Pour reprendre des forces, les deux femmes se rendent dans la salle de bain. Inévitablement elles se caressent. François intervient et ramène la sérénité dans le couple. Pierre le vieux coquin a ramené de chez, lui une petite valise garnie de godes
Proposée le 18/08/2021 par jennifer
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Thème: extra-conjugal
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Une fois que Lucie a terminée de Lécher le corps de Marion, elle lui prend la main et l'entraine dans la salle d'eau. Une fois sous la douche, les deux s'enduisent de gel et se frottent mutuellement le corps. Comme il ne fait aucun doute, les mains dérapent et s'attardent sur les parties intimes. Les doigts de Lucie glissent dans la raie de Marion et lui taquinent l'anus elle pousse un sifflement et dit :
-Oh la vache, mon mari t'a bien travaillé, ton trou est encore ouvert, il est vrai que c'est sa spécialité la sodomie, je t'en parle en connaissance de cause !
Tout en parlant trois doigts s'enfoncent aisément dans le trou béant, Marion sursaute les doigts lubrifient par le gel tournent dans l'antre encore dilaté.
- Arrête ma chérie tu me fais devenir folle, mon Dieu arrête stp c'est trop !
C'est très déçue que Lucie retire les intrus du temple de Sodome. Elle fait face à Marion et lui dit en riant :
-Avec un peu de patience je pourrais y entrer toute ma main dans ton cul ma cochonne d'amour !
-Oh, c’est trop tentant ce que tu me dis, arrête de m'exciter salope ! Répond Marion en riant.
François vient rappeler à l'ordre les deux amies, qui sont encore enlacées sous la douche. Il coupe l'eau, pour faire sortir les deux amantes de la douche. C'est en soupirant que les femmes s'essuient les perles d'eau qui ruisselles sur leur peau satinée. Pendant l'absence des femmes, Pierre le vieux célibataire, c’est rendu chez lui, il en est revenu avec une petite valise en alu. C'est en souriant qu'il l'ouvre et étale sur le sol une panoplie non négligeable de godes. Lucie et Marion sont émerveillées, Pierre agite d'une main un long gode de fort diamètre très souple, qu'il appelle l'anaconda.
Il toise tout le monde de son regard pénétrant et dit avec un grand sourire :
-C'est avec lui que je me dilate le cul, ensuite je m'introduis ce Plug que je garde en moi une partie de la journée, c'est un régal pour moi, je vous le conseil !
L'engin impressionnant, donne suite à des commentaires.
-Pour vous mesdames, je vous recommande les boules de geisha, jouissance totale assurée, s'en omettre ce petit œuf vibrant une merveille !
Il les agite comme des clochettes en riant aux éclats. Paul regarde la panoplie, il tâte certains modèles puis, regarde sa femme qui salive d'envie. Il s'attarde sur un gode monstrueusement veiné, avec un gland démesuré. Il sourit et dit a Lucie :
-Cela te dit ma chérie ?
Elle lui répond en ravalant sa salive :
-Ne me provoque pas, tu sais que je ne peux résister à tout ce qui a un rapport au sexe?!
Les yeux de Marion se mettent à briller, elle bégaie :
Oh oui Lucie, essaie-le je t'en prie !
Oh là, oh là s'esclaffe Pierre :
-Avant ma chérie, il faut mettre les jouets dans tes orifices, il faut te mettre en condition !
Il tend à Marion les boules de geisha et l'œuf, Le regard de Lucie se fige sur le monstre souple ses yeux sont écarquillés, elle marmonne.
-Putain l'engin, avec ça tu dois être dilaté à l'extrême !
Paul son mari réagit en riant :
- Ma salope, tu ne demandes que cela d'être écartée !
François prend place dans un fauteuil, Paul se caresse doucement le membre.
Marion s'insère, aisément les boules de geisha dans son anus encore entrouvert. L'œuf prend place dans sa chatte. Dès les premières secondes, les décharges de l'œuf font effet, elle plaque ses mains sur sa chatte et fait quelques pas, là ce sont les boules qui entre en action. Marion serre les dents, elle grimace à chaque pas.
Rapidement elle a un orgasme violent, suivit d'autres de plus en plus violents. Elle doit retirer les boules de son rectum tellement c'est violent. Elle s'assoie jambes écartées sur le bord d'une chaise. Elle retire l'œuf, le regarde un bon moment, le coquin vibre entre ses doigts. Elle lèche le jus qui le recouvre.
