criante" très expressive à laquelle ses autres partenaires féminines semblaient ne pas l’avoir habitué !
Emporté par notre zèle au caractère porno très marqué, la vigueur de nos ébats a eu raison de l’équilibre précaire dans lequel il me tenait et je me retrouve à quatre pattes sur le carrelage de la douche, tandis que, profondément fiché dans l’orifice délicat de mon adorable petit cul toujours agité de soubresauts spasmodiques qui lui donne l’impression de chevaucher une « jument » déchainée cherchant à désarçonner son cavalier, bien campé sur ses deux jambes en me dominant de toute sa stature, il continue à enfoncer entre mes reins offerts son sexe palpitant à une cadence syncopée faisant preuve d’une incroyable endurance.
Les yeux mi clos, je devine sans peine aux gémissements explicites des trois mecs qui assistent à cette débauche sexuelle qu’ils sont en train de jouir, sans oser interférer dans la scène torride qui les excite, et je devine juste qu’ils éjaculent l’un après l’autre en apercevant quelques giclées de sperme qui s’écrasent successivement et par à coups en aspergeant de gouttelettes translucides le carrelage juste à coté de moi et dont certaines viennent même, certainement pas par hasard, maculer mes épaules et se finissent jusque dans mes cheveux sans que je cesse pour autant mon licencieux manège !
Avec de vifs mouvements de va et vient alternant avec de très courtes pauses durant lesquelles il reste enfoncé jusqu'à la garde au fond de ma croupe, il me sodomise avec endurance et une ardeur d’adolescent telle que je dois bientôt lâcher le monstrueux vibro pour résister à ses coups de boutoir et je ressens parfaitement dans mes deux orifices les plus intimes les deux sexes qui m’envahissent, l’un agité de mouvements spasmodiques de va et vient qui me défonce et le vibro, fiché dans mon vagin et qui reste planté là, retenu par les crispations convulsives de ma vulve tandis qu’il me pénètre dans une levrette anale endiablée et que ses couilles battent follement dans un « flop, flop » révélateur en s’écrasant contre les rondeurs rebondies de mes fesses que la cambrure de mon corps fait se tendre vers lui.
Très vite, trop vite, alors que je voudrais faire durer longtemps encore la folie exquise de littéralement me faire « baiser » par cet étalon infatigable et foutrement bien membré, je sens fuser un irrépressible orgasme qui le crispe d'une façon aussi soudaine que brutale tandis que, pour me retenir avec les mains a la faïence de la douche, je m’arc boute pour le recevoir en gémissant et j’expulse de ma chatte défoncée dans la contraction de mes muscles intimes l'engin luisant qui me servait de partenaire et qui retombe au sol en rebondissant de manière cocasse. Arc-bouté au dessus de moi, ses genoux enserrant convulsivement mes hanches, il obéit à une indescriptible et vicieuse pulsion qui aurait pu conclure une scène osée de film X et, dans le râle extasié et continu d'un orgasme ravageur qui se mêle à mes plaintes, il a extrait son membre frémissant pour éjaculer brusquement une épaisse première giclée d’un yaourt tiède et onctueux dont les gouttelettes éclaboussent de traces translucides mon dos en s'écrasant même encore une fois sur les pointes de mes longs cheveux blonds totalement en désordre! Puis, agrippé au pieu agité de spasme de plaisir en se masturbant vivement d'une main fébrile sur ma croupe trempée de gel, de sueur et autres « fluides » en gémissant des "Aaaah" successifs, rauques et très révélateurs, ce sont plusieurs rafales de semence tiède qui giclent encore en souillant de longues trainées blanches mes hanches et le sillon de mon petit cul largement défloré , inondant de sperme tiède le petit tatouage éphémère en forme de papillon qui pare le creux de mes reins et que j’avais appliqué là pour faire plaisir à Patrick qui apprécie le petit coté « pute » que cela suppose.
Enfin, épuisé et tétanisé, le souffle court et le cœur battant, je vois mon beau Black qui se dégage puis se traine en soufflant pour s'asseoir dans le coin de la douche pendant que je me redresse, un peu engourdie et courbaturée, je l’avoue, mais avec un air rieur et totalement comblé en faisant semblant de protester :
-" Ah, tout de même, tu es un beau salaud..." et j’enchaines en souriant devant son air aussi ravagé que penaud," Hé bien oui, mon cœur, toi et tes copains, vous m'avez encore tellement inondés que je vais devoir refaire un shampoing.et.."
Je ne finis pas ma phrase car, dans la glace qui couvre une partie du mur au dessus du lavabo, j’aperçois le reflet de mon étudiant béat qui est resté le seul à regarder cette scène, médusé de l’audace et l’ardeur dont j’ai fais preuve et qu’il était loin de soupçonner. Pour autant, il ne se dissimule pas et comme je me retourne en lui souriant d’un air tout à fait angélique, je constate qu’il a bien débandé et son sexe trahit à peine une molle érection, reliquat sans doute de sa réaction virile au spectacle torride qu’il n’a pas manqué de contempler en voyeur…
Alors, je rentre sous la douche et j’ouvre l'eau chaude en m'étirant avec une grâce toute féline en aspergeant pour les taquiner les deux mecs que je chasse de la salle de bain en leur disant d’aller se rhabiller correctement puis je profite sans restriction du plaisir infini de sentir mousser sur moi le gel et ruisseler l’eau chaude qui me débarrasse des traces de semence masculine qui me macule pour ainsi dire sur tout le corps.
J’en ressors toute revigorée, rassasiée et totalement apaisée, puis, une fois bien essuyée et mes cheveux longuement séchés et peignés, je retourne dans l’appartement, entièrement nue à l’exception de mes escarpins que j’ai enfilé, pour essayer de retrouver mon string et prendre dans mon sac à main de quoi me maquiller un peu avant de me rhabiller et retourner à l’école pour récupérer ma voiture.
Ma petite culotte reste introuvable, et je soupçonne les garçons de l’avoir planquée en guise de « trophée », mais je ne m’en formalise pas plus que ça puis, comme il ne reste dans l’appartement que mon étudiant, qui m’avoue dans un souffle que jamais il ne m’aurait imaginé comme ça, et son coloc, je leur fais la bise très « amicalement » en leur avouant avoir passé un mémorable moment en leur compagnie.
Tout en regagnant le parking, encore incrédule d’avoir pu céder si aisément à un tel scénario avec plusieurs mecs (ce qui est une première pour moi, du moins avec plus de deux mecs, il faut bien le reconnaître !) comme si j’étais coutumière de ce genre de pratique, je me suis fais la réflexion que cette petite « sauterie », si cela venait à se savoir, pourrait bien me faire une drôle de réputation d’autant que, même si je ne l’ai pas remarqué, ils ont pu prendre subrepticement quelques clichés totalement indécents… Mais je décidais finalement de ne rien changer à mon attitude et de « laisser venir », présumant qu’au fond, je parviendrais sans peine à faire croire qu’il ne s’agissait là que de médisance ou de jalousie, voire de « montages » photos totalement délirants…
Néanmoins, cette soirée, pour délicieusement obscène qu’elle fut, me valut tout de même quelques jours d’exquises courbatures, comme si j’avais été écartelée par une séance d’équitation trop brutale, et l’impression d’avoir été « fouillée » jusque dans le tréfonds de mon intimité.
Par contre, la semaine suivante, lorsque je racontais après des retrouvailles ponctuées d’ébats torrides, les détails de ma soirée à mon chéri et le plaisir que j’avais ressenti à me comporter ainsi, tout en le flattant de n’avoir rien à envier aux « dimensions » hors normes du Black qui m’avait baisée mais sans m’étendre trop sur la taille monstrueuse du vibro avec lequel il m’avait « violée », je sentis bien derrière son excitation, comme un certain dépit et une espèce de contrariété de sa part, bien qu’il m’assura avec force du contraire !
Par contre, sans doute stimulée par cette évocation, il m’a baisé divinement cette nuit là jusqu’au petit matin avec une vigueur et une fougue plusieurs fois renouvelée, la chimie d’une certaine petite pilule compensant sans doute largement la juvénile vigueur d’un adolescent !
En fait, je crois bien que ce qui l’a chagriné le plus, c’est que j’ai pu me livrer à cette débauche libertine sans lui, d’autant plus que je lui ai fait remarquer que c’est à cause de lui que je me suis découverte cet attrait pour les expériences à plusieurs…
Au fond, je cherchais une excuse dans le fait que c’est lui qui m’avait incité à faire l’amour avec plusieurs partenaires et initiée à cette forme de perversité amoureuse alors que je l’avais prévenu que cela risquait de m’ouvrir certains délicieux horizons, d’y prendre gout… et d’en redemander encore…

