Après avoir perdu ma virginité avec Christian, l'ami de mon père. Je passe une semaine de luxure chez lui où il va me faire découvrir la jouissance.
Proposée le 8/12/2023 par Emma_la_coquine
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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Depuis que j’ai fait l’amour avec Christian, l’ami de mon père, je n’ai qu’une envie : recommencer. J’ai envie qu’il me fasse jouir encore et encore. Mais je n’ai pas l’occasion de le voir. J’ai cherché son numéro dans le portable de mon père et j’hésite depuis quelques jours à lui envoyer un message. Mais ce matin, je suis heureuse, parce que ma mère m’annonce qu’il vient manger ce soir. Je réfléchis toute la journée à comment m’habiller, il avait aimé quand j’étais sans sous-vêtements, je choisis donc une robe bleu ciel à bretelles que je porte sans soutien-gorge et sans culotte, je profiterai de la première occasion pour lui montrer mes fesses.
Il sonne enfin et je dois réfréner mon envie de courir vers la porte d’entrée, je sens mes tétons pointer sous ma robe, c’est parfait. J’ouvre la porte et mon sourire s’efface rapidement quand je vois une grande blonde à son bras. Je balbutie un bonjour, il passe sa main dans mon dos pour me faire la bise, la blonde se veut chaleureuse mais je l’ignore et file dans la cuisine. J’ai envie de pleurer, comment peut-il me faire ça ?
Ma mère me demande de l’aider et je fais tout ce que je peux pour passer le moins de temps possible en sa compagnie, je mange rapidement sans desserrer les dents et prétexte un mal de tête pour monter le plus tôt possible dans ma chambre.
Je m’allonge sur mon lit, je pleure à chaudes larmes sur ma naïveté et imagine tout ce que Christian fait à cette blonde, est-ce qu’il la lèche comme il m’a léché ? Est-ce qu’il préfère sa chatte à la mienne ? Est-ce qu’il la sodomise aussi ?
J’entends à peine la porte de ma chambre s’ouvrir, Christian est là, il est en train d’ouvrir sa braguette, je ne bouge pas, il s’approche de moi, sort son sexe et me caresse les lèvres avec son gland. Il essaie de le pousser dans ma bouche. Je me recule mais il m’attrape la tête :
- Suce-moi Emma, suce-moi bien.
Il appuie ma tête sur l’oreiller, j’ouvre la bouche, il entre et sort, il me baise la bouche et je me laisse faire. Il va de plus en plus profond, je ne sais pas combien de temps ça dure, il annonce soudain qu’il va jouir.
- Je vais t’éjaculer dans la bouche, ma petite coquine.
Je reçois alors son sperme en plusieurs jets chauds, qui coulent de ma bouche.
- Avale-tout.
Je prends alors son pénis en main pour tout bien nettoyer. Pendant ce temps, il passe sa main sous ma robe et attrape mes seins tour à tour. Quand j’ai fini, il range son sexe dans son boxer et remonte sa braguette, j’ai envie de lui poser milles questions mais je ne dis rien, il se retourne et sort de ma chambre.
Je me retourne aussi sur mon lit, le sourire aux lèvres cette fois, il a encore envie de moi ! Je prends mon portable et lui envoie un message : « J’aime bien quand tu jouis dans ma bouche. » Il me répond immédiatement : « envoie-moi une photo de tes petits seins. » Je fonce dans la salle de bain, laisse tomber les bretelles de ma robe et prends une photo que je lui envoie immédiatement.
Je décide de ressortir de ma chambre, je cherche mon plus petit maillot de bain et redescend me mêler au reste de ma famille. Je joue dans l’eau avec mon frère et ma sœur et je sais que Christian me regarde. Ils partent en fin de journée sans que l’on ait pu s’isoler et je suis restée sur ma faim.
