Florient et Janice, deux jeunes amoureux fidèles à jamais, partent en voyage de noces dans un hôtel par comme les autres. Mais qui trompera l'autre en premier ? En tous cas leur expérience ici changera leur point de vue du couple à jamais...
Proposée le 21/03/2022 par goelan
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Homme soumis
Personnages: Groupes
Lieu: Hôtel
Type: Roman
C'est le voyage de noces de Florient et Janice. Ils sont super beaux tous les deux, super amoureux et malgré des déboires récents, travail, relations difficiles au début et famille s'opposant à leur union, ils ont réussi à tout surmonter pour enfin pouvoir se marier en petit comité et convoler en noces dans un pays exotique.
Ce n'était pas leur première destination mais le budget étant, ils ont profité d'une offre de dernière minute vers un coin d'Asie reculé dans un hôtel 3 étoiles avec vue sur la mer.
Le voyage fut long, très long avec 2 escales et un temps d'attente qui leur mirent les nerfs à fleur de peau. Finalement, après un passage à la douane compliqué et un taxi hors de prix, ils posèrent enfin leurs valises à l'accueil de l'hôtel.
Ce fut l'heure de leur première dispute. Entre la fatigue, le décalage horaire, la transpiration, car ici il faisait très chaud et humide, Janice lui fit toute une scène parce qu'il avait osé faire une remarque sur la beauté de l'asiatique derrière le comptoir.
Il faut avouer que la belle était assez mignonne en son genre, avec une tenue locale des plus échancrée. Sans oublier un visage de rêve, des cheveux longs lisses et noirs et des yeux souriants.
Janice, toute aussi belle, était blonde, grande, une belle poitrine qui fascinait les hommes, mais avec un certain caractère qui la plupart du temps, laissait Florient de marbre, c'était l'un de ses points forts, mais là, il était des plus excédé.
Elle arracha les clés de sa chambre des mains de l'hôtesse sans lui adresser un merci ni donner un pourreboire, et dans ce genre d'hôtel il est tout de même préférable de laisser un petit quelque chose régulièrement ici et là.
L'asiatique, fronça les sourcils et laissa échapper un petit mot ordurier dans sa langue à l'intention de Janice une fois qu'elle fut hors de portée d'oreille. Puis elle reluqua au passage le postérieur de Florient moulé dans son pantalon de coton blanc qui en avait pris pour son grade le temps du long voyage. Elle n'appréciait guère ces touristes étrangers qui se croyaient chez eux.
Un de ses collègues arriva et lui demanda l'origine de sa mauvaise tête.
- C'est cette salope de blonde, elle m'a traité comme une moins que rien trop jalouse parce que son mec m'a complimenté sur mon physique.
L'autre la reluqua de la tête aux pieds d'un oeil appréciateur
- C'est vrai que tu es plutôt mignonne
- T'es con, comme si tu ne m'avais jamais vu toute nue
- Justement en parlant de cela... Répondit-il en s'approchant un grand sourire aux lèvres
- Houst ! Du balais, je suis en service et je ne suis pas certaine que Malee apprécierait
Cela ne freina pas le jeune asiatique qui se plaça derrière elle et lui mit une main aux fesses
- Si personne ne lui dit, elle n'en saura rien...
- Arrêtes, on pourrait se faire virer ! Et puis j'ai pas envie
- C'est à cause de la blonde ?
- Oui et non, j'ai mes règles et j'ai mal au ventre.
- Et susceptible en plus. Sinon on pourrait faire autre chose... Roucoula-t-il à son oreille
Elle le repoussa un sourire sur le visage
- Mais tu es en rut, c'est pas vrai !
- Allez, tu as presque terminé en plus, on se retrouve derrière comme avant.
- Oui, oui et c'est surtout le mien qui t'intéresse.
- Malee ne voudra sûrement pas que je l'encule !
Il lui caressa à nouveau les fesses.
"Alors que toi...
L'asiatique lui sourit, en effet, c'était son petit pêché mignon et Krit, son amant occasionnel et collègue de travail, en avait une belle qui la faisait bien crier. Mais Krit était fiancé maintenant. Et Malee était son amie.
- Va te pignoler sous la douche, si Malee apprend que tu me tournes encore autour, elle va taper sa crise.
- Tu es dure avec moi, allez en souvenir du bon vieux temps.
Discrètement derrière le comptoir, il continua à lui caresser ses petites fesses glissant son index dans sa raie tendue par le tissu dans un mouvement évocateur.
Saraï se dégagea et tenta de ranger les affaires devant elle d'un air offusqué.
- Je ne suis pas celle que tu crois enfin !
- Je t'attendrais, et je sais que va venir, tu adores ma bite.
- Mais va-t-en, je bosse moi monsieur, pas comme certains !
- Tu viendras alors ?
- Je ne sais pas...
- Allez, promis cela sera la dernière fois, ensuite je ne t'embête plus, je serai aussi fidèle qu'un...
- Qu'un quoi ? Tu m'as déjà sorti ça il y a 15 jours !
- Non mais promis, je te jure !
Elle avisa le sexe visiblement tendu dans le pantalon de Krit, elle déglutit, elle adorait sa bite et parfois, elle était déçu qu'il se soit fiancée avec Malee. Mais la famille de Malee était plus riche que la sienne, et ici cela faisait la différence. Malee était leur amie d'enfance, beaucoup plus prude que Saraï, de ce qu'elle en savait, elle était toujours vierge. Alors qu'elle, depuis ses 15 ans, elle batifolait avec des garçons de son âge, des hommes plus âgés, voire même des touristes s'ils payaient pour cela, mais jamais à l'hôtel. Sans oublier le directeur, si elle voulait garder son poste, elle n'avait pas d'autres choix que d'avaler de temps à autre. Mais elle était persuadée que personne n'était au courant, sauf Krit.
Malee par contre n'était pas aussi jolie que Saraï, plus boulotte, elle était plutôt du genre à devenir une femme au foyer respectant toutes les règles familiales plutôt que de vivre sa vie de femme.
- OK, finit-elle par répondre de guerre lasse, mais c'est la dernière fois !
***
Florient et Janice, une guerre froide en cours, n'avaient plus pipé un mot depuis qu'il s'étaient retrouvés dans leur chambre. Et comme souvent, la brochure n'égalait pas la réalité des lieux, mais pour une fois, en bien. La chambre au rez-de-chaussée avait une vue directe sur la mer et les palmiers. Une bande de verdure et d'arbustes les séparaient de cette plage qui leur faisait envie.
Leurs valises en vrac à l'entrée, Janice fit mine ne n'avoir même pas vu le coeur en rose rouge et les petits cadeaux de bienvenue sur le lit double de leur chambre.
- C'est vraiment trop joli, tenta de placer Florient pour casser la glace.
- Je m'excuse, murmura sa jeune épouse... Je n'aurai pas dû m'énerver tout à l'heure.
Les crises de Janice étaient toutes aussi brèves qu'elles étaient parfois virulentes, Florient la connaissait et il vint l'étreindre passionnément.
- Tu as vu le lit ? Et la vue ? Je n'en crois pas mes yeux !
- Tu as raison, nous avons de la chance, et moi j'ai de la chance d'être ici avec toi toute seule. Tu sais que je t'aime au moins ?
Comme seule réponse il l'embrassa, pressant sa belle poitrine contre son torse musclé.
- Hooo, tu pues la sueur, s'exclama-t-elle en riant.
- Tu ne vaux guère mieux pas chère !
- Va prendre une douche
- Viens avec moi
- J'ai pas très envie, je suis crevé...
Pour toute réponse, il la tira par la main direction la salle de bain.
Leurs habits en tas au sol, les deux tourtereaux complètement nus sous le jet d'eau, s'embrassaient pourtant furieusement. Heureusement pour eux, celle-ci était de belle taille et pouvait les accueillir à deux sans problème.
Florient caressait les courbes voluptueuses de Janice tout en bataillant avec sa langue, sa queue tendue faisait pression sur le ventre de sa femme, qui en réponse dardait ses tétons sur le torse de celui-ci.
Janice laissa de côté les lèvres de son mari pour s'occuper de quelque chose de bien plus consistant. Elle se mit accroupi et prenant le sexe de son homme dans la main, elle le branla tout en le pompant. Florient lui caressa tout de suite la tête poussant sa queue plus loin dans la bouche de sa femme.
- Tu fais ça si bien, grogna-t-il
Il n'y eu pas de réponse, difficile dans ses conditions.
Janice passa sa main libre entre ses cuisses ouvertes frotta son sexe glabre. Malgré la fatigue, elle était trempée. Elle se branla en continuant à lui faire une fellation. Elle adorait se donner du plaisir en solitaire et ne se cachait pas à Florient de se masturber lorsqu'il était en déplacement ou s'il tardait à venir lui assouvir ses besoins.
Elle sentit que Florient n'était plus loin du plaisir, elle remonta prestement et lui murmura un "prends-moi !"
Il ne se fit pas prier, la soulevant par les cuisses, il la plaqua doucement contre le mur et entra en elle aussi facilement qu'une lettre à la poste. Cela ne lui prit qu'une poignée de seconde de va-et-vient dans le ventre de sa jeune femme pour se vider les couilles à grands jets de sperme. Janice se frotta à lui encore quelques mouvements pour jouir à son tour.
Enfin, repus et fatigués, ils purent se nettoyer à tour de rôle et enfiler les peignoirs de l'hôtel.
***
Saraï retrouva Krit dans une des chambres désaffectée demandant trop de travaux et donc un coût trop important par rapport aux revenus de l'hôtel pour être rénovée.
A peine la porte refermée que Krit se jeta sur la petite et mignonne Saraï pour l'embrasser.
Après ce baiser fougueux, Saraï le repoussa.
- Je doute que cela soit moi qui t'ai mis dans cet état, ne me dit pas que tu... La blonde ?
Tu as encore espionné les clients ? Merde, Krit, tu vas te faire virer à force !
- Elle est trop bonne ! S'emporta-t-il alors qu'il avait devant lui son amante de passage.
- Et je suis quoi moi ? Un défouloir pour tes couilles pleines ! Krit, tu as déjà failli te faire choper avec les allemands la dernière fois.
- Désolé, je suis désolé. Mais tu étais si en colère contre elle que je voulais savoir à quoi elle ressemblait.
- Et Melle blondasse a tout ce qu'il faut où il faut je suppose ?
- Tu me croirais pas mais à peine arrivé, ils se sont jetés dans la salle de bain pour...
- Attends, en plus tu les as vu le faire ?
- Elle est grande, belle, avec une de ses paires de lolos et elle l'a pompé je ne te raconte pas comment !
- Krit ! Et... il est comment lui ?
- Ah, ah ! Je savais que cela t'intéresserait.
- Même pas.
- Il est pas vilain, un peu comme ces mecs sur les magazines, un style surfeur tout en muscle.
Rasaï lui sourit
- Et sa queue ?
- Pas mal, mais pas aussi belle que la mienne.
- Et ensuite ?
Krit colla Rasaï contre le mur et commença à la déshabiller en lui racontant les ébats du jeune couple.
La jeune asiatique se retrouva bientôt nue et en levrette, la bouche de son amant lui titillant l'anus.
- Attention, j'ai mes règles !
Rasaï frémit lorsqu'elle sentit la langue de Krit assouplir son petit trou. Sa tête reposant sur ses bras, son petit cul en l'air, ses petits seins aux tétons marrons pointus, elle frétillait des fesses sous les caresses expertes de Krit. Si elle n'avait jamais eu froid aux yeux devant un sexe d'homme, Krit était son alter ego masculin et ne se privait pas dès que l'occasion se présentait.
Mais il jouait avec le feu avec les touristes. La dernière fois, il avait reluqué la mère de famille mais aussi l'adolescente de passage en vacances à l'hôtel. Le père avait eu des soupçons mais sans preuve. Il y eu limite un scandale et c'était Rasaï qui avait dû les calmer à coup de petits bonus et de grands sourires.
- Ahhhh, sauvage ! Gémit Rasaï lorsque Krit poussa sa queue dans le cul de la jeune femme.
- Tu aimes ça, arrête !
- C'est la dernière fois, promis ?
- Oui, oui t'inquiète, j'adore ton cul, il n'y en a pas un autre comme le tiens !
- Vas-y, fais comme si j'étais pas là...
Krit pour se venger poussa à fond son membre dans les intestins de l'asiatique qui n'en demandait pas tant.
- C'est la blondasse qui t'a excité comme ça ?
- Il n'y a pas que son cul que je prendrais si je pouvais
- Arrêtes tes conneries, tu vas bientôt te marier
- Si Malee est aussi coincée du cul qu'elle l'est en vrai, je vais être rapidement frustré
- Tu en sais quoi ? Au moins elle doit être encore vierge
- Pas difficile, 20 ans sans jamais avoir eu de petit ami...
- Ahhhh, continu...
Krit sodomisait maintenant Rasaï à grands coups de queue. Il tenait ses petites hanches entre ses mains et y allait à bon train.
- J'espère que je pourrai avoir son cul aussi
- Elle va en prendre plein les fesses, mais vas-y doucement sinon tu vas lui faire peur
- Pas comme toi !
- Goujat, mais ahhhh !
Krit la limait maintenant doucement, ressortant entièrement pour mieux s'engouffrer dans l'anus ouvert qui n'avait même pas le temps de se refermer. Rasaï avait toujours aimé ça. Déjà ado, lorsqu'elle se masturbait, elle avait découvert que se doigter là lui procurait des sensations fantastiques. Il ne lui avait pas fallu longtemps, après ses premiers rapports, pour préférer l'amour anal au reste, même si une bonne baise n'était pas mal non plus.
Finalement, le bel asiatique se planta jusqu'à la garde et éjacula à plusieurs reprises tout en reprenant son souffle. Rasaï jouit presque au même moment, poussant son cul vers son amant de passage pour encore mieux sentir ce mandrin en elle.
- Tu vas me manquer, lança Krit en se rajustant
- C'est surtout mon cul qui va te manquer. Mais désormais c'est niet, tu n'as plus le droit ! Réserves-toi pour ta belle...
Il se rapprocha d'elle et l'embrassa
- C'est avec toi que j'aurai du me marier
- Tu parles, infidèles comme tu es
- Tu peux parler !
- Justement, je tiens à ma liberté, mentis-elle, car elle en pinçait pour Krit, je suis une femme moderne et puis faut bien que je bosse, il y a ma mère et mes deux soeurs à entretenir
- Attention, le directeur t'aura pas toujours à la bonne
- Tu sais, tant que je le suce il me laissera à ma place
- Il y aura toujours plus mignonne que toi
- T'inquiète, j'en fais mon affaire, et puis je suis la seule qui sait comment son logiciel fonctionne, je suis la seule à avoir fait un peu d'étude ici.
- Tu parles pour moi ?
- Non, en général. Comment veux-tu qu'une fille s'en sorte ici, dès que tu passes la porte on a l'impression de revenir un demi siècle en arrière. Je ne compte pas rester toute ma vie dans cet hôtel.
- Ah parce que tu as des projets maintenant ? Et ta famille ?
- Justement, peut-être qu'un jour un des étrangers tombera amoureux de moi et m'embarquera dans ses bagages. Et puis ma famille, c'est aussi au tour de mes soeurs d'assumer un peu, je ne vais pas les entretenir jusqu'à leur mariage !
- Et ta mère, ça va mieux ?
- Elle remonte doucement la pente, depuis le décès de mon père elle est devenue fragile.
- Elle a retrouvé du boulot ?
- Je la pistonne pour la blanchisserie de l'hôtel, mais ça me gaverait de la rencontrer tous les jours ici
- Tu parles, tu ne serais plus aussi libre de tes mouvements
- Allez houst, assez parlé de moi, va retrouver ta belle, branle toi en pensant à ta nuit de noces et laisses moi en paix.
***
Nettoyés de près et repu, mais toujours aussi fatigués, Florient et Janice en tenue de plage, short de bain pour monsieur et bikini très osé pour madame, les deux tourtereaux, leurs serviettes de plage et un cabas avec crème solaire et cie, s'installèrent sur les transats sous les palmiers, à deux mètres de la mer qui se dandinait tranquillement sur le sable fin. Curieusement, ils étaient les seuls sur la plage.
- Il n'y a pas grand monde, déclara Florient
- Vu le coin paumé, cela se comprend. Au moins on aura la paix
A ces mots Krit arriva vers eux un carnet à la main
- Bonjour messieurs dames, je m'appelle Krit et je suis de service sur la place aujourd'hui. Est-ce que tout s'est bien passé jusqu'à maintenant ?
Janice lui sourit tout en ajustant son chapeau de paille, s'étirant presque sur le transat qu'elle venait d'occuper. Elle avait encore en tête la douche qu'ils venaient de prendre
- Oui, tout est parfait, c'est vraiment un cadre idyllique !
- Merci madame, si vous avez besoin de quelque chose, je peux prendre les commandes
Florient regarda sa jeune femme, leur budget était serré. Kris comprit tout de suite, ce n'était pas la première fois qu'il était témoin de ce genre de scène.
- Si vous avez opté pour l'option all inclusive, vous pouvez commander ce que vous voulez, sauf les alcools forts et certains crustacés.
- Euh, je ne sais plus, tout c'est passé si vite, répondit Florient, on a profité d'une offre de dernière minute et sommes partis dans la foulée
- Ah je vois, je peux aller vérifier si vous voulez ?
- Oui cela serait gentil
Krit les quitta sans s'être rincé l'oeil facilement, avec ses lunettes noires et sa casquette de l'hôtel, impossible qu'ils aient pu remarquer son manège.
- Si on doit payer les consommations, ça va nous ruiner, annonça Janice
- Attendons de voir, sinon on se limitera à l'eau
En attendant le retour du groom de service, Florient étala généreusement la crème solaire sur le corps de Janice, sans oublier de laisser trainer ses mains sur ses formes désirables.
- Vicieux ! Et arrête, tu me chatouilles !
- Tu es si désirable
- Et surtout fatiguée, donc laisse moi un peu tranquille
Krit revint sur cet entrefait avec des papiers en main
- Me revoilà. J'ai imprimé votre contrat et vous avez de la chance, vous avez bien souscrit à l'offre all inclusive, regardez, c'est inscrit ici.
Florient détailla les feuillets, il retrouvait l'offre souscrite en ligne à l'arrache et oui, par chance ou par volonté d'avoir des clients, ils avaient un panel d'options offertes.
- Trop génial, et en plus nous avons deux excursions dont une en voilier ! Nous avons vraiment de la chance
Krit leur sourit
- En effet, et en plus vous aurez presque l'hôtel pour vous tout seul, la saison vient juste de commencer, le plus gros des touristes va arriver d'ici 8 jours.
- Cela fait un peu vide tout de même, rétorqua Janice
- Il peut en arriver à tout moment, vous n'êtes sûrement pas les seuls à profiter de nos offres de dernières minutes
- Ce n'est pas faux, enfin, pour le moment je suis trop fatigué pour réfléchir, que peut-on commander alors ?
- Toutes les eaux, les softs, les alcools légers, les cocktails, les jus de fruit, etc.
- Il y a manger aussi ? Demanda Florient
- A cette heure-ci, seulement des snacks, du sucré et toutes sortes de glaces.
Une fois leur commande passée, le couple profita de la vue. Deux barques du pays flottaient doucement à quelques brasses d'eux, donnant un aspect typique et sympathique. Le soleil frappait fort et le temps que Krit revienne, Florient dormait à point fermé.
- Monsieur est fatigué, plaisanta Krit
- Le voyage fut assez long et je ne suis pas loin de finir comme lui
- Je pose vos consommations, n'hésitez pas si vous avez besoin de quelque chose, je suis dans les parages
- Merci, répondit Janice, charmé de la politesse du jeune et joli asiatique.
Dans son genre, il n'était pas mal non plus, bien taillé, un sourire éclatant, poli et surtout à leur écoute. Elle fouilla dans son sac et lui présenta un billet local, ce n'était pas grand chose mais l'attention plut à Krit.
- Merci beaucoup madame, et si je peux me permettre, monsieur à de la chance, vous êtes une belle femme.
Janice rougit, cela lui arrivait rarement, mais le ton, le sourire et un je ne sais quoi de sauvage chez Krit la mit en émoi.
- Merci lança-t-elle en évitant son regard.
Krit admira ses formes, son mini deux pièce laissait largement à voir et il était facile d'imaginer le reste, surtout que Krit c'était largement rincer l'oeil quelques temps avant. S'il ne s'était pas vidé les couilles à l'instant, il aurait risqué d'avoir la trique, comme quoi il était préférable de se soulager lorsqu'on le pouvait. Si l'hôtel était beau de l'extérieur, il n'était pas de première jeunesse et dans certaines chambres, comme celle du jeune couple, Krit et ses prédécesseurs, avaient profité du mauvais état des murs, pour s'octroyer quelques points de vue très intéressants. Et comme leur chambre était la dernière de la rangée, Krit pouvait se cacher entre la végétation et le mur du fond, retirer un cache et discrètement se rincer l'oeil.
Florient ronflait à côté d'elle maintenant et après s'être restaurée, Janice décida d'en faire autant. Elle repensa au compliment du jeune asiatique, et cela la troubla plus qu'elle ne l'aurait pensé. Finalement, elle finit par s'assoupir aussi.
Une demi-heure plus tard, Krit revint chercher le plateau, avisant le couple endormi, il prit son temps pour détailler le corps de Janice. La toucher serait dangereux, même s'il en avait une envie folle. Dans le coin, il était rare de trouver une paire de seins pareils, en plus Janice était grande avec des jambes de rêve, si seulement il pouvait la toucher.
Prenant sur lui, il repartit d'où il était venu des pensées malsaines en tête. Comme l'avait sermonné Rasaï, il devait absolument les laisser tranquille car sinon le pire pourrait arriver. Un scandale ferait tâche et son mariage tomberait à l'eau. Il avait une certaine attirance pour sa fiancée, ils se connaissaient depuis longtemps, lui avait un emploi stable avec possibilité de monter en grade, et elle sa famille possédait deux magasins dans la ville d'à côté, trouver aussi bon parti n'était pas facile face au chômage grandissant dans cette péninsule.
Mais sa queue et son esprit ne pensaient qu'au cul ! Rasaï le repoussait maintenant, même s'il était sûr qu'avec de bons arguments il aurait encore droit à son cul ou sa bouche, mais dans le doute, il devrait se contenter de Malee. Une fois déniaisée, elle aimerait peut-être le sexe ? Autant de Rasaï et lui ? Non certes pas, elle était trop rigide pour cela. La faut à sa grand-mère qui l'abreuvait de règles et autres coutumes des aïeuls, et elle gobait tout cela comme si la vieille n'avait jamais écartée les cuisses de sa vie. Comment aurait-elle eu 5 enfants sinon ? Quelle blague.
Il se pencha néanmoins pour mieux admirer l'entre-jambe de Janice, le maillot string ne cachait pas grand chose et comme elle dormait sur le ventre les jambes écartées, il pouvait voir ses lèvres moulées par le tissu, sans compter cette paire de fesses juste avec un fil tendu qui disparaissait entre les deux. Quelle invitation à la baiser !
Se rendant compte qu'il bandait, Krit se retira à regret frustré, il aurait dû penser à prendre son téléphone.
- Elle est vraiment trop jolie ! S'émerveilla Krit à Rasaï.
Il l'avait retrouvé à la sortie du travail et revenaient ensemble au village attenant.
- Tu l'as encore reluqué ?
- Ils dormaient tous les deux et il n'y avait personne
- Tu es impossible ! Tiens voilà ta fiancée qui arrive au carrefour là-bas
Malee était une fille ni jolie ni moche, pas plus attirante que cela, mais d'une grande gentillesse. Elle était amoureuse de Krit depuis pas mal de temps et lorsqu'il avait répondu à ses attentes, ce fut la femme la plus heureuse du monde. Ses parents auraient préféré un plus beau parti, mais Krit était le seul qui ne soit ni au chômage, ni en emploi sans lendemain. Ils avaient entendu quelques sons de cloche sur lui, c'était un coureur de jupons invétéré par exemple. Mais il avait réussi à montrer sa meilleure partie de lui-même. Seule la grand-mère de Malee le regardait encore d'un mauvais oeil comme si elle lisait en lui comme dans un livre ouvert.
Malee, un panier sous le bras, ne revenait pas à l'encontre spécifiquement de son fiancé mais fut contente de le rencontrer. Elle l'embrassa timidement sur le bout des lèvres. Krit, bon prince lui prit son panier et lui prenant la main plus tendrement qu'il n'aurait voulu l'afficher, ce qui fit sourire Rasaï, tous trois discutèrent bout de gras jusqu'au retour au village. Si Malee savait ce qui c'était passé juste avant, son anus en frétillait encore, la belle asiatique souriait, oui Malee était très gentille, une super amie, mais aussi naïve qu'une enfant de quatre ans. Krit la contenterait sûrement plus que de raison, mais l'inverse par contre cela restait à voir, mais il était hors de question qu'elle s'offre encore à lui une fois marié.
***
Florient se réveilla le premier et trouva sa jolie femme encore endormie. Elle était si désirable... Mais pour le moment il avait faim et soif et comme Krit était reparti avec le plateau il alla prendre une consommation au bar.
Il n'y avait vraiment pas grand monde ici, cela faisait vraiment vide, limite angoissant. Derrière le comptoir, une autre asiatique au teint sombre lui servit sa commande, mais elle était loin d'être aussi belle que la jeune fille qui les avait accueillis à l'entrée. Pourquoi sa femme avait-elle fait un tel scandale ? Croyait-elle vraiment qu'il la tromperait avec la première venue ? Et même la tromper tout court ? Après tout, on pouvait regarder le menu sans consommer, non ?
Mais parfois son caractère l'énervait prodigieusement. sa beauté et ses formes, son amour pour lui et ses prestations au lit ne pouvaient pas toujours tout excuser. Il s'imaginait alors avec telle ou telle collègue de travail, ou avec une de leur amie et il devait avouer que parfois, il lui était arrivé de penser à une autre en faisant l'amour ou en se branlant sous la douche. Il n'était pas exempt de défaut mais jusqu'à ce jour il lui était resté fidèle.
Il repensa tout de même à ce joli petit lot, elle devait être sûrement placée là exprès ! Mais ce genre de nana, encore plus dans ce pays aux traditions classiques, devait être hors de portée du premier venu. Il secoua la tête, termina sa boisson et son croque et revint trouver Janice. Elle dormait toujours. Il décida de piquer une tête dans la mer, elle était chaude, cela lui fit du bien.
Le reste de l'après-midi passa rapidement. Le couple d'amoureux avait repris des forces entre la sieste et le dîner dans un des restaurants de l'hôtel. Il devait y avoir qu'une dizaine de personnes au total ici. D'un côté ils avaient accès à tout sans se marcher dessus, de l'autre une certaine inquiétude les taraudait. Cet hôtel était-il vraiment sérieux ?
Forcément la fatigue n'étant plus au rendez-vous, ils décidèrent de se promener une fois la nuit tombée. Seuls, sur la plage, les sandales dans la main comme dans les films, Florient et Janice se tenaient la main en regardant la lune se refléter sur l'eau.
- C'est superbe, même de nuit
- C'est surtout romantique, mais j'ai un peu peur aussi, on est tout seul et il fait nuit
Ils longèrent la plage et dépassèrent l'hôtel. A droite la mer et à gauche les champs, arbres et arbustes remplacèrent rapidement la civilisation.
- J'ai l'impression d'être seule au monde, murmura Janice en regardant autour d'elle
Les lumières de l'hôtel se voyaient encore derrière eux, mais sinon c'était le noir complet et seul la lune leur procurait un semblant de lumière.
- En tout cas on voit bien le ciel, rien à voir avec chez nous
- Cela fout surtout la trouille, rentrons s'il te plait
- Tu as peur ?
Florient se jeta sur Janice qui cria de peur, ils finirent dans le sable par terre à crier, se faire des chatouilles, rire et enfin s'embrasser.
- Je te hais !
- Et tu m'aimes aussi...
Il recommença à l'embrasser et passa sa main sous son t-shirt pour attraper un de ses seins. Elle ne portait rien dessous et tenta de se dégager.
- Arrêtes, on pourrait nous voir !
- Ici ? Sérieuse ? Il y a quelqu'un ? Cria-t-il
- tu fais quoi là ?
- Tu vois, il n'y a personne, et on ne l'a jamais fait la nuit sur le sable...
- Tu es malade !
- Il n'y a personne...
Il murmurait maintenant et sa bouche se colla à celle de Janice. Ses mains repoussèrent le t-shirt au-dessus de ses seins et il se mit à les lécher et sucer ses tétons.
- Je vais être plein de sable, gémit-elle
- On prendra une douche en rentrant
- Tu as réponse à tout...
