Ce jour-là, Manon, la fille du haras d'étalons ardennais est assez réservée et plutôt distante avec Nick. Pourtant, elle lui propose d'aller déjeuner avec elle. Une fois au restaurant, au grand étonnement de Nick, l'attitude de Manon change d'un moment à l'autre...
Proposée le 18/03/2021 par Bruno Pouperque
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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FH
Lieu: Toilettes
Type: Fantasme
Un mardi, je me suis rendu à la maison "Civitas Nostra" dans la Rue du Bois Saint-Jean au Sart Tilman dans la matinée. Des étudiantes que je connaissais y avaient leur kot. Je suis allé voir Manon pour une bonne partie de jambes en l’air, même si elle voulait que ça ressemble à une saillie de chevaux, comme d’habitude.
Quand elle m'a vu, elle ne semblait pas du tout accueillante, mais plutôt distante. Elle m'a quand même fait entrer dans sa chambre. Je n'ai pas hésité à demander si je pouvais la sauter. Elle ne voulait pas. Elle m'a expliqué qu'elle n'était pas du tout d'humeur. Les jours précédents, elle avait dû étudier dur et longtemps. Il y avait un examen pour le cours de logique, et elle n'était pas une grande logicienne. Elle devait encore étudier plus de quarante pages. Sa tête n'était pas du tout sur le sexe, m'a-t-elle dit. C'était aussi parce que ses règles pouvaient commencer à tout moment.
Manon s’est rassise à son bureau et a commencé à parcourir son cours. Elle voulait étudier au moins dix pages ce matin-là. Pourtant, elle m'a demandé si je ne voulais pas faire une petite promenade au centre-ville avec elle pendant sa pause déjeuner. Nous pourrions aller dans un café quelque part pour prendre une collation et boire un verre.
Je pensais que c'était une bonne idée. J'étais sûr que je pourrais encore baiser Manon quand cette période d'examen stressante serait terminée. C'est pourquoi je lui ai dit que je n'avais rien contre sa proposition.
Ce midi-là, nous sommes allés ensemble dans la direction des cafés et restaurants à proximité de la Place Saint-Lambert. Après avoir discuté un peu, nous sommes entrés dans La Petite Fringale dans la Rue Souverain Pont, un restaurant bon marché et populaire. C'était un ancien établissement existant de longue date au rez-de-chaussée d'un bâtiment historique de la fin du XVIIIe siècle.
A midi, la plupart des clients de La Petite Fringale étaient apparemment des employés travaillant dans les environs immédiats, mais il y avait aussi quelques touristes. La plupart des clients étaient venus pour le déjeuner.
Manon a commandé un croque-monsieur avec un petit pot de thé. Je n'avais pas vraiment faim. C'est pourquoi j'ai pris une salade de crevettes grises de la mer du Nord et une Jupiler pression. Je ne pouvais pas m'en empêcher: avec ces crevettes, je me suis souvenu de l'odeur de la foufoune de Manon quand j’avais “mangé” sa chatte pour la première fois dans sa chambre avant de la baiser dans sa foune.
Quand nous avions fini de manger, Manon m'a demandé avec qui j'avais récemment couché. Elle savait bien qu’elle n’était pas la seule que je baisais, mais qu'il y avait d'autres filles avec qui je couchais.
J'ai commencé à lui parler de Suzanne et à quel point j’aimerais un jour baiser cette beauté exceptionnelle. Ce dont je n'étais pas sûr, mais que j’avais soupçonné, c'était que Manon était jalouse de cette étudiante en philosophie et théologie qui avait une chambre au même étage qu’elle à la Civitas Nostra. Après tout, Suzanne était d'une beauté parfaite, un vrai mannequin, élégante, svelte et d’au moins dix centimètres plus grande que Manon, avec de longues jambes qui n’en finissaient pas.
Pendant que j'expliquais comment tout se passerait quand j’aurais enfin l’occasion de baiser Suzanne, j'ai vu le visage de Manon se voiler. Elle m'a interrompu et elle m'a informé que ses règles n'avaient pas encore commencé. Si je voulais, nous pourrions toujours profiter du fait qu'elle ne saignait pas encore.
C'était étrange qu'elle ait soudain complètement changé d'avis. Plus tard, j'ai appris, parfois à mes frais, que la logique des femmes est quelque chose de très spécial, et qu’elles peuvent se raviser complètement d'un moment à l'autre et changer d'avis.
Bien sûr, je voulais coucher avec Manon, mais cela me semblait impossible. Après le déjeuner, je devais immédiatement rentrer chez moi. Mon père avait une corvée difficile pour moi. Son personnel avait peint un cabinet médical à Grâce-Berleur. Là, je devais raccorder un certain nombre de câbles avec ma connaissance de l'électricité. Les peintres les avaient déconnectés afin de ne pas causer de court-circuit lors de la pulvérisation de peinture sous pression.