François est de plus en plus satisfait du comportement de sa femme, elle devient de plus en plus salope, c’est inespéré. Paul agite le monstrueux gode et invite sa femme à se mettre à genoux, elle plaque sa tête sur ses avant-bras et offre sans honte sa croupe de pouliche. Il lui crache sur l'anus et place le mastodonte contre pour faire un test l'anneau résiste, Paul doit y renoncer. Bien qu'habitée aux gros calibres, Lucie est un peu inquiète. Marion s'approche pour mieux voir, elle se penche, ainsi elle est juste à la bonne hauteur. Elle saisit les fesses de Lucie et les écarte tant qu'elle peut. La soumise grogne, Paul enduit l'engin de vaseline, il le replace contre la rondelle brune et pousse fortement. Lucie se cabre, ses yeux s'emplissent de larmes, elle ouvre toute grande la bouche pour prendre une grande inspiration, puis bloque. Paul appuie avec ses deux mains sur le gode.
Le muscle rectal s'entrouvre, Paul donne un coup violent, le gland s'enfonce dans l'ouverture anale. Lucie souffle fortement en poussant un rugissement de fauve. Lentement le mandrin monstrueux s'enfonce dans la gaine prête à se déchirer. Marion lâche les fesses de son amie, ses yeux sont exorbités, elle suit avec attention l'avancée du gode dans le corps de Lucie, la soumise grince des dents, en vociférant des insanités à l'encontre de son mari.
- Oui gueule, tu auras moins mal ma chérie ! Lui dit Marion.
Distendue comme jamais Lucie souffle comme un bœuf. Enfin les couilles factices entre en contactes avec les fesses de Lucie. Paul cesse de pousser, il attend un moment que le corps de sa femme s'habitue à l'engin avant de faire quoi que ce soit. Lucie respire maintenant normalement. Paul lui tourne lentement le monstre dans le rectum. Les grosses veines apparentes de l'engin frottent les parois sensibles du conduit anal. Cela procure des frissons, Paul s'amuse à faire faire au gode de nombreux quart de tours. Sa femme geint, comme une bête blessée. Marion passe sa main sous le ventre de son amie et lui caresse de plus en plus vite le clito.
Paul commence à faire de courts va-et-viens, le gode semble coulisser de mieux en mieux dans le cul de sa femme. Bien que dilaté, l'étui de chair s'adapte au calibre hors norme du mandrin en silicone. Paul manie avec dextérité le piston de 7 centimètres de diamètre. Le corps de Lucie est pris subitement de tremblement, Elle se cabre en criant, une forte giclée est expulsée de sa chatte, Paul enfonce le gode à fond et action la vibration. La réaction est terrible, Lucie se laisse tomber lourdement sur le sol. Sa chatte gicle continuellement, sa cyprine inonde le sol. Ses râles sont inhumains, ses yeux sont révulsés, un filet de bave s'échappe de ses lèvres. Paul retire lentement le monstre du cul de sa femme. Marion regarde avec étonnement le sphincter, s'ouvrir et se refermer constamment. Elle passe sa main sur le trou béant, en le caressant pour apaiser les contractions interminables du muscle rectal.
Lucie git sur le sol, elle halète, sa respiration est rapide son cœur bat la chamade. Petit à petit elle reprend ses esprits, Ses yeux son vitreux, entre deux hoquets, elle a la force de dire :
- Putain quel Pied, Paul mon chéri, tu m'as défoncé comme un démon oh la vache !
Elle s'étend sur le dos pour récupérer. Pierre Regarde Paul en lui montrant l'œuf vibrant, Paul fait un signe de tête qui veut dire oui. Pierre perverse à l'extrême, enfonce dans la chatte détrempée de Lucie l'œuf. Lucie se cambre, Paul lui glisse sous les reins un coussin. Le doux ronronnement de la vibration fait immédiatement effet, Lucie se raidit et crie :
- Mon Dieu, je vais mourir de jouissance oh putain comme c'est bon !
La cyprine coule en continu de la chatte de Lucie, la coquine se vide de son jus. Elle et au bord de la syncope. Une violente secousse, la cloue au sol, une giclée forte comme un geyser expulse l'œuf de la chatte. Lucie se recroqueville, elle pousse de râles comme une agonisante. Paul suggère de la laisser récupérer. Maintenant les regardes se tournent vers Marion, c’est son mari qui parle le premier :
-Vient t'empaler le cul sur ma queue ma chérie, Paul y joindra la sienne ensuite !
Pierre un peu déçu réplique :
-Et moi alors ?
-Toi, tu lui prendras la chatte avec Paul, sa chatte elle aussi, a le droit à une double !
Répond François en souriant.
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