Florient était surtout pressé de baiser. Pendant que sa bouche dévorait les seins de sa femme, il ouvrit sa braguette et remonté la jupe de Janice. Puis sans attendre, il écarta le fin tissu de sa culotte et trouva le sexe chaud et déjà humide offert à lui. Il s'allongea, pointa son sexe tendu et glissa doucement en elle.
Janice gémit, lui passa les bras et les jambes autour de lui et l'invita clairement à terminer ce qu'il avait commencé.
Les gémissements de la jeune mariée troublèrent la nuit. Elle tentait de se retenir mais ne pouvait laisser échapper des sons sans équivoque. Florient jouait de son instrument comme un pro et la clouait dans le sable à grands coups de bassin.
Soudain un craquement se fit entendre dans le terrain jouxtant la plage, à quelques mètres d'eux.
- C'est quoi ? Demanda Janice avec inquiétude
Florient bien profond en elle, releva son torse et regarda autour d'eux, rien ne bougeait.
- Sûrement un animal, lui répondit-il
- Partons d'ici !
Son ton était sans réplique et Florient sentait la peur et le reproche dans sa voix.
Il se releva la queue toujours tendue et haute, ce qui était ridicule dans cette situation, Janice se rajusta, un autre bruit les fit sursauter, Janice se releva d'un bond et à ce moment un chat sortit des hautes herbes pour filer dans la nuit.
Janice cria et s'accrocha à Florient, quelques secondes plus tard elle se mit à rire.
- Désolé, dit-elle, mais je n'étais pas rassuré. Hum, tu n'es pas convenable mon cher !
Elle lui saisit la queue encore humide de sa cyprine et la lui tordit.
- Aïe !
- Ca c'est pour m'avoir fait peur
- Mais j'ai rien fait
- Si, si, et je suis plein de sable maintenant, c'est malin
Florient ne répondit pas, ce n'était pas la peine. Il remballa sa queue toujours tendue, il était des plus frustré.
De retour dans leur chambre, Janice prit possession de la salle de bain tout de suite, ne le laissant même pas rentrer pour terminer ce qu'ils avaient commencé.
Le jeune marié rongeait son frein sur la terrasse un verre à la main. Le mini-bar était bien rempli et pour une fois il avait pris une boisson, c'était du rhum. Il était pas mal et un fort surtout.
- Je sors faire un tour dans l'hôtel, il y a peut-être des activités du soir, cria-t-il à travers la porte de la salle de bain
- Ok, répondit Janice, à tout à l'heure
Florient fut encore plus frustré, lui qui pensait faire l'amour ce soir ou encore qu'elle le suive. Il sortit par la terrasse et retrouva le chemin de pierre le ramenant vers les restaurants de l'hôtel. A cette heure il était le seul dehors, hormis quelques membres du personnel. C'était encore plus déprimant. Arrivé juste après le déjeuner, il avait dormi presque toute l'après-midi. Le coin était superbe, cela lui plaisait, mais un malaise le tenaillait depuis le dîner. Janice et son fichu caractère. Et il en avait pour une paire d'années avec. Enfin, il ferait avec, après tout il le savait avant de s'engager.
Il commanda une grande pinte de bière locale au comptoir du bar et flâna un peu partout ses pas résonnant sur le carrelage ou les planches en bois. La tête lui tournait, il avait faim, il aurait dû commander quelque chose au bar mais c'était trop tard. Il se retrouvait à nouveau sur le bord de mer à fixer les quelques bateaux en bois flotter sur l'eau sous le clair de lune.
Il regarda l'heure 23h20, Janice devait soit dormir, soit lire à cette heure-ci, peut-être qu'avec un peu de chance, il pourrait retenter de... Non, il la connaissait, impossible ce soir. Tant pis pour lui. Demain serait un autre jour.
Il s'assit sur un transat presque à l'extrémité de la plage réservée à l'hôtel, c'était si calme ici, rien à voir avec le vacarme de la ville. Pourrait-il vivre ici ? Oui et non. En vacances c'était presque une utopie, tant qu'on avait de l'argent, mais pour de vrai, cela devait être autre chose, comme partout. Il n'y avait pas de vrai paradis où se la couler douce, sauf si on était pété de fric.
Il regarda sa chope, il n'aurait pas dû commander autant, mais après-tout, il était en vacances et ne devait rendre de compte à personne. Il lui en restait à peu près la moitié et continua à vider le contenu petit à petit jusqu'à la terminer. Houaaa, il espérait que la bière ne serait pas retenue sur leur compte, car elle n'était pas piquée des vers. Normalement seuls les alcools forts étaient payants.
- Pas envie de dormir clama une voix derrière lui qui le fit sursauter
Il releva la tête, un homme d'une cinquantaine d'années, assez gros, sûrement un résidant comme lui.
- On est arrivé ce midi, mais j'ai dormi toute l'après-midi, donc je n'ai plus envie de dormir, sa voix était pâteuse et il avait du mal à aligner les mots
- Jeune marié ? Demanda l'homme
Florient sentait les effets de l'alcool lui brouiller les sens, il voulut se lever pour être à hauteur de l'homme mais resta en fin de compte sur le transat.
- Oui, marmonna-t-il, ma moitié doit sûrement dormir, et vous ?
- Ohhh, fit-il d'un geste vague, voyage d'affaires, j'investis dans le coin, et l'hôtel offrait des prix donc...
- Ah vous aussi ? Offres de dernière minute pour nous...
Florient ferma les yeux, il était temps de rentrer, avec le rhum avant, le triple bien tassée et le voyage, il ne fallait pas abuser tout compte fait.
L'homme tira une autre chaise longue et s'assit au milieu pour faire face à Florient. Il avait le visage dur mais semblait plutôt sympa.
- Vous n'avez pas l'air en forme
- J'ai peut-être sous-estimé mes forces, brdouilla-t-il en levant la pinte quasi vide
- Je vois ça
- Je vais en chercher une pour moi, ça vous dit ?
- Non, non, je vais rentrer, sinon je vais m'endormir ici
- Allons, allons, il n'est pas tard, en plus c'est gratuit si vous avez la formule all inclusive
Florient réfléchit, après tout...
- OK, mais juste une !
Il y tremperait les lèvres, parlerait un peu puis retournerait à sa chambre, voilà le programme.
Il était presque sur le point de s'endormir lorsque l'homme d'affaires revint avec deux grands verres de bière à la main.
- Merci
Florient trempa effectivement ses lèvres dans sa chope et les deux hommes discutèrent dans la nuit. La bière était bonne, forte surtout et dans la conversation avec l'inconnu, son verre se vida rapidement. Florient se sentait de plus en plus fatigué et ses yeux n'étaient plus en face de ses trous.
Soudain l'homme déclara
- Vous êtes bien musclé
- Je... je fais du sport, répondit le jeune marié la voix rendue pateuse par l'abus d'alcool
- Je devrais aussi, je peux toucher ?
Sans attendre la réponse, se penchant, il posa sa main sur la cuisse de Florient tatant les muscles.
- Et c'est partout comme ça ?
- Oui, je suis entraîneur sportif...
Il rota dans le silence de la plage, sourit puis s'excusa. Il avait à peine la force de prendre son verre et de le terminer. L'alcool lui brûla l'œsophage mais c'était bon.
- Ah bon ! Lança l'homme d'un ton qui se voulait être étonné et fier en même temps
- Et ici ? Demanda l'homme en glissant doucement sa main vers l'entre-jambe de Florient
- Oh, oh...
Une vague de chaleur remonta sur le visage du jeune marié, la main de l'homme se posait ouvertement sur son sexe et il le fixait droit dans les yeux en souriant.
- Je... Ma femme... M'attends... Bredouilla-t-il incapable de se bouger.
Florient était désorienté et sourtout bien bourré. Il posa sa main sur celle de l'homme comme pour... pour quoi d'ailleurs ? Comme si par magie l'autre retirerait sa main ?
- Hum, il y a du matos là-dessous, murmura l'homme gras profitant ouvertement de la situation.
Avec des geste doux et lents, il repoussa la main de Florient, agrippa le rebord du short et le tira vers le bas. Le sexe de celui-ci ni dur ni mou, se profila peu à peu avant d'apparaître entièrement.
- Vous... faites quoi... là ? Interrogea le jeune marié comme si ce n'était pas à lui qu'on venait de baisser la culotte.
Il avait l'étrange impression d'être un spectateur d'une situation et non pas le premier personnage de la scène.
- Que du bien... Laisses toi faire, tu verras...
Ses doigts commencèrent à masser la queue de Florient qui prit du volume. Déjà frustré de n'avoir pas pu éjaculer tout à l'heure, la situation embrasait ses sens, la fatigue et l'alcool abrutissaient sa raison. Il regardait étrangement son sexe prit dans l'étau de la main de l'inconnu. Celui-ci commença à le branler et l'effet fut rapide, il bandait dur.
- C'est bien, c'est bien, murmura l'homme.
- Je dois... y aller... Marmona Florient plus que troublé qu'un mec puisse le faire bander, encore plus un inconnu et pas forcément des plus attirant, enfin de son point de vue
- Pas tout de suite, regarde, ta queue en a envie, elle est douce, longue, et très jolie tu sais
- Ah bon ? Répondit bêtement Florient
L'homme lui massa les couilles d'une main et le branlait de l'autre. Il se pencha pour mieux admirer le sexe tendu puis sans prévenir ouvrit la bouche et goba le gland de Florient.
- Ohhhh ! Lança celui-ci lorsque son sexe disparu entre les lèvres du gros bonhomme. Il sentit aussitôt sa chaleur buccale et humide, ainsi qu'une langue jouer avec son méat.
Il serra les points, putain jamais Janice ne lui avait donné ce genre de sensation et pourtant elle le suçait bien.
L'homme se releva et s'adressa à lui
- Tu as très bon goût
- Mer... merci, bredouilla Florient complètement abasourdi par la situation
- Tu n'as jamais été sucé par un mec ?
- Euh, non, avoua-t-il presque penaud...
- Cela se voit à ta réaction
- Tant que ça ?
L'échange était comique, l'homme le caressait toujours tout en discutant sexe avec lui, comme si tout cela était plus que normal. Florient fut fort aise lorsqu'il se remit à le sucer. Il ne se limita plus à son gland, lâchant son sexe pour lui caresser le ventre et remonter son t-shirt bien haut. Il lui faisait une putain de fellation comme jamais il en avait connu. Florient serra les poings et ne pouvait cesser de regarder la bouche de l'homme glisser sur son pieux, le sucer, le titiller du bout de la langue, de le reprendre en bouche puis l'aspirer.
- Tu aimes, demanda l'autre se relevant, la bite de Florient droite comme un i luisante de salive.
- C'est... autre chose.. murmura-t-il à défaut d'avouer que oui.
C'était putain de bon ! Mais que lui arrivait-il ? Un mec était en train de le sucer et lui ne réagissait pas ? Comme si tout cela était normal...
Encore une fois, il avait l'impression étrange de ne pas être dans son corps, de flotter un peu à l'écart, les paupières lourdes de fatigue, son corps réclamant le sommeil et ses sens engourdis par l'alcool.
- Ton corps est splendide, ta peau si douce, tes muscles si fermes...
Il déposa un baiser sur son ventre, puis son nombril, jouant dessus avec sa langue, puis repoussant encore le t-shirt, massa ses pectoraux et lui lécha ses petits tétons dressés.
Jamais Janice ne lui avait fait cela et le jeune marié suffoquait presque de ces nouvelles sensations. Lorsque les mains douces de l'homme tirèrent plus haut le t-shirt et lui enleva par la tête..
- Aucune femme ne pourra te faire jouir comme moi, murmura l'inconnu à l'adresse de Florient
Malgré sa forte carrure, ses caresses étaient douces et expertes. Soudain l'homme le laissa pour se relever difficilement, vu son poids il ne devait pas faire de marathon. Il ne relâcha pas le regard du jeune marié en débouclant sa ceinture, ouvrant sa braguette et sortir son sexe bien raide sous une belle toison de poils noirs.
Florient ne comprenait plus bien là. Pourquoi l'autre sortait-il son sexe ?
Toujours avec lenteur, l'homme lui prit sa main et la posa dessus.
- Tu vois l'effet que tu me fais ?
- Ce... Je... ne savais pas que...
- Tu es si beau, si doux, si désirable.
L'inconnu lui caressait la joue et il lui fit tourner doucement la tête sur le côté
- A toi maintenant
- De quoi ? Demanda Florient confus.
L'homme avança son bassin vers le visage du jeune marié, il ne parla pas, sa queue moins longue que celle de Florient était pas contre plus épaisse et nervurée avec un gland plus foncé.
Florient sentit l'odeur de l'homme et cela le frappa plus que de voir se sexe grossir dans son champ de vision. C'était une odeur musquée, puissante, une odeur d'homme.
- Ouvre la bouche.
La voix était délicate, avec un soupçon de tendresse, sans ordre ni menace.
Le gland se posa sur les lèvres entre ouvertes du jeune marié qui s'ouvrirent sous la poussée. L'homme lui caressait toujours la joue, puis les cheveux, son gland épais passant les lèvres lassives et se posa sur la langue du jeune homme.
- C'est bien, très bien, laisses-toi faire maintenant...
Et Florient se laissa faire tellement sidéré par ce qui se passait qu'il n'osa même pas repousser l'homme.
Il sentait le poids sur sa langue, la grosseur du sexe dans sa bouche, l'odeur sous son nez, la main chaude qui le caressait. Il saliva automatiquement et sentit un mouvement vers l'avant, le sexe entra un peu plus, puis vers l'arrière, il s'arrêta à la limite de ses lèvres, un autre coup en avant, puis en arrière. Il sentait et voyait en même temps la bite s'introduire de plus en plus loin dans sa bouche, repartir puis revenir, glisser entre ses lèvres en suivant les mouvements de bassin de l'inconnu, mais toujours délicatement et avec douceur.
- Excellent, le félicita l'homme, maintenant à toi, tu sais ce qu'il faut faire, n'est-ce pas ?
Florient prit le sexe de l'inconnu entre ses doigts, il releva ses yeux et rencontra ceux de l'homme au milieu de se visage à la fois dur et tendre. Cette impression de bouche pleine était nouvelle pour lui, il adorait se faire sucer, mais c'était comme si à son tour il pouvait rendre toutes les sensations qui avait connu lorsque sa femme le prenait en bouche.
Il se mit alors doucement à faire glisser la bite entre ses lèvres. Etrangement, ce sexe dans sa bouche ne l'effrayait plus maintenant. Il était épais mais court, les poils pubien lui picotait les narines lorsqu'il l'engloutissait le plus loin possible.
- Je suis fier de toi, tu es si appliqué...
Florient était fier des paroles de l'homme, ainsi ses caresses étaient bien ?Comment pouvait-il penser cela ? Mais sur le coup, c'était ce qu'il ressentait.
- Tu n'as vraiment jamais fait ça? Le questionna-t-il
- Non, répondit le jeune marié en recrachant la bite.
- Pourtant j'ai l'impression que tu aimes, tu es si doué
Florient lui sourit tout content des compliments.
- Je me demande si...
- Si quoi ?
- Non, rien, cela serait trop pour ce soir...
- De quoi... répondit Florient piqué au vif de la remarque de l'homme, les joues en feu, le gout de la bite de l'homme toujours dans sa bouche, son esprit complètement déconnecté de la réalité
- Non, n'insiste pas. De toutes manières, tu ne voudras pas, après tout, tu n'as jamais rien fait avec un homme... Tu n'y arriveras pas, j'en suis sur.
Florient toujours tourné vers lui, tenant le sexe dans sa main à quelques millimètres de ses lèvres, les yeux brillants de folie sexuelle, de fatigue et d'alcool, lui répondit d'une voix mal assurée
- Qui vous dit... que je ne serais pas... capable ?
Il le repris son sexe dans sa bouche par défit tout en le regardant droit dans les yeux.
- Hum... Peut-être alors... Après-tout, tu ne le regrettera peut-être pas
Il lui sourit, le caressa toujours et retira sa bite de la bouche d'un Florient incapable de réfléchir correctement.
Il faisait sombre sur la plage, quasi nuit noire si ce n'est les dernières lumières de l'hôtel derrière eux et la lune dans le ciel. Le gros homme se débarrassa de sa chemise XXL et de son pantalon. Sa grosse carrure nu se découpa dans la nuit, seulement visible de Florient, le reste du monde autour d'eux devaient soit dormir, soit travailler.
Le gros inconnu caressa le jeune marié dans le sens inverse jusqu'à reprendre sa bite en main et la sucer une nouvelle fois pendant qu'il lui retirait son short et son boxer.
- Tu es sur ? Redemanda-t-il en faisant tourner ses burnes entre ses gros doigts.
- Je... Vous... Allez faire quoi ? Demanda-t-il soudain craintif.
- Rassures-toi, que du bien, as-tu eu mal jusqu'à présent ?
- Non...
- As-tu aimé ? Demanda le gros homme en caressant doucement le sexe humide de salive de Florient
- Oui, avoua-t-il d'une voix sourde
- Donc tu n'as rien à t'inquiéter, pour le reste aussi tu aimerais...
- A ce point ?
- Oh et bien plus encore, tu n'as pas idée de ce que je vais te faire découvrir, jamais tu n'as pu sentit cela avant...
Florient restait dubitatif, nu, la bite dressée, il regardait l'homme au bout du transat son sexe aussi en érection, il n'était pas bête, une partie de son cerveau pensait savoir ce que l'autre voulait...
- Mais je comprendrais que tu ne veuilles pas, après tout, tu es marié.
L'homme n'était pas brusque du tout, au contraire, la confiance qu'il dégageait était contagieuse, même si gros et gras comme ça, il n'était pas du tout attirant, jusqu'à maintenant il ne l'avait pas forcé et les sensations qu'il avait eu était pour le moins inédites et vraiment très bonnes. A aucun moment il ne lui était venu à l'esprit, par contre, que oui il était marié et qu'il venait de faire une fellation à un homme !
Le gros s'assit au bout du transat, caressant les jambes de Florient
- Retournes-toi s'il te plait
La voix était à peine audible presque suppliante. Florient fut parcouru d'un frisson, l'image de lui à l'envers lui traversa l'esprit, avec tout ce qui pouvait se passer ensuite.
La main remonta sur le genoux, puis la cuisse, l'inconnu le caressait attendant patiemment.
Finalement, Florient se tourna avec difficulté sur le côté, puis le ventre, la chaise longue craquait sous ses mouvements. Il sentit la main de l'homme flattait ses muscles des chevilles, des doigts glissèrent dans le creux du genoux et il fut parcouru de frissons. L'homme se releva et se mit sur le côté du transat, sans un mot, prenant les hanches du jeune marié entre ses doigts, il l'invita à relever son cul jusqu'à ce qu'il pointe vers le ciel.
Les tempes de Florient bourdonnaient, il avait placé ses bras sous son menton et son visage, de côté, fixait le noir de la nuit. Sa bite n'avait pas débandée et il attendait la suite avec une appréhension sourde mêlée de crainte. Une barre lui broyait son cerveau, un relent d'alcool remonta dans sa bouche, il lâcha un rot silencieux inquiet qu'il puisse être entendu par l'homme d'affaires.
Celui-ci se plaça derrière lui toujours en le caressant, la nuque, puis le dos, les hanches, les cuisses, puis enfin les fesses.
Florient frémit à ce contact, un instinct animal lui dictait de prendre la poudre d'escampette. Mais il ne bougea pas d'un pouce, sa conscience embrumée, et surtout enfermée à double tour. Au point où il en était un peu plus ou un peu moins pensa-t-il. Et puis il était curieux, l'autre lui avait promit quelque chose de si formidable.
Il n'aurait jamais pensé la même chose à jeun, en pleine journée en compagnie de sa femme.
Sa femme ! Merde, Janice !
Il sentit le transat craquer et s'enfoncer dans le sable derrière lui sous le poids de l'homme. Des mains écartèrent doucement ses fesses et quelque chose de doux, pointu et humide se glissa là où jamais il n'aurait penser trouver une langue.
Janice ! Il devait penser à elle. Il ferma les yeux, se concentra, son visage, sa voix, ses seins, son corps. Il était marié à elle. C'était quoi cette sensation ? Son anus se rétractait sous les coups de langue, et cette main qui le branlait pas dessous. Non, non, il pensait à quoi ? Janice, oui voilà. Merde, il avait vraiment trop bu. Le rhum puis les deux bières et le seconde, maintenant qu'il y pensait, elle était vraiment forte.
Il avait dit quoi l'inconnu ? Il ne serait pas cap ? Lui pas cap ? Il avait su relever tous les défis de sa vie, se surmonter dans le sport, avait réussit à braver la famille de Janice et se marier avec et maintenant... Ahhh, c'était quoi ça ? Son souffle s'accélérait, son coeur jouait de la samba dans sa cage thoracique.
La langue le titillait, c'était chaud, humide
Puis ça... C'était quoi ? Quelque chose poussait sur son trou.
Il sentait le souffle de l'homme sur sa peau, ses fesses ou sa cuisse. Il avait arrêté de le branler, il l'entendit bouger derrière lui.
Florient ouvrit les yeux en grands sentant quelque chose s'enfonçait un peu en lui, ce n'était pas large, pas trop en tout cas, cela se retira, puis revint, plus humide, cela s'enfonçait à l'inverse du sens normal.
Le gros hommes tenait Florient d'une main et de l'autre poussait un majeur sur sa rosette ramollie par sa salive. Il tentait de rester le plus doux possible. C'était sa signature. Lorsqu'il avait rencontré ce jeune marié il n'avait pas pensé tout de suite à en arriver là. C'est en allant chercher les bières, et si... Et si ce bel étalon répondrait à ses attentes ?
Il était plus plein qu'il ne l'avait pensé au début, il eu un peu honte au début, mais l'attirance qu'il avait pour cet Appolon avait réduit ses remontrances intérieures au silence. Après tout ils étaient majeurs tous les deux, et si l'autre ne voulait pas, ils en seraient restés là.
Mais jamais il n'aurait pensé que ce jeune marié se laisse faire jusqu'à lui donner son cul de puceau ! Déjà lorsque sa queue avait passé sa bouche, il avait failli éjaculer tout de suite. Sa femme devait sûrement l'attendre dans son lit conjugale, et lui faisait quoi ? Il se bourrait la gueule au clair de lune... Et il allait se faire bourrer autrement maintenant. Peut-être s'était-il disputé ? Enfin, il n'en avait cure, pour le moment il fixait son doigt aller et venir doucement d'une phalange ou deux, grâce à sa salive, entre les fesses musclées du jeune marié. Il mouilla encore et encore son doigt le poussant toujours plus loin dans le cul vierge.
Florient venait de passer une nouvelle étape d'acceptation. Après la langue, il se sentait fouiller de l'intérieur. Le doigt coulissait maintenant entre ses fesses avec lenteur, mais de toute sa longueur, se repliait, le toucher dedans, tournait, ressortait puis recommençait.
Une onde de chaleur pulsait dans son ventre, l'autre lui lécha à nouveau l'anus, salivant encore plus dessus. Il savait ce qui allait suivre, il n'était pas bête. Alors pourquoi se laissait-il faire ?
Les doigts de l'homme étaient épais, lorsqu'il en poussa deux dans l'anus de Florient, celui-ci gémit et serra les poings, l'inconnu le fixa, attendit, guettant une réaction, puis les enfonça plus loin. Etape par étape, il réussit à les faire coulisser, crachant régulièrement sur le trou qui s'assouplissait de plus en plus.
Il est prêt, pensa-t-il.
Il va le faire, pensa Florient au même moment.
La poussée ne fut pas la même qu'avec le ou les doigts, le jeune mariée reprit presque tous ses sens, il ouvrit encore plus grand les yeux, serra les dents, l'homme d'affaires derrière lui était passé aux choses sérieuses, il jeta un bras derrière comme un ressort pour trouver le gros ventre de l'homme contre ses fesses, il glissa ses doigts plus bas et rencontra une tige de chair épaisse logée dans sa raie.
L'inconnu fut surpris par la réaction de Florient, il eu peur tout à coup qu'il se refuse, son gland écartait l'anus du puceau, il poussa et le gland aidé par les préparatifs, écarta la rosette gluante de salive puis s'insinua doucement entre les fesses du puceau.
Florient laissa échapper un petit cri de surprise, un peu de douleur, mais surtout par le fait qu'il le savait mais n'avait rien fait pour empêcher cela.
L'inconnu dont la patience s'émoussait, poussa encore plus loin, ce n'était pas le moment de perdre sa proie.
Le jeune mariée se sentit vidé de ses forces, une douleur sourde fusa depuis son cul lorsque la bite s'insinua , et celle de l'inconnu était grosse, épaisse, elle entrait en lui, il... Il cherchait son souffle. Cela entrait encore et... sortait ? Un petit mouvement en arrière, pas grand chose, puis un autre en avant. Deux mains puissantes le tenaient pas les hanches, son bras retomba sur le côté et il le replaça devant lui. Il avait mal, c'était gros, trop gros.
- gggnnnnn, grogna-t-il
L'autre le caressa
- C'est dur au début, surtout la première fois, soit patient, tu verras tu vas aimer.
Florient de toutes manières n'avait que deux options, le croire ou s'enfuir, trop tard pour le seconde et dans son état...
- vous... êtes en moi ? Demande bêtement le jeune marié comme pour combler l'évidence de la situation
- Oui je t'encule petit puceau, tu es si serré, si doux, si chaud dedans, c'est divin, tu es vraiment sensationnel !
Pour le moment Florient se sentait surtout rempli. Mais les mots de l'homme le flattait, ainsi il était désirable, doux, beau, chaud... Il... il se faisait enculer ? Non, c'était impossible. Mais cette sensation, sa position, l'autre derrière lui et lui si plein.
Alors c'était ça dont il parlait tout à l'heure ? Alors c'était ça que ressentait une femme lorsqu'il faisait l'amour avec elle ? Une femme ? Janice ! Sa femme, merde, Janice.
- Ah... ma femme, je dois aller, ahhhh...
Réplique grotesque. Le jeune marié avait offert son cul au premier inconnu et il plaidait cette excuse bidon pour fuir la réalité.
Plus il sodomisait le jeune marié, plus sa bite glissait allégrement. Il n'y croyait pas, il venait de dépuceler un mec qui venait d'arriver pour sa lune de miel !
- Imagine ce que ta femme peut ressentir lorsque tu lui fourre ta bite dedans, ajouta-t-il en se penchant sans savoir que Florient venait d'y penser
- Je dois... Je dois...
- Attends, je vais te montrer
Il se redressa et poussa son bassin le plus possible en avant et tirant la croupe de Florient le plus en arrière, son sexe s'enfonça complètement dans le cul de celui-ci jusqu'à sentir ses couilles cogner celles du jeune marié.
- Ahhhhhhh, gémit-il, c'est gros !
- Te plains pas, j'aurai pu en avoir une plus longue encore, tu verras ça va être bon !
L'homme d'affaire se mit alors à sodomiser Florient à grands coups de rein, il avait abandonné ses manières douces et lentes pour se défouler dans le petit cul qu'il venait de déflorer. Sa respiration s'accéléra aussi, il écartait les fesses pour mieux voir son pieu glisser dans la rosette tendue qui lui comprimait la queue.
Florient n'avait jamais rien sentit de pareil, si au début ce fut douloureux et gênant, maintenant de sentir de truc, ce mandrin, cette bite le fouiller encore et encore, c'était complètement autre chose. La chaise longue craquait sous les mouvements du coït, les mains de l'homme le caressait, sa queue le possédait, il se penchait pour l'embrasser dans le cou ou dans le creux de l'oreille, lui procurant des frissons.
- Ca va mieux on dirait, lui susurra-t-il dans le cou
Florient grogna dans un état second
- Tu aimes ?
- Non.. Je ne... sais pas, souffla Florient
- J'y suis presque....
- Ahhhh, gémit Florient donc le cul commençait à chauffer, la fournaise remontant de ses entrailles jusqu'à son ventre son la bite toujours droite était secouée à chaque mouvement
L'inconnu se releva et profita encore de aller et retour dans le fondement du jeune marié avant d'éjaculer tout en soufflant comme un boeuf.
Florient sentit les jets chauds se rependre en lui, puis la queue quitter son cul, il sentit tout de suite comme un manque et son anus se referma sur le vide. Il ne bougea pas, respirant à fond, le coeur battant, l'esprit on ne peut plus clair maintenant. Il venait de tromper sa femme pour la première fois, et avec un homme !
L'inconnu quitta le transat, c'était divin pensa-t-il, la vue de la croupe offerte lui redonner envie. Sa queue se ramollissait et ses goutes de sperme s'écrasaient dans le sable. Il se secoua et caressa Florient à nouveau.
