Emma est soumise par son amant

Emma continue son apprentissage sexuel. Elle est soumise par son amant, attachée et offerte à un ami.

Proposée le 14/07/2021 par Carolina

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Thème: Femme soumise
Personnages: FHH
Lieu: Hôtel
Type: Histoire vraie

Après notre soirée dans un club échangiste, j’ai revu Émilie toute seule. Nous avions arrangé une journée resto et shopping. Après, quelques verres de vin, j’ai envie de faire du shopping, mais j’ai aussi très envie d’être nue avec Émilie, j’ai envie de sentir sa peau contre la mienne, d’enfouir ma tête dans ses cheveux et sentir ses lèvres contre les miennes. Je ne sais pas si elle ressent la même chose, je ne sais pas si elle a des relations sexuelles sans son mari. Je fais de mon mieux pour chasser ces idées de ma tête mais lorsque nous nous retrouvons dans les cabines d’essayage d’un grand magasin, l’envie de la voir nue me submerge et j’ouvre furtivement le rideau de sa cabine afin de me glisser à l’intérieur. Émilie rigole, elle m’enlace et m’embrasse, ses lèvres sont douces, sa langue cherche la mienne, elle est un culotte et soutien-gorge et je sens ses seins tout contre moi. Mes mains remontent le long de son corps et trouvent ses tétons dressés, je les caresse et les pinces. J’ai très envie d’elle. Malheureusement, nous entendons une vendeuse frapper à la porte et nous avertir qu’une seule personne n’est autorisé par cabine. Nous nous regardons en pouffant et je sors à contre cœur.
J’attends qu’elle se rhabille, et nous sortons du magasin. Elle me demande : « Qu’est ce qui serait arrivé si nous avions eu tout notre temps ? »
J’avoue : « J’avais très envie de gouter ta peau, et peut-être plus… »
Je me surprends moi-même ! Je n’aurais jamais pensé être attiré par une femme, ni coucher avec un homme plus vieux ou avoir des relations échangistes. Je me sens audacieuse et prend la main d’Émile. Nous nous embrassons en nous quittant, en nous promettant de nous revoir bientôt.

En rentrant, j’appelle Pierre afin de lui raconter ma journée. Il me demande de lui raconter les détails et je sais qu’il est en train de se masturber en m’écoutant parler.
Il me demande si je peux lui rendre un service. Il a un client difficile à satisfaire et voudrait que je les rejoigne au restaurant afin de détendre l’atmosphère. Je trouve sa demande incongrue, que pourrais-je apporter à ce repas, je ne connais rien à ses affaires. Mais Pierre insiste que ce n’est pas un diner d’affaires mais plutôt pour conclure son deal et se mettre le client dans la poche. J’ai toujours envie de lui faire plaisir, j’accepte donc et trouve même excitante cette situation. Je m’habille d’une tenue sexy, une robe couleur chair en dentelle et transparente à souhait, string et soutien-gorge noirs.

Le diner se passe bien, la conversation va bon train, le vin coule à flot et nous passons une bonne soirée. Quand celle-ci touche à sa fin, Pierre me propose de nous retrouver dans notre chambre d’hôtel habituelle. Je suis impatiente !
Dans la voiture, pendant que Pierre conduit, j’enlève mon string et remonte ma robe, Pierre pose sa main sur ma petite chatte rasée, il la caresse doucement.

Nous arrivons enfin dans la chambre, la porte fermée Pierre m’embrasse enfin. J’aime être dans ses bras, j’aime sentir son sexe grossir, je le caresse à travers son pantalon, mais il retire ma main. Je suis surprise. Il me regarde et m’entraine vers le lit, me déshabille, je me laisse faire, je suis nue devant lui. J’adore le voir m’admirer comme ça. D’un coup il annonce :
- Allonge-toi sur le lit, je vais t’attacher.
Je refuse mollement, je ne sais pas si je suis confortable avec cela, j’ai un peu peur. Mais bien sûr, ne pouvant rien lui refuser, je me laisse guider.
Il attache chacun de mes bras à un pied du lit, une barre est attachée entre mes cheville afin de maintenir mes jambes ouvertes et il remonte mes genoux sur ma poitrine, qu’il attache aussi dans cette position. Je pense que toutes ces heures de yoga ont servi à quelque chose parce que cette position n’est pas inconfortable. Je me sens totalement exposée, Pierre me regarde pendant un long moment, il parait satisfait de la scène.
Il vient m’embrasser, titille mes tétons dressés, descend sur mon ventre. Cette position lui donne un accès direct à tous mes orifices. Il passe sa langue sur ma fente, j’ai envie de le sentir en moi, sur moi, sur mon clitoris. Mais il n’en fait rien.
- S’il te plait, Pierre lèche moi, lèche-moi mieux.
Il écarte mes lèvres, sa langue effleure mon clitoris, il me regarde, recommence, j’en veux plus, j’ai envie de toucher mon entrejambe moi-même, mais je suis attachée.
On frappe à la porte. Pierre sourit.
- Quoi ? Qu’est-ce que tu as fait ? C’est qui à la porte ?
- C’est Antoine, mon client, il t’a trouvé très belle, il a envie de gouter ta petite chatte serrée.

