L'anniversaire de Marion 3

Enfin Marion se lâche, Pierre lui dévore la vulve en bon professeur, C'est sans brusquerie qu'il la prend pour ne pas la traumatiser. Lucie elle se fait sodomiser grave par son mari Paul. François observe chaque réaction de sa femme soumise.

Proposée le 11/08/2021 par jennifer

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

La langue de Pierre taquine intensément le clitoris gonflé de Marion, elle se contorsionne sur la petite table, ses gémissements sont étouffés par la main qu'elle plaque contre sa bouche. François a le regard luisant, il est heureux de voir sa femme prendre du plaisir avec d'autres personnes. Lucie elle, s'écarte les fesses avec ses deux mains, pour recevoir plus aisément les coups de langues habiles de son mari Paul.


Pierre ne veut pas lâcher sa proie, Il s'écarte légèrement et saisit délicatement entre son pouce et son index la boule gonflée de Marion, elle se cabre en se mordant la main, elle ne veut pas faire entendre le plaisir qui boue en elle. Doucement, il lui triture la perle d'amour qui par enchantement, prend encore du volume. François regarde en écarquillant les yeux, le clitoris de sa femme qui a doublé de volume, il n'en revient pas. Soudain, un cri le fait sursauter, Lucie vient de se prendre la verge énorme de son mari dans le rectum. Elle tombe à genoux entrainant son mari dans sa chute, elle pose sa tête entre ses bras en soufflent comme une bête.

Paul la saisit par les hanches et commence un va-et-vient d'enfer. Marion, détourne à peine la tête, trop sollicitée par son amant, elle ne réagit pas aux cris de Lucie qui se fait sodomie sur le sol. Rapidement, Paul lui remplit l'intestin avec son sperme abondant. C'est avec insistance, qu'il continue de la pilonner. Sa femme, geint comme une bête, elle agite sa croupe de pouliche en relevant son bassin à chaque coup de pilon. Elle se cambre en poussant un cri de jouissance, la coquine jouit du cul comme il n'est pas permis de le faire.

François, tient sa verge décalottée d'une main et de la paume de l'autre, il se frotte le gland la tension monte de plus en plus il serre les dents en regardant sa femme geindre sous les doigts de son ami Pierre. Le bougre comme un expert, masturbe doucement le clitoris de Marion qui le regarde les yeux pleins de larmes. Pierre fixe du regard de son amante et accélère le doux branlage. Marion se tortille de plaisir sur la table basse. François veut voir sa femme jouir encore, il encourage Pierre :

- Mon Dieu Pierre elle va jouir vas-y vas-y !

Pierre sait ce qu'il a à faire, le coquin a de l'expérience. Il presse de temps en temps la boule magique, cela a pour effet de faire cabrer Marion, tout en continuant de la masturber, il lui enfonce trois doigts dans le conduit détrempé. Marion pousse un long râle, s'en est trop elle s'arc-boute instinctivement, elle saisit la main de son mari et la presse fortement elle jouit terriblement.


Lucie qui ne veut pas faire de la figuration, s'approche de la jouisseuse, lui prend la tête entre ses mains et l'embrasse fougueusement. Marion encore sous tension de sa violente jouissance, noue sa langue à celle de son amie. Les salives se mélangent pendant tout le temps que dure le baiser. Pierre retire ses doigts du puits d'amour, regarde François qui opine de la tête. Pierre lui sourit, il se redresse et place son membre gorgé de sang contre la vulve en ébullition de Marion.
Il attrape doucement Marion par les hanches, puis pousse doucement. Le gland large et épais de Pierre appuie sur les grandes lèvres vaginales, elles s'ouvrent sous la lente poussée. Le gland violacé, s'engage très lentement dans la gaine lubrifier naturellement par l'abondante cyprine que fabrique la vulve. La lente pénétration est accompagnée par un long râle rauque. Les mains de Lucie s'emparent des mamelons dressés au centre des aréoles brunes. Elle sait comment stimuler encore plus son amie Marion, elle écrase sans ménagement les tétons, les étire sauvagement. Les bouts deviennent monstrueux. François regarde les bouts que Lucie maltraite, la couine à l'air d'aimer ça, car elle geint de plaisir à chaque torsion de ses tétons.