- Merci, dit-il tout simplement
Florient tourna sa tête vers lui, il se détendit honteux , évitant le regard de l'inconnu, et se rassit au bord du transat face à l'autre, cherchant son t-shirt pour cacher sa bite étrangement encore tendue et inassouvie, comme si une pudeur venait de réapparaitre en lui.
L'inconnu pris place sur le transat en face de lui et repoussa le tissu, prenant son sexe entre ses doigts boudinés.
Florient ne comprenait pas mais ce laissa faire
- Tu n'as pas fini, murmura l'autre
Il se mit alors à le branler, Florient écarte ses jambes, fixant sa queue tenue par la main épaisse qui glissait dessus de haut en bas. Il ne fallut pas longtemps pour que les jets blanchâtres quittèrent le méat de Florent pour faire de jolies paraboles de plus en plus petites vers le sable entre ses jambes.
- Ca va ? Demande l'inconnu
Florient le fixa
- Non, avoua-t-il tremblant... je ne me sens pas bien...
Il avait mal au coeur, sa tête lui tournait et la révélation de ce qu'il venait de faire lui rongeait déjà l'estomac
L'homme lui caressa la joue et contre toute attente, avança son visage et posa ses lèvres sur les siennes. Florient eu un geste de recul, il avait accepté de faire enculer, mais là, c'était réservé à sa femme
- Désolé, murmura l'homme en le lâchant
- Non, c'est moi, je... Ce n'est pas dans mes... habitudes... vous n'auriez pas du...
Il se prit la tête entre les mains, une envie de vomir montait dans sa gorge
- Il ne faut pas avoir honte, ce sont les choses de la vie
- Je n'ai jamais trompé... ma femme, se plaignit Florient les yeux brillants à la limite de pleurer comme un enfant
- Voyons les choses autrement, est-ce que ça compte avec un homme ?
- Oui, non... je ne sais pas... Partez s'il vous plait
L'homme se releva et commença à se rhabiller
- Dans tous les cas, tu as été un partenaire divin, je suis ici pour une quinzaine, si cela te dit...
- Vous ne pensez pas que... je vais refaire ça ? S'emporta Florient conscient de plus en plus de ce qu'il venait de faire, surtout que son postérieur en ressentait encore les effets
- Qui sait ? Le pensais-tu toi ce soir ?
Florient ne répondit pas conscient que les caresses de l'homme avaient éveillées en lui quelque chose qu'il n'aurait pas cru possible. Il se rappelait trop bien sa bite tendue, la chaleur dans son cul et le plaisir de se faire sucer par cet inconnu
- Je dois retrouver... ma femme, marmonna-t-il troublé, honteux et angoissé
Le gros homme boucla sa ceinture, en bon homme de commerce, il tenta une autre approche, après tout si durant son séjour il pouvait travailler et prendre du bon temps...
- Ecoute... J'ai une sorte de flaire pour ce genre de choses, et toi, tu es un sensible, tu possèdes une sorte de résonnance que j'ai rarement vu...
Florient releva la tête et le regarda curieux, son mal de crâne commençait à lui broyer le cerveau.
- Je n'ai jamais rencontré quelqu'un d'aussi réceptif que toi, on aurait dit que tu attendais cela depuis, je ne sais pas, depuis toujours peut-être
- N'importe quoi... grogna Florient dont les mots de l'homme le troublaient quand même.
- Que nenni ! S'exclama l'homme d'affaire, certes tu étais déjà bien rond lorsque je suis arrivé, mais dès que je t'ai touché je l'ai senti et toi aussi ! Tu as frémi, il y a eu comme une sorte de courant, et ensuite, tu étais presque en transe, non ne me coupe pas, repense à tout ce qui c'est passé, tu le voulais autant que moi, tu en avais envies, cela t'a plu j'en suis certain, tout aussi certain qu'avant que tu quitte cette endroit, tu te reviendras me voir...
- Absurde... partez... Se lamenta-t-il.
- Si et je peux te le prouver !
- Comment ? Demanda-t-il interrogateur relevant son visage vers celui qui venait de changer sa vie à jamais
Des fragments d'alcool engourdissant toujours son raisonnement
Le gros homme se mit à genoux devant le jeune marié, il lui caressa à nouveau la cuisse, celui-ci frémit et posa sa main sur la sienne pour le repousser, il perçu comme des frissons, une appréhension, un malaise de se trouver là et d'avoir fait ça. La honte et une sorte d'appréhension se mélangeaient dans son esprit.
- Tu as senti ?
- Senti quoi ? Répondit-il comme un gamin qui n'y comprenait pas vraiment ou ne voulait pas comprendre. Mais quand pourrait-il à nouveau réfléchir convenablement, et ce mal de tête qui le tenaillait
L'homme au visage sévère lui sourit de toutes ses dents, Florient en fut troublé. Il dégageait de lui un telle confiance et une sorte d'attirance perverse.
La main de l'homme remonta vers son entre-jambe
- Je... Je dois y aller... oubliez moi...
Sa voix se cassa, les doigts boudinés frôlèrent sa bite, glissa sur sa cuisse intérieure, passèrent en coup de vent sur ses couilles, puis la mains de l'homme passa plus bas.
- Approches-toi murmura-t-il dans un ton qui se voulait sans concession
Florient trembla et, comme dans un rêve se tint sur le bout des fesses au bord du transat, les jambes écartée, il sentit un doigt glisser entre ses fesses, tâter son anus encore humide de salive et de sperme puis l'homme appuya sur la rosette...
Florient referma les jambes aussitôt, mais l'index était déjà en lui, épais mais pas autant qu'une bite, l'homme avait des doigts comme des saucisses.
- Sensible et réactif, murmura-t-il le bras coincé entre les jambes de Florient
Celui-ci tremblait, les mains sur les genoux, taraudé entre le fait d'ouvrir ses cuisses et libérer l'homme, mais que ferait-il encore ensuite, ou de ne plus bouger et de le sentir toujours en lui...
L'inconnu lui releva le menton.
- Cela te suffit ?
- Pourquoi ? S'affola Florient. J'aime ma femme, j'aime les femmes, je...
- Relâche mon bras...
Le jeune marié obéit, l'homme souffla car il commençait à avoir mal. Puis en guise de punition, il lui branla le cul avec des mouvement vifs de toute la longueur de son index.
- Arrêtez, gémit le jeune marié
Pourtant il laissa ses cuisses ouvertes et au contraire les écartait encore plus pour mieux sentir. Un sourire étrange apparu sur le visage de l'inconnu, il poussa un autre doigt dans le cul offert et encula à nouveau Florient avec gourmandise
- Sensible et réceptif ! Tu aimes cela... Au fond de toi tu aimes cela... Regarde !
En effet, la bite de Florient reprenait du volume. Il se tenait à l'homme sans l'empêcher de le posséder avec ses doigts
- Il ne faut pas... je suis marié, je ne peux pas, ce n'est pas norma... souffla-t-il encore une fois
- Tu reviendras me voir ?
- Non, je ne dois pas..., c'est une erreur... j'aime ma femme... Partez
Mais ses mots étaient creux, il respirait fort, c'était quoi cette chaleur et ses pulsions qui tambourinaient entre ses fesses ?
L'inconnu sentait son sexe grossir, ce petit con l'excitait horriblement. Pourrait-il bander assez pour... Alors qu'il venait de se vider les couilles ?
- Prends cela comme un bonus pendant tes vacances, à ton retour tu retrouveras ta petite vie normale. Et tout cela ne sera que souvenirs, ta femme n'est pas obligé de savoir tu sais.
Et Florient sû qu'il craquerait, sa vie venait de changer du tout au tout, mais pour le moment, le souffle court, appuyé contre l'homme, il ne pouvait quitter des yeux le mouvement des doigts qui le fouillaient sous sa bite en pleine érection à nouveau.
***
Krit revenait de la ville, il était tard mais il n'en avait cure. Il avait passé la soirée avec sa future belle famille, mais cela l'ennuyait, tout ce qu'il voulait lui c'est que le mariage se fasse vite fait, qu'il retourne à ses activités.
Il ne travaillait pas officiellement de nuit, mais avait inventé une excuse pour repartir à l'hôtel. Il aimait marcher la nuit, il avait l'impression d'avoir le monde entre les mains. Une fois sur place, il salua les quelques employés encore restant. Le barman lui demanda s'il pouvait faire un tour à la plage, des clients tardifs étaient venus consommer et depuis personne n'était revenu pour rendre les verres.
Krit accepta, un verre l'attendrait à son retour de toutes manières, donc autant être dans les bonnes grâces du barman de nuit.
Ses pas ne firent aucun bruit lorsqu'il arriva aux abords de la plage, par contre il capta des bruits qu'il connaissait bien, il y avait des gens ici qui baisaient ! Super, ce dit-il, peut-être encore ce jeune couple, il pourrait encore voir la jolie blonde à poil.
Aussi discret que possible, il se fraya un chemin en faisant un détour pour arriver par le côté parmi les plantations qui bordaient la plage. Il trouva rapidement le couple, mais il était encore trop loin. Ah ces touristes qui se croyaient tout permis, s'ils se faisaient prendre, ils pourraient avoir une sacré amende. C'était un coup à jouer ça tiens, à défait de mater de la chair fraîche, il pourrait leur faire peur et leur soutirer de l'argent ?
Il arriva enfin et sans un bruit assez prêt pour mieux prendre sur les faits le couple. Il fut déçu, ce n'était pas le jeune couple mais... Attendez, ce gros homme là il le reconnaissait, il était arrivé au matin, il lui avait même laissé un gros pourboire, très sympa d'ailleurs, un homme d'affaire, et bien il avait vitre trouvé chaussure à son pied, mais avec qui ?
Il changea de point de vue, merde, ce n'était pas une femme ! Se découpant sur le clair de lune, l'homme gras et son partenaire pratiquait leur ébat sur un transat de plage.
En dessous de lui, une bite dure était secouée à chaque fois que l'autre lui fourrait sa sienne dans le cul offert. Putain, une paire de gay, ici dans l'hôtel et à la vue de tout le monde en plus. Ce n'était déjà pas la meilleure idée du monde de faire l'amour en pleine nature, mais en plus des homos ? La police du coin n'aimerait pas du tout, ce genre de pratique n'étant pas toléré ici. Même si dessous le manteau, n'importe qui pouvait faire ce qu'il voulait.
En tout cas il en prenait pour son grade vu comment le gros se déchainait à grands coups de bassin ahanant comme un bucheron.
Il s'approcha de chaise en chaise et de table en table, vu comment ils étaient concentrés il y avait peu de chance qu'ils le remarquent. Allongé entre deux transats à moins de deux mètres du couple, il n'en cru pas ses yeux en reconnaissant l'autre homme, c'était le jeune marié qui était arrivé avec la jolie blonde plantureuse ce midi même. Putain, il se tapait sa femme à midi et se faisait trouer la rondelle à la première occasion ! Jamais il n'avait été témoin de ce genre de chose.
Il écouta la conversation et son esprit n'en cru pas ses oreilles non plus, le mec, il ne l'avait jamais fait avec un homme ! Vu le nombre de verres sur la table, le gros devait sûrement profité de l'état d'ébriété de sa victime pour passer à l'acte. Cette situation l'excitait sans vraiment le vouloir, il n'était pas gay, Mais d'imaginer ce jeune marié en pleine lune de miel et complètement bourré se faire prendre le cul par un inconnu, la situation était plus que cocasse, et lui pourrait parfaitement en profiter ! Outre le fric qu'il pourrait se faire, c'est surtout la blonde qu'il avait en ligne de mire. La seule chose à faire donc, c'était d'avoir quelques preuves. Il sortit son smartphone sous lui, baissant la luminosité au maximum, puis il les filma...
Krit pensait que ce joli couple en avait finit avec leur ébats, mais la discussion qui en découla ainsi que les avoeux respectif finirent tout droit dans son téléphone ! Quel extase, punaise, s'il se débrouillait bien, il pourrait se faire un double mois, non un triple, surtout avec le gros qui semblait être plein aux as ! Du jeune couple par contre il n'espérait pas grand chose, sauf un peu de chair fraîche. A bien y compter, sexe ou fric, autant tabler sur ce qui rapportait le plus.
***
- Savez-vous que ce genre de pratique est interdite par le règlement de l'hôtel ?
La voie qui tonna derrière Florient et le commercial leur glaça les sangs. Le jeune marié serra aussitôt ses cuisses emprisonnant à nouveau le bras de son compagnon de fortune, celui-ci glapit de peur et de douleur, Florient serra son anus sur les deux doigts figés en lui tout en se penchant d'autant plus pour cacher son sexe.
Krit s'avança le téléphone dans sa poche de chemise filmant toujours la scène.
- Oh, oh, mais qu'avons-nous là ?
- Ce n'est pas... Ce que vous... croyez ! Balbutia Florient d'un voix fluette complètement affolé
- Lâche-moi, grogna l'autre à son intention, et... hum... Je suis sûre que nous pouvons trouver un arrangement, déclara le gros homme
- Allons, bon, et je dois croire quoi ? Deux hommes nus s'adonnant à des pratiques douteuses sur la plage publique ? Est-ce grave ? Oui et je pense que la direction de l'hôtel ne va pas être contente du tout, sans compter le scandale et... votre jeune femme aussi, je me trompe ?
Krit souriait de toutes ses dents, il était le loup devant deux brebis et il allait les croquer tout cru !
Florient se liquéfiait sur place, tout allait de mal en pie depuis sa tentative de copulation avec sa femme de l'autre côté de la plage. Fin saoul, il c'était laissé faire par ce pervers repoussant et maintenant ils étaient pris sur le fait pas un des employer de l'hôtel. Il n'en menait pas large et la peur lui broyait le ventre, si sa femme savait, s'en serait terminé de son mariage !
Le commercial tentait d'extirper son bras coincé et de ce fait frottant de ses doigts l'intérieur du cul de Florient qui poussa un autre cri. Leur situation était purement ridicule.
Enfin Florient ouvrit ses cuisses, son cul fils un flop gras presque un pet lorsque les doigts luisant de sperme et se sécrétion sortirent dans un geste brusque.
- Pas très glamour tout ça, ricana Krit le sourire aux lèvres malgrès lui.
Il avait un peu pitié pour ce jeune homme prit au piège, mais en fait, il n'en avait rien à foutre, dans moins de 2 semaines il sortirait de sa vie pour toujours et tant pis si son mariage tombait à l'eau, ce n'était pas son soucis.
Le gros homme se racla la gorge et se leva.
- Je suis... désolé de ce que... vous avez pu être, disons, le témoin. Mais je suis sûr que nous pouvons trouver un arrangement
- Vous tentez de me soudoyer ? C'est cela ?
- Je ne vois pas les choses de cette manière j'appellerai cela un petit pourboire pour un service excellent.
Krit sourit de toutes ses dents, il avait eu tout bon avec lui, par contre l'autre, bien que...
- Et vous, le jeune marié ? Pensez-vous la même chose que votre... partenaire de jeu ?
Florient ne bougeait pas d'un cil, blanc comme un linge, il ne pouvait imaginer les conséquences de ce qu'il vivait en ce moment. Tout son petit monde s'écroulait. Il était à des milliers de kiomètres de chez lui, il venait de coucher avec un homme, il avait trompé sa femme et un des employés de l'hôtel les avaient pris sur le fait !
Le commercial fixait tour à tour l'indigène et son jeune amant.
- Hum... Je pourrais, payer pour lui ?
- C'est une possibilité en effet, mais il vous en serait redevable je pense, non ? Et je n'aime pas les personnes redevables, sauf à moi-même...
- Allons, allons, ne nous énervons pas, nous sommes en adultes après tout.
Le commercial fouilla dans ses poches et sortit des billets de banque. Les yeux de Krit luisèrent d'envie. L'autre capta tout de suite le petit tic sur son visage.
Il fit mine de compter, ajouta un billet puis en fait lui tendit la liasse directement.
L'employé avala sa salive, il avait compté vite fait les devises, des euros en plus, et c'était beaucoup plus qu'il n'aurait pensé en avoir avec son petit chantage.
- C'est pour les deux, ajouta le commercial
Krit prit les billet, tenta de se donner une allure parfaite et fixa Florient d'un air sévère.
- Je ne considère pas sa dette entièrement payée, mais pour le moment, je pense que cela ira comme ça. Rhabillez-vous vite et quittez moi les lieux avant que... je ne change d'avis !
Sur ce, tremblant, Krit quitta la plage en oubliant complètement les verres. Il venait de gagner près de 200 euros ce qui faisait en monnaie locale près de 6 mois de travail !
***
Janice dormait toujours lorsque son cocin de mari rentra dans sa chambre. Il puait et n'osait pas se doucher de peur de la réveiller, mais il ne pouvait pas rester comme cela.
Il s'enferma dans la salle de bain le plus silencieusement possible et laissa couler l'eau sur son corps pour tenter de laver les dernières heures passées. Les restes de l'alcool lui tambourinaient le crâne, il avait honte, il avait peur, il se sentait sale avec un sentiment d'avilissement qu'il n'avait jamais connu. Cet homme, cet inconnu, ce pervers, il l'avait embobiné tellement facilement. Son cul en palpitait encore, lorsqu'il s'était vidé dans un des toilettes de l'hôtel avant de revenir, il avait sentit un liquide poisseux glisser de son rectum. Comme une fille lorsqu'il éjaculais dans son vagin.
Il avait le sentiment malsain d'avoir été manipulé et encore pire, payé pour ce qu'il avait fait. Ce n'était pas cela que l'autre avait fait ? Il avait payé le silence de cet employé, de l'argent sale tenu par un homme sale et pervers. Et il l'avait bien compris, tout n'était pas terminé, rien ne le serait tant qu'ils seraient sur cet île. Il devait tout faire pour que Janice n'en sache rien et de retour sur le continent, il enfermerait ça dans un coffre fort au fond de son esprit jusqu'à la fin de ses jours.
Florient pleura sa bêtise sous le jet de douche, plus rien ne serait pareil tout ça parce qu'il avait trop bu, tout ça parce qu'il avait été frustré par sa femme, tout ça parce qu'il n'avait pas eu la force de dire non. Sur le moment il ne c'était absolument pas rendu compte de l'énormité de ce qu'il faisait. Si seulement cet employé n'avait pas pointé le bout de son nez... Il lui ferait du chantage, c'était certain, mais il ne pouvait pas sortir des billets à tout va pour le faire taire. Comment allait-il faire ? Nier ? Après-tout, il n'avait aucune preuve, cela serait sa parole contre la sienne. Oui c'est cela, il nierait en bloc...
***
Krit retrouva Rasaï le lendemain avec impatience.
- Tu ne devinera jamais ce qui c'est passé hier soir ?
- Tu as trouvé quelqu'un d'autre à astiquoter je paris ? Lui répondit la jeune fille en rangeant le comptoir de l'accueil.
- Pour qui me prends-tu ? Tu es la seule beauté à qui je propose mes faveurs !
Répondit-il d'un air outré et jovial.
- Mais oui c'est cela, prends moi pour une débile. Je plains ta future femme, tu lui sauras aussi fidèle qu'une puce sur le crane d'un chien, à chasser une nouvelle tête dès que possible.
- Tu es méchante avec moi !
- Je suis lucide surtout, ta queue frétille dès que tu vois un beau cul... Allez raconte t'as fait quoi cette nuit
Krit lui raconta en détail ce qu'il avait vu, passant sur la véritable somme dérobée au gros homme.
- C'est pas vrai !
Elle avait les yeux grands ouverts et avait du mal à le croire
- Tu veux des preuves ?
- Ne me dis pas que tu les a pris en photo ?
- Mieux que cela, je les ai filmé !
- Arrêtes tes conneries, tu peux te faire virer pour ça. Ok, la baise sur la page ce n'est pas trop autorisée, mais généralement la direction ne dit jamais rien, ils paient nos salaires les touristes et un scandale de ce type nous mettrait tous à la porte.
- Je n'ai jamais eu l'intention d'en parler à la direction, ce petit pourboire me suffit pour me taire
- Et il t'a filé combien ?
- 30 euros
- Menteur ! Allez avoue, tu as eu plus, je te connais
- 100 euros annonça krit
- Punaise ! Répondit-elle la bouche grande ouverte. Et tout ça pour que tu fermes ta grande gueule ?
- Ouaip, payé à ne rien faire justement, le pied, non ?
- Surtout ne dépense rien en folie, on te demandera d'où tu sors tout ce fric.
- Je me disais bien que tu serais de bon conseils, j'ai de la chance de t'avoir comme amie... et plus si affinité !
- Que dalle, tu ne toucheras plus à mon cul. Et en tant qu'amie, tu ne pourrais pas me dépanner un peu ?
Krit souffla.
- Tu veux combien ? Pour... te taire? Il lui sourit
- Hum, 30 euros me suffiront largement et aussi, montre moi ça, j'ai vraiment du mal à croire que ce beau gosse ai pu... enfin tu vois quoi, et avec un inconnu en plus...
Les sens de Rasaï s'échauffèrent à la vue de la vidéo. Elle avait trouvé le jeune marié aussi attirant que sa femme pour Krit. Le voir nu et sa queue tendue la fit rougir. Certe, la vidéo n'était pas géniale, il faisait trop sombre, mais elle était on ne peu plus explicite, surtout avec le son. Krit avait branché des petits écouteurs avec fils et chacun avait une oreillette de branchée.
Krit arrêta la vidéo avant la transaction finale, il ne voulait que son amie voit la vraie somme reçue.
Rasaï déglutie. Elle sentait que son ventre était chaud et ses tétons pointus.
- Je n'ai jamais vu ça !
- Moi non plus, c'est impensable, même bourré à mort je n'aurai jamais accepté de genre de choses...
- Saoul ou pas, tu as vu comment il bandait ? Il aimait ça surtout...
Krit s'approcha et caressa le postérieur de Rasaï
- On dirait que toute cette histoire t'a émoustillé.
- Tu fais quoi là ? Rasaï voulait le repousser mais son ton manquait de dureté
- Je t'ai bien vu, tu mattais la bite du mec tout le temps.
- Menteur... Rougit-elle malgrès elle. Je plains sa femme par contre.
- Moi j'ai envie de me la faire sa femme !
- Ni pense même pas ! Cela serait la pire connerie à faire. Empoche ton fric, passe à autre chose et épouse ta petite femme chérie, fais lui des gosses, montre toi le meilleur mari possible point final !
- Cela ne serait pas la première fois pourtant...
- Tu sais ce qu'en pense le directeur n'est-ce pas ?
- Il s'en bat les couilles, tant que l'argent rentre et qu'il peut se vider les couilles de temps à autres
- Tu parles de moi ?
- Je n'oserai pas, tu le sais...
- Si je pouvais m'en passer... Enfin tant que personne n'es au courant.
Krit pensa tout de suite que son amie pouvait être aussi naïve que sa future femme, comme si personne n'était au courant des entretiens mensuels avec le patron. Elle n'était pas la seule mais toutes ses femmes préféraient croire le contraire. Mais il y avait des sujets sensibles à ne pas mettre sur le tapis. Heureusement qu'il n'était pas gay au moins car sinon...
Krit continuait à pelotter les fesses de son ami, espérant ravoir du rhab comme la veille. Mais Rasaï le repoussa.
- Désolé Krit, mais je te l'ai dit, tu n'y a plus le droit.
- Tu n'as pas dit non plus le reste, se défendit-il innocemment
Rasaï eu l'air outré et le repoussa
- Tu ne manque pas d'air !
A ce moment une autre employée arriva en tortillant du cul, un truc pour plaire mais qui ne marchait pas sur Krit. Il ne l'aimait pas car elle voulait le poste de Rasaï et il ferait tout pour l'en empêcher.
- Le directeur te demande, je te remplace le temps de... ta réunion !
La garce lui sourit, Rasaï en eu froid dans le dos. Faire comme si de rien n'était, comme d'habitude.
- Merci bien, tu es trop gentille, répondit-il entre ironie et froideur
Les deux jeunes filles se regardèrent puis Rasaï sans un regard à Krit emprunta les couloirs menant chez le directeur.
Krit sourit en lui-même, elle n'avait pas voulu lui faire plaisir, mais au final, la pauvre devrait ouvrir grand la bouche. Et pour l'autre pétasse, elle en faisait autant alors pourquoi prendre son amie de haut comme ça ?
***
Florient et Janice se faisaient à nouveau la gueule. Depuis le petit-déjeuner, elle lui avait reproché d'être rentré tardivement la laissant toute seule dans cette chambre d'hôtel normalement réservée pour deux. Mais aussi d'avoir trop bu ! Aux vues de sa tête et sa gueule de bois, il ne s'était pas limité à la vodka retrouvé dans la poubelle.
Florient lui rongeait son frein. D'un côté il avait envier de crier, de tout casser, de lui dire merde. De l'autre il avait peur et culpabilisait, si elle apprenait que... Il serra les fesses de manière automatique, dans quelle merde il se retrouvait.
Mais comme d'habitude, elle se calma et sa petite colère passa comme un nuage dans un ciel d'été. Ils se retrouvèrent, main dans la main pour aller profiter de la piscine. Janice en bikini sans équivoque tellement il était réduit, faisait encore tourner les têtes, dont celle de Krit qui n'en perdait pas une miette. Florient était fier de la beauté de sa femme, mais un étrange sentiment s'était incrusté en lui depuis la veille au soir, un sentiment de trahison qui le mettait mal à l'aise. Il devait prendre sur lui pour paraître comme à l'accoutumé.
- J'adore cet hôtel, tout est si beau, et on a le droit à tout, c'est génial, non ?
- Je suis tout à fait d'accord, d'ailleurs j'ai un peu faim, tu veux quelque chose ?
- Coktail sans alcool et de quoi picorer, des fruits de préférences, tu peux me trouver ça ?
- Je pense, dit-il en se levant.
Janice passa ses mains derrière son dos et dégrafa son haut de bikini
- Tu ne vas pas faire ça ici ? Questionna son mari soudain jaloux
- Tu as peur de quoi ? Même la vieille là-bas fait du topless
- Mais les employés, ils peuvent te voir ?
- Penses-tu, à force, ils en voient toute l'année, et puis tu sais, je suis certaine qu'il préfère la faune locale
Sur ce, elle laissa tomber son haut, dévoilant ses superbes seins à qui le voulait. Puis elle étala de la crème solaire dessus avant de s'allonger, ses lunettes de soleil sur les yeux pour se faire bronzer.
Florient jeta des regards noirs aux hommes qui mataient sa femme sans vergogne. La plupart regardèrent ailleurs. Rageur, il alla jusqu'au bar pour prendre commande. Là, il s'arrêta net reconnaissant l'employé qui les avait prit sur le fait. Il devint blanc comme un linge et se rappela "il n'a pas de preuve".
- Bonjour ! Lança krit derrière le bar avec son plus grand sourire.
- Bonjour, balbutia Florient mal à l'aise.
- Vous en avez une belle femme ! Lança-t-il dans un ton de connivence
Florient eu froid dans le dos, il avait une envie folle de faire demi-tour et tirer sa femme par le bras pour l'enfermer dans sa chambre et ne plus en sortir.
- Oui, oui, c'est... c'est vrai. Il bafouillait maintenant
- Si j'avais une femme comme ça, j'éviterai de la laisser seule le soir...
Les jambes de Florient flageolèrent, il serra les mains et regarda le comptoir plutôt que le barman.
- Et quelle sera la commande ? Une bonne banane bien dure ? Ou un jus de Lychee ?
Le jeune mariée eu le souffle coupé, comment osait-il ? Néanmoins il tenta de garder son calme et composa sa commande et celle de Janice.
- Quelle est son tour de poitrine, osa demander Krit sur le ton de la confidence
Florient eu l'air outré, Krit le fixa dans les yeux avec un large sourire
- Cela ne vous regarde pas, répondit-il maladroitement
- Hum, êtes-vous sûr que c'est la bonne réponse ?
Il prit une banane dans le saladier à fruits et la fit coulisser entre ses doigts avant de l'éplucher et la couper en morceaux pour la commande de sa femme. Florient comprit l'allusion, il savait, c'était bien lui et le petit con continuerait à lui faire du chantage...
- 95 D admis Florient tout bas
- Hummm, vous savez il n'y a pas beaucoup de femmes avec une telle poitrine par ici
- C'est votre problème
Un silence s'installa pendant que Krit préparait la salade de fruits puis les cocktails. Il fut frappé d'une subite inspiration. Il prit le grand verre pour Janice dans les mains
- Pourriez-vous me suivre dans la remise ?
- Pourquoi faire ?
- Nous devons discuter... entre homme. Enfin si la compagnie d'un homme ne vous dérange pas !