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
Le langage ne me choque pas. Par contre l'habituel baise sans capotes !!! Ca c'est choquant sachant que les mecs étaient des inconnus !!! Vous etes sure de l'aimer votre mari parce que vu la prise de risque c'est à se poser des questions. Il y a 1 recrudescence de MST ou IST donc capotes obligatoire sinon comme d'habitude frottis et bilans sanguins de rigueur !!!! Enfin apres ça vous regarde mais il ne faudra pas se plaindre ensuite !!!!
Posté le 11/04/2019

Azzu
Très bien, très beau, très excitant. Mais très fatiguant à lire. Aucune aération du texte. Beaucoup de phrases tellement longues qu'on finit par se demander où l'auteur veux en venir, voir parfois même la sensation d'avoir perdu le sens de la phrase qui provoque la frustration de devoir relire le début de cette fameuse phrase pour comprendre ce que l'on a raté, ce qui nuit grandement au récit et au rythme car ajouter quelques point par-ci par-là permettrai sans doute d'améliorer l'immersion du lecteur. Et j'en termine avec cette phrase à rallonge, je pense que c'était assez clair. Trop d'adjectifs, beaucoup trop. Trop de mot superflu. D'accord ça témoignage d'une bonne maîtrise de la langue et d'une qualité d'écriture indéniable mais est-ce un récit érotique ou un essai verbeux et pompeux sur le libertinage et les gang bang ?
Posté le 20/03/2019


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