J’ai un stage à effectuer, je n’ai pas cherché d’endroit, la date approche et si je ne trouve pas quelque chose, je vais me retrouver à faire des photocopies au bureau de ma mère comme la dernière fois. Je me dis que j’aimerais travailler avec Christian, on pourrait faire l’amour n’importe où et n’importe quand. Je n’ose pas en parler à mes parents cependant. Je lance un soir au diner, « peut-être dans un cabinet d’architectes, ça m’intéresserait bien je crois. » mon père tombe dans le panneau « demande à Christian, je suis sûr qu’ils prennent des stagiaires » hehe mon plan a marché, encore mieux que toutes mes espérances à vrai dire car le cabinet de. Christian étant un peu loin de chez nous, il propose que je dorme chez lui toute la semaine et mes parents trouve que c’est une bonne idée… Toute une semaine chez Christian ! Je suis sur un petit nuage.
La semaine fatidique arrive enfin et mon père m’accompagne chez Christian le dimanche soir, on mange tous les 3, je n’ai qu’une envie c’est que mon père reparte mais ils discutent, ils discutent, ils discutent… et ose même m’envoyer me coucher ! Je vais donc me coucher dans la petite chambre d’ami et je les entends encore discuter alors que je m’endors. Ce n’est pas la soirée que j’avais en tête !
Le lundi matin, j’espère qu’il va entrer dans la salle de bain alors que je me douche, qu’il va me surprendre alors que je m’habille ou encore mieux, qu’il va me prendre sur la table de la cuisine. Mais non… nous nous préparons et partons donc travailler tous les 2 sans que rien ne se passe. Je suis déçue, encore une fois, je me demande si je me suis trompée. Il me présente à ses collègues, je passe la matinée avec une femme qui m’explique plein de choses qui ne m’intéressent pas, pause-déjeuner, 15h c’est la fin de ma journée. Je rentre à pied. Christian sera là à 18h30, j’ai quartier libre jusque-là.
Je suis complètement désorientée, je croyais qu’il avait proposé de m’héberger pour que nous puissions être seuls tous les 2, tranquille pour nous envoyer en l’air.
Je me balade dans son quartier, je reçois un SMS vers 17h. :
Tu as trouvé ma surprise ?
Je me dépêche de rentrer, fais un rapide tour d’horizon, rien, je vais dans « ma » chambre pour la semaine où je découvre sur le lit un string ficelle noir avec un soutien-gorge à demi-bonnet, il souligne le dessous des seins uniquement mais laisse les tétons libres. C’est très, très provocant, c’est plus qu’osé. Le string est minuscule, je n’ose pas l’essayer. Je réponds finalement à Christian.
Oui.
A 18h30 quand je rentre, je veux que tu portes ça et uniquement ça. Tu dois être dans l’entrée quand je pousse la porte de l’appartement.
Je ne réponds pas. Je me déshabille, enfile le string et le soutien-gorge, c’est troublant et émoustillant. Je ne me reconnais pas, je me regarde longuement dans le miroir de l’entrée, je suis excitée, mes tétons sont durs, je suis pressée d’ouvrir à Christian comme ça.
Je fais le tour de chez lui, j’étudie ses livres, j’admire ses tableaux, j’inspecte ses placards de cuisine, je me balade à demi-nue quand je l’entends enfin arriver. Je cours dans le couloir mais je m’arrête devant son air sombre.
- Emma, pourquoi n’étais-tu pas dans l’entrée comme je te l’ai demandé ?
Je ne sais pas quoi répondre, est-il sérieux ? Je balbutie que j’étais dans la cuisine.
- Je ne t’ai pas demandée d’être dans la cuisine quand je rentre n’est-ce pas ? Les instructions étaient simples : dans l’entrée en sous-vêtements.
Il enlève sa veste et ses chaussures, m’attrape violement pas le poignet et m’entraine dans le salon où il s’assoit sur le canapé. Sans me lâcher le bras, il me fait allonger en travers de ses jambes, mes fesses sur ses cuisses.
- Comment te faire retenir la leçon ?
Je suis gênée d’être dans cette position, comme une enfant que l’on punit ? Il caresse mes fesses et soudain, la première fessée claque. Je sursaute. Puis une deuxième. L’embarrassement me gagne, je cache mon visage dans mes mains. Il caresse et il claque, je sens le feu sur mes fesses comme ses mouvements se font plus secs.