Florient devint tout pale, que voulait-il lui faire ?
- Ne vous prévenez pas, je n'ai pas l'intention de toucher à votre pudeur, je laisse cela aux autres, suivez moi
Krit contourna le comptoir et ouvrit une porte dans le mur derrière lui, Florient regarda autour de lui, personne, il le suivit.
C'était une remise avec le stock pour le bar, mais il y avait aussi une table et des étagères.
- Votre femme est très jolie
- Vous me l'avez déjà dit
- Je pense qu'elle aimera ce nouveau cocktail
Sans honte, fixant les yeux de Florient, Krit ouvrit sa braguette, sortit son gros sexe et commença à se branler au-dessus du verre posé sur la table
Florient ouvrit des yeux grands comme des soucoupes, déjà le fait que l'autre se branle devant lui l'estomaquait, ensuite la taille de sa queue, quel monstre, digne d'un de ces acteur porno, enfin, il n'allait tout de même pas...
- Vous êtes malade, je me tire d'ici !
- J'ai une vidéo de vous et de votre compagnon de nuit, partez et votre femme la reçoit dans la minute !
Florient redevint blanc comme un linge, une douleur aigue crispa son estomac, son pouls s'accéléraa
- Vous mentez !
- Vous voulez parier ? Et on entend nettement votre aveux du plaisir que vous avez pris à vous faire défoncer la rondelle !
Krit bandait dur maintenant, sa main s'agitait sur sa bite et devant un Florient médusé incapable de parler, il prit le verre à cocktail d'une main tremblante, le porta à son méat et avec une grimace de plaisir lâcha plusieurs jets de sperme dans le cocktail.
- Ahhh, cela fait du bien !
- Vous ne pensez quand même pas que je vais laisser ma femme boire ça !
Mais Florient savait qu'il parlait en pure perte, si l'autre avait vraiment une vidéo...
Sa queue toujours sortie, il prit son téléphone de sa poche et Florient entendit sa voix dans le petite espace
- Gros, grognait la voix de Florient, mal...- C'est dur au début, surtout la première fois, soit patient, tu verras. Répondit une voix d'homme- vous... m'enculez ?
- Oui je t'encule petit puceau, tu es si serré, si doux, si chaud dedans, c'est divin, tu es vraiment sensationnel !- Ah... ma femme, je dois, ahhhh...
Kris coupa l'extrait, un sourire sardonique sur le visage. Florient du se retenir à une étagère. Ce n'était pas possible, pas possible...
- Ceci n'est juste qu'un extrait, j'étais là depuis presque le début, mais j'en ai suffisamment assez pour que votre femme comprenne que son petit mari préfère baiser avec un mec rencontré pour la première fois au bord de la plage plutôt que passer sa première nuit de lune de miel avec elle... Je me trompe !
- Salopard, murmura Florient. Vous avez été payé...
- Oui par l'autre, mais toi, as-tu les moyens d'en faire autant ?
Florient ne répondit pas, il était incapable de filler autant de billet que l'autre pour acheter le silence de Krit
- Qu'est-ce que tu veux à la fin ?
- Oh pas grand chose... Ta femme est jolie, je voudrais faire plus connaissance
Florient reçu un second coup de poing à la suite du premier. Il écarquilla les yeux, il ne pouvait pas y croire, non, pas ça, c'était un dingue, il était entouré de pervers et de salopards !
- Vous ne pouvez pas, répondit-il faiblement, vous n'avez pas le droit, c'est honteux...
Krit essuya sa bite contre le verre de Janice et la tenant à deux doigts il la présenta à Florient
- Tu veux gouter ? Puis devant l'air affolé et ahurit de l'autre, il rangea sa marchandise.
A l'aide d'une grande cuillère trouvée sur une étagère il touilla le cocktail.
- Alors pour ta gouverne ici on est pauvre, on vit grâce à vous les étrangers qui venaient boire notre eau et manger notre nourriture. Avec un de tes salaires, on pourrait vivre un an ici, alors ne me fait pas la morale de ce qui est bien ou pas. Jusqu'à présent tu n'en avais rien à foutre de notre sort et une fois reparti dans ta belle ville tu nous oubliera aussi vite... Sauf que nous, sans votre sale argent, on vivrait dans des bidonvilles. Alors oui, j'ai envie de me taper ta femme et le pire, c'est que tu vas m'aider pour cela, sinon... Il faudra affronter les conséquences de tes actes mon mignon !
Krit savait qu'il poussait le bouchon loin, très loin même. Rasaï le tuerait si elle le savait.
il lui tendit le cocktail
- Attention à ne pas le faire tomber.
Florient tremblait, il avait les larmes aux yeux.
- C'est ma femme, vous ne pouvez pas...
- Ah parce que cela tu y as pensé peut-être ? Tu t'es fait ramoner le cul tout en gémissant de plaisir, sans honte ni refus, et avec plaisir ! Tu bandais en plus !
- Vous êtes ignobles !
Florient les jambes en plomb mis un sacré moment à arriver jusqu'à Janice. Il venait de vendre sa femme pour garder le secret sur son infidélité. Déjà qu'il se trouvait mauvais, mais maintenant, il était pire que tout ! Qui était le salopard en fin de compte ? Aurait-il mieux fallut lui avouer ?
- Et bien tu en as mis du temps, l'apostropha la jolie blonde aux seins nus
- Il... Il devait préparer ton encas et il... n'avait pas ce qu'il faut
- Pff, tous des incompétents ici, j'te jure. Allez donne moi ça !
Janice lui prit le coktail des mains et aspira une grande rasade avec la paille.
- Ils ont mis quoi dedans ? Cela à un drôle de gout, cela me rappelle quelque chose, mais je ne sais pas trop quoi.
- Du.. Lychee je crois, improvisa-t-il totalement blême.
- Oui cela doit-être ça. C'est pas trop dégueu en fait
Et elle bu le reste de son verre. Florient voyait le sperme s'infiltrer dans la paille et disparaître dans la gorge de sa femme. Il se retourna vers le bar, Krit lui tendit son pouce avec un large sourire. Le jeune marié avait subitement une envie de meurtre. D'un autre côté il se sentait encore plus sale, encore plus honteux de se laisse faire ainsi, il aurait pu refuser, mais les conséquences auraient été pire. Jusqu'où cela irait-il ?
***
Le directeur était ce genre d'homme qui profitait de sa situation et le montrait. Il employait un grand nombre d'habitants du village voisin et les demandes de travail à l'hôtel étaient nombreuses. Si pour les hommes il était assez pointilleux sur leur compétences, surtout celles qui rapportaient de l'argent, prenant des bénéfice sur leurs éventuelles transactions non-officielles, pour les femmes, c'était surtout leur physique qui comptait. Ses meilleurs employés étaient Krit et Rasaï, entre autre, mais la petite nouvelle qui roulait du cul remontait rapidement dans le classement. A voir ce dont était capable Rasaï pour garder son poste...
La jeune asiatique connaissait son affaire, il suffisait de charmer le boss, de feindre l'indignation lorsqu'il souhaitait quelque chose d'un peu tordu, et elle s'en sortait en lu ifaisant une fellation du diable.
Sauf que là, lorsqu'elle arriva dans son bureau, vu sa tête, elle comprit que cela ne serait pas aussi facile que d'habitude.
L'homme en costume calé dans un gros fauteuil derrière son bureau fixa Rasaï avec attention dès son arrivée...
Une bonne heure plus tard, Krit chercha son amie et la trouva en pleur sur le bord d'un muret.
- Cela n'a pas été comme tu le voulais ?
- Je pensais être... J'ai cru que... Je suis si naïve !
- Raconte.
- Il a refusé le poste pour ma mère, il m'a dit que je tirais trop sur la corde, que je ne devais pas me prendre pour la reine de la fête et à trop penser avec mon cul, il n'y aurait aucun avenir pour moi ici, tandis que...
- Vania ?
- Oui, plus jeune, peut-être plus jolie à ses yeux, elle lui a fait son numéro de charme et moi je suis sur la sellette !
- Punaise, quelle garce ! Tu ne l'as quand même pas... après ça ?
- Tu crois que j'ai eu le choix ? Non seulement il m'a remit les idées en place, après tout je ne suis qu'une pauvre fille parmi "tant" d'autres, mais en plus il a fallu le faire bander puis le faire juter. Et comme "l'autre" est passé avant moi, il avait déjà les couilles vides.
- Merde... je suis désolé.
- Oui mais moi j'ai besoin de ce boulot ! Ma mère et mes soeurs seront a la rue sinon.
- Qu'est-ce qu'on va faire ?
- Je ne sais pas... Tant que cette sainte-nitouche sera dans les petits papiers du boss. Elle veut mon poste sinon mieux.
- Et un jour elle sera remplacée par la suivante
- Oui mais ça je m'en fous ! Tant que mes soeurs ne peuvent pas avoir un boulot descend autre que d'ouvrir les cuisses, il me faut un salaire !
- Je peux peut-être vous aider ? Tonna une voix derrière eux
Le couple d'amis se retourna surpris et surtout affolé. Le gros homme, le commercial, les salua.
- N'ayez pas peur et toi, ne crains rien, ce que je t'ai donné l'autre nuit n'est pas grand chose, et puis je me suis bien amusé aussi.
Krit serra les poings et regarda tour à tour Rasaï et le gros homme.
- Qu'avez-vous... entendu ? Demanda-t-elle sur le qui-vive, de peur qu'il cafte tout à son boss
- Oh, un peu de tout, un peu rien. En bref, mademoiselle, vous avez des ennuis, c'est bien cela ?
- Je ne pense pas que cela vous regarde, répondit-elle méfiante
- Hum, dans un sens si. En tout cas votre situation concerne l'hôtel mais aussi votre directeur, n'est-ce pas ?
- Venez-en au fait, intervint Krit sur les nerfs
- Disons que votre boss vous cache beaucoup de choses.
- Cela ne serait pas la première fois
- Disons que votre situation est plus en danger que vous pourriez le soupçonner
- Pardon ? Rasaï se releva et inquiète, se tripota les mains
- Je ne suis pas ici par hasard, disons que pour faire simple, je suis un investisseur pour valoriser votre région. Cependant, tout n'est pas si facile chez vous.
- Nous sommes une région pauvre...
- Et qu'avons-nous à voir avec vos histoires de riches ?
- D'après-vous pourquoi l'hôtel brade les prix pour faire venir du monde ?
- Justement, pour faire venir du monde, non ?
Le gros homme secoua la tête.
- L'hôtel est tellement endetté qu'il ne tiendra pas jusqu'à la fin du mois !
Krit et Rasaï se regardèrent.
- C'est une blague, lança la jeune femme
- Attendez, le pire c'est que votre boss est au courant et qu'il se prépare une sortie avec parachute dorée.
- Quel salopard ! Lança Krit, et nous alors ?
- Vous serez à la rue... Et donc votre petit problème de concurrence féminine sera rapidement résolu.
- Rien à foutre de cette pétasse, sans job, c'est toute ma famille qui est à la rue. Et toi Krit, ton mariage ? Sans boulot, ta belle famille refusera ton union avec ta fiancée, qu'elle t'aime ou pas.
Krit n'y avait pas pensé et visiblement inquiet il ne sut pas quoi répondre tout de suite.
- Et, pourquoi nous en parler ? Ajouta-t-il ensuite.
- Parce que je peux vous aider.
- Contre quoi ? Demanda Rasaï Marre de sucer des bites pour gagner mon salaire
- Oh, oh, de ce côté là, rassurez-vous, bien que vous soyez jolie, vous n'êtes pas mon genre.
- Hééé, ne pensez pas un instant que je prendrais sa place sous une table ajouta-t-il à l'adresse de Rasaï.
- Jeune homme, vous et votre amie semblaient les personnes idéales pour m'aider dans mon projet. Vous n'étiez pas de service l'autre nuit et pourtant vous avez oser et tenté votre chance pour gagner une poignets de billets. Votre discours ne tenait pas la route, même si la sécurité de l'hôtel aurait pris sur le fait un couple en pleine action, ce n'était pas dans son intérêt d'avoir un scandale et des ennuis avec les autorités. Moi je le savais, le petit mignon non, pas du tout, et c'est ce qui a fait que vous avez réussi votre coup.
Krit pris cela à la fois comme un compliment et un insulte. Mais il resta muet, les lèvres serrés.
- Et vous mademoiselle, vous êtes prête à presque tout pour que votre famille ne subisse pas les affronts de votre boulot. C'est méritable même si vous ne pourrez toujours surveiller la sécurité de vos soeurs, mais au moins vous faites au mieux pour le moment.
- Merci... Répondit-elle
- J'ai besoin de vous car vous êtes dans la place, et contrairement à cette "pétasse" qui secoue son cul pour rester à l'accueil, comme vous aimez le dire, vous au moins possédez quelques expériences de travail et une volonté de le garder.
- Je ne comprends toujours pas, intervint Krit
- Et bien, vu que mon projet d'investissement ne pourra pas aboutir, malgré quelques pots de vin, j'ai l'intention de racheter cet hôtel à la place.
Les deux amants de passage se regardèrent, un soulagement les envahit tous les deux.
- Et, qu'avons-nous à voir dans cette histoire ?
- Disons qu'il me faudrait des informations que je ne possède pas et ce, le plus rapidement possible.
- Et on y gagne quoi ? Ajouta Krit
- Un boulot ! Et pas juste barman et hôtesse d'accueil. Il y a des postes à pourvoir dans les bureaux climatisés...
- Sérieux ? Lança Krit un sourire aux lèvres
- Mais on doit faire quoi exactement ? Le coupa Rasaï
- Je vous expliquerai ensuite, êtes-vous d'accord pour m'aider ?
Vu la situation extrême où ils se trouvaient, ils acquiescèrent tous les deux.
- Une dernière chose
- Oui ?
- Pourriez-vous m'indiquer la chambre de ce jeune marié ? J'aimerai lui glisser un ou deux mots, ajouta-t-il un grand sourire aux lèvres
Krit sourit en retour, lui rêvait de se faire la jolie blonde alors que cet investisseur lui en avait après le petit cul musclé de son mari. Ce couple n'avait pas du tout eu la bonne idée de faire son voyage de noces ici, c'était garantie !
Le gros homme, qui s'appelait Hernest, indiqua à Krit et Rasaï leur mission. Ils tiquèrent, mais vu que la sécurité à l'hôtel était aussi grande qu'une passoire à nouilles, cela ne devrait pas poser trop de problèmes. Le but étant de dérober, copier ou photographier des documents concernant l'hôtel, les possibles repreneurs, les dettes, des preuves sur les malversations du directeur, etc. Bref, tout ce qui pouvait être utile au rachat des lieux.
***
Florient avait la tête ailleurs, il s'en voulait de n'avoir pas intercepté le verre, il s'en voulait d'avoir trop bu au point d'avoir accepté les sévices de cet inconnu. Mais comment avait-il pu en arriver là ? Son mariage tournait à la catastrophe, le barman en savait trop, que voulait-il de plus ? Du fric ? La peur au ventre, il sursautait dès qu'il voyait un autochtone ressemblant à Krit. Il en oublia presque le gros homme...
Janice de son côté profitait pleinement de ses vacances, inconsciente de ce qui se passait dans son dos. Le couple d'amoureux était de sortie ce jour. Ils remontaient la plage en photographiant et filmant à tout vas les décors et paysages alentours. Ils passèrent sur plusieurs autres plages privées des hôtels jonchant la côte, puis ils déboulèrent sur un village. Ils furent tout de suite la cible des vendeurs ambulants et autres attrape touristes. Mais avec leur maigre économie, il fut facile de leur dire non. Délaissant les magasins trop chers, ils trouvèrent un petit commerce local proposant des produits tout venant mais aussi des souvenirs à des prix parfois 10 fois moins cher que les vendeurs ambulants. Ils firent donc tout de même quelques achats en souvenir. La beauté de la blonde ne passait pas inaperçu et le couple finit par fuir le village pour retrouver le calme de l'hôtel.
- C'est vraiment embêtant tous ces gens qui te tournent autour pour te vendre des trucs hors de prix, lança Janice à son mari en enlevant ses fringues trempées de sueur.
- Que veux-tu, il faut bien qu'ils vivent, lui répondit-il en l'admirant de loin
il avait vraiment de la chance, sa femme était d'une beauté à tomber, et ses seins, à se damner. Il se leva et alla à sa rencontre, se collant à son dos, passant ses bras par devant pour lui frôler sa poitrine.
- Obsédé, la gronda-t-elle. Désolé, pas trop envie maintenant, je vais faire une petite sieste avant le dîner, mais ce soir par contre...
Elle se retourna, collant son corps nu et désirable sur Florient qui banda aussitôt. Leur bouche se trouvèrent et ils s'embrassèrent longuement.
- Tu vas faire quoi pendant ce temps ? Lui demanda-t-elle en enfilant une tenue légère
Florient n'était pas adepte des siestes.
- Je ne sais pas sûrement traîner dans l'hôtel, boire un verre ou deux, peut-être même faire un peu de sport, je m'empâte là !
- Ne bois pas autant que la dernière fois s'il te plait, j'ai besoin de toi ce soir
Elle lui envoya un baiser et se lova sur le lit pour dormir. Quelques secondes plus tard, elle dormait déjà. Florient souffla, il avait hâte d'être à ce soir, la nuit promettait d'être torride.
La nuit tombait rapidement ici, vers 17/18h00 il faisait déjà noir. Dans l'ombre du couloir, Florient déambulait vers l'accueil, peut-être y trouverait-il la jolie asiatique pour lui faire la conversation et passer le temps.
Sans le vouloir, perdu dans ses pensée et regardant le sol, au détour du couloir, il percuta un autre touriste.
- Excusez... Il ne termina pas sa phrase en reconnaissant le gros homme qui...
Il devint tout blanc et n'arriva pas à bouger d'un pouce. Son sang se glaça, déjà qu'il avait des soucis à se faire avec le barman et maintenant l'autre refaisait surface. Il avait rêvé et prié de ne plus le revoir, mais dommage pour lui, il n'était pas reparti chez lui par le premier avion disponible.
- Bonjour ! Lança Hernest avec un large sourire. On se balade tout seul ?
- Je, euh, oui, désolé pour le...
Florient bafouillait se frottant le front
Hernest avança vers lui et lui prit le bras
- J'ai un peu de temps libre avant le dîner, je me disais que toi et moi pourrions discuter un peu autour d'un verre, de vos projets pour vos vacances, etc.
Le jeune marié trembla au contact du gros homme imposant
- Désolé, arriva-t-il à répondre, j'ai... d'autres projets
- Allons, allons, et puis à cette heure-ci il n'y a pas grand choses d'autres à faire... Et puis ta petite femme, elle fait quoi là, les boutique, la sieste ? Ah, c'est ça, tu t'es retrouvé tout seul et tu n'as rien d'autres à faire que patienter jusqu'à ton réveil, Allez, suis moi !
Florient fut tiré par l'homme qui lui faisait en même temps peur et l'impressionnait par son assurance et son autorité. Mais ce ne fut pas au bar qu'il l'emmena mais jusqu'à une autre chambre d'hôtel.
- Attendez, ce n'est pas... le bar ici !
Son coeur cognait dans sa poitrine, il tenait à peine debout et craignait le pire. Mais pourquoi n'arrivait-il pas à reprendre possession de ses moyens ?
Le gros homme se pencha sur lui en plaquant sa carte contre la serrure électronique
- Et comment veux-tu que je t'encule ? Devant tout le monde ?
Florient ouvrit la bouche en grand, devint tout blanc et fut poussé dans la pièce identique à sa chambre, la porte claqua derrière lui. Il eu une impression subite de descendre aux enfers...
- Je ne crois pas que... Tenta Florient lorsque le gros homme l'emmena dans sa chambre lui tenant le bras.
- A genoux ! Ordonna-t-il en ouvrant sa braguette
Il sortit son sexe au gland violacé qu'il commença à branler.
Une larme coula sur la joue du jeune marié, se genoux cédèrent...
Dans le silence de la pièce, on pouvait maintenant entendre des bruits de succion et les grognements du gros homme. Il tenait la tête de Florient et faisait aller son bassin d'avant en arrière son sexe dur disparaissant entre les lèvres offertes.
- Je le savais que tu ne pourrais pas dire non, dit-il tout en lui caressant la tête
Krit avait suivit de loin Hernest, il sourit lorsque les deux hommes disparurent dans la chambre. Ce nouveau venu dans leur vie avait vraiment tout pour devenir quelqu'un de puissant dans le coin, ne lui restait que l'occasion de le faire. Et si lui pouvait l'aider et gagner en même temps sa place... La chambre d'à côté était vide, il s'y glissa, passa par la terrasse et glissa un oeil discret par la baie vitrée donnant sur la chambre. Quel spectacle ! Ce petit blanc bec n'avait-il donc aucune volonté ni pudeur ? Jamais lui ne se laisserait faire ainsi... Il repensa son sperme qui avait finit dans le gosier de la jolie blonde aux seins superbes... Il devait se la faire. Il avait un plan en tête, mais avant ça, il devait terminer de jouer les espions. Il prit tout de même questions photos plus nettes en plein jour, juste au cas où et laissa le jeune marié aux bons soins de son futur boss.
Florient c'était juré que plus jamais il ne toucherait à un sexe d'homme. Plus jamais il succomberait, ivre ou non, à la tentation ou plutôt à l'emprise d'un autre. Cette phrase tourna dans son esprit, il s'était juré, sa tête était de côté sur l'oreillé, oui plus jamais, ouvrit la bouche et laissa échapper un petit cri, il aimait sa femme, il... Il sentit son cul s'ouvrir et la chose entrer en lui... oui plus jamais il la tromperait...
- Ahhhhh !
- Désolé, j'y vais un peu trop fort ! Mais ton cul est si appétissantt
- Ahhhhhh, gémit encore une fois Florient, l'autre venait de s'introduire encore plus loin
Il sentit une main lui caresser les fesses et les hanches, il sentait la bite dans son cul, cette tige de chair épaisse le remplir, lui faire mal mais aussi, puis il le savait, lui faire du bien ensuite. Le gros homme l'avait à peine préparé, trop pressé de le prendre. Le jeune marié sentit une main entourer sa bite tendue et il regrettait que son corps soit aussi réceptif à ce genre de choses. Mais pourquoi donc ? Jamais il avait eu ce genre d'envie.
- On bande dur mon mignon, gloussa le gros homme dans son dos, on aime ça se faire remplir.
Florient ne répondit dit rien, il fut tiré en arrière puis poussé en avant, ça y était l'autre commençait à prendre ses aises dans son fondement.
- Qu'est-ce que tu es serré, j'aime ça ! C'est toujours comme ça au début, attends, encore un peu, attends, voilà, tu la sent, je suis dedans entier, tu vas en prendre pour ton argent, attends non, tu fais ça pour le plaisir oui, pour me faire plaisir et pour toi aussi, tu...
Pour le sentir, Florient le sentait, le ventre du gros homme claquait sur ses fesses et il écoutait sans vraiment l'entendre les palabres sexuels de son tortionnaire.
***
Janice se réveilla prise d'un étrange pressentiment. Elle était seule dans la chambre dans le noir. Dehors c'était la nuit et son mari devait traîner sûrement quelque part entre le bar et le salon. Peut-être même jouait-il au billard ? elle se sentit seule tout à coup, elle aurait préféré le trouver ici à son réveil. Pourquoi l'avait-elle envoyé bouler ? S'ils avaient fait l'amour tout de suite, il se serait sûrement endormi avec elle.
La jeune femme se leva et se rendit dans la salle de bain. Sa tunique n'irait pas pour le dîner, il fallait quelque chose de plus... sexy ! Surtout dessous. elle farfouilla dans sa valise et retrouva les sous-vêtements qu'elle avait porté lors de sa nuit de noces. oui, cela ferait sûrement bander Florient et ensuite... Elle se sentait chaude, les seins lourds, oui, elle lui ferait plaisir en acceptant tout ce qu'il voudrait, enfin peut-être tout. Jamais elle n'avait voulu qu'il la prenne par derrière. Bon ce n'était pas non plus dans les goûts de Florient, mais elle avait lu un article comme quoi les hommes pouvaient aimer cela. Mais pour le reste par contre... Elle lui prodiguerait tout son savoir pour lui donner un max de plaisir.
Son ventre la chauffait, oui elle aurait du garder son homme près d'elle. Que faisait-il en ce moment d'ailleurs ? Elle espérait qu'il n'était pas retourné voir cette petite nana à l'accueil, oui elle était mignonne, mais jamais elle lui pardonnerait qu'il la trompe. Mais pourquoi pensait-elle cela ? Ils avaient traversés tant de choses ensemble. Non, Florient était fidèle jamais il ce lui ferait ce coup-là.
Elle décida de prendre une douche avant de se changer et de le retrouver... Elle lui demanderait ce qu'il avait fait pendant ce temps... Mais pourquoi se sentait-elle mal ? Il y avait un truc qui n'allait pas. Elle se promit de ne plus le laisser tout seul. Non pas qu'elle n'avait pas confiance, mais après tout c'était leur lune de miel, non ? Que pouvait-il bien faire...
Que faisait Florient ? Les craintes de sa femme n'étaient pas fondées, enfin en partie, non il ne la trompait pas avec Rasaï, par contre jamais elle n'aurait pu imaginer que l'homme de sa vie puisse se faire tringler par un autre mec...
A l'instant même il se faisait limer le cul beaucoup plus fluidement qu'à son entrée dans cette chambre. Hernest avait finit par ajouter du gel et depuis sa bite glissait allégrement entre les fesses musclés de son petit mignon. Il l'avait prit en levrette, puis l'avait fait sauté sur lui, maintenant, ils étaient dans la salle de bain. Hernest avait un petit vice, celui d'avilir ses partenaires. Florient était plié en deux, se tenant contre le mur et Hernest l'obligeait à regarder le grand miroir de la salle de bain. celui-ci renvoyait les deux hommes nus et le jeune marié ne pouvait en aucun cas louper ce qui se passait derrière lui. Il le sentait et le voyait en même temps. C'était terrible pour lui, aussi physiquement que mentalement.
- Putain, si ta femme savait ça ! Répéta Hernest pour la centième fois peut-être. Bouge, relève, toi, met un pied ici, c'est trop bon, je te sens encore plus.
Florient, de face contre le miroir, avait une jambe soutenu par Hernest, se tenant sur la point des orteilles de l'autre, il pouvait voir son sexe dur balancer au gré des mouvements du gros homme derrière lui.
- Ahhh, je viens, attends, faut que tu gouttes !
il se retira et força le jeune marié à se mettre à genoux.
- Tiens, tiens, prends ça !
Le sperme jaillit sur le visage, il serra la bouche par réflexe.
- Non, non, avale !
La bite glissa dans la bouche et les derniers jets de semence finirent dans la gorge de Florient. Ensuite il sortit sa queue et la frotta sur le visage étalant le sperme.
- C'est bien, très bien, tu es sage et coopératif et surtout putain tu as un de ces cul !
Florient grimaçait, il préférait encore se faire sodomiser que subir ce genre de remarque et outrage, pour qui se prenait-il ? Il tenta de se relever mais l'autre le bloqua.
- Faut que tu comprennes mon mignon, ton petit cul ne sera tranquille que lorsque je le déciderai. Une fois que tu prendras l'avion pour rentrer chez toi, tu auras enfin la paix. Mais d'ici là...
Il lui tira les cheveux et le tira vers lui, Florient cria de douleur
- Tu as bien compris ? Marié ou pas je m'en fous complètement, si je veux ton cul, ta bouche, ta main ou ton corps, tu répondras à mes désirs, est-ce comprit ?
- Oui, gémit le jeune marié malgré lui.
- C'est bien, maintenant pensons à toi, il n'y a pas de raison. Lave toi le visage et rejoins moi.
***
Rasaï retrouva Krit juste avant que les restaurant n'ouvrent.
- Alors as-tu réussi à trouver quelque chose ?
- Hum attends, notre futur boss c'est enfermé dans sa chambre avec le joli blond, ensuite j'ai réussi à m'introduire dans le bureau comptable.
- Attends quoi, le blond, encore ? Saraï avait l'air surprise. Il était encore fin saoul ?
- Oh non pas du tout, ce que j'ai pu voir j'ai bien l'impression qu'il était consentant.
- Ben merde alors...
- Il ne te fais plus rêver maintenant que tu sais ça ?
- Je plains surtout sa femme.
- Je crois surtout que notre cher bienfaiteur a une emprise sur lui, attention à nous après...
- Je ne crains rien, je suce déjà le boss actuel, mais toi...
- Arrêtes tes conneries, jamais je m'abaisserai à cela !
- Même pour garder ton job ?
- Jamais, tu m'entends jamais je le laisserai me faire ce genre de truc
Elle se mit à rire et lui demanda plus de détails sur le reste.