Pierre est en elle jusqu'à la garde, ses bourses velues butent contre le temple détrempé. La chaleur de la queue de Pierre, procure un effet incroyable sur Marion qui couine de plaisir. Un long moment Pierre reste sans bouger, il veut que Marion puisse profiter de ce moment de bonheur. Le vagin de Marion se contracte constamment, la queue de Pierre bien serrée dans la gaine de chair frémit sous les petites secousses. Maintenant, il sait que Marion apprécie sa queue en elle. Il commence à faire un lent va-et-vient. À chaque mouvement de la verge de Pierre, Marion pousse un petit gémissement. Lucie gobe à tour de rôle les mamelons de son amie, elle les suce avidement comme pour en extraire du lait.

François glisse sa main sur le ventre de sa femme et arrive jusqu'au bouton d'amour, il le frotte doucement pendant que son ami Pierre fait voyager sa verge dans le corps de sa femme. Marion se tend comme un arc en geignant de bonheur. Paul veut être de la fête aussi, il offre aux lèvres charnues de la soumise son membre gluant. Marion ouvre la bouche et gobe le gland visqueux. Elle qui d'habitude, lorsqu'elle fait une fellation à son mari François à des hauts le cœur là, c’est tout le contraire la coquine à l'air d'aimer ça. Elle s’évertue à donner du plaisir autant qu'elle en reçoit. Pierre accélère la cadence, Lucie dévore de plus en plus sauvagement les bouts hors normes des seins. François ne reste pas inactif, ses doigts triturent de plus en plus vite le clitoris en feu de sa femme.

Elle se trémousse sur la table, son corps fait des ondulations, ses gémissements étouffés par le membre qu'elle suce, sont révélateurs. La tension est à son comble, Soudainement Pierre ressort sa verge puis, la replonge rapidement au plus profond des entrailles de son amante. Le bougre réitère le mouvement plusieurs fois. Marion recrache la verge de Paul elle se cabre et explose, sa cyprine gicle sur les bourses de Pierre qui accélère le rythme. Les cris presque inhumains, que pousse sa femme tétanise François. Ses doigts se bloquent sur le clitoris gonflé comme jamais. Il regarde sa femme, il veut dire quelque chose, mais ses mots se nouent dans sa gorge.


Marion ne cesse de geindre et de gicler, Pierre se bloque et envoie une quantité importante de semence dans le corps de Marion qui se cambre davantage pour recevoir toute la semence de Pierre en elle. Lucie s'écarte et regarde en souriant son amie mourir de plaisir. Entre deux râles, Paul replace sa queue dans la bouche de la jouisseuse. Il la saisit sauvagement par les cheveux et lui enfonce sa queue jusqu'aux couilles dans la bouche, il lui baise sauvagement la bouche rapidement il se raidit et remplit de sa semence suave la gorge de Marion qui manque d'étouffer. Elle repousse Paul brusquement, un filet de sperme s'écoule à la commissure des lèvres, elle l'essuie dans revers de la main. François retrouve la parole et lui crie :

- Avale, avale ne gâche pas le nectar des dieux ma chérie !

Marion les yeux embuées, a du mal à reprendre son souffle, elle qui n'a jamais voulue avaler le sperme de son mari, déglutie difficilement et finie par tout avaler. Elle s'esclaffe :

- Mon Dieu François je suis une salope, j'ai pris du plaisir avec d'autre homme, mon Dieu comme j'ai honte je suis devenue une pute !

Pour la remercier de sa performance, François l'embrasse comme jamais. Paul attend que les époux cessent de s'embrasser pour dire :

-Je pense qu'il est grand temps de la prendre par le cul ta charmante femme François !

François sourit et regarde sa femme, elle écarquille les yeux et fronce les sourcils, elle réplique avec une certaine inquiétude :

- Mais vous n'y pensez pas, je n'ai jamais étais sodomisée, cela doit être très douloureux en plus c'est sale !

C'est Lucie qui réagit la première :

- Moi je viens d'être enculée et j'y ai pris un pied d'enfer, viens avec moi à la salle de bain pour quelques préparatifs ma chérie !
Ensuite, je vais bien m'occuper de toi et tu vas en redemander crois-moi !

Marion regard d'un drôle d'air son amie, elle est soucieuse et se demande si elle doit accepter ou non. La curiosité l'emporte, elle qui vient de se livrer comme une chienne ne peut plus reculer. Elle se lève difficilement et accompagne son amie dans la salle de bain pour la suite des événements.

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