Une rencontre chaleureuse

Anna et Marcus se connaissent depuis longtemps. Ils se retrouvent après trois ou quatre années de conversations de tous les genres en ligne et 22000Km qui les séparés.. Leurs retrouvailles ne sont que douces embrassades, chaleureuses caresses et troublantes unions..

Proposée le 23/06/2022 par Héroze

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Anna est encore en BTS : jeune femme plantureuse (un bon 90D) à la chevelure bouclée et blonde. Elle est toujours souriante, tellement douce et par dessus tout, sait mettre en avant ses atouts.
Elle connaît Marcus depuis le lycée et n'a jamais cessé de lui parler. Ils se connaissait par cœur, savent tout de l'autre et ont même pimenté leurs diverses conversations de photos érotiques et de fantasmes détaillés...

C'est à la suite d'une rupture er de quelques mois de depression que Marcus fini par rentrer dans son pays.
Et le premier week-end de son retour il veut le passer avec elle.

Dans les yeux d'Anna...
Quand Marcus est arrivé, je n'en suis pas revenue et je voulais lui demander de se voir mais je n'ai pas eu le courage. Alors quand il m'a proposé une soirée ensemble, c'était un mélange d'émotions intenses... une joie immense, une excitation certaine, une peur irrépressible qui venait d'un stresse incontournable. Et j'ai accepté.

Ce jour là, j'ai choisi scrupuleusement ma tenue après une longue douche avec épilation et lavage de cheveux.. j'ai mis une légère robe d'été de couleur clair avec un soutif qui relève ma poitrine et un string en dentelle qui me fait un cul de rêve (oui je sais qu'il adore les fesses alors autant les mettre en valeur). Un trait de crayons sur les lèvres, un coup de mascara très léger et un parfum boisé à la robe ambré.

On s'est retrouvé près de chez lui et on a passé l'après-midi ensemble à se promener et il m'a guidé dans un petit coin de plage et des morceaux de forêt très envoûtantes. Puis on s'est pris à manger, des plats à emporter pour ne pas être embêté..

Puis on est allé chez lui à la nuit tombée... il habite sur le terrain familiale, bien arboré et très accueillant à première vue. Il a son chalet près de l'entrée : en bois, chaleureux et pour y accéder il y a un petit escalier et une petite terrasse sur pilotis où il a installé une chaise et une petite table basse.
Notre soirée est comme dans un rêve que j'aurai pu faire. Nous rions, mangeons en regardant un film. On est étendue sur le lit, de plus en plus proche l'un de l'autre. Je ne suis pas très expérimentée en sexe mais je sens déjà l'envie qui me chauffe le bas ventre et commence à stimuler ma chatte..
Je sens sa main sur ma cuisse et elle remonte de plus en plus haut.
Je suis maintenant assise en tailleur et près de lui, mais plus en avant. Ce qui lui permet de glisser derrière mon dos, de passer ses mains autour de ma taille et de venir s'approcher de mon intimité qui commence à frémir. Je sens son souffle s'approcher de mon dos pour enfin accueillir un baisers dans le creux de mon cou. Puis il repire mon odeur tout en m'embrassant la peau chaude de désir. Je frissonne et je sens mes pommettes rougir. Je pense la tête pour lui laisser l'espace à ses gestes. Tout en sentant ses baisers, il a passé sa mains sous ma robe. Puis, il a juste écarté l'élastique de mon string pour d'abord caresser mes lèvres puis s'amuser avec mon clitoris.
Je sens l'envie qui monte jusqu'à mon visage... cette vague de désir me chauffe les joues encore plus.
Son autre main est remonté à poitrine pour la prendre à pleine main et la peloter avec douceur.