- J'ai photocopié le plus de documents possibles sans même les lire. J'ai failli me faire griller, j'ai du me cacher sous un bureau en attendant que le menace passe.
- Fais gaffe quand même.
- Pas le choix, et toi ?
- Je vais tenter le bureau du directeur ce soir après le service, il le ferme toujours à clé, mais il suffit de soulever le battant pour entrer.
- Tiens regarde qui arrive ?
Rasaï se retourna pour voir arriver plus loin une bimbo aux cheveux blonds tirée à 4 épingles. Elle était belle, sensuelle et rudement bien roulée.
- J'ai envie de lui dire... Ricana-t-elle
- Arrêtes, ce n'est pas dans notre intérêt... Elle est super bandante comme ça. Tu as vu ce matin, elle faisait du topless à la piscine, tout le monde la matait.
Rasaï fixait le visage extatique de son ami, puis la blonde, puis son ami et enfin son pantalon. elle plaqua sa main dessus.
- Mais tu bandes mon cochon !
- J'ai vraiment envie de me la faire... Mumura-t-il. Et pendant ce temps son mari se fait enculer, quel gachis.
Rasaï frottait le sexe qu'elle connaissait pas coeur, il tendait de plus en plus le tissu, comprimé comme il l'était.
- Arrêtes sinon je te coince dans un coin et je te fais mon affaire.
- Tss, tss, lui répondit-elle légèrement échauffée aussi. Tu vas bientôt te marier je te rappelle, donc tu n'as plus le droit à mes fesses et encore moins celles de cette
blondasse.
- Jalouse !
- Même pas vrai.
- J'ai envie de toi
- T'as surtout envie de sexe, avec moi ou une autre... Surtout une autre.
- Si tu n'enlèves pas ta main de là, je te promets que je ne penserai qu'à toi !
Rasaï le regarda droit dans les yeux, elle avait du mal à retirer sa main, elle sentait le sexe dur et chaud sous ses doigts fins et son ventre qui se mettait à chauffer. Sa mauvaise journée avec ce con de directeur qui restait encore sur l'estomac. Elle ne retira pas sa main.
- Tu as encore tes règles ? Mumura-t-il
- C'est la fin, souffla-t-elle, cela ne... gênerait pas
- Viens pas ici alors...
***
Janice cherchait son mari à l'accueil de l'hôtel, près de la piscine, au bar, puis passant devant la remise où Rasaï, contre le mur, les jambes autour de Krit, gémissait dans son cou pendant qu'il la baisait presque tendrement. Ces deux là auraient mieux fait de se mettre en couple vu comment ils étaient complices. Mais peine perdu, elle ne le trouvait pas. Sa crainte remonta le long de sa gorge, il était avec une femme !
- Chérie tu es là ?
Elle se retourna et le vit en compagnie d'un gros homme en costume. Cela la rassura immédiatement.
- Désolé, de t'avoir fait peur, je discutais avec Hernest, c'est un français aussi, il investit dans le coin.
Contrairement à ce qu'il pensait, il avait réussi à rester de marbre devant sa femme alors que son amant se trouver juste à côté de lui. Il sentait encore le goût de son sperme au fond de la gorge et le gras du gel lui tapissait la raie des fesses.
- Enchantée, dit-elle en lui serrant la main, vous êtes ici pour affaire alors ?
- Oh que oui, répondit Hernest de sa grosse voix. Import, export, investissement. La région offre des possibilités étonnante. On y trouve même des terres vierges à défricher. Pouvoir y poser son empreinte, la parcourir en tous sens et enfin y planter vigoureusement son expertise dure comme fer est assez excitant !
Florient frémit sous les paroles à double sens d'Hernest, il guettait sa femme mais elle ne comprit le sens caché.
- Vous avez l'air d'être un homme de caractères, cela ne doit pas être facile de s'imposer, non ?
- Oh vous savez, une fois que les choses sont en place, ils en redemandent ensuite. Les nouveautés changent la vision des gens, il faut parfois forcer, mais au final, certains sont plus content que d'autres.
- Vous m'en direz tant ! Entre-nous, je n'y connais rien à tout ce charabia, je laisse aux hommes tels que vous le soin de propager la bonne parole, tant que tout le monde y trouve son content.
- Je suis parfaitement d'accord avec vous, et votre gentil mari me disait la même chose un peu plus tôt. N'est-ce pas ?
- Eh oui, oui, répondit Florient.
Il avait un mal fou à ne pas s'écrouler au sol, fuir loin d'ici ou encore en mettre une bien placé dans la face de ce connard fini.
- Je vais vous laissez entre amoureux, après-tout, c'est votre lune de miel, c'est bien cela ?
- Oui en effet, et merci beaucoup, nous discuterons une prochaine fois si vous le voulez bien.
- Bien entendu, surtout que votre mari est un vrai partenaire de billard, il sait tenir la queue comme un chef !
- Tu joues au billard toi maintenant ? demanda-t-elle à Florient avec une bourrade dans le bras
- Euh... Oui, mais je ne suis pas un pro... non plus.
Hernest sourit, fixa Florient dans les yeux puis baisa la main de Janice avant de les quitter.
- Houaaa, c'est un phénomène celui-là, bourru, impressionnant mais sympathique en fin de compte. Alors c'était avec lui que tu passais ton temps ?
- En... En effet. Je... Avec les discussions, le temps est passé si vite.
- Tu as l'air tout drôle, ça va? Tu n'es pas malade ?
- Non, j'ai du avaler un truc de travers, il m'a offert à boire
- Oublions tout cela et pensons à nous... et à notre petite soirée, j'ai hâte de nous retrouver dans notre chambre.
Elle se colla à lui et l'embrassa langoureusement.
Florient lui rendit son baiser du mieux qu'il pouvait, espérant qu'elle ne sente pas l'odeur ou le gout du sperme. Il s'était nettoyé avec leurs ébats, mais savait-on jamais. L'autre soucis était qu'il espérait être assez en forme pour répondre à ses attentes.
Hernest l'avait invité sur le lit où il l'avait sucé puis branlé jusqu'à éjaculation, et pour en sortir du jus, il en avait sorti !
Main dans la main, ils passèrent devant le bar puis la remise, un bruit sans équivoque traversa la porte.
- Et bien ,il y en a qui prennent du bon temps là-dedans, ça m'émoustille tout ça, pas toi ?
- Rien qu'à te regarder, j'ai les hormones en feu, lui répondit-il avec mensonge.
Dans la pièce, Rasaï se mordait la main, mais elle ne put se retenir de laisser échapper des petits gémissements de plaisir sous les coups de bite de Rasaï. Qu'elle était longue, grosse et puissante. Devant comme derrière, elle lui plaisait vraiment beaucoup. Et oui, elle était jalouse de son prochain mariage et de ses vues sur les autres femmes, oui, elle était un peu amoureuse de son ami d'enfance. Mais jamais elle ne lui dirait.
Krit la retourna et replongea en elle en l'abreuvant de compliments et de sensations divines. Elle cria son extase sentant le sperme jaillir en elle au moment où un couple de touristes passa devant la porte.
- Et bien pour quelqu'un qui ne veut plus faire l'amour avec moi... Grogna Krit à l'oreille de Rasaï en lui caressant le corps puis ses petits seins aux tétons pointus.
- Tais-toi pervers ! Répondit-elle une petite douleur dans l'estomac.
- Tu seras toujours ma préféré
Elle aurait voulu lui répondre "alors pourquoi tu veux te marier avec l'autre" ? Mais elle se retint de justesse. Il ne serait pas plus fidèle avec elle qu'en se mariant avec sa meilleure amie. Et elle alors ?
***
Janice fit tout son possible pour charmer Florient qu'elle sentait ailleurs. Allusions, décoletté plongeant, promesse de plaisir jusqu'à son arrivée à la table qui leur était réservée. Elle alla même jusqu'à lui faire du pied entre les jambes.
Krit arriva à ce moment là
- Désirez-vous un apéritif pour commencer ?
Florient le regarda avec mauvaise humeur
- Hum, comme la dernière fois si vous avez ! Proposa Janice, vous savez celui au bord de la piscine
Son mari faillit s'étouffer, non pas ça !
- Pourquoi ne commanderions-nous pas une pinacollada cela serait un bon début de soirée
- Ce n'est pas faux en effet, serveur, 2 pinacolada et... ajoutez votre ingrédient secret, son petit arrière goût m'était familier mais je ne saurai dire ce que c'était
Krit sourit et regarda Florient dans les yeux
- Et pour monsieur, la même chooose ?
Florient devint blanc comme un linge.
- Un cocktail... classique me suffira !
Mais il ne vit pas la main de sa femme faire un "2" avec ses doigts et lui adresser un grand sourire, Krit lui répondit et partit vers le bar
- Ils n'ont peut-être plus de cet ingrédient secret en stock
- On verra bien, mais je me demande ce que c'est
- Si... on le savait, cela ne serait plus secret
- Tu as raison, allons pendant ce temps choisissons notre dîner
Florient ne savait plus quoi faire, la situation dérapait de plus en plus et cette fois-ci c'était sa femme qui c'était mise dans la mouise elle-même.
Krit sourit, quelle belle femme et quel décolleté !
Il prit deux verres à cocktail et alla se cacher dans la remise, il eu du mal à se branler, il s'était vidé les couilles juste avant avec Saraï, mais à l'idée que la jolie femme boit à nouveau se semence et que son joli mari aussi l'aida fortement à bander assez dur et à extraire assez de jus pour arroser le fond des deux verres. Mais pour la soirée, il serait incapable de ressortir sa bite de là où elle était rangée.
Il revint un peu plus tard avec les verres, il avait ajouté une bonne dose de rhum dans celui de Florient pour faire passer le goût.
- Et voilà, deux pincacolada maison, puis-je prendre votre commande maintenant ?
Les mains de Florient tremblaient légèrement, il rêvait que le verre de sa femme tombe, se renverse tout sauf qu'il finisse dans sa gorge. Mais que nenni, une fois Krit parti, sa femme porta un toast et commença à boire le cocktail. il ferma les yeux et en fit de même...
Krit eu un large sourire en les voyant, quelle bande de crétins, mais une crétine si belle.
Le repas se passa bien, les plats se succédèrent et le dessert arriva. Janice était un peu pompette, 2 verres de vins avaient suivis le cocktail et enfin le champagne avec le dessert. Mais au moins elle n'apercevait plus le trouble de son mari dès que son regard croisait celui de Krit qui faisait le service. Il commençait à haïr l'asiatique pour tout ce qui lui sait subir.
Mais la nuit s'annonçait plutôt sympathiquement, à peine arrivés dans leur chambre que Janice sauta sur lui. Florient en oublia presque tout ce qui c'était passé dans son dos depuis lors. Seul un poignard de culpabilité l'empêchait d'être aussi heureux et enjoué que sa femme. Vivement son retour en France qu'il oubli tout ça à jamais.
Lorsqu'il découvrit les dessous de sa femme, un bustier dentelle blanche et un string assortis, les mêmes que ceux de leur nuit de noces, il en pleura presque. Les seins de Janice bombaient comme deux gros fruits bien murs, sans compter ses fesses rondes à palper à souhait.
Heureusement pour lui, dans son malheur, il pouvait être endurant du fait qu'Hernest lui ai déjà tiré une partie de son énergie. Sinon, rien qu'à voir sa femme dans cette tenue, Florient aurait rapidement déchargé en elle. Ils passèrent un bon moment à s'échauffer avec des préliminaires jusqu'à ne plus être que nu tous les deux. C'était leur vrai première nuit à faire l'amour depuis leur arrivée. Entre les frasques du au caractère de Janice et les infidélités de Florient, jusqu'à maintenant, le couple n'avait pas pu se réunir comme il se doit pour un voyage de noces.
Les jeunes mariés ne furent pas radins de gémissements et jouissances. Janice chevaucha son mari comme jamais, frottant ses seins sur son torse musclé tout en lui dévorant la bouche. Elle en avait envie depuis le matin, et l'alcool aidant, elle se sentait débridée.
Son corps était une braise brulante qu'il fallait à tout prix éteindre, et seul Florient pouvait arriver à la rassasier. Elle fut étonnée et content qu'il soit si patient et endurant, elle avait eu peur que cette nuit s'écourte rapidement. Le lit, qui en avait vu d'autres, fut pour une fois, le seul témoin de leur échange. Krit, trop fatigué, n'avait même pas cherché à les espionner.
Prenant sa femme en levrette, Florient pensa soudainement à lui dans cette position quelques heures plus tôt. Il ressentit de la honte et une colère sourde d'être aussi con et lâche, de se laisser faire et de ne pas arriver à dire non. Il se déchaîna sur sa femme, la faisant crier, lançant sa bite entre ses lèvres intimes à grands coups de reins. Non, il ne devait plus répondre aux attentes du gros hommes, plus jamais, il le devait pour sa femme.
Dans cette position, il avait une vue imprenable sur son cul, il lui avait caressé les fesses au point de les faire reluire, il les adorait, entre molles et dures, juste le bon milieu. Janice était superbe, avec des formes épanouies mais sans un gramme de graisse en trop. Tout en la pistonnant, il lui écarta les fesses et avisa son anus fripé dont il n'avait jamais témoigné d'intérêt, et de mémoire, jamais personne avant lui non plus.
Jusqu'alors, l'amour anal n'avait jamais été dans ses dispositions, il trouvait cela sans intérêt et surtout contre nature sexuelle. Mais avec ce qui lui était arrivé, ce qu'il avait ressenti, le plaisir qu'il en avait trouvé, malgré lui et honteusement, même si pour une personne externe il n'y en avait pas de raison, chacun ses goûts, il se demandait si Janice aimerait qu'il passe par là.
Il glissa son index dessus et sans réaction de celle-ci, complètement absorbé par l'extase qui lui prodiguait, il s'amusa à faire jouer son doigt dessus par petits ronds. Il sentait les replis de son petit trou sous son doigt et cela l'excita plus qu'il ne l'aurait cru.
De son côté Janice soufflait et gémissait la tête entre deux oreillets. son mari tenait la forme et elle n'en appréciait que plus. Elle s'était dit qu'elle le laisserait faire ce qu'il veut pour cette nuit d'audace de lune de miel. Lorsqu'elle sentit qu'il jouait avec son petit trou, elle faillit lui dire d'arrêter, elle s'était toujours refusé qu'on passe par là avec la peur d'avoir mal d'abord et ensuite, elle était si sensible du vagin qu'elle jouissait à répétition lorsqu'il la baisait. Alors pourquoi faire cela derrière ?
Le plaisir monta rapidement depuis les reins de Florient, s'être amusé avec cet endroit secret et inviolé qui jusqu'alors ne l'avait pas intéressé avait enflammé son imagination. Au moment où il tenta de pousser son index dedans, il sentit le plaisir grimper si vite qu'il ne pu se contenir et se déversa dans le ventre de sa femme, s'affalant à moitié sur elle.
Le couple s'endormit ensuite assez rapidement lové l'un contre l'autre...
***
Etrangement, la journée suivante se passa sans que rien ne la gâche pour ce gentil couple d'amoureux. Comme cela aurait du se passer depuis leur arrivée surtout...
Pendant ce temps, Krit et Rasaï, le duo de choc de l'hôtel, glanèrent le plus d'infos possible. Mais la petite garce tournoyait autour de la belle asiatique à la recherche du moindre faux pas pour en faire un rapport au directeur. Ce qui agaçait au plus haut point la demoiselle en question. Mais elle serrait les dents et courbait le dos, après tout, si ce qu'avait dit Hernest était vrai, dans quelques temps elle ne ferait plus partie du personnel...
Ils n'avaient pas réellement confiance dans le gros homme, le soir venu, il décidèrent de faire un topo sur le contenu de ce qu'ils avaient pu glaner. Les nouvelles 'étaient effectivement pas bonnes. Krit avait pu mettre la main sur plusieurs documents éparpillés, les dépenses étaient bien supérieures aux rentrées, malgré les coups de pubs pour faire venir le client. Et ce n'était que le haut de l'iceberg
Mais ce n'était pas suffisant pour prouver les malversations du directeur, il fallait encore fouiller et même tenter d'aller dans les coffres et tiroirs fermés. Rasaï n'en avait pas trop l'occasion, suivit de trop prêt par l'enquiquineuse. Krit avait plus d'aisance de mouvement, pas mal d'amis à l'hôtel qui lui devaient des services, le soir même il se promit de faire les poches du dirlo, façon de parler.
Sauf que ce soir là, Malee lui demanda de passer la soirée en famille, bon gré mal gré, il se plia à la demande de sa future femme et fit le beau pour plaire à sa future belle-famille. Les yeux accusateurs de la grand-mère de Malee le suivait tout le temps. Elle n'acceptait qu'à demi la présence de Krit ici. Certes, il était le meilleur parti que sa petite fille avait pu trouver dans le coin, tous les hommes n'étaient pas parfait, loin de là, et son feu mari pas le premier non plus, mais elle avait rêvé un homme meilleur pour la petite Malee.
Krit ne savait pas trop sur quel pied danser, il appréciait Malee, mais elle ne l'attirait pas plus que cela. Il voyait surtout la sécurité familiale après celle de son boulot. Il avait une envie folle de foutre à poil la belle, lui apprendre les choses du sexe et ensuite ? Il ne le savait pas lui-même. Tant de filles n'étaient plus vierge à leur mariage, mais sa fiancée, pétrie de règles ancestrales, avait toujours refusé d'aller plus loin que quelques baisers et caresses. Krit en voulait à la grand-mère de Malee, il était certain qu'à son âge, elle avait du faire les 400 coups avant de convoler en noces ! Ce qui, en réalité n'était pas faux, mais personne n'était plus là pour l'affirmer.
Malee quand à elle était éperdument amoureuse de Krit, il était si beau, si masculin, si sérieux, elle adorait le voir à son travail, un grand hôtel, imaginez-vous ! Elle se voyait déjà plus tard avec sa ribambelle d'enfant se ventant de la position de son mari, au lieu de la plupart des chômeur vaquant à des petits boulots ici et là. La région était pauvre et la sécurité de l'emploi précaire. Elle serait mère au foyer, comme sa mère et sa grand-mère, voilà son avenir.
Krit finit par laisser sa future belle famille et ne pouvant rester dormir avec sa promise, ce qu'il aurait bien aimé faire plus d'une fois, et plus si affinité, il du s'en retourner chez lui. Mais au lieu de cela, en pleine nuit noire, il revint à l'hôtel à travers champs. De toutes manières la plupart du temps, il passait sa vie là-bas.
Il n'y avait plus guère de monde en service, les clients dormaient, les employés aussi et même lui baillait à qui mieux mieux. Rasaï lui avait expliqué comment entrer chez le directeur. Les bureaux étaient vides, mais il prit tout de même ses précautions. Avec lenteur et discrétion, muni d'une casquette, de gants et d'un fouloir sur la visage, tel un voleur, il s'employa à farfouiller partout où il avait accès. Il ne pouvait photocopier les documents, alors avec le plus de discrétion possible, il les prit en photo caché sous un bureau ou dans un placard.
Enfin, il passa dans le bureau de son patron. Il avait une certain crainte à se faire prendre. Ce n'était pas tous les jours qu'on bafouait le règlement interne, enfin comme si c'était la première fois, mais tout de même là, c'était presque de l'espionnage industriel, comme il l'avait vu à la télé...
***
Krit n'avait pas beaucoup dormi et le réveil fut assez dur. Mais à peine debout il chercha son amie pour lui raconter ses découvertes. il du attendre pour la trouver seule et avec fébrilité il lui montra les photos prises par son téléphone. Tout ce qu'avait dit Hernest était vrai. Le directeur, sur de son impunité, n'avait pas fermé à clé son bureau et dedans il avait trouvé plusieurs preuves que l'hôtel serait revendu à bas prix pour rénovation ou destruction. La petite close précisant que tous les employés seraient remplacés par ceux de l'entreprise reprenant l'avait empêché de dormir.
Saraï maudit son patron et ses airs supérieurs, ses chantages pour avoir leurs faveurs à elle et aux autres filles. Un beau pourri qui les avait mis dans la merde surtout et qui allait se barrer avec un max de fric !
- Il faut avertir Hernest tout de suite et lui montrer tout cela
- Tu l'as vu ce matin ?
- Je viens de prendre mon service
- Je vais aller toquer à sa chambre, il est peut-être réveillé
- Je viens avec toi
- Mais et ton poste ?
- Je vais chercher Lucia, je lui dirai qu'un client a demander un service, elle comprendra
- Ok
Une bonne poignées de minutes plus tard, il était presque 10h00 du matin, Krit et Rasaï toquèrent à la porte de la chambre d'Hernest. Ils entendirent des bruits et frappèrent à nouveau à la porte.
- C'est pour quoi ? Entendirent-ils
La voix était grognon et pas très contente du tout à première vue
- C'est nous, cria Krit, c'est pour le service que vous nous avez demandé, c'est assez urgent
Il attendirent, il était prêt à déclamer leur identité lorsqu'ils entendirent
- Vous avez votre passe ? Je suis occupé... Venez et ne vous formalisez pas !
Kriss sorti son pass de sa poche et le fit glisser sur la serrure électronique. A peine dans le couloir qu'ils entendirent des grognements, Rasaï et Krit se regardèrent puis avancèrent dans la chambre. Rasaï ouvrit tellement a bouche de surprise qu'elle aurait pu gober les mouches et Krit lui eu un sourire sardonique en voyant la scène.
- Non, non, arrêtez, pas devant eux... gémit honteusement Florient allongé sur le dos sur le lit d'Hernest. Il cacha son visage de son bras
- Tais-toi donc, grogna le gros homme aussi nu que l'autre, coincé entre ses jambes, son sexe allant et venant dans le cul du jeune marié. Alors, qu'y a-t-il de si urgent, grogna-t-il sous l'effort aux deux asiatiques comme si la situation était tout à fait normale
- Nous... nous avons trouvé des informations... Murmura Saraï immobile fixant Florient offert aux "bons soins" de son futur employeur, enfin elle regardait surtout son sexe dur qui se balançait en fonction des coups de butoir qu'il recevait dans son fondement
- Déjà ? Je suis fier de vous.... Approchez, n'ayez pas peur, après tout vous saviez déjà ce qui se passe entre-nous ! Je l'ai croisé en voulant déjeuner, et profitant que sa petite femme est partie se faire une beauté au centre pédicure, je me suis qu'un peu de sport...
Il releva un peu plus les jambes de Florient et Rasaï pu mieux voir son sexe violacé sous son gros ventre défoncer l'anus de ce si bel étalon. Car oui Florient était bien battis,
musclé comme il faut, joli et très attirant. Elle l'avait évalué dès son arrivée ici, mais à aucun moment elle n'aurait imaginé le trouver dans cette situation choquante. Et pourtant en matière de sexe, elle n'était pas née de la dernière pluie.
- Enfin, vous auriez pu attendre un peu pour m'en parler, souffla-t-il en s'activant par petits coups.
- Désolé
- Bon ce n'est pas grave
Il se retira, sa bite tendue et luisante de gel devant lui comme un gladiateur prêt au combat
- Toi le barman, prend ma place pendant que je consulte les infos, tu verras il est encore serré. Il faut bien l'assouplir régulièrement, sinon il va oublier comment c'est bon !
- Nonnnn, gémit Florient voulant cacher sa nudité par les draps
- Jamais de la vie s'insurga Krit qui n'avait jamais enculé un homme
- Allons, allons, pas de ça avec moi, un cul c'est un cul, et celui-ci n'attends que toi ! Il frappa la cuisse de Florient, et toi tu fais ce que je te dis, allez met toi à quatre pates, plus tu traînes, plus ta femme te cherchera ! Tu n'aimerai pas qu'elle te trouve en si bonne compagnie, non ?
Rasaï était éberlué de la manière dont il traitait cet homme et encore plus comme l'autre se laissait faire. Elle n'aurait jamais cru cela de lui. En le voyant, on le pensait pouvoir diriger sa vie et le monde, passer tous les obstacles qui pouvait tomber sur son chemin, pas... se laisser faire ainsi.
- Bon, on va pas y passer la journée. Prends ça comme un apéritif avant de te taper sa femme ! Et puis comme ça, il ne pourra plus jamais rien te refuser...
- Nooon, gémit encore Florient. Il reçu une nouvelle claque sur le cuisse
Et malgré lui il se mit à genoux, offrant à la vue du couple d'asiatique son cul blanc dont les poils de son fessier étaient collant par le gel intime utilisé par Hernest. Dessous, ses couilles pendaient ainsi que son sexe.
- Krit, tu ne vas quand même pas...
Celui-ci hésita et rencontra le regard d'Hernest. Il comprit que s'il voulait tenir à son futur emploi, il n'avait pas trop le choix. Il lui tendit son téléphone.
- Montre-lui, dit-il en s'approchant de Florient et sortant son sexe pas complètement si mou que cela.
- Punaise, belle bête souffla Hernest, tu en caches des choses dis donc, tu devrais tourner dans des films pornos, tu gagnerai plus ta vie qu'ici
Il se mit à rire et s'approcha de Rasaï qui recula d'un pas, la menace du sexe tendu sous la graisse adipeuse lui faisait un peu peur
- Montres moi ça, il lui prit le téléphone des mains et commença à étudier les documents pris en photos
- Ahhhh, c'est trop gros fit une fois sur le lit
Rasaï s'approcha. Elle était habitué au membre de son amant mais pas ce jeune marié. Heureusement qu'il avait été préparé par son tortionnaire, comment l'appeler autrement. Elle resta figé sur place, elle n'avait jamais été témoin de ce genre de scène. Sans le vouloir vraiment elle caressa le bas du dos de l'étranger et un petit frisson électrique traversa sa peau. Il était si musclé, même du dos. Soudain, il fut projeté en avant en gémissant, Krit venait de plonger sa jolie queue épaisse et longue bien profondément dans son cul.
- C'est vrai qu'il est serré le bougre
Il regarda Rasaï avec une sorte de gêne
- Je ne voulais pas...
- Pas de soucis, moi j'ai l'habitude, allez, défonce le qu'on en finisse...
Pourquoi avait-elle sortie ça ? Elle sentit son ventre cuire tout à coup, voire ce jeune marié asservi ainsi la dérangeait plus qu'elle ne le pensait mais surtout elle en était excité.
- Et il bande le cochon !
C'était la première fois que Krit sodomisait un mec, si on faisait abstraction de son physique, la sensation ressemblait beaucoup à une sodomie classique. Il prit donc Florient par les hanches et poussa son bassin le plus loin possible avant de se retirer complètement, puis il se replongea encore et encore.
- Ahhh, ahhh, ahhh criait ou gémissait Florient, entre douleur et saveur.
Rasaï s'assit sur le bord du lit, faisant glisser ses doigts sur Florient dontc le corps était secoué par les coups violents de Krit dans son cul. Elle se pencha et attrapa le sexe du jeune marié. Il était dur, il bandait fort, il aimait se faire enculer à n'en pas douter. Elle le branla de ses petits doigts et subitement passa sa tête sous son ventre et goba la bite offerte.
Florient surpris, sentit son cul devenir encore plus brûlant et en même temps une douceur incroyablement humide et tendre entourait sa bite. Il se faisait sucer et enculer en même temps par le personnel de l'hôtel. Pour le moment sa raison n'enregistrait pas l'info mais ensuite, les conséquences pouvaient être considérable si femme l'apprenait.
- Hum, intéressant, lança Hernest, puis se retournant. Ben faut pas se gêner !
Il rit d'un rire sonore et gras.
- Il est à ton goût le jeune marié ? Non ne réponds pas, termine ce que tu as à faire.
Il claqua les fesse de Krit qui, surprit, faillit lui en coller une.
- humm, si après ça il ne s'ouvre pas à l'approche d'une bite, je rend mon tablier. Pauvre jeune mariée, si elle savait.
- Elle a but mon jus la salope
- Hein, quoi ?
Krit lui raconta l'épisode du cocktail et Hernest en rit de plus belle.
- Et maintenant tu te tapes son petit mari, tu rêves de te la faire, n'est-ce pas ?
- Punaise, vous avez-vu ses seins ? Comment elle les affiche auprès de la piscine, je vais la baiser c'est sur ! Hein, tu entends, je vais me faire ta femme et elle va crier de plaisir, tu verras, un peu comme toi là, regarde, sent là, sent là bien !
Hernest fit le tour du lit, grimpa dessus à genoux et tira sur les cheveux de Florient
- Tu déguste, hein ? Attends, je crois que c'est encore libre ici...
Et il poussa sa queue entre ses lèvres.
- N'éjacule pas dans son cul, je crois qu'il a très soif le mignon.