- Tu te souviendras quoi faire demain ?
Je ne réponds pas.
- Ou je dois sortir ma ceinture ?
Il se penche et embrasse chacune de mes fesses, son doigt suit ma raie de haut en bas, puis remonte. Il attrape mes fesses à plein main et les écarte.
- Je veux que tu sois obéissante Emma, c’est compris.
Cette fois je murmure « oui » et il abat de nouveau sa main sur moi.
- Oui qui ?
- Oui, Christian.
- Voilà qui est mieux. Maintenant agenouille toi par terre.
Je m’exécute. Christian se lève, il se déshabille entièrement, son sexe est déjà dur. Il se rassoit sur le canapé, je m’approche à sa demande, il me pince les tétons et glisse sa main sur ma chatte, à travers le string il me caresse et amène ses doigts dans sa bouche.
- Mais tu es déjà toute mouillée ma petite coquine.
Il se lèche les doigts.
- Suce-moi maintenant.
Il s’enfonce dans le canapé et je ne perds pas de temps, j’approche ma bouche de son gland, sors la langue pour le lécher puis le prends lentement dans ma bouche, en le regardant dans les yeux. Je garde son gland dans ma bouche pendant que je le branle, puis je prends sa bite dans ma bouche. Christian ferme les yeux, je continue.
- Aah ma petite coquine oui, suce-moi bien, c’est bon ça.
J’adore ses encouragements. Je continue, j’essaie d’avaler sa bite toute entière, je veux que mon nez touche son pubis. Ce faisant, j’ai des haut-le-cœur plusieurs fois, je persévère mais je n’y arrive pas. Pourtant je ne suis pas loin, il me faudra réessayer car Christian me demande de me relever et de me retourner. Je passe entre ses jambes écartées pour venir m’assoir sur sa bite. Je prends appui sur ses cuisses pour me soulever et me laisser retomber à nouveau.
- Je vais bientôt éjaculer. Annonce-t-il. Tu as mérité d’avoir un orgasme ou pas ?
- Oui, Christian.
Il me fait basculer en arrière, je remonte les jambes sur le canapé de chaque côté de lui, je continue mon travail de monté et descente sur son piston. Ainsi, les jambes écartées, il a accès à mon clitoris et il ne se gêne pas pour le caresser de manière franche, mon sein dans sa bouche, il mordille mon téton. Je suis moi aussi proche de l’orgasme.
- Christian, je vais jouir.
Il me caresse de plus belle, je jouis rapidement dans de grands gémissements et à peine terminé, Christian sort sa bite et éjacule sur mon ventre. Il se branle pour faire sortir la dernière goutte de sa semence. Je me retourne pour lui faire face, toujours à califourchon sur lui et je l’embrasse langoureusement, mon bassin se frottant toujours sur son sexe humide sans que je puisse le contrôler. Christian prévient :
- Si tu me fais rebander, je vais prendre ton petit cul.
Désireuse d’éviter cela se soir, je me relève à contre cœur et vais prendre une douche. Quand je ressors, propre, fraiche et habillé Christian est en train de cuisiner en caleçon. Il s’approche et pose un baiser sur mes lèvres :
- J’ai fait une salade césar.
Je secoue la tête pour chasser l’impression d’être en couple avec lui.
- Super.
Nous mangeons, parlons de mon premier jour de stage et nous installons sur le canapé pour regarder un film dont je ne vois que les premières scènes car je m’endors rapidement, cette journée m’a épuisée ! Je vais finalement me coucher dans ma chambre et lui dans la sienne.
Le lendemain, quand je sors de ma chambre encore en nuisette, Christian est élégamment habillé d’un costume, il m’embrasse et annonce :
- Je suis en rendez-vous toute la journée aujourd’hui alors je te laisse aller au bureau seule.