La peur envahit mon ventre, non, non, non, pourquoi me suis-je encore mis dans cette situation ? Pierre plante un baiser sur ma chatte, « sois gentille avec lui, il est important »
Il se lève et va ouvrir.
Antoine entre, il semble subjugué par le spectacle. Je ne sais pas ce que je ressens, exposée ainsi, offerte au 1er venu. J’entends Pierre parler de moi comme si je n’étais pas là.
« Ses tétons sont très sensibles » dit-il en me passant la main sur les seins. « Elle aime sucer et sa chatte est étroite, il faut bien la faire mouiller pour la pénétrer. »

Le sang cogne contre mes tempes, j’ai le souffle court, Pierre écarte mes lèvres afin de montrer à Antoine que je mouille déjà. Et c’est vrai, je suis toute mouillée. J’ai beau me dire que cette situation ne m’excite pas et que je voudrais qu’Antoine reparte ; je sais que ce n’est pas vrai. Je suis terriblement excitée, j’aime être exhibée de la sorte, je sais qu’il me désire, et je le veux aussi, je les veux, tous les 2.

Pierre invite Antoine à prendre une douche. Lorsqu’il est dans la salle de bain, Pierre me demande s’il est allé trop loin, si je veux tout arrêter.
Mon égo, ma dignité voudrait avoir le courage de tout arrêter bien sûr. Mais mon corps me réclame la luxure, je veux de la débauche, je veux dépasser mes tabous.
Je donne donc mon accord à Pierre.

Antoine sort de la salle de bain, une serviette autour de la taille. Je vois son sexe en érection tendre la serviette, il regarde Pierre qui se penche sur ma chatte, lui montre comme je suis mouillée, lui explique qu’il doit bien me stimuler le clitoris, que je mouille beaucoup. Antoine ne m’a toujours pas adressé un mot, il s’approche pour me mettre ses doigts dans la bouche. Il demande à Pierre :
- Elle aime la sodomie cette petite salope ?
- Elle aime se faire prendre dans toutes les positions et dans tous les trous, mais son cul est serré et je préfère le garder pour moi.

Antoine me masse les seins, il se penche et m’embrasse brutalement. Il s’allonge sur le lit, la tête entre mes jambes, glisse sa langue le long de ma fente, trouve enfin mon clitoris, aaaah que c’est bon, il prend son temps. Pierre s’assoit sur un fauteuil, il ne perd pas une miette de la scène, il sort son pénis et se branle en nous regardant.
Antoine annonce que je suis bien mouillée et qu’il a envie de me prendre maintenant. Pierre vient voir, il entre 2 doigts en moi et autorise Antoine à me pénétrer.
- Tu peux y aller, elle n’attend que ça.

Antoine se branle un peu, enfile un préservatif, je sens sa queue sur ma chatte, il est à genoux devant moi, mes jambes sont toujours relevées. Il me pénètre doucement, puis rapidement, doucement puis très fort, il m’arrache des cris. Le fait que je ne puisse pas bouger m’excite terriblement, je hurle de plaisir. Pierre n’y tient plus, il s’approche et me tourne la tête et enfourne sa bite dans ma bouche. Il me baise littéralement la bouche, il s’enfonce trop profondément, mais j’adore lui donner du plaisir.
Antoine a envie de me prendre en levrette. Pierre me détache donc mais laisse la barre entre mes chevilles, il me retourne et Antoine me reprend, très fort, des à-coups longs et puissants. Pierre se replace dans ma bouche, m’empêchant de crier, il m’attrape les fesses et les écartes, Antoine demande s’il peut glisser un doigt dans ma rondelle. Mais Pierre refuse, « son cul est à moi ».

Antoine se retire, il est prêt à jouir. Je m’allonge sur le dos à sa demande, je me caresse la poitrine, mes tétons sont durs, il se branle et éjacule sur mes seins. Il me regarde satisfait et s’assoit sur le bord du lit pour reprendre son souffle. Au bout de quelques instants, il se lève et retourne dans la salle de bains.
Pierre m’essuie et m’embrasse. Mes jambes sont toujours écartées pas la barre entre mes chevilles, sa main trouve mon clitoris, je n’ai toujours pas joui, Pierre bande encore, j’ai envie de m’assoir sur lui, mais la barre m’en empêche. Je lui demande de me libérer, ce qu’il fait, je vais m’empaler sur sa queue. C’est bon, il prend mes seins dans sa bouche tour à tour, ses mains cherchent mon anus, il mouille son doit et l’enfonce doucement en moi. Je continue à le chevaucher, toujours plus fort. Je sens l’orgasme proche lorsqu’Antoine sort de la salle de bains « je vois qu’on ne s’ennuie pas sans moi ».

Il prend la place de Pierre sur le fauteuil et commence à se masturber en nous regardant. Pierre se lève et me pose sur le lit, les fesses en l’air, il crache sur ma rondelle, enfonce son doigt. J’adore sentir sa bite et son doigt coulisser en moi, savoir qu’Antoine nous regarde m’excite encore plus et je me laisse aller, je sens l’orgasme au creux de mon ventre, monter en moi, mes jambes tremblent, Pierre positionne sa queue sur ma rondelle et pousse son gland, je jouis dans un cri. Pierre continue sa progression entre mes fesses, je continue à crier, il me claque les fesses, j’ai un second orgasme.
Antoine se lève :
- Tu peux ressortir, j’ai envie de voir son cul dilaté.
Antoine regarde, mais ne touche pas. Il demande si je peux le sucer, pour toute réponse, Pierre me tire les cheveux pour me relever la tête, avant de replonger sa bite dans mon cul. Je suis embrochée par ces 2 hommes, beaucoup plus vieux que moi, totalement à leur merci. Ils continuent leurs va-et-vient, chacun de leur côté.
Pierre me fait agenouiller entre eux 2, je les suce jusqu’à recevoir leur semence sur mes seins de nouveau.

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