Florient impuissant, faisait tourner ses yeux dans ses orbites. Malgré toute la honte qu'il subissait, son sexe n'avait jamais été si dur, la petite asiatique le suçait encore mieux que sa femme. Il ne put se retenir et éjacula, elle se libéra au dernier moment et le sperme s'écrasa sur les draps.
- Houaaa, tu lui as fait de l'effet. Ricana krit.
- Il n'y a pas de raison, vous vous amusez si bien.
Hernest grogna, teint la tête du jeune marié entre ses mains et en deux grands coups se vida au fond de sa gorge.
- Punaise que c'est trop bon. Il tapota la joue de Florient. Et tu crois vraiment qu'à ton retour dans ta petite maison tu pourras échapper à tout cela ? Tu rêves mon gars, tu vas en redemander, tu verras !
Krit se retira rapidement et tira Florient vers sa queue.
- Allez suce-moi petit blanc, suce moi !
Rasaï lui poussa sa tète pour que ses lèvres touche le gland de Krit qui disparu d'un coup de bassin dans sa bouche, Florient eu un haut le coeur, trop grosse, trop loin et soudain du sperme coula à la commissure de ses lèvres, Krit venait de décharger.
- Bon, bon, allez toi va te nettoyer, ta femme t'attend, et nous, on a du boulot, ce que vous m'avez amené n'est pas mal du tout.
Florient tituba jusqu'à la salle de bain complètement détruit, comment cela pouvait-il empirer encore plus.
- Et, petit enculé, dans le sens propre du terme, ajouta Hernest d'un ton ironique, je te conseille fortement de ne pas empêcher mon ami de baiser ta femme, après tout, tu la trompes bien. Et il se mt à rire une nouvelle fois.
***
Florient était à la limite de la crise de nerfs. Lui qui pensait ne pas descendre plus loin dans la décadence et l'humiliation, voilà que maintenant il était la victime de trois tortionnaires jusqu'à son départ d'ici.
Il fut obligé de prendre une douche rapide tellement il puait le sexe. Les larmes coulaient toutes seules. Il ne se reconnaissait plus, lui le gars sûr, que rien ne pouvait ébranler. Depuis cette nuit terrible à peine arriver sur leur lieu de vacances, tout avait basculé. Comment pouvait-il ainsi se laisser faire ? Comment sa volonté fondait comme neige au soleil face aux ordres de cet homme si gros et gras ? Et pourquoi y prenait-il du plaisir ? Il était épuisé. Et cette main fine, douce, délicate et puis cette bouche, sur son sexe... Plus ces vacances s'éternisaient, plus ses résolutions volaient en éclats.
Quelle relation véritable pourrait-il construire avec Janice en baisant à qui mieux mieux dès qu'elle avait le dos tourné. Et maintenant l'autre voulait baiser sa femme ! Alors là pas question, ils pouvaient faire ce qu'ils voulaient de lui, mais ils n'avaient pas le droit de toucher à Janice. Rien qu'à penser que leurs mains pouvaient toucher sa peau, ses seins, ses fesses, et... Merde, que lui arrivait-il, il commençait à bander ! Il passa de la douche chaude à glacer pour se refroidir. C'était quoi ses pensées lubriques et hors de propos ? Non, il ne devait pas intégrer Janice dans cette perversion, il payait déjà trop fort le prix de sa décadence.
Il repassa à sa chambre pour prendre un paracétamol, il avait mal partout, ne se sentait pas bien du tout autant physiquement que mentalement. Il tremblait rien qu'à l'idée de revoir ce duo diabolique en plus du gros homme maintenant. Mais il ne pouvait ni partir d'ici sans raison, ni se réfugier dans sa chambre à longueur de journée. Il devait faire semblant que tout allait bien dans le meilleur des mondes pour que Janice ne se doute de rien. Oui, c'était ça, il devait protéger sa femme et tant pis pour le reste.
Il se regarda dans un miroir et fut surpris de voir son visage émacié. Avait-il perdu du poids ? Ou étais-ce la fatigue ? Et puis ce regard ? On aurait dit un de ces ados au collège qui n'osait pas l'ouvrir, le souffre douleur de la classe. Ce n'était pas lui, non pas lui du tout... Alors pourquoi ce gros homme le mettait-il plus bas que terre sans qu'il ne puisse rien faire pour s'y opposer ? Il avait lu quelque part que chacun garder en soi un partage domination/dominé, mais lui avait toujours montré un fort caractère, un mur entre lui et le reste du monde. Sauf plus petit, face à son grand frère, chômeur et ivrogne qui le battait et le rabrouait sans cesse. Le jour où il n'était plus revenu chez eux l'avait soulagé. Est-ce que cela avait-il un lien avec ce qu'il vivait maintenant ? Est-ce que sous sa carapace il restait un ado dominé aimant recevoir des ordres ?
Il retrouva sa femme à la sortie du centre de beauté de l'hôtel. Puis il passa le reste de la journée sur le qui-vive tentant de ressembler le plus possible au mari aimant et sur de lui qu'il était avant. Il tiqua lorsque Janice refit son numéro de topless à la plage cette fois-ci, il sentait le regard de Krit quelque part en train de mater sa femme. Non, il ferait son possible pour la protéger de ce pervers.
***
- Tu crois qu'il pourra reprendre l'hôtel ? Demanda Rasaï à son amant occasionnel
- J'espère bien, sinon mon mariage tombera à l'eau et je serai à la rue à refaire les 400 coups pour pouvoir vivre
- Et moi donc... Je n'ai aucun avenir à part ici, les demandes d'emplois se multiplient dans les autres complexes hôteliers de la région, alors autant rêver que d'y trouver une place
- Moi j'aimerai bien savoir où il a mit son petit pécule le directeur
- A la banque bien au chaud sûrement
- Il doit tout de même avoir une réserve dans le coin, juste au cas où, pour ses dépenses courantes
- Tu n'as quand même pas idée de le cambrioler ? Que va en penser Hernest si tu te fais prendre ?
- Non, non j'émettais juste l'idée... Mais ça serait bien fait pour lui quand même.
- Au fait... réponds si tu le souhaite, mais j'aimerai savoir, ça t'a fait quoi de... enfin d'enculer un mec ! Toi qui ne voulais pas en entendre parler, tout ça quoi
Elle lui sourit avec des yeux pétillants
Krit fut surpris par la question, il regarda le paysage avant de répondre
- En soi, cela n'est pas différent que lorsque je le fais à une femme, mais de pense qu'en dessous il y a une paire de couille qui pendent, je t'avoue qu'au début ce fut assez dur.
Si Hernest ne m'avait pas mis la pression, jamais je ne l'aurais fait.
- Pourtant tu bandais dur, ajouta-t-elle pour le taquiner en frappant son épaule
- Tu peux parler, tu as vu comment tu t'es jeté sur sa bite.
Elle éluda la remarque
- Tu vas recommencer ?
- Je préférerai me taper sa jolie femme, elle me nargue avec ses gros seins, tout le monde la matte, clients compris...
- J'avoue qu'elle est très jolie, comparé à elle, je fais pale figure
- Tu te trompes, pour moi tu es la plus belle du monde, avoua krit la regardant dans les yeux
- Alors pourquoi tu ne te maries pas avec moi ?
Elle plaqua aussitôt ses mains sur sa bouche, Krit ouvrit de grands yeux, Rasaï n'avait pas cru que sa pensée dépasserait ses lèvres. Avant qu'il ne puisse répondre, elle le poussa et s'enfuit en courant.
Krit resta là, interdit, se marier avec Rasaï ? Jamais l'idée de lui était venu à l'esprit. Ils étaient si proche, se connaissaient par coeur, avaient le même goût pour le sexe, ne s'embêtaient pas de chichis. Et elle était si belle, fluette, menue, avec des petits seins tout mignons, un visage d'ange. Tandis que Malee... Elle ne l'attirait pas plus que cela, l'idée surtout de la déflorer l'excitait, mais ensuite ? Il apportait plus à sa famille que l'inverse.
Pourquoi Rasaï lui avait-elle dit cela ? Et vu son comportement ce n'était pas une blague. Le pensait-elle vraiment ? L'avait-elle envisagée ? L'aimait-elle tout simplement ? Et lui sans arrêt qui se vantait de vouloir baiser la blonde aux gros seins, que devait-elle penser de lui ? Avant cela, cela ne le dérangeait pas de parler plan cul avec elle, mais maintenant, cela changeait tout entre eux deux.
Il du repartir avec ses pensée à son travail, alors comme ça la petite Rasaï en pinçait pour lui ? Mais quel imbécile il était, elle s'était offerte à lui tant de fois et avec passion. L'avait-il déjà vu avec un autre homme hormis le directeur ou les clients occasionnellement ? Non, elle n'avait pas de relation fixe... à part avec lui ! Sinon elle lui aurait dit. Merde, Rasaï et lui, lui et Rasaï ! C'était impossible, jamais ils ne pourraient être fidèle, jamais ils ne pourraient être ensemble. Il était engagé et elle... était seule !
Rasaï évita Krit le reste de la journée. Elle s'en voulait d'avoir sorti cette phrase. Plus jamais il ne la regarderait de la même façon. Et puis ce n'était pas plus mal, il fallait arrêter le sexe avec lui, il allait se marier et elle se trouverait un mec sympa, avec un bon boulot, ou comme elle le disait en rigolant, pourquoi pas un touriste riche. Mais le coeur n'y était pas.
Hernest de son côté n'était pas en reste. Il passa la journée à faire des plans, passer des coups de fils, se déplacer même, bref, il commecait à tendre les fils de sa toile pour ne pas louper une seconde affaire dans la région.
***
Janice voyait bien que quelque chose n'allait pas avec Florient. Il regardait tout le temps derrière son épaule comme si quelque chose le tracassait.
- Cela ne vas pas ? Lui demanda-t-elle tout de go comme à son habitude
- Non, non, tout baigne
- Pourtant tu as l'air anxieux depuis un moment
- C'est que... L'autre soir, j'ai été alpagué par un vendeur à la sauvette, tu sais comme...
- Comme au village ?
- Oui voilà, c'est ça, et je l'ai repoussé un peu, comment dire, rudement
- Tu l'as frappé ?
- C'était pas méchant, j'avais bu et il était un peu trop insistant, limite qu'il m'aurait dépouillé
- Et c'est pour cela que tu regardes tout le temps autour de toi ?
Florient était admiratif de la manière dont il arrivait à mentir à sa jolie femme, il ne se connaissait pas de talent.
- Nous sommes des touristes et des proies faciles, je préfère éviter qu'il se repointe seul ou avec ses potes
Janice lui sourit, rassurée
- Ne t'en fais pas, ils doivent en croiser tous les jours des touristes, se faire refouler doit faire partie de leur quotidien
- Je serai rassuré que lorsque nous serons dans l'avion, pas avant
- Tu as si peur que cela, toi ? Le grand costaud ?
- Tu as peut-être raison, je dois me faire des idées
Et surtout être moins stressé devant elle, ajouta-t-il intérieurement. Mais comment ne pas l'être dans la situation actuelle.
- J'ai envie de toi, murmura-t-elle collant sa poitrine nue contre lui.
Il sentit ses tétons durs contre son torse. Comment lui dire qu'il était si fatigué qu'il ne pensait pas pouvoir finir.
- Ici ? S'amusa-t-il. Cela ne serait pas très discret.
- Il suffirait de retourner à notre chambre...
A ce moment Krit arriva un plateau à la main et un grand sourire sur le visage
- Oups, désolé de vous déranger messieurs dames, je venais récupérer les verres.
Janice se recula de Florient et lui sourit en retour, elle ne rata pas le regard de Krit sur sa poitrine. Amusée, elle bomba le torse pour mieux montrer ses seins et les tétons tout durs. Et comme elle ne portait qu'un bas très échancrée, elle se trouvait quasi nue aux yeux de Krit qui sentait sa bite durcir dans son short de travail.
- Je crois que je lui fais de l'effet, roucoula-t-elle à l'intention de son mari une fois le serveur barman repartit.
- Tu ne... devrais pas jouer à ce petit jeu, rétorqua Florient
- Jaloux ? Mumura-t-elle en lui mordillant le lobe de l'oreille
- Tu es plus qu'attirante, surtout dans cette tenue
- Je suis en vacances, à la plage et je ne reverrai plus de ma vie tous ces gens, alors qu'ils se rincent l'oeil, pour ma part, seule ta queue m'intéresse... Mais si tu préfères, je peux lui demander, murmura-t-elle en indiquant le serveur
Florient fut prit d'une colère noire qu'il réprima aussi vite, Janice jouait avec le feu à astiquoter ainsi les mecs en rut autour d'elle.
- Ohhh, tu es jaloux !
Elle se méprit sur le regard de son mari
Discrètement, elle frotta sa main sur l'entre-jambe de Florient et le sentit gonfler.
- J'ai bien envie de prendre une douche, il fait si chaud ici...
Reprenant son sac de plage, elle tortilla du cul et se retourna qu'une seule fois pour attendre Florient. Une boule au fond du ventre, il lança un regard noir à tous ceux qu'il croisa pour leur faire comprendre d'arrêter de mater sa femme, peine perdue, les yeux continuaient à dévorer les seins ou le cul de Janice.
Krit bandait fort dans son short, cette blondasse le chauffait vraiment grave, il aurait aimé être à la place de son minet de mari, histoire de lui mettre son gros dard entre les fesses aussi. Tiens, c'était une idée ça, en plus de la baiser, il l'enculerait jusqu'à la faire crier de plaisir. Puis il repensa à Rasaï, il la chercha des yeux, elle devait être à l'accueil, pas le choix, c'était son heure de travail.
Même si Florient avait l'esprit troublé, qui pourrait résister à Janice lorsqu'elle était aussi chaude ? Il lui fit l'amour dans la baignoire en fin de compte, mettant de l'eau partout mais il n'en avait cure, elle voulait du sexe, elle en aurait. Il se défoulait sur elle, effectivement jaloux du regard des autres sur sa plastique, sans penser à ce que lui avait promit Krit, il la voulait et il ne devait rien faire pour l'en empêcher.
Il mit du temps à se vider en elle, mais au final, c'était bien lui son mari, bien lui qui la faisait jouir, bien lui qu'elle aimait.
***
Rasaï rougit lorsque son ami vint la trouver. Elle était mal à l'aise et fit semblant de ne pas le voir, ce qui était difficile.
- Il faut qu'on parle, annonça-t-il timidement, ce qui lui arrivait rarement
- J'ai... du travail, répondit-il l'évitant, pourtant elle avait envie de le regarder dans les yeux
Krit maugréa, il n'aimait pas ce genre de situation, il était mal à l'aise.
- Pour tout à l'heure...
- C'était une blague, mentit-elle gauchement en triant des papiers, ne t'en va pas croire que toutes les filles te tournent autour
- Ah... une blague...
- Oui c'est cela, juste une blague, elle vit du coin de l'oeil que son ami était à la fois déçu et blessé
- Bon, dans ce cas... Je vais te laisser travailler
- Oui, c'est ça
Quelque chose de tragique se passait dans leur amitié, et plus si affinité, Rasaï comme Krit le sentaient, où était passé leur complicité ? Jamais il n'y avait eu de mur entre eux deux? C'était comme cela que leur relation devait devenir ? Encore plus avec le mariage de Krit ?
Rasaï vit son ami reculer puis partir, son coeur se serra et ses yeux brillèrent près à pleurer. Mais c'était mieux ainsi, qu'il vive sa propre vie et qu'il la laisse tranquille. Elle trouverait bien un mec sympa, elle aurait des gosses et se rangerait comme le font toutes les femmes du pays.
Elle frotta ses yeux heureuse qu'il n'y ai ni client ni la pétasse de service dans le coin. Seule, au moins elle pourrait réfléchir à son avenir ici et à ses amours. Lorsqu'elle ouvrit les yeux, elle trouva Krit à nouveau au comptoir, elle fut surprise et recula.
- Je te fais peur maintenant ?
- non, non...
- Alors pourquoi tu pleures ?
- J'ai... une poussière dans l'oeil
- Menteuse
- Laisses moi, j'ai du travail
- Rasaï, je t'aime...
La jeune fille le regarda bouche bée, son coeur gronda dans sa poitrine, une chaleur remonta jusqu'à ses joues et les colora.
- Krit... ne me dit pas cela, tu vas te marier avec Malee.
- J'ai beaucoup réfléchi après ce que tu m'as dit... Il avait du mal à parler, à avouer ses sentiments, à trouver les mots. Je n'aime pas Malee, pas comme il le faudrait pour me marier avec elle. Je ne la rendrais pas heureuse. Toi et moi, c'est pas pareil du tout, on est si proche que beaucoup on cru que l'on était en couple. Cela m'amusait, on en rigolait, on était juste des amis. Mais des amis qui font l'amour ensemble...
Rasaï pleurait maintenant ouvertement
- Je n'ai aucun point commun avec Malee, je vais sûrement lui faire de la peine, décevoir sa famille et ne plus affronter le regard de la vieille vipère de grand-mère
Rasaï sourit, elle attendait la suite
- Rasaï, si tu veux, on peut tenter le coup... ensemble ?
Elle lui prit les mains sur le comptoir de l'acceuil, son coeur baignait de bonheur
- Tu... es sûre ?
- Oui, il a fallut tes mots pour que je comprenne que je t'aime
Elle se jeta à son cou et l'embrassa, comme ça, devant tout le monde. Mais heureusement, il n'y avait personne
- Et la belle blonde ? la taquina-t-elle une fois remise de ses émotions
- Est-ce que... cela te gêne ? Vu ce que... ce matin
- Rasaï, arriverons-nous à changer du jour au lendemain ?
- Non, avoua-t-il, mais ensuite...
- On est deux pervers
- Oui mais deux pervers qui s'aiment
- Alors va la baiser
- Et toi tu t'occupes du mari ?
- Hum, pourquoi pas... Et pour Malee
- Je vais devoir l'affronter ce soir, et je doute que l'ambiance sera au beau fixe, tu vas perdre son amie d'enfance aussi...
- Ce n'est qu'une pucelle qui aurait eu besoin de se faire baiser au moins une fois, s'amusa-t-elle, mais elle était tout de même un peu triste
- Je pourrai la déniésier avant de rompre
- Arrêtes tes conneries, tu serais capable de la mettre enceinte ! Tu es à moi maintenant
Il lui sourit
- Mais la blondasse, cela ne te gênes pas
- Elle n'est pas du pays, elle, Malee si !
- Je t'aime
- Moi aussi et... bon courage pour ce soir !
Le coeur de Rasaï n'avait jamais été aussi au beau fixe. Ses rêves les plus secrets se réalisaient enfin. Elle et Krit, en couple... Bon certes, il ne serait pas fidèle, mais elle non plus !
La soirée fut des plus froides en effet. Krit avait prit à part Malee pour lui avouer qu'il ne voulait plus se marier avec elle. La joue marquée d'une belle gifle, il avait du s'excuser auprès de son ex-belle famille. La seule personne qui lui prit sa défense fut la grand-mère, elle préférait un homme franc qu'un menteur pour sa petite fille. Forcément, tout le monde lui en voulu, les frères de Malee faillirent lui faire sa fête, et il fuit la queue entre les jambes, un peu déçu, mais finalement extrêmement soulagé, toute cette pression sur lui et ce mariage. Malee le rattrapa avant qu'il ne quitte la maison et lui demanda pourquoi ? Il fut sincère, il ne l'aimait pas comme il se devait, ils ne seraient pas heureux ensemble. Elle aborda le sujet d'une autre et le visage de Krit lui donna sa réponse.
Son autre joue marquée, Krit revint à l'hôtel retrouver Rasaï. Ce soit là, il dormit avec elle et lui fit l'amour tendrement et sans se cacher cette fois-ci.
****
Les vacances de Florient et Janice avançaient vite, pas assez pour l'homme, trop pour la femme. Déjà une semaine gardée dans les souvenirs, en photo et en vidéo.
Etrangement, le serveur l'avait laissé tranquille, quelque chose avait changé en lui et Florient ne s'en plaigna pas. Hernest n'était pas là non plus, ce qui fit du bien au jeune marié et au couple en général.
Le lendemain, une sortie en trimaran était prévue. Barbecue le midi, plongée, farniente et soirée devant un feu sur une plage le soir. C'était au programme de Florient et Janice, ainsi que d'autres vacanciers et de quelques locaux venus pour aider au service et cie. Tout le monde était sur le qui-vive pour ne pas la louper cette fois-ci. Le mois dernier le bateau avait eu un problème mécanique en pleine mer et cela avait compliqué les choses pour le retour sans compter les clients râleurs.
Pour ce jour un massage complet et un cours de plongée étaient prévus. Faute de place ils devaient le faire en alternance. Florient et Janice furent donc séparés.
La jolie blonde fut conduite vers une pièce intime, avec musique locale, encens, ambiance feutrée et satinée, bref, comme sur les brochures et autre revues de luxe.
Une jeune femme à peine sortie de l'adolescence lui demanda de se mettre nue sur la table. Elle s'allongea donc sur le ventre, la tête posée sur une serviette douce et pliée, un linge sur le creux des reins et une plus grande sur le reste du corps. Elle était chaude, c'était apaisant.
Krit, qui avait graissé la pâte à son collègue, entra et se présenta
- Bonjour Madame, je serai votre masseur aujourd'hui, je m'appelle Krit
Janice fut surprise, un homme ?
- Vous n'étiez pas serveur ou barman ? Osa-t-elle demander
- Vous savez ici, il faut savoir tout faire. Cela vous gênes, si vous voulez je peux demaner à quelqu'un d'autre, Maurice ou bien Maniok
Que des hommes pensa Janice, et puis tant pis, de toutes manières elle montrait ses seins sur la plage depuis plusieurs jours et ce jeune serveur l'avait déjà reluqué des pieds à la tête.
- Non ça ira... Vous pouvez y aller
Etait-ce une invitation ? Krit baissa l'intensité de la lumière, la pièce était maintenant dans la pénombre quasiment seulement éclairé par les bougies odorantes.
Bien entendu, il bandait déjà.
Il fit jouer son professionnalisme et massa Janice comme un pro. Mais il ne perdait pas une miette du corps de la jeune femme autant avec ses yeux que ses mains. Rassurée, la jeune femme se laissait faire tombant peu à peu dans un semi-sommeil. Entre les massage, la pénombre, l'odeur entétante de cet encens et la chaleur de ses mains professionnelles sur sa peau, il ne lui en faudrait pas beaucoup plus pour s'endormir.
Krit avait commencé par les épaules, puis le dos, la chute de rein puis était passé aux pieds, aux chevilles, remontant doucement vers le creux du genoux et enfin les cuisses. Il devait prendre sur lui pour ne pas sauter sur la jolie blonde. Il la dévorait des yeux, sa peau luisante d'huile de massage avait pris une couleur dorée sous le charme des bougies.
Ses mains glissèrent plus haut sur les cuisses de Janice, normalement le massage aurait du s'arrêter là enfin normalement.
Il tenta le tout pour le tout, si la touriste disait quelque chose il inventerait un excuse et puis voilà. Doucement ses doigts massèrent les hanches de Janice puis remontèrent dans le creux des reins. Délicatement, il repoussa la petite serviette fine de coton plus haut sur le dos. Janice ne broncha pas, il sourit. Il avait devant ses yeux les deux globes dorés du cul de la femme qu'il désirait baiser.
Du bout des doigts glissant d'huile de massage, il s'aventura en terrain défendu de manière de plus en plus osée. Il observait la réaction de la jeune femme et fut surpris de constater que sa respiration s'accélérait. Centimètre après centimètre, ses doigts agiles glissaient maintenant sur les deux fesses de Janices. Il remontait vers les hanches ou les reins, le bas du dos, les cuisses, puis revenait glisser sur les fesses offertes. Il entrevit de là où il était, les lèvres glabres du sexe de la jeune femme et tirant lors d'un passage, il aperçu dans la raie des fesses, l'eoillet sombre de son anus. Le temps s'étirait et Krit aurait voulu rester là pendant des heures à s'enivrer du corps de la jeune femme.
La peau de Janice avait subit plus de massage en ce moment que dans toute une vie. Elle ne savait pas quel service elle avait droit réellement, et lorsque le serveur barman c'était attaqué à sa croupe, elle avait hésité à le révoquer, mais pour le moment, hormis de petit défaut, car pour elle, et elle avait raison, il n'aurait pas du s'attarder là, il n'avait rien fait d'autres que passer ses mains d'une manière professionnelle sur son postérieur. Cela ne lui était pas venu à l'esprit qu'il avait une jolie vue sur son intimité.
Elle le sentit passer et repasser sur ses fesses et cette fois-ci des doigts glissèrent discrètement dans sa raie, ce fut rapide, fugace, léger. Elle tressaillit, elle sentit un frisson électrique remonter son dos jusqu'à sa nuque. Elle se crispa, il ne recommença pas. Elle fut à la fois soulagé et... frustrée.
- Retournez-vous.. s'il vous plait, murmura la voix de l'homme quelque peu enrouée.
Elle sentit qu'il replaçait la serviette sur son postérieur. Se retourner ? Il allait tout voir devant ? Ses seins ? Enfin pas plus qu'à la piscine. Elle attendit, il ne bougeait plus.
Doucement, elle se mit sur le côté puis sur le dos, il lui sourit, elle aussi. Elle se sentait étrange, nue malgré la serviette, devant cette homme, jeune et pas vilain du tout, exotique. Mais son corps montra des signes d'anxiété.
Il prit une autre serviette chaude, la plia en accordéon et la posa doucement sur le haut de son visage. Elle soupira, cela faisait du bien, même si la pièce était déjà très chaude, mais au moins elle ne le verrait pas.
La jeune femme, contre toutes attentes, avait accepté de se retourner, elle lui offrait la vue de sa poitrine nue luisante de sueur. Il bandait encore plus. Krit déglutit, il commença pas lui masser les épaules, puis les bras, il sentait une certaine tension chez la jeune femme. Il avança ses doigts sur le haut de sa poitrine, elle respira plus fort, c'était léger, mais il le sentait sur ses poignets. Il fit chauffer de l'huile dans ses paumes et délicatement, il commença à lui masser l'échancrure de ses seins, il l'observait, il vit que les tétons se dressaient, il passa ses mains de chaque côté de la poitrine, sur ses côtes, le ventre de Janice puis remonta doucement sous les seins. La poitrine de la jeune femme se soulevait et s'abaissait moins naturellement, enhardit, ses doigts palpèrent les seins par l'extérieur puis il glissa dessus, sentant les tétons effleurer sa peau. Janice laissa échapper un léger soupir, Krit exultait, aussi salope que son mari celle-là, peut-être que, avec un peu de chance, il la posséderait maintenant
Janice était heureuse de ne pas pouvoir regarder le jeune masseur, il était si doux, ses mains si chaudes, ses caresses la mettait en émoi, elle sentait qu'il approchait de plus en plus de ses seins et lorsqu'il passa dessus, une fois, deux fois puis franchement son corps se mit à trembler et à chauffer.
il la pelota avec cette huile qui sentait si bon, elle ne put empêcher son souffle de s'accélérer. Il lui frottait les tétons maintenant, ses doigts glissaient, plus bas, sur son ventre, revenaient sur sa poitrine, elle avait du mal à respirer, son coeur brulait et pas que cela, entre ses jambes son sexe bouillonnait.
Depuis combien de temps se faisait-elle masser ? Aucune importance, c'était vraiment à la fois relaxant et si érotique... Oui, mais ce n'était pas son mari, c'était un masseur, celui de l'hôtel, et le barman aussi. Elle l'avait vu plus d'une fois loucher sur elle, sur ses seins, elle l'avait taquiné exprès pour mettre en rogne Florient. Et maintenant il la touchait, la caressait, il prenait ses aises avec son corps. Elle devait réagir, lui dire d'arrêter. Elle sentit les doigts glisser plus bas, repousser le fin tissu cachant son intimité, oh, non pas là, il ne devait pas.
Une main revint sur sa poitrine, jouant avec un téton puis l'autre passa le cap de l'interdit, elle le sentait trembler, elle devait l'exciter, ainsi nue et offerte, la main glissa comme par gravité plus bas, passant le pubis glabre et telle une coquille se posa sur ses lèvres, glissant entre ses cuisses à peine fermées.
Janice souleva sa poitrine, c'était incongru, c'était interdit, c'était chaud, très chaud, trop chaud. Les doigts glissèrent vers le haut, avec regrets, elle l'entendait aussi respirer plus fort, l'avait-il déjà fait avec d'autres femmes ainsi ? Les doigts rampèrent à nouveau contre ses lèvres intimes, sans le vouloir elle écarta ses jambes, juste un peu, juste assez pour l'inviter à continuer, après tout, il n'y avait pas de mal, non ? C'était juste un massage, divin certes, chaud, à la limite du supportable, mais personne ne le saurait, non personne...