Et déjà il sort de chez lui. Un autre jour sans lui au bureau… je suis de mauvaise humeur comme je me prépare et marche jusqu’à son entreprise. La journée est toutefois agréable, mais cela va sans dire que ce n’est pas l’architecture qui m’intéresse mais plutôt le fait de côtoyer Christian tout la journée. 15h arrive finalement, je rentre à pied et lorsque je pousse la porte, je trouve une chaise dans l’entrée. Un mot est posé dessus : « à 18h30 tapantes Emma, je te veux agenouillée ici, nue. »
Je ne pense qu’à ça tout le reste de l’après-midi. Pour ne pas être en retard, à 18h25 je prends mon poste et j’ai mal aux genoux quand j’entends sa clé dans la serrure. Il anticipe immédiatement :
- Ne te retourne pas et pas un mot.
Il se déshabille derrière moi, vient enfin se placer en face de moi, sa bite fièrement dressée, il la pousse exactement 3 fois au fond de ma gorge, m’embrasse sauvagement et retourne dans mon dos. Je ne tarde pas à sentir ses mains écarter mes fesses, il guide sa bite à l’entrée de mon vagin et me pénètre aussi vite qu’il peut. Je ne suis pas assez mouillée et il me fait mal mais Christian s’en fout, il me prend hâtivement, il se tient au dossier de la chaise, redouble d’efforts et son geignement m’indique qu’il est en train de jouir en moi. Il continue ses aller et venus dans mon vagin maintenant trempé de son foutre et comme il se retire, exige que je ne bouge pas. Il se baisse, ses yeux directement au niveau de ma chatte qu’il écarte pour voir couler son sperme qu’il étale au fur et à mesure sur ma chatte devenue gluante de son plaisir. Je me laisse faire, j’aime sentir sa semence sur moi, ça m’excite encore plus. Quand il est rassasié de ce spectacle, il me demande de le suivre dans la douche, il veut s’occuper lui-même de me nettoyer. On se glisse sous l’eau chaude, il se savonne les mains et entreprend d’astiquer scrupuleusement tous les recoins de mon sexe. Il lave ensuite mes jambes, mon ventre mes seins, mes épaules et mes cheveux. Je n’ai jamais ressenti ça, mes tétons me font mal tellement je suis excitée, j’ai envie de le sentir en moi de nouveau et cette fois je veux un orgasme moi aussi. Christian me rince, je le regarde se laver à son tour, il éteint l’eau et m’enroule dans une serviette, il m’essuie aussi strictement qu’il m’a lavée. Il s’agenouille devant moi pour essuyer mes jambes, me retourne, glisse la serviette entre mes fesses, remonte dans mon dos, me retourne à nouveau pour délicatement essuyer mes seins, il les excite pour faire sortir mes tétons qu’il prend adroitement dans sa bouche, ne reste que mes cheveux qu’il enroule dans une serviette et je vais passer un short qui pourrait aussi bien être une culotte tellement il est court et un débardeur un peu large qui expose mes seins lorsque je bouge. Mes tétons sont durs en permanence et j’aperçois Christian me reluquer plusieurs fois pourtant il ne fait rien. Nous mangeons et je vais me coucher. J’ai envie de me caresser, mais je préfèrerais que ce soit Christian qui me fasse jouir. Je m’endors sans avoir eu d’orgasme aujourd’hui.
Vers 2h du matin je me réveille d’un rêve confus fait d’hommes murs qui me désirent mais n’agissent pas, ils parlent entre eux mais je reste sur la touche, ma chatte est trempée et je décide de prendre les devants cette fois. Je sors de ma chambre et me dirige vers celle de Christian, je tergiverse mais ouvre finalement la porte le plus doucement possible. Il dort sur les draps, le sexe remonté vers son ventre, je le regarde, j’aime cette image, mon majeur trouve instinctivement mon clitoris et je me masturbe quelques instants. Il ne m’a clairement pas entendu et j’hésite à le réveiller. L’envie est la plus forte, je m’approche en catimini, passe une jambe par-dessus sa tête imperceptiblement positionne ma chatte au-dessus de son visage et approche ma bouche de son pénis. Il a un sursaut quand ma langue le touche finalement, quelques secondes de battement où il essaie de comprendre ce qui lui arrive, je m’enhardis, je prends cette fois sa bite au repos tout entière dans ma bouche et Christian commence enfin à lécher ma petite chatte qui n’en pouvait plus d’attendre ses caresses. Je le branle, regarde grossir sa queue dans ma main, le suce, prends ses couilles dans ma bouche, je suis son rythme sur ma chatte. C’est trop bon. Il enfonce son doigt en moi.