Je l'ai expliqué à Manon et j'ai dit que je regrettais de ne pas avoir le temps de retourner dans sa chambre et de coucher avec elle. Manon m'a régalé d'un de ses sourires ironiques et a dit qu’elle devait aller aux toilettes. Elle était sûre, dit-elle, que je voulais y aller aussi “pour me débarrasser de quelque chose”.
Elle s'est levée et est partie. Elle m'a coupé le souffle avec ce qu'elle avait suggéré. J'ai senti ma queue monter dans mon caleçon. Cela m'a fait prendre une décision. Je n'ai plus attendu et je suis sorti de la salle de restaurant. Manon m'attendait déjà devant les toilettes des dames. Elle a attrapé ma main et m'a fait entrer dans l'une de ces toilettes.
À l'intérieur, je voulais l'embrasser. Manon m'a repoussé et a chuchoté que nous n'avions pas assez de temps pour ça. Elle a enlevé son slip rose à une vitesse fulgurante et l’a accroché au petit radiateur à côté de l'évier. Puis elle m’a tourné le dos, s’est penchée en avant et a écarté les jambes, me montrant ainsi son magnifique cul avec au milieu les lèvres de sa chatte. Celles-ci étaient encore fermées, et Manon ne mouillait pas encore. Cette fois-ci, elle ne voulait pas que nous baisions comme un étalon et une jument, mais elle a accepté que nous le ferions en levrette.
Des deux mains, elle a saisi le tube d'alimentation de la vieille chasse d'eau en fonte suspendue au-dessus de la toilette. J'étais stupéfait, mais j'ai aussi rapidement laissé tomber mon pantalon et mon slip sur mes chaussures. J'ai attrapé Manon par la taille et j’ai poussé ma bite dans sa chatte. Sa fente de baise était encore trop sèche et j'ai dû pousser fort pour y pénétrer plus profondément, mais ça n'a pas pris longtemps. Elle a relâché le tuyau d'eau d'une main et a commencé à frotter son clitoris tout en appuyant simultanément ses fesses contre mon bas-ventre. Sa foufoune est devenue plus humide et tout à coup, elle est devenue plus lisse. J'ai découvert que depuis que je l'avais baisée pour la dernière fois dans sa chambre, la texture intérieure de sa chatte avait changé. C'était comme si les parois étaient plus gonflées et plus granuleuses. Peut-être que cela avait à voir avec ses règles qui étaient sur le point de commencer?
Manon a joui avant moi même sans que je fasse trop d'effort. Elle n'a pas hurlé à son orgasme, elle a juste gémi comme si elle souffrait. J'ai vu des brins de salive couler de sa bouche dans la cuvette de la toilette. En même temps, elle a commencé à trembler violemment. De sa main, elle a tiré violemment sur le conduit d'eau qu'elle tenait. J'avais peur que le tuyau se détache du mur et que la chasse en fonte suspendue au-dessus de nos têtes lâche et tombe avec toutes les conséquences néfastes que ça pourrait avoir...
J'ai pensé à cette possibilité en éjaculant mon foutre profondément dans sa chatte. Mon orgasme n'était pas très intense. Peut-être que faire l'amour dans ces toilettes n'était pas idéal. Je n'avais jamais sauté personne dans un si petit espace qui me semblait un peu claustrophobe. Peut-être que je n'étais pas vraiment d'humeur parce que nous n'avions pas eu de préliminaires. Pour profiter pleinement de la baise, je dois caresser et embrasser une fille, jouer avec ses seins, sucer ses mamelons, embrasser et lécher l’intérieur de ses cuisses, caresser son kiki, stimuler son clit... Rien de cela dans cette toilette maintenant... Peut-être que j'avais trop peur que la chasse d'eau tombe, ou est-ce que j'avais peur que quelqu'un nous surprenne dans les toilettes pendant que nous étions en train de baiser?
Il y avait un petit évier avec du savon et une serviette. Manon a soigneusement lavé ma queue flasque et l'a séchée prudemment avec la serviette. Pour essuyer mon sperme dégoulinant de sa foune, elle a utilisé du papier Q. Je ne l'ai pas vu clairement parce que je remontais mon pantalon à ce moment, mais j'ai eu l'impression qu'après cela, Manon a également mis quelques feuilles enroulées de ce papier dans son vagin comme une sorte de tampon.
"Merci, Nick," dit-elle lorsqu'elle remontait sa culotte. “C'était délicieux, tu ne trouves pas? J’ai rarement eu aussi bon.”
"Certainement," ai-je menti. "C'était génial."
“Je suis contente que tu ressentes la même chose que moi. Cela vaut vraiment la peine d'être répété. Nous ne devons pas toujours baiser dans mon lit, tu ne trouves pas?"
"Bien sûr que non," dis-je. "On doit tout essayer."
Je n’ai pas donné suite à la suggestion de Manon de répéter notre expérience dans une toilette. Je ne l’ai plus jamais sautée en levrette au-dessus d’une cuvette. Dans son lit, ça oui. Pas en levrette, mais en “saillie”, comme elle le préférait et quelques fois dans une autre position aussi.
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