Krit tremblait et transpirait, il sentait le sexe chaud sous ses doigts, étaient-il humides ou était-ce l'huile qui imprégnait ses mains qui rendait sa peau si douce ? Et puis ses seins, horriblement gros, lourds, fermes et gourmands. La jeune femme ne l'avait pas repoussé, il en profiterait donc puisqu'elle ne disait pas non. Un sourire naquit sur son visage, la gueule de son petit mari lorsqu'il lui montrerait la vidéo de sa femme se faisant tripoter par lui. Et oui, il avait placé son téléphone en avance afin de pouvoir garder un bon souvenir de ce moment, mais il n'avait pas pensé aller si loin.
Il sentit sous ses doigts le clitoris tout dur de Janice à moitié caché sous son capuchon, il le frotta d'un mouvement circulaire et délaissant la poitrine, son autre main se mit en devoir de découvrir le sexe offert. Sans un poil, il était encore plus excitant, luisant, il sentait bon la femme et l'excitation. Il glissa un doigt entre les lèvres rencontrant l'humidité féminine de Janice. Elle gémit et se cabra légèrement.
Krit, emporté par son élan, écarta docilement les cuisses de le jeune mariée, pouvait-il monter sur la table et la prendre comme ça ? Maintenant ?
Janice s'enfonçait dans une moiteur remplit de sensations exquises, les doigts du masseur la rendait folle, elle ne savait comment, mais la pression qu'il exerçait sur son intimité remontait en vagues dans son ventre. Les doigts se faisaient de plus en plus inquisiteur, sans plus aucune retenue, les jambes bien écartée, Janice lui laissait une vue parfaite de son sexe. Elle sentit qu'il explorait l'entrée de son vagin, non, c'était déjà hors limite, pas dedans, elle devait lui dire. Stop, arrêtons-nous là, je ne dirais rien à l'hôtel, c'est aussi ma faute, je l'ai excité, je ne l'ai pas empêché de... Le doigt, il glissait en elle doucement longuement, entièrement. Sa vulve palpitait autour, son clitoris, il le tirait, le massait, le triturait, elle gémit.
Krit n'en pouvait plus, il était à deux doigts d'éjaculer dans son short. La sueur coulait sur se yeux, mais il ne pouvait s'empêcher d'aller toujours plus loin et la jeune femme se laissait toujours faire. Son doigt était en elle, il le fit tourner, elle était chaude, humide, plus que ça d'ailleurs, une vrai fontaine, il le fit aller et venir entre ses lèvres.
Il laissa le petit bouton tranquille et se disant que de toutes manières il était un peu tard pour reculer, il poussa son short vers le bas, son gros et long sexe apparaissant comme un ressort. Oui, il allait la baiser, cette salope qui se donnait au premier venu, devait-il lui dire que son mari la rendait cocu ? Qu'il se faisait enculer derrière son dos ? Il sourit encore, cette huile était vraiment miraculeuse. C'était un produit local qu'il avait acheté avant de venir, pas l'huile habituelle de l'hôtel, celle réalisée avec des ingrédients des plus aphrodisiaques du pays...
Janice n'en pouvait plus, elle était au bord de la jouissance lorsqu'il quitta son bouton, mais le doigt, il continuait à la fouiller, elle le sentait tel un asticot, puis il la libéra. Cétait quoi ce bruit. Il se passait quoi ? Respirant difficilement, de sa main tremblante, elle repoussa la serviette de son visage, quelle ne fut pas sa surprise en voyant le barman et masseur à ses heures grimper sur le bout de la table de massage et s'avancer vers elle, le sexe tendu entre ses jambes.
- Mais...
Ce fut le seul mot qu'elle eu le temps de dire, l'autre fut si vite sur elle. Ses jambes écartées ne lui laissaient aucun rempart contre ce qui se tendait vers elle.
Krit grimpa, Janice avait comprit, elle souleva la serviette, le regarda, il était trop tard pour faire marche arrière, dans un geste fluide, il se mit à sa hauteur positionna son sexe et se glissa en elle d'un seul coup.
- Florient ! Cria Janice sous le choc.
Déjà Krit l'empalait à grands coups de buttoir, les jambes de la jeune mariée de part et d'autre de son bassin. La table grinçait sous la pression, mais pas expérience avec Rasaï, il savait qu'elle tiendrait bon.
Janice soufflait, qu'il était gros, bien plus que Florient, aussi gros qu'un de ses premiers petit-ami, elle devait utiliser du gel à chaque rapport pour le faire entrer en elle. Mais ici, après ce massage et son excitation, il n'avait pas eu de mal à la pénétrer.
L'asiatique ne pu croire en sa chance, punaise, il était en train de se faire la jolie blonde que tout le monde matait à l'hôtel, et ce petit con de mari, le voilà cocu maintenant. Elle était encore mieux qu'il ne l'avait rêvé, chaude, humide, et ses seins. Il se mit à les pétrir pendant qu'il la besognait.
Janice s'en voulu de s'être laisser faire, maintenant il était trop tard, elle pouvait toujours crier, mais cela ferait scandale et Florient saurait qu'elle venait de le tromper. C'était si bon par contre, comment cela pouvait-il être possible? Florient avait toujours été le meilleurs de ses coups, mais là, il savait s'y prendre, peut-être l'endroit, l'excitation, le fait de faire cela avec un autre. C'était trop tard maintenant. Elle sentait le souffle du barman sur son torse, il lui suçait les mamelons, les léchait, les aspirait entre ses lèvres. Et en bas, punaise, qu'il était long et gros, ça la remplissait, elle aspirait l'air, tentait de ne pas crier, au cas où on les entendrait, elle gémissait la bouche fermée secouée par les coups de butoirs.
Krit se dégagea, la bite tendue et luisante de mouille.
- Retourne toi
Janice obéit, aussitôt il se glissa à nouveau en elle et dans cette position, ses sens étaient décuplés. Il la tenait par les hanches et sous les grincements de la table à masser, elle se faisait baiser à l'insu de mon mari.
Krit se pencha, embrassa le cou de Janice, attrapa ses seins par dessous, les malaxa, en profita joyeusement. Il lui titilla le lobe de l'oreille, il entendait le jeune femme gémir sous lui, et il s'enfonça de plus belle, plus vite, plus fort.
Il finit par se redresser, caressant le dos de le donzelle, écartant ses fesses fixant l'anus qu'elle réservait à son mari. Mais lui n'en savait rien et il n'en avait cure de toutes manières. Il se pencha sur la côté et attrapa le flacon d'huile posé sur le plateau, tout en la pistonnant, il pouvait voir sa queue glisser entre les lèvres humides, ce qu'elle était excitante. Il fit couler de l'huile dans la raie et commença à lui masser le petit trou.
Janice n'en pouvait plus, elle venait de jouir mordant dans la serviette pour ne pas se faire entendre. Soudain elle sentit que l'autre jouait avec son petit trou, non pas là, elle ne voulait pas, c'était pour Florient, enfin s'il en avait envie. Et de ce qu'elle avait senti la dernière fois, il aimerait surement visiter l'endroit. Elle avait peur, ça lui ferait mal sûrement. Elle passa sa main derrière pour repousser celle de Krit,
OK, il la baisait mais ce n'était pas une excuse pour jouir de son corps comme il le souhaitait.
Mais dans sa position, elle n'avait pas de force, d'autant plus qu'elle sentait l'énorme sexe ressortir complètement pour replonger aussitôt d'un grand coup, faisant trembler la table et à chaque coup, la jeune femme criait dans la serviette. Pendant ce temps, elle sentit un doigt huileux se faufiler en elle par derrière
Krit était sur le point d'éjaculer, punaise que cette femme était trop bonne, et comment elle criait sous ses coups de bite ! Il maintenait son index enfoncé dans son cul, il était vachement serré. Il ne pourrait pas, surtout si la jouissance arriver si vite. Il fit tourner son doigt dans le conduit anal puis se mit à le pistonner dedans, c'était si facile avec autant d'huile, son cul n'était plus qu'une patinoire luisante à la lueur des bougies.
Janice rabattit son bras devant pour me se tenir, elle n'en pouvait plus, elle essuya son front sur la serviette, mordant à nouveau dedans pour crier son plaisir malsain. Puis la queue sortie une dernière fois de son ventre, elle sentit comme un vide, un manque, le sexe glissa plus haut, non pas là ! C'était tellement gras que le gland glissait contre l'orifice vierge. Janice ouvrit de grands yeux, non c'était pour Florient, il ne devait pas, pas là, il...
Elle mordit la serviette en gémissant et serra des poings, comment un truc aussi gros pouvait entrer par là ?
Krit pensa à tout pour ne pas jouir, jusqu'à la dispute avec Malee, il pointa son dard sur l'orifice qu'il venait de graisser avec son doigt et poussa sa queue dessus. Il ripa, de repositionna, sous la pression sa bite de courba et enfin, son sexe perfora l'anus et s'enfonça dedans.
Janice cria, cela l'excita encore plus. Sans attendre de la pénétrer entièrement, il se mit à l'enculer. Il ne savait pas qu'elle était encore vierge du cul, il venait de lui déflorer l'anus. Pour aider à faire passer la pilule, il versa encore une rasade d'huile et s'enfonça encore plus facilement dans ses intestins. Enfin, bien en place, voyant son sexe gobé par cette anneau de chair écartelé, la prenant par les hanches, il se mit à l'enculer bien profondément. Il fixait son mandrin disparaître entre les fesses de la belle blonde, puis ressortir de toute sa longueur, limite jusqu'au gland, puis réinvestir les lieux dans un glissement si étroit et chaud qu'il en tremblait d'excitation.
Janice n'était plus qu'une poupée du vice, elle se laissait faire à toutes les envies du serveur. Sa tête lui tournait et elle mélangeait les sensations présentes avec ses souvenirs de son premier petit-ami. Florient lui revenait en tête entre-deux, mais chaque coup de bite en elle la rendait encore plus folle. Ses seins lui faisaient mal tellement il les trituraient et maintenant il passait d'un orifice à l'autre, plongeant dans son vagin, faisant grimper son plaisir puis forrant son anus à nouveau. Elle regretta de ne pas s'être offerte là à son mari là avant. Mais c'était trop tard, trop tard pour tout, elle venait de le trompait durant leur lune de miel et elle devrait vivre avec ça.
Elle ne compta pas le nombre de fois où la jouissance la parcouru, mais une chose était sûre, jamais elle n'en avait eu autant avec Florient. Soudain, elle sentit le masseur se contracter et il se visa dans ses entrailles. Elle gémit une dernière fois avant qu'il ne se retire...
***
Florient avait pris l'option plongée en vue de l'excursion du lendemain. Il avait laissé sa femme aux bons soins de la jeune fille à peine sortie de l'adolescence, pour une séance de massage. Ce n'était pas son truc mais il savait que Janice aimait bien cela. Il espérait qu'elle y trouve son compte. Après tout ils étaient là pour se faire du bien, non ?
Il était content de n'avoir pas rencontré le duo qui l'avait humilié. Autour de lui juste d'autres vacanciers, des hommes pour la plupart.
Au bout d'une heure trente, bien fatigué, Florient chercha sa femme. Elle devait encore y être surement. Il tomba sur la jeune fille et lui demanda des nouvelles de sa femme. Elle lui demanda de patienter, elle allait se renseigner.
Jouant avec le cordon de son short de bain, le jeune marié ne se doutait absolument pas de ce qui s'était passé derrière le mur où il se trouvait.
La jeune fille revint tout sourire, et lui précisa que sa femme arriverait bientôt. Florient patientait et retrouva sa jolie femme comme prévu. Il l'embrassa sur la bouche, et comme il était de nature réservé depuis quelques jours, il ne remarque pas qu'elle aussi avait des choses à cacher.
- Alors ta plongée, demanda-t-elle pour qu'il ne pose pas de question
- Je pense que je saurai me débrouiller demain, le cours suivant commence dans 20 minutes, c'est ton tour.
- Je... Je suis trop fatigué. Ce massage m'a tué, je... L'encens, il était trop fort, j'en ai mal à la tête.
- Ah mince, comment tu vas faire alors ?
- Ce... n'est pas grave, autant que tu t'amuses toi, moi je ferai bronzette. Et toi, tu vas aller te faire masser ?
Janice repensa à son expérience, au moins entre les mains d'un des hommes présents, il ne risquait rien comparé à elle. Elle avait honte, évitait le regard de son mari. Elle avait aussi mal aux cuisses et sentait toujours la puissance et la présence de mandrin hors norme en elle. Surtout derrière. Elle avait eu mal après en allant aux toilettes, d'ailleurs, elle était tellement huilé de partout, qu'elle avait l'impression que malgré la douche rapide, elle glisserait encore comme une savonnette. Cela faisait longtemps qu'elle n'avait pas été démonté ainsi, et le verbe était le bon pour ce qu'il lui avait fait.
Les deux cocus se prirent la main timidement, prirent le temps de boire un verre avant de se séparer à nouveau.
- Je... vais faire une petite sieste, profites-en mais évite l'encens par contre
- Tu sais, c'est pas trop mon truc ça
- Allez vas-y, pour une fois, il n'y aura pas d'autres occasions
- Ok, prends soin de toi
Jancie l'embrassa et retourna dans sa chambre. Elle avait les larmes aux yeux et se maudissait en se regardant dans le miroir. Elle venait de tromper son mari avec le premier venu, alors même qu'ils étaient en lune de miel. A son tour, elle ouvrit le minibar et se servit quelque chose de fort, elle voulait ne pas penser, au moins pour le moment. En s'asseyant sur le lit, elle serra les fesses et ressenti une légère douleur. Le souvenir de sa position, et de la pénétration dans son cul. Elle en avait encore mal. Il l'avait tellement limé, si loin, si profond, elle n'avait jamais pensé cela possible. Elle se mit en boule et tenta de trouver le sommeil. Au moins, son mari passait des vacances tanquilles, il n'avait pas à endurer les affres de l'infidélité.
Krit retrouva Rasaï un peu plus tard
- Tu ne vas pas me croire, je l'ai fait, je l'ai baisé la blonde et pas qu'un peu !
Rasaï eu une petite mimique de jalousie, mais elle connaissait Krit, maintenant qu'il avait eu ce qu'il voulait, elle l'aurait à elle, rien qu'à elle
- Tu t'es pas fait chopé au moins ?
- Non, je t'assure, c'est une chaudasse, tu aurais du la voir, comment elle gémissait, elle criait "Florient, Florient", pendant que je lui défonçais le cul !
- Ah parce qu'en plus tu l'as enculé ?
- Pourquoi pas, après tout elle n'a pas dit non, au contraire, tu veux voir ?
- Tu l'as filmé ? T'es un malade toi !
- Je suis sûr que cela va t'exciter...
- Tu me connais trop bien toi, viens là
Elle l'embrassa tout en lui massant les couilles
- Elles ne sont pas trop vides j'espèree
- Pas pour toi ma belle
- Allez montre moi ça...
***
Florient avait été massé de manière beaucoup plus classique que sa femme sans aucun débordement sexuel. Il la retrouva endormie sur le lit. Il n'osa pas la déranger et se rendit sur la terrasse pour regarder la mer et le ciel qui s'assombrissait en vue de la soirée.
Si seulement tout c'était passé normalement. Il se sentait seul, si seul soudainement. Il se leva, Janice dormait toujours. Il lui laissa un mot et parti se promener sur la plage les mains dans les poches. Il faisait vite noir. Il arriva vers le centre de l'hôtel, déambula en réfléchissant à son avenir et celui de sa femme. Comment pourrait-il affronter le futur avec tout ce qu'il vivait en ce moment. Pourrait-il réellement oublier et mettre de côté son côté dominé?
- On est tout seul ? Clama une voix derrière lui
Florient tressaillit, il se retourna et fit face à Hernest
- Je ne faisais que passer, balbutia Florient
- Allez on va prendre un verre, j'ai assez soif, je viens de passer une rude journée
- Ma femme m'attend...
- Mais bien sûr, tu te balades les mains dans les poches en fixant le sol et ruminant dans ta barbe et ta femme t'attends, tu te fous de moi ou quoi ?
- Je n'ai pas vraiment envie de...
- Jouer au billard ?
- Oui... avoua-t-il tout bas
- J'avoue que lors de la dernière partie, il y a vait un peu trop de monde, mais que veux-tu, c'est la vie
- Ce n'est pas drôle
- Qu'est-ce qui ne va pas chez toi, tu as une femme sublime, tout le monde rêve de se la faire ici, tu trouve ton pied ailleurs et alors ?
- Chut, moins fort
Florient regarda autour de lui, les autres touristes ne s'intéressaient pas du tout à eux
- T'as le blues du pays surtout, ça se voit
- N'importe quoi, j'ai trop de soucis en tête, et vous en êtes la cause
- Moi ? Je n'ai rien fait de plus que répondre à tes attentes, même les plus cachées
- Je n'ai jamais rien demandé moi, je vivais ma vie tranquillement aux côté de ma femme avant cette nuit-là
Hernest s'approcha passa le bras au-dessus des épaules de Florient qui se crispa
- Allons, allons, en fait tu te fais trop de tracas pour pas grand chose
- Pas grand chose ? Ma vie est un enfer depuis que...
- Héééé, j'y suis pour rien si tu tiens pas l'alcool moi ! Je t'ai bien demandé si tu voulais jouer à chaque coup et ce jusqu'à ce que la queue rentre pile poil dans son fourreauu
- Arrêtez, gémit Florient en épiant aux alentours
- Ils n'en ont rien à faire et même si, tu crois vraiment qu'ils vont taper un scandale parce que tu te fais ramoner dans le dos de ta femme ?
- S'il vous plait...
- Hum, d'ailleurs tu devrais lui demander comment c'est passé son massage tiens
- Hein quoi ? Le jeune marié regarda le gros homme avec étonnement et suspicion
- A ce que je vois, tu ne sais pas qui était de service là-bas cette après-midi
- La jeune fille que j'ai croisé
- Oui mais dans la salle même
- Une autre jeune femme ?
- Ou un certain barman que tu connais bien peut-être
Le dos de Florient se glaça aussitôt
- Vous mentez !
- Peut-être que oui, peut-être que non...
- Et même si c'était vrai, elle ne se laisserait pas toucher
- Ah ça... Il haussa les épaules, il suffira de lui demander "Chérie, est-ce que tu t'ai tapé le masseur cette après-midi" ? Susurra le gros homme d'une fausse voix fluette
- N'importe quoi... et puis comment le sauriez-vous ?
Le doute et l'horrible de la situation gagna Florient
- Disons que j'ai mes sources, si tu vois ce que je veux dire
- Non, impossible
- Tu sais, lorsqu'un homme est fier de quelque chose, il a tendance à se venter
- Impossible cria le jeune marié
- Tente de lui faire l'amour ce soir, tu verras sa réponse, si elle est fatiguée...
- C'est du grand n'importe quoi
- Allons, allons, je pense que vas devoir avoir besoin d'un verre, mais n'en veut pas trop à ta belle, tu es loin d'être un ange
Florient traîna les pieds jusqu'au bar, horrifié il vit que Krit faisait le service
- Mon ami, tu pourrais lui servir de quoi avaler la pilule s'il te plait ?
L'autre lui sourit de toutes ses dents. Il avait les yeux brillant d'un vainqueur, Florient su alors...
- Ce n'est pas possible... Mumura-t-il entre ses dents, un double verre de scotch dans sa main tremblante.
- Allez avale, on doit te montrer quelque chose
Il ne se fit pas prier et la brulure de l'alcool le fit tousser
- Montre, ordonna Hernest au barman
Il regarda autour de lui, sortit son téléphone et resservi un verre au petit cocu.
Il alluma, cala la vidéo et tourna son appareil vers le jeune marié. Celui-ci, choqué, n'en cru pas ses yeux. On pouvait voir de profil sa femme en levrette, ses gros seins secoués par les coups de bite de l'individu derrière elle. Et cette personne était la même que derrière le bar.
- Impossible, impossible...
Florient tremblait maintenant, il avait la haine, la rage mais aussi un sentiment de confiance rompue, de tromperie, son coeur se brisait mais il ne pouvait détacher ses yeux de la vidéo sans le son.
- Regarde bien ta femme, ajouta tout bas Hernest, elle a l'air de bien aimer ça
- Pourquoi ? mumura le cocu
- C'est la vie, faut te faire avec cette idée, tu la trompes, elle te trompe, et puis voilà !
- Vous êtes ignobles...
- Parce que toi tu as le droit mais pas elle ?
Il ne répondit pas, Krit repris son téléphone et ajouta
- Et lorsque je l'ai enculé, je peux te dire qu'elle a crié ta femme, elle était tellement serré, plus que toi en fait
Florient s'affala sur le dossier de son tabouret
- Vous n'avez pas osé...
- Oh que si, et entièrement, je l'ai limé devant puis par derrière, et puis devant et à nouveau dans son cul, elle criait, gémissait, elle en voulait encore et encore
Il comprenait mieux maintenant la fatigue de sa femme et pourquoi elle l'évitait
- Elle n'a jamais voulu...
- Voulu quoi ?
- T'as pas compris, coupa la voix Hernest, sa petite femme n'a jamais donné son petit cul à son mari, tu l'a embroché pour la première fois !
- Et ben merde alors, c'était pour ça qu'elle était aussi serrée
Ils s'esclaffèrent tous les deux, Florient lui pleurait en silence et avala le second verre pour faire passer la pilule
- Allez vient, lui dit Krit, je vais te consoler un petit peu
Il l'entraina dans la remise
- Penche toi sur la table et baisse ton froc, je vais te montrer la vidéo en entier, ça va te plaire tu verras
Florient sentit que le barman le poussait vers la table, grogui par la nouvelle, le cul nu, il sentait le sexe tendu de Krit sur ses fesses. Celui-ci le poussa plus en avant, le plaquant presque sur la table, plaça le téléphone devant lui il lança la vidéo...
- Tu sais, avant j'avais des réticences à enculer un mec, mais au final, c'est pas si mal que ça, te manque juste qu'un peu de poitrine... Il se mit à rire
Krit saliva dans sa main, l'étala sur sa queue puis cracha entre les fesses poilues de Florient.
Le nez presque sur le téléphone, il sentit la pression sur son petit trou qui s'ouvrait tout seul, presque habitué maintenant à recevoir de l'attention aussi régulièrement.
- Doucement, gémit-il en serrant les poings, Krit était plus épais qu'Hernest et il le sentait s'introduire en lui
- T'inquiète, je gère... Regarde comme ta femme est une sacrée salope ! Elle n'a rien dit lorsque j'ai commencé à le peloter. Elle une se des paires de seins, tu en as de la chance...
Florient en avait de la chance. Non seulement il servait d'esclave sexuel de 3 pervers lors de sa lune de miel, mais en plus sa femme ouvrait les cuisses au premier venu... Quelle ironie.
- Tu las sent ma grosse queue? Et bien ta femme elle m'en a redemandé ! Elle criait et s'accrochait à moi pour en avoir plus, faut dire qu'on n'a pas le même calibre
Krit écarta les fesses du jeune marié pour mieux voir l'anneau de l'anus distendu entourant sa hampe. Il avait l'impression qu'il s'étirait vers lui puis replongeait dedans à chaque mouvement de son bassin.
Curieux, il passa sa main par dessous et trouva le sexe de Florient tendu et dur. Il n'était pas plus étonné que ça en fin de compte.
- Eh mais c'est qu'il bande le petit cocu ! Cela t'excite de voir ta femme se faire baiser par un autre ? Attends, j'accélère la vidéo... Regarde là, c'est quand je l'ai enculé, elle a eu un peu mal au début mais ensuite, regarde...
Les va et vient dans ses entrailles de Florient le brulaient. Sa bite entre les doigts du barman était tendue à rompre, et effectivement, de voir sa femme se faire prendre par un autre avait un côté pervers excitant aussi. Ce n'est pas pour autant qui ne lui en voulait pas et à son tortionnaire aussi, mais cela faisait parti de ses fantasmes cachés.
Krit l'abreuva de nombreux commentaires sur sa performance avec Janice au point de Florient le détestait encore plus qu'avant. Mais pour le moment, sa respiration était laborieuse, il avait mal au genoux et aux cuisses Mais il ne pouvait détacher son regard de ce qui se passait devant lui sur le petit écran.
- Au fait, vous êtes là encore une semaine c'est bien ça ?
- Malheureusement... Gémit le jeune marié donnant les faveurs anales commençaient sérieusement à le rendre fiévreux, à tel point qu'il commença à pousser son cul vers le sexe qui l'enculait
- Putain, c'est que tu en redemandes ! T'aimes te faire sodomiser on dirait. Hernest avait raison, il fallait t'assouplir régulièrement pour que la sauce prenne.
Il se mit à rire en accélérant ses coups de butoir faisant bouger la table et le téléphone.
- Allez, à toi maintenant, je ne bouge plus.
Presque en manque, les 2 doubles whisky remontant dans le cerveau, Florient s'empala comme un grand en poussant son cul vers l'arrière. Ensuite il s'avança vers la table et recommença en aspirant l'air difficilement.
- J'hallucine, t'aime ça hein ! Oh oui que tu aimes te faire ramoner.
Il le branla à nouveau.
- Oui, gémit le jeune marié
- Et ça t'excite de voir ta femme se faire baiser par un autre
- Oui, avoua-t-il encore
- Cela tombe bien, j'ai bien l'intention de recommencer
- Je vous en prie, laissez la tranquille
- Tu rêves ! Jusqu'à votre dernier moment ici je vous baiserai tous les deux et je pense qu'Hernest ne t'oubliera pas non plus. Avec un peu de chance Rasaï te pompera encore une fois, qu'en penses-tu ? Joli programme de vacances, non ?
Florient garda le silence, au point où il en était, un peu plus ou un peu moins...
D'ailleurs en parlant d'un peu plus, l'autre dans un râle poussa une dernière fois son chibre en lui et se vida.
- Ravis que cela ta plaise, clôtura Krit en retirant son sexe de l'anus de Florient qui se referma doucement.
Il le redressa et prit sa bite en main pour le branler.
- Allez jute, regarda ta femme, regarde là aussi salope que son petit mari, si elle savait, faut lui dire tu crois ?
Le jet de sperme de Florient vola si loin qu'il atterrit sur l'écran du téléphone.
- Non... gémit Florient en réponse.
Il était trop honteux de ce qu'il était devenu.
***
Le lendemain, la sortie en trimaran commença bien. Plusieurs couples de vacanciers et même un famille de quinquagénaire avec leur filles de 16 ou 17 ans étaient de la partie. Janice toujours troublée par ce qu'elle avait vécu, sans savoir que Florient était au courant et qu'il cachait pire qu'elle, accusait une certaine fatigue et faillit annuler
lorsqu'elle constata que Kri était à bord. Mais comme celui-ci fit comme si rien ne s'était passé, sous l'influence de son mari, elle monta à bord avec son sac de voyage.
A bord justement, il y avait plusieurs asiatiques qui s'occupaient de tout. Le programme était simple, une journée de voyage, baignade, plongée, déjeuner sur le bateau, visite d'une île sauvage et après un autre temps d'amusement, le soir venu, ils rejoindrait un camp préparé de tentes et d'un feu de camp. Ils dîneraient alors là-bas.
Ils étaient partis tôt pour profiter. Juste avant de partir Hernest arriva en courant essoufflé. Florient jura, lui qui voulait être tranquille avec Janice, le voilà prit entre le marteau et l'enclume.
Contrairement à ce que Florient comme Janice eurent pu croire, la journée se passa bien. Krit ou Hernest les laissèrent tranquille et le couple se laissa aller finalement à une journée touristique fort sympathique à bord du bateau. Comme d'habitude, la plastique de Janice fit tourner les regards, mais elle se garda bien tout de même de faire du topless en si grande compagnie. La fille du couple aussi faisait tourner les regard ainsi qu'une autre femme, la trentaine, plutôt maigre et timide mais pas vilaine du tout, au contraire.
Finalement, le soir arriva vite. Tout le monde était fatigué et le bateau accosta sur une petite plage sauvage. Là-bas les attendait un groupe de locaux dont Rasaï.
Cette sortie, enfin la conclusion, n'était pas du tout au programme habituellement. Hernest, accompagné de Krit et Rasaï avaient concocté un joli plan pour faire sauter le directeur présent et faciliter le rachat de l'hôtel. Cela ferait un peu scandale, mais ici comme partout, on oubliait vite pour passer à autre chose.
Tout l'équipage et les touristes prirent place autour du feu. Janice trouvait cela très romantique. Les flammes du grand feu étaient le seul éclairage des lieux. Derrière chaque couple ou insulaire s'étendait le noir de plus en plus complet. Et plus loin, une série de tentes les attendaient pour la nuit.