- J’adore ta petite chatte, je veux que tu jouisses sur mon visage, je veux ta mouille partout sur moi.
Sur ses mots, sa langue retrouve sa place sur mon clitoris, son doigt entre et sort de mon vagin, je frotte ma chatte sur son nez, il se laisse faire, j’adore cette sensation.
- T’es tellement mouillée ma petite coquine, je vais prendre ta petite chatte trempée.
Il me repousse sur le côté, prend une de mes jambes sur son épaule et recouvre mon corps du sien, il me pénètre d’un coup de reins, c’est vrai je suis toute mouillée et il s’enfonce sans mal en moi. Ses coups de boutoir, rapides et secs au début, se font plus lents et délicats, je vais enfin jouir et il le sait.
- Tu aimes ça ma coquine ? C’est bon ? Tu me sens bien tout au fond de toi ?
Il m’embrasse ensuite et mes gémissements de plaisir sont aspirés par sa bouche, j’ai l’orgasme le plus long du monde, je m’accroche aux draps, ma jambe sur son épaule tremble, je sens mon vagin se contracter sur sa bite qui n’en finit plus de me pilonner. Quand mes cris se calment enfin, il se retire et enfouit son visage dans ma chatte trempée. Il me lèche de haut en bas et de bas en haut, du clitoris à l’anus, s’attarde sur l’entrée béante de mon vagin, retrouve mon clitoris puis il se redresse soudainement et éjacule sur ma chatte. Il s’écroule à côté de moi et je m’endors dans ses bras, dans les draps salis de nos plaisirs partagés.
Je me réveille la tête sur son torse, son souffle régulier m’indique qu’il dort encore, je regarde son sexe avec déjà une envie de l’avoir en moi. Je repense à nos ébats, c’est si bon de faire l’amour, je me demande pourquoi j’ai attendu si longtemps pour sauter le pas. Ou bien est-ce l’amour avec Christian qui est si bon ? Je vois qu’il est déjà tard, je fonce dans la salle de bains et me prépare, encore une fois, nous n’avons pas le temps de nous donner de plaisir ce le matin mais je rêve déjà à ce soir ! Je suis prête à partir, Christian m’accompagne, j’ai mis une jupe un peu courte aujourd’hui et je la remonte haut sur mes cuisses dans la voiture.
Le train-train s’est déjà installé pour moi dans le cabinet d’architecte, je vaque à mes occupations toute la matinée et Marie-Pierre, l’assistante de Christian m’informe qu’il m’attend dans la salle de réunion. Je m’y précipite, les stores sont baissés et une présentation tourne sur l’écran au mur. Pierre m’indique qu’il a quelques détails à finir mais que je peux déjà enlever ma culotte et m’assoir sur la table. Je suis surprise mais ne me le fais pas dire deux, la culotte tombe par terre et je m’assois, cuisses écartées en face de lui.
- Olala, tu vas me rendre fou avec ta petite chatte serrée.
Il tape sur son ordinateur mais ses yeux ont du mal à se décoller de mon entre-jambes. Il ouvre grand sa bouche et j’ai l’impression qu’il va me mordre.
- Si je pouvais te bouffer je le ferais.
Sa langue fait des grands mouvements le long de ma fente, il appuie sur mon clitoris puis l’effleure, le contourne, le lèche, son doigt joue à l’entrée de mon vagin.
- Mais tu es déjà mouillée, tu aimes quand je te bouffe la chatte ?
- Oui, j’adore ça Christian.
Un bruit dans le couloir nous fait bondir et Christian me demande de mettre ma culotte dans la poche de sa veste et de sortir. Je passe le reste de la journée en mini-jupe et sans culotte. À 15h, je passe dire au revoir à Christian, tout ce qu’il dit est « tu connais la consigne. » Oui je la connais : à 18h30, agenouillée sur la chaise dans l’entrée.
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