Manon du haras d'étalons ardennais

Manon était étudiante à l'Université de Liège. Elle provenait de Aubel, où ses parents élevaient des Ardennais, une race de chevaux de trait. Les saillies dans ce haras auxquelles Manon assistait souvent lui ont donné des appétits sexuels tout particuliers...

Proposée le 16/03/2021 par Bruno Pouperque

Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Quand je baisais encore Jade chaque semaine pour la débarrasser de son acné, elle m’a présenté à deux de ses amies. Les trois filles avaient chacune un kot dans la même maison pour étudiants, "Civitas Nostra", dans la Rue du Bois Saint-Jean au Sart Tilman.

La plus belle des trois était Suzanne. Elle n'étudiait pas à l'Université, mais à l'Institut de Théologie et de Pastorale de l’évêché de Liège. Suzanne était la plus belle des trois filles, mais elle ne m'aimait pas du tout, elle se méfiait même de moi. Derrière mon dos, elle disait à ses amies que j’étais un petit pervers, sans foi ni loi, seulement intéressé à séduire et à sauter des filles innocentes...


C'était différent pour Manon. Je m'entendais très bien avec Jade et elle. Elles m'aimaient toutes les deux, et nous avons beaucoup parlé et ri quand nous étions ensemble.


Au bout de cinq semaines au cours desquelles j'avais baisé Jade, ma sœur Flo m'a dit que Jade avait décidé de ne plus faire l’amour avec moi. Entre-temps, elle était presque complètement débarrassée de son acné et avait trouvé un ami stable à l'université. C'est pourquoi j'étais devenu superflu pour elle.


Peut-être que Jade en aura parlé aux deux autres, peut-être pas. Elles ont peut-être remarqué que je ne venais plus à la maison des étudiants. Ou peut-être que Jade s'est confiée à ses deux amies et leur a dit comment elle et moi avions fait l’amour et pourquoi.


Quoi qu'il en soit, un jour, environ un mois après que Jade m'avait balancé, j'ai croisé Manon à la Place Saint-Lambert. Je venais de quitter Yvette que j’avais baisée ce matin-là. Yvette était serveuse dans un restaurant et elle habitait dans un studio au-dessus d'un café de la rue de la Violette, non loin de la place St-Lambert au centre de Liège.
Manon et moi nous sommes dit bonjour en nous rencontrant. Moi, je voulais immédiatement rentrer chez moi parce que j'avais faim après avoir baisé Yvette deux fois de suite ce matin-là. Mon intention était vraiment de me barrer rapidement, mais Manon n'aimait pas ça. Elle m'a pris par le bras et a dit:


“Mais ne te précipite pas, Nick! Cela fait longtemps que nous ne nous sommes plus vus. En fait, tu m'as un peu manqué, vraiment! Nous avons passé de bons moments ensemble, toi, Jade, moi et Suzanne, bien que Suzanne… Je doute qu'elle ait apprécié ta compagnie. Je me suis toujours sentie bien avec toi. Tu es tellement drôle et charmant en plus!”


Pour résumer, Manon m’a invité dans sa chambre de la Rue du Bois Saint-Jean. Une fois arrivés, elle a dit que, comme moi, elle avait aussi faim. Elle avait un compartiment congélateur au-dessus de son frigo. Donc, elle a en sorti une pizza Margarita. Avant de la mettre dans son four, elle l’a saupoudrée d’un produit venant d'un pot qui me semblait provenir d'une pharmacie.


"C'est quoi?" ai-je demandé à Manon.


"C’est de l’Ecusautrine, un produit pour chevaux," a dit Manon en riant. "C'est bon pour toi, tu peux me croire sur parole."


"Qu'est-ce que tu veux dire par là?"


“Eh bien, nous avons un haras d'étalons, des Ardennais. Tu sais ce que c'est?”


“Eh ben, des chevaux, je suppose?”


“Exactement! C’est une très ancienne race rustique de chevaux de trait, de taille moyenne, à la robe généralement baie ou rouanne. L’Ardennais est reproduit et élevé chez nous dans notre haras à Aubel, depuis trois générations déjà.”


"Oui, je pense que j’ai compris. Les amateurs de chevaux de trait viennent aussi chez vous pour faire saillir et fertiliser leurs juments en chaleur, moyennant payement. C'est ça?"


"Voilà. Tu as tout compris. Bien que, parfois, des clients viennent également pour le sperme congelé d’un Ardennais. La saillie naturelle devient moins courante, mais je l'aime beaucoup plus.”


“Je te crois. Maintenant, parle-moi de ce produit dont tu as saupoudré la pizza?"


"C'est de l’Ecusautrine, comme je te l'ai dit. Ce produit est mélangé à l'alimentation des chevaux, aussi bien chez les étalons que chez les juments. Il fortifie le squelette et augmente la libido. C'est pourquoi j'ai dit que c'était bon pour toi. Pour moi aussi. Ne t’inquiète pas, ce n'est pas nocif du tout et presque insipide. Mais bon pour nous deux, tu vas le remarquer.”


Était-ce une allusion voilée de Manon? Je lui ai demandé:


“As-tu des projets pour après? Après que nous aurons mangé ta pizza avec cette poudre?”


“Je compte un peu là-dessus, Nick. Si tu en as envie…”


Nous avons rapidement mangé la pizza avec l'amplificateur de libido. Après, il n'a pas fallu cinq minutes avant que nous soyons tous les deux nus sur le lit de Manon. Je ne sais pas si c'était à cause de cette poudre, mais j'avais tellement envie de baiser Manon. Je n'osais pas immédiatement ramper sur elle. Je l'ai embrassée et caressée et j'ai joué avec ses seins. Ils étaient beaux, pleins et ronds, et avec des mamelons d’un rose très doux. Manon soupirait et se tordait un peu sous mes mains pendant que je travaillais ses tettes.