L'ambiance était à son comble, entre musique locale, repas qui tournaient servit par de jolies filles dont Rasaï, sans compter l'alcool, la fête étaient à son comble.
Certains, dont la fatigue les tenaillaient, dont Janice, espéraient tout de même que cela ne s'éternise pas. C'est à ce moment que Krit et 3 autres asiatiques entamèrent une danse endiablée autour du feu affublés de costumes traditionnels. La musique se fit plus forte, plus rythmée, ils jetèrent dans le feu des boules qui firent des étincelles et de la fumée.
Florient, dont une envie le tenaillait depuis un moment, profita de ce moment pour s'éclipser et faire se besoin dans le noir un peu plus loin, seulement éclairé par son téléphone. Les cris, les rires, ma musique et les encouragements des touristes s'entendaient de loin.
Soulagé, lorsqu'il revint un peu plus tard, il trouva l'ambiance nettement plus joviale, les gens criaient, chantaient, et autour du feu, les 4 hommes avaient invité 4 femmes dans le public pour danser avec eux, dont Janice, la jeune fille, sa mère et une femme d'une quarantaine d'année.
Florient cligna des yeux, un léger nuage de fumée s'échappaient encore du grand feu dont les flammes entretenues s'élançaient hautes et nimbaient de leur chaleur les spectateurs. Il toussa et se rendit compte que sa tête lui tournait. Il regarda autour de lui, les autres touristes étaient dans un état d'ébéthitude plus avancée encore.
Quelques dernières boules atterrirent dans les flammes sous les cris de joie de l'assemblée. Nouvelles séries d'étincelles et nouveau nuage bleuâtre qui se rependait lentement dans l'atmosphère.
Les 4 hommes étaient déchainés et les femmes qui les accompagnaient suivaient très mal la danse mais se sentaient visiblement aussi libre qu'eux, même cette mère de famille plutôt carrée et coincée qu'ils avaient rencontrés en court de journée.
Florient gagné par l'extase générale, mais tout de même un peu plus maître de lui, regarda à sa droite et vit le père de famille siffler et claquer dans ses mains en encourageant les danseurs, comme si ce n'était ni sa fille, ni sa femme qui se déhanchaient autour du feu, sauf que les 4 hommes devenaient de plus en plus... collant !
Les corps se frottaient, les hommes se tenaient dans le dos des femmes, leurs mains frôlant les peaux, jouant avec les bras, les hanches, faisant suivre leur partenaire dans leur dans virevoltante. Tout était chaud, très chaud avec le feu, et qui se trouvait derrière Janice, Krit bien entendu. Et celle-ci n'avait plus l'air de souffrir de sa présence, comme au début sur le bateau, elle se collait à lui, lovait ses bras autour de sa nuque et se déhancher peut-être la mieux sous la musique, les cris, les chants et les mains qui claquaient en rythme.
Florient, de plus en plus détaché tentait de trouver ce petit truc qui lui titillait l'esprit. Un peu moins embué que les autres, il ne savait plus trop pourquoi, mais ce genre d'attitude n'étaient pas normal.
C'est à ce moment que les mains devinrent un peu plus baladeuses. Krit glissa ses paumes sur le ventre nu de Janice puis remonta sur ses gros seins et mima des coups de bassin d'avant en arrière. Des cris fusèrent ainsi que des sifflements. Florient la bouche ouverte, se frottait les yeux et calcula rapidement que chaque femme se faisaient caresser maintenant, jeune comme plus âgée.
La tension monta d'un cran alors que la musique se fit plus douce, quasi en sourdine, presque comme un slow, Krit dégrafa le haut du bikini de Janice. Sa poitrine se trouva dorée par la lueur des flammes et de nouveaux cris déchirèrent la nuit. La jeune femme se collait à lui, les bras levés, se déhanchant d'une manière plus que sensuelle. Le barman la retourna, l'enlaça et l'embrassa. Nouveau chapelet de jouissance vocale de la part de l'assemblée.
Florient tilta enfin, la fumée, les billes, de la drogue ou un truc du genre ! Merde, il fallait qu'il agisse, qu'il... Il tenta de se lever et la tête lui tourna. Il regarda de droite et de gauche, c'était l'effervescence. Devant lui, un autre couple, celui de la jeune fille et d'un autre asiatique, copiait collait ouvertement les échanges entre Janice et Krit.
Florient pouvait admirer la petite poitrine haut perchée de la jeune fille, son t-shirt et soutien-gorge au sol, la tête an arrière la bouche de son partenaire couvrant son cou de baisers, ses mains sur ses hanches tenant de baisser son short.
Florient jeta un coup d'oeil à son père, mais il n'avait d'yeux que pour les formes de sa propre femme, et debout il encourageait Krit à aller plus loin. Sa femme, de l'autre côté du feu, montrait ses seins lourds au reste des spectateurs.
Janice se sentait libérée, complètement hors de son corps et emplie de désir. Les mains sur elle la rendaient folles, et après ce premier baiser torride, elle en voulait encore plus. Elle se collait à Krit, frottait son corps à moitié nu contre lu et le caressait autant qu'elle se faisait caresser. Mais ce n'était pas sensuel, loin de là, plutôt acharné et vorace. Elle ne fit rien lorsque son paréo, fort gênant d'ailleurs et son slip de bain finirent à terre.
Elle entendait les sifflements des hommes, les cris, la musique qui l'entouraient. Elle se sentait la reine de la fête, la plus belle, la plus désirable, la plus en chaleur aussi. Car si tout son corps était chaud, son ventre lui était une fournaise. Ses seins étaient lourds, ses tétons tendus, elle aspirait l'air dans un souffle saccadé résultant de cette danse des plus rythmée. Pourtant, même si ce corps à corps se voulait plus lent, chaque caresse de krit sur sa peau lançait des étincelles dans tous son corps. Elle en voulait plus, encore plus...
Une fois toutes les femmes nues, les hommes se mirent en devoir de se dévêtir rapidement et leur sexe tendu frottèrent la peau féminine et désirable de leur partenaire.
Florient était atterré, il levait son bras comme un automate en direction de sa femme nue qui tenait dans sa main la bite de Krit sans aucune pudeur. Leur bouche s'étaient à nouveau scellées et les frottement de peau se multipliaient.
Son regard se posait de plus en plus sur ce qui se passait devant lui. La jeune fille avait les jambes écartées et l'asiatique accroupis entre-elles, avait sa tête collée à son bas-ventre. Elle était secouée de petits spasmes sous les coups de langues de l'homme sur son intimité. La bite de Florient gonfla aussitôt, plus que devant le spectacle qu'offrait sa femme à l'assemblée. Il ne devait sûrement pas être le seul à être excité par le début d'orgie qui se profilait. Les couples entier dont les partenaires n'avaient pas eu la chance de se retrouver sur scène, se beccotaient, se caressaient assis, debout ou même allongés.
Un nuage de cris fusa sur la droite, Florient assista impuissant à la première débauche sexuelle. Sa femme, pliée en deux, venait de se faire honorer par Krit. Il n'était pas possible de se tromper, les cris et les mouvements du coït étaient bien trop visibles. Florient était cocu et ceci à la vue de toute le monde, il ne pouvait pas tomber encore plus bas.
Devant lui, la jeune fille fut poussée en avant aussi, et se retrouvant en levrette, il fut aux premières loges pour voir le mandrin de son partenaire chercher l'entrée du vagin et s'y planter d'un coup. Son père, à peine quelques mètres plus loin s'en fichait royalement.
Peu à peu, tout le monde se retrouva nu à s'embrassait, se caresser et baiser, sauf les maris seuls.
Frustré et en colère, Florient se leva et poussa l'asiatique qui baisait la jeune fille, l'autre rit comme un idiot et lui laissa la place, il se mit devant, tira la tête de la gamine et fourra sa queue dans sa bouche. Le jeune marié goutta le sexe chaud et dégoulinant de cyprine et glissa sa bite comme dans du beurre. A n'en point douter, ce n'était pas sa première fois.
Il tourna la tête tentant de trouver des visages connus, il vit Rasaï chevaucher le compagnon de la dernière femme qui avait fait le show autour du feu, un coup lui suffit pour voir qu'elle était aussi honorée que les autres. La mère de famille n'était pas reléguée au second plan, à genoux, elle pompait deux mecs à la fois. Plus loin à travers les flammes, il entrevit Hernest qui tenait la tête d'un homme moustachu et faisait aller son bassin d'avant en arrière vers lui. Bien fait pour l'autre, c'était un anglais BCBG complètement coincé du cul et qui ne se prenait pas pour de la merde. Cela lui ferait les pieds d'en prendre pour son grade, sa femme d'ailleurs n'était pas mieux que lui, et cette partouze géante la décoincerait peut-être un peu.
Il caressa le corps offert de la jeune adulte, elle était si douce, jamais ce matin même il n'aurait cru la posséder ainsi. Elle gémissait en se tenant d'une main au sol, de l'autre elle tenait le sexe de l'asiatique et le léchait à grands coups de langue.
Florient reporta son attention sur sa femme, le père de famille, la bite à l'air se dirigea vers elle. Krit s'était allongé et Janice sautait sur lui, tenant un sexe dans une main, ses gros seins tressautant sous les mouvements. Le père de famille les soupesa puis se mit à genoux derrière Janice, Florient cria un "non", qui se perdit dans le vacarmes de cris de jouissance, trop tard. De toutes manières que pouvait-il y faire. Sa jolie femme plaisait aux hommes et dans les conditions présentes, elle allait pouvoir leur laisser le loisir de profiter de son corps.
L'intronisation anale se fit assez difficilement mais au final, sa femme rendit hommage à trois hommes en même temps. Enragé et en colère, le jeune marié fixa le petit cul devant lui, écarta ses fesses et remonta son chibre de quelques centimètres. Si le père de la jeune fille ne se gênait pas pour prendre ses aises avec sa femme, il n'y avait pas de raison...
Rasaï comblée, se leva difficilement. Du sperme coula de l'intérieur de ses cuisses. Elle s'était jeté sur le premier homme venu, mais maintenant elle cherchait une proie qu'elle voulait goutter depuis longtemps. Durant la danse, elle s'était éloignée du feu, tout comme Hernest, connaissant la suite, elle voulait avoir les idées un peu plus clair et pouvoir choisir ses partenaires. Pas comme le reste du monde qui multipliait les expériences extra-conjugales et parfois avec des surprises.
Elle contourna le feu qui crépitait comme un fou, jaloux de ne plus recevoir d'offrande.
La musique s'était tue, remplacée par un concert de gémissements, de cris de plaisir, de succions et pénétration. Elle chercha Florient et le trouva à l'arrière d'une jeune fille assez mignonne. Avec sa petite poitrine, cela devait le changer de sa femme. Un coup d'oeil rapide vers Janice, Rasaï sourit, elle en avait pour son argent et n'avait pas l'air de s'en plaindre.
Elle évita les invitations et les mains baladantes pour retrouver l'objet de ses désirs. Elle colla son petit corps nu contre celui de Florient et comme si c'était la chose la plus normale du monde, elle l'embrassa goulument en lui caressant les pectoraux. Sa main descendit vers son ventre puis son sexe qui forait par petits coups le cul de la jeune femme.
"Viens, j'ai envie de toi, mumura Rasaï à l'oreille de Florient
Il la regarda, lâcha les hanches de l'ado et tout en continuant ses mouvements de bassin, il s'en prit à sa poitrine et le reste de son corps. Il lui pelota ses petits seins, glissa sa main droite directement entre ses cuisses et faisant fi du sperme et de la cyprine, il introduisit ses doigts en elle. Rasaï gémit aussitôt, se cabrant, tentant de repousser Florient du petit cul offert gracieusement. Et vu comment il avait eu du mal à l'enculer, cela devait être sa première fois.
A force de caresses et de demandes, elle réussit à le déloger de là et le poussant sur le sable, elle s'empala sur lui. Krit était beau pour asiatique, bien fourni, mieux que Florient, mais l'étranger avait quelque chose de charmant et exotique, enfin à ses yeux.
Hernest repoussa le visage rougit par l'action et le feu du moustachu. Il n'en menait plus aussi large qu'avant avec son air hautain du touriste trop riche prenant de haut tous les autres les employés les premiers. Sa bite luisait de salive, il fut tenter de la repousser entre les lèvres à demi-ouvertes mais ce n'était pas aussi passionnant qu'avec le jeune marié. Le plan se déroulait encore mieux qu'ils ne l'auraient espéré Krit, Rasaï et lui.
Après ça, de nombreuses plaintes et scandales éclabousseraient l'hôtel, et le seul responsable serait le directeur. Car quelques notes bien placées prouveraient que ce petit extra aurait été proposé par lui. Enfin pas dans ces termes ni dans ce qui se déroulait, disons que les boules de drogues auraient eu plus d'effet que prévu. Dans tous les cas il serait évincé, l'hôtel subirait les foudres des autorités, et comme par magie, un peu plus tard, il serait reprit par Hernest. Bref, autant joindre l'utile à l'agréable et pour le moment, il avait envie de sexe. Et ce petit couillon d'anglais ferait bien l'affaire pour l'instant. Il l'allongea sur le ventre et se colla dans son dos...
Janice ne savait plus où donner de la tête. Son corps était en ébullition. Sa bouche gobait tout ce qui passait à sa portée. Elle luisait de transpiration, ses seins étaient irrités à force d'être tripotés et malaxés. Elle avait déjà reçu plusieurs doses de semences en elle, autant devant que derrière. Non habitué à l'amour anal, la venue d'un membre dans son cul ne lui avait pas causé que du bien. Maintenant chaque queue qui passait sur elle glissait allégrement sans rencontrer de résistance. Les hommes passaient devant elle et sur elle à tour de rôle. Certains y restaient un moment jusqu'à se décharger, d'autres la goûtaient puis passaient à autre chose.
Florient avait laissé à regret la jeune femme mais n'avait pas perdu au change. Rasaï était tout sauf lascive et s'en donnait à coeur joie pour multiplier les orgasmes. Lui ne voulait pas terminer en elle, sinon il aurait du mal à convoler en noces avec les autres femmes qu'il avait listé un peu plus tôt. Quitte à voir sa femme être l'un des objets de jouissance de la fête, autant rendre la pareille aux autres membres féminins de l'assemblée.
Soudain il eu une idée. Krit, il était aux premières loges des effets de la drogue, il ne devait donc pas se rendre compte de ce qui se passait autour de lui. Patient, il attendit que Rasaï soit lassée de lui et une fois débarrassé d'elle. Florient, la queue luisante de sécrétion, chercha le jeune barman. Il le trouva un peu à l'écart, à genoux derrière une femme, il ne savait plus trop qui elle était, en train certainement de la baiser.
Gagné pas une folie de vengeance, il arriva derrière le jeune homme, le caressa pour tester sa réactivité et devant l'impassibilité de celui-ci, d'ailleurs à la vue de son visage et de ses yeux aux pupilles élargies, il n'y avait aucun risque, Florient s'approcha de lui jusqu'à ce que sa queue colle à ses fesses.
Il passa ses doigts dans sa raie et trouva facilement ce qu'il cherchait. Il branla sa bite et murmura des insénités dans l'oreille du barman qui ne comprit pas ce qui allait se produire.
Krit était dans un état second complet, la seule chose que son corps voulait c'était de la jouissance. Il avait bien eu conscience de posséder à nouveau la jolie touriste blonde, il n'arrivait même plus à se souvenir de son prénom, mais ensuite il l'avait délaissé pour une autre et puis une autre. Les corps et les visages se mélangeaient et il serait incapable de dire avec qui il aurait couché au final. Mais ce n'était pas le but premier de la soirée. Il sentit des mains sur sa peau, quel délice puis quelque chose de dur et de mou se frotter à lui. Quelque chose dans son cerveau aurait du l'alarmer. Mais lorsqu'une main le poussa vers l'avant et qu'il sentit une pression insistante, peut-être douloureuse d'ailleurs s'il n'était pas aussi shooté il ne réagit pas comme il aurait du le faire l'esprit libre.
Rasaï zonnait, la tête lui tournait de plus en plus, elle alla vider un bon verre de je ne sais qui qui lui brula le gosier. Elle se rapprocha d'Hernest qui officier galamment à l'arrière de la femme du moustachu.
Rasaï fut des plus surprise.
- Hernest, bredouilla-t-elle, tu n'es pas gay ?
- Je ne l'ai jamais affirmé, lui répondit-il
- Mais on ne t'a jamais vu avec une femme
- J'ai des goûts assez ouverts, avec une certaine tendance à faire prendre conscience aux hommes qui ne sont pas obligés de se limiter qu'aux femmes.
- Ben merde alors...
Elle se retourna et elle vit alors avec effroi ce qui se passait de l'autre côté du feu
- Non, il ne peut pas, glapit-elle tremblante
- Laisse-le, ordonna Hernest, après tout Krit paie ses actes, tu ne l'as pas empêché d'enculer Florient, non ? Alors pourquoi pas le contraire...
- Il m'a dit... Il ne voudrait jamais faire ça... Pour lui, c'était impensable, il...
- Krit est un macho égoïste. Il prend et ne donne pas, de toutes manières que veux-tu faire, c'est un peu tard pour l'extraire de là.
Rasaï tomba sur le cul, son Krit, là-bas, il se faisait enculer !
- Lorsqu'il va savoir...
- Il suffira de ne rien dire, après tout n'importe qui aurait pu avoir cette idée, même moi !
- Tu ne vas quand même pas, questionna Rasaï dont les effets de la drogue et l'alcool rendait bizarre
- L'idée m'a effleuré l'esprit, mais avant ça.
Il se délogea de l'anglaise qui fut aussitôt saisi par des hommes en manque de partenaire et se dirigea vers Rasaï
- Non, pas moi, pas nous... Je ne veux plus, avec un patron
Hernest lui sourit
- Je ne suis pas encore ton chef, et ensuite, ce n'est pas mon genre du tout d'imposer cela à mes employés
Il lui caressa le visage et la poussa sur le dos. Magrè sa corpulence, il était assez souple. Il se plaça entre les cuisses de l'asiatique et plongea son membre en elle.
Florient exultait, certes il aurait voulu s'en prendre à Hernest, mais quelque chose en lui l'empêchait de se rebeller contre son autorité. Pour le moment, il profitait de sa vengeance. Ce petit crétin avait pensé pouvoir jouer d'eux sans conséquences. Il avait réussi à faire entrer son gland sans aucune préparation dans le cul du Barman. Il était des plus serré et c'était extrêmement jouissif. Quelques temps plus tard, à force, l'anus céda et Florient jubilait en sodomisant l'asiatique qui avait profité de sa femme pendant le massage. "Tiens, tiens, tiens !" pensait-il en le bourrant de coups de plus en plus puissants.
Les corps de plus en plus assouvis cessèrent régulièrement de s'intéresser aux autres. Personne n'aurait pu dire qui avait couché avec qui, sauf ceux qui avaient un semblant de raison dont plusieurs locaux qui s'étaient tenus éloignés des vapeurs les plus hallucinogènes de la soirée. Maintenant ils raccompagnaient bon gré mal gré les touristes repus à leur tente. La famille fut rassemblée, le père et la mère dans leur tente, et la jeune femme, dans la sienne contiguë, sauf que les deux hommes l'ayant portés là-bas y restèrent un moment encore avant de ressortir la queue plus molle qu'à l'aller.
Florient ramassa sa femme allongée sur le sable. Il eu pitié d'elle. Aucun d'eux ne serait plus pareil après cette lune de miel catastrophique. Lui avait juté au fond du cul de Krit.
Il eu la surprise de se voir remplacer par Hernest qui l'honora de la même manière mais choisit sa bouche pour se soulager.
Florient voulait se venger encore, il invita ensuite ceux qui le pouvait à s'occuper de Krit.
Et c'est ainsi que le barman qui avait toujours été contre offrir son cul, voire même sa bouche, à un homme, finit par être le centre d'attention des quelques queues encore valides. Et pour la bonne forme, Florient filma tout cela afin d'avoir la paix avec le barman
***
Le scandale eu l'effet d'une bombe. Si certains couples, trop honteux, quittèrent au plus tôt les lieux, d'autres au contraire montèrent aux créneaux.
Comment une simple soirée avait-elle pu déraper ainsi ? Entre l'alcool coulant à flot et les fumées nocives hallucinogène...
On avait tenté de diminuer les causes et l'impact final. Mais il fallait des coupables et le directeur présent fut tout trouvé surtout que dans ses papiers, cette petite escapade avait été signé de sa main. Il signait tellement de trucs pour l'hôtel sans les lire qu'il avait été facile de glisser la note avec le reste.
Lors de l'enquête, avec indications anonymes, les autorités purent trouver moults malversation de sa part, faux et usage de faux, blanchiment d'argent, fausses factures et j'en passe. Bref, il sauta direct dans la case prison sans avoir pu mettre en sécurité son argent bien aimé.
Ses biens furent saisis, ses comptes en banque gelés, etc. Tout sauf son coffre à l'hôtel que Krit vida soigneusement, dans la débandade cela passa inaperçu, car plusieurs employés dont les comptables suivirent le directeur en prison. Il y trouva des références à des comptes sécurisés en suisse, des papiers importants, des bijoux de luxe pour homme et beaucoup de billets de banques en euros et dollars
Il empocha l'argent et les bijoux et fit part du reste à Hernest. Celui-ci en fut fort content Il ne fut pas dupe qu'il manquait des choses... Le pire étant que toutes les coordonnées pour récupérer l'argent s'y trouvait. Quelques temps plus tard, Hernest visa les comptes en Suisse.
L'hôtel fut fermé, les employés à la rue. Rasaï et Krit se mirent en couple et avec l'argent volé, ils n'eurent pas à mendier pour vivre. Mais ils n'étalèrent pas non plus leur niveau de vie, histoire de rester discret.
Six mois plus tard, Hernest racheta le complexe hôtelier, fit de nombreux travaux, embaucha les gens du coin, Krit et Rasaï en haut de la pile. Avec l'argent volé, il investit aussi dans le rachat d'un autre complexe dans la baie un peu plus loin.
Janice et Florient étaient revenus en France. Leur couple battait de l'aile. La jeune femme avait été assez malmenée vu le nombre de bites qui étaient passées sur elle. Elle avait voulu évité le scandale. Elle ne se sentait plus elle-même et savait pertinemment que son mari avait aussi profité de nombreuses femmes durant cette soirée. Jalouse de naissance, elle ne supportait pas cela que sa propre situation. Heureusement qu'elle n'était pas au courant de ses autres vices.
Hernest contacta Florient un peu plus tard après avoir acheté l'hôtel. Il proposait au couple de venir s'installer ici et de l'aider à gérer. Il pourrait être responsable de la partie sportive et Janice, ce qu'elle voudrait selon ses capacités.
Florient hésita à en parler à sa femme. Déjà que son caractère ne s'était pas arrangé et qu'ils ne faisaient plus l'amour qu'une fois à jamais. Alors lui dire que celui qui lui avait fait tourné la tête l'invitait à vivre à l'autre bout de la planète...
Mais son coeur s'était accéléré à la vue du message. Il avait tout de suite repensé à ce qu'Hernest lui avait infligé, sans compter Rasaï, et son petit cul avait palpité. Depuis son retour, il avait nié toutes ses envies et c'était promis de ne plus jamais avoir de relation sexuelles avec un homme. Cela le tracassa tellement que le deux jours plus tard, profitant d'être seul chez lui, il utilisa un des gods de sa femme pour s'enculer avec. Les impressions étaient loin d'être aussi torride qu'une vraie queue, mais il banda aussitôt le bout de résine inséré entre ses fesses. Il ne lui fallut pas longtemps pour se branler et éjaculer, et ensuite avoir de nombreux remords.
Non, il ne pouvait indéniablement pas en parler à Janice. Déjà qu'elle lui reprochait de n'avoir rien fait pour l'aider ce jour là, alors lui proposer d'y retourner. Chacun d'eux avait changé et par forcément en bien. Florient n'était plus l'homme sûr d'entant et Janice exigeait de trop, s'imposait perpétuellement ne lui demandant même plus son avis à la fin.
Les tensions montèrent, les tons grondèrent et le couple finit par exploser et le divorce arriva.
Florient finit même par lui claquer qu'il était au courant de sa relation avec le masseur et qu'elle n'avait rien à dire puisqu'elle l'avait trompé et ne lui avait jamais avoué. Ce fut la goutte d'eau qui fit débordé le vase. Florient se retrouva seul et n'eu plus jamais de nouvelles de son ex-femme.
Il finit par répondre à Hernest. Quelques semaines plus tard, son appartement loué, ses affaires classés, la démission de son travail effectif, il se rendit à l'autre bout du monde pour vivre une nouvelle vie.
Krit et Saraï l'accueillirent chaleureusement, ils étaient désolé pour lui et son divorce. Surtout Krit qui pensait pouvoir remettre le couvert. Mais Rasaï le comblait suffisamment pour le moment. Hernest l'embaucha comme convenu et ad vitam s'il le souhaitait.
La soirée des retrouvailles fut assez festive et Florient finit la soirée dans le lit d'Hernest. Mais celui-ci le prévint, après cette nuit-là, il n'y en aurait pas d'autres, il ne voulait pas d'échanges sexuels entre lui est ses employés. L'ex jeune marié plus contraint de faire semblant et de se cacher, passa une bonne partie de la nuit à retrouver les sensations avec un homme. Il combla tous les désirs d'Hernest autant avec sa bouche, ses mains que son cul.
Les jours passèrent, les semaines puis les mois. Florient s'enticha d'une asiatique et il se mit en couple avec elle. Mais il ne pouvait plus être simplement satisfait d'une femme. Lors d'un déplacement dans les terres, il eu une aventure brève et torride avec un jeune prostitué. Dès qu'il en eu l'occasion, il utilisa ce genre de service très courant pour les étrangers ici, et combla ainsi ses envies d'autant plus qu'il pouvait autant donner que recevoir.
Au final, il du être franc avec lui-même, il ne pouvait pas vivre en couple heureux avec une femme ou seulement avec une femme.
Rasaï et Krit avaient de la chance, ils étaient assez ouvert pour fermer les yeux sur les escapades occasionnelles chacun de leur côté.
Florient se demanda d'ailleurs comment Krit avait accepté d'avoir été sodomisé lors de la soirée. Il n'osa pas en parler à Rasaï et fit part de sa question à son patron. L'autre sourit, rigola même et finit par lui dire que ce n'était pas ses affaires. Mais bon, juste entre eux, le gamin avait vraiment mal pris la chose, encore plus que certains de ses amis le lui avait rappelé plus tard et l'avaient honoré. Mais comme tout le monde était bourré et drogué ce soir là, il ne sut jamais qui avait commencé. Et ceux qui savaient ne lui en avait jamais parlé. Bref, à sa connaissance, depuis Krit n'avait plus de rapport avec un homme, de quelques sortes que ce soit. Au moins Florient pouvait être tranquille de ce côté là.
Florient rompit une nouvelle fois. Il tomba dans une morosité classique post rupture. Il fut sauvé de celle-ci lorsqu'il rencontra une femme qui n'en était pas une lors d'une soirée en boîte dans une grande ville voisine. C'était un trans avec une jolie paires de faux seins, un visage si féminin qu'on aurait pu s'y tromper facilement et surtout une belle bite appétissante. Ce fut le coup de foudre ou presque. Les deux hommes se virent régulièrement et plus si affinités, et il y en eu beaucoup.
Au final, Florient se mit en couple avec et pouvait à loisir sortir avec une belle femme devant les autres, et finir à genoux une bite dans le cul à en réclamer encore et encore le soir venu, et inversement. Et ça il en profita aussi.
Il ne rentra jamais en France, n'eu plus de nouvelles de Janice. Les deux hôtels rapportèrent pas mal d'argent, Hernest investit encore et encore...
Krit et Rasaï vivaient très bien et étaient heureux, il eurent leur premier bébé 3 ans plus tard et le second 2 ans après. Florient fut le parrain du premier et Hernest du second.
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Commentaires de l'histoire :
Anonyme
Long mais super histoire hormis les fautes de français et d'orthographes !
Posté le 19/12/2023
cerisemoche
Bravo, c'est rare de lire une histoire aussi riche. J'aurais aimé que chaque scène érotique soit aussi longue et détaillé que le massage de madame. Mais si non c'est vraiment bien écrit et original en mélangeant les orientations sexuelles. Un conseille pour sa visibilité et son succès faites des chapitres.
Posté le 24/03/2022
Anonyme
Très beau récit bien écrit, plein de surprises. On lit cette histoire d'une traite tellement elle est captivante. Merci à l'auteur
Posté le 22/03/2022
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