Après quelques minutes, j'ai suivi ses cuisses pour atteindre son entre-jambe. J'ai, avec un peu de maladresse, déboutonné son jean et descendu la braguette. L'excitation est encore montée quand j'ai senti son gros sexe bien dur tout cessé dans son caleçon...
Il m'a penché vers lui et nous nous sommes embrassés. Dans la rzncontre de nos langues qui semblaient déjà se connaître depuis toujours, j'ai tenté de continuer ma visite coquine dans son caleçon pour libérer la bête..
Quand il a senti que j'étais bien mouillée, il s'est levé, à tamisé la lumière et a enlevé quelques oreillers. Il est resté debout à côté du lit et ma attiré vers lui. Il a pris tout son temps pour enlever ma robe, dégraffer mon soutif. En même temps il a enlevé son t-shirt et sans grande difficulté perdu son jeans et son caleçon. Il s'est allongé et m'a invité à le rejoindre.
Je l'ai d'abord embrassé, je me suis mise califourchon sur sa queue déjà bien dur et quand il m'embrassait j'ai commencé des vas et vient très régulier.
Puis j'ai entamé ma descente le long de son torse en l'embrassant pour enfin arriver à son sexe. Je l'ai attrapé à deux mains et passé ma langue sur le bout. En lâchant une main, puis l'autre pour bien l'enfoncer dans ma bouche. Elle était déjà tellement dure et gonflée que je cru m'étouffer.
A l'aide de ses gémissement je regulais mon jeu de langue et ma vitesse d'exécution. Il avait passé ses mains dans mes cheveux pour me tenir la tête et je le sentais se redire quand il m'a empoigné par le bras pour m'allonger à mon tour.

Il a fait descendre mon string tout en embrassant mon ventre, mes hanches, mes cuisses et enfin glisser sa langue entre mes deux lèvres. Il a relevé mes jambes et dégusté goulument ma mouille. Je ne pouvais plus retenir mes cris, ni mes spasmes. J'avais placé une main sur mon bas ventre et l'autre lui tenait la tête. J'adorerai sentir ses cheveux glisser entre mes doigts...

Il s'est arrêté et en venant membrassait on ne se lâchait plus du regard. C'est à ce moment là que j'ai senti sa queue entrer en moi. Il est entré délicatement tellement facilement. La chaleur montait encore que je cru avoir la tête qui explose. Ses vas et vient étaient lent mais profond. Puis il a accéléré. On s'embrassait sauvagement, ses mains me parcouraient le corps... les miennes étaient à la découverte de son dos puis empoignèrent ses fesses musclées.
Je me redressais pour l'inviter à changer de rythme et c'est ce moment qu'il choisit pour me retourner et mempoigner les hanches. Je senti sa queue entrer avec bien plus de violence que la première fois. Je sentis l'orgasme arriver mais il ralenti et vint me glisser à l'oreille...
"Tu sais que j'aime ton cul.. il est tellement beau.. j'ai envie d'aller plus loin encore avec toi ce soir"
Pour seule réponse j'ai cambré ma croupe avec exagération et je l'ai regardé avec défi.
Il s'est arrêté. Il a pris le temps de carresser mes fesses, puis, a passé sa langue entre mes fesses bien écartées. Je mouillais de plus belle et me cambrais sans le contrôler. Je stressais un peu, Jr n'avais jamais fait ça. On en avait parlé avec des copines mais je n'en avais jamais eu vraiment envie et j'ai toujours eu peur d'avoir mal.

Là c'était différent. Malgré la taille de sa queue, j'en avais vraiment envie et j'étais tellement excitée à l'idée que je trépignais d'impatience.
Il a mis son doigt à la place de sa langue, puis deux, puis trois. A ce moment là, il est venu m'embrasser la nuque et me rassurer : " si tu restes détendu tu n'auras pas mal. Mais tu peux me dire stop à tout moment."
A ces moments, il a enlevé ses doigts pour placer sa queue à l'entrée de mon cul. Il a doucement poussé. Je me suis cambrée et j'ai senti la queue entrée doucement à l'intérieur. Il est resté un moment sans bouger et j'en ai profité pour passer mes doigts entre mes lèvres.
Il a commencé par des mouvements lents sans trop aller au fond. Puis au fur et à mesure que la mouille glissée entre mes cuisses, il a accéléré pour aller jusqu'à fond.. Il était bien au dessus de moi, mon cul bien cambré, il venait me mordiller le haut du dos, les épaules et le cou, tout en baisant le cul bien fort.

Avant de jouir, il apris le temps de me retourner, de m'allonger et de se placer au dessus de moi. Il est venu dans mon minou trempé tout en m'embrassant.
Il m'a serré très fort entre ses bras et au moment où j'ai senti sa jouissances arrivée, j'ai placé mes doigt sur mon clitoris pour faire monter l'orgasme...
Nous avons jouie presque en même temps.


Cette nuit est restée en moi dans les moindre détails.
La nuit, le vent frais de la pluie qui tombée doucement sur les tôles. La brume de la nuit profonde.

Et tous les deux enlacés sur la seule chaise de la terrasse pour apprécier une cigarette...

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