Ma bite était sur le point d'éclater. J'ai senti la chatte de Manon de mes doigts. Elle aussi était prête pour l’amour, car sa foune était trempée. Son jus vaginal s'écoulait le long de ses cuisses et ses lèvres gonflées béaient entre ses jambes.


J'ai mis Manon sur son dos et de ma main droite, j'ai écarté ses jambes pour pouvoir insérer ma bite dans sa chatte mouillée. Puis, soudain, elle a fait quelque chose de complètement inattendu: elle a levé ses genoux et m'a repoussé de ses pieds.


"Que fais-tu maintenant?" ai-je demandé, stupéfait.


"Souviens-toi que je viens d'un haras d'étalons ardennais." dit-elle.


“Qu'est-ce que cela signifie? Qu'est-ce que tu veux dire par là?”


"Tu es l'étalon maintenant, moi, je suis la jument, tu comprends?"


J'ai réalisé ce que Manon voulait vraiment dire:


"Tu veux dire que nous allons le faire en levrette?"


“Non, pas en levrette. Ce sera une saillie de chevaux. Allez, nous sommes tous les deux prêts. Commençons. Je vais t’aider à le faire comme je l'aime."


Manon s’est mise à genoux et s'est appuyée sur ses mains. Elle m’a présenté son gros cul vraiment appétissant, en relevant ses fesses.


"Saute sur moi pour me saillir, n'attends pas." dit-elle, laissant une petite bave couler de sa bouche sur son couvre-lit.


Je ne lui ai pas sauté dessus. J'ai rampé vers elle, et en plaçant ma bite raide entre ses lèvres ouvertes, je l'ai saisie par la taille.


Elle m'a secoué en me donnant une poussée ferme avec ses fesses volumineuses pour me faire reculer.


"Non, pas comme ça!" dit-elle, agacée. “Pas en levrette, je te l'ai dit. Tu dois me sauter dessus comme un étalon le fait avec une jument. Et tu ne peux pas me tenir par la taille pendant que tu fais la saillie. Tu dois laisser pendre tes bras et tes mains le long de ma taille, comme si c’étaient des pattes de cheval. Et tu serres fort. Un étalon fait ça aussi avec une jument pour la retenir pendant qu’il éjacule son sperme dans sa vulve. Et tu en auras aussi plus de plaisir. Alors mes fesses te frapperont plus fort et je te sentirai mieux dans ma chatte pendant que tu me baises.”


Voilà ce que j'ai fait. J'ai pris mon élan, j'ai sauté sur elle et je l'ai coincée par la taille. Je me suis fait un peu mal aux couilles, mais pas beaucoup. Puis, sans plus attendre, j'ai mis mon sexe dans son trou de baise béant. Alors que je commençais à monter et descendre en elle, Manon a soudain dit en haletant:


"Et maintenant tu dois dire "Hop, Manon!", plus d'une fois. Tu dois le dire tout le temps jusqu'à ce que je jouisse. "Hop, Manon", ce n'est pas difficile. Vas-y, commence!"


Pendant que je battais l’intérieur de sa chatte de ma bite, je disais “Hop, Manon!” toutes les dix secondes. Je ne pouvais pas le croire, mais cela a aidé. Manon est devenue tellement excitée, et sa salive a continué à couler de sa bouche sur son couvre-lit.


Et puis, soudain, elle est venue, en hennissant. Ce n'était pas vraiment un hennissement de cheval, bien sûr, mais ça y ressemblait quand même un peu.


Quand elle est venue, elle a pressé son cul encore plus fort contre mon bas-ventre. J'étais aussi profondément en elle que possible, et il n’a fallu que peu de temps avant que j’arrose l’intérieur de la foufoune de mon “Ardennaise” de mon sperme.


"N'était-ce pas merveilleux?" m'a-t-elle demandé après. “Quelque chose de complètement différent de toujours, pas cette baise ennuyeuse dans la position missionnaire. Ne penses-tu pas?"


J’ai donné raison à Manon alors qu'elle essuyait mon sperme d’entre ses lèvres avec des mouchoirs en papier.


J'étais cependant curieux et je lui ai demandé:


"Pourquoi as-tu voulu que je dise "Hop, Manon!" tout le temps pendant que j’étais en train de te saillir?"


“Mon père le dit toujours à l'étalon lorsque son pénis est dans la jument. Non pas "Hop, Manon!", bien sûr, mais "Hop, Lutgen!" ou "Hop, Meunier!", ou quel que soit le nom de l'étalon. C'est pour l'exciter afin que la saillie aille bien et ne prenne pas trop de temps. Quand je suis là, ça me rend incroyablement cornée. Pas cinq minutes après la fin de la saillie, je suis dans la salle de bain pour enlever ma culotte et me doigter le clito jusqu'à ce que je vienne.”


Dans cette période avec Manon, je l'ai, j'estime, baisée une douzaine de fois dans sa chambre, presque à chaque occasion dans la position "Hop, Manon!", mais aussi dans quelques autres positions, pourtant jamais comme missionnaires.


Le “Hop, Manon!” s'est passé une fois en silence. Ce n'était pas dans sa chambre, mais dans un WC au restaurant “La Petite Fringale”, dans la Rue Souverain Pont à Liège-Centre. Là, nous ne pouvions pas nous permettre de nous faire remarquer en répétant de haute voix "Hop, Manon!" encore et encore.

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