Confessions libertines…l'heure du choix

Il y a des moments comme ça, dans la vie où, après fantasmes, longues hésitations et renoncement, les décisions sont finalement prises en quelques instants. Mon entrée en libertinage est de celles-là...Ou quand une rencontre décevante amène par ricochet tant de puissants moments partagés, qu’on ne les remplacerait pour rien au monde.

Proposée le 16/03/2021 par Créatif21

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie

Tout a commencé lorsque j’ai eu ce coup de cœur pour une certaine Aurélie, dès notre premier rendez-vous dans un bar…tout collait à merveille, les mêmes études, les mêmes affinités, une sensibilité proche de la mienne...presque trop intellectuelle et un brin snob, certes, mais quand même... Cette brune toute menue et très douce, à la taille de guêpe, avait une chevelure frisée abondante, et des sourires à vous faire craquer. Je sentais bien, dans son regard, que le coup de cœur était réciproque. De verre en verre, de bière en bière, nos esprits s’échauffèrent progressivement avec délice, et après avoir migré de bar en restau et de restau en bar, c’est tout naturellement que nous avons fini par nous embrasser, à une heure du matin. Titubant légèrement, nous nous sommes dirigés vers l’appartement de la belle, où sans attendre nous nous sommes dévêtus avec fougue. Sa peau et ses petits seins étaient littéralement imprégnés de fleur d’oranger, que tous mes sens goûtaient avec langueur. Nos baisers se faisaient de plus en plus intrusifs, je pénétrais littéralement sa bouche et elle la mienne. Après la communion de nos esprits il était inévitable que nos deux corps ne feraient qu’un, dans une merveilleuse alchimie des sens, me disais-je. Le début d’une improbable histoire d’amour, alors que deux jours auparavant nous ne nous connaissions pas. En moi, la moitié romantique était enfin en train de triompher de la moitié poético-vicelarde, toujours tapie dans l’ombre quelque part – c’est elle qui me pousse notamment à écrire ces lignes aujourd’hui, si vous en doutiez encore.

Mais cette brunette, c’est bien ma queue qu’elle voulait.

Elle finit par me pousser sur son lit, plaquant une main ferme sur mon torse. Son autre main s’empara de la protubérance qui déformait sérieusement mon caleçon, et tira celui-ci pour libérer mon sexe bandé. Elle me lança un regard vicieux, puis fit descendre sa langue de ma bouche à mon torse, de mon torse à mon ventre, dans un jeu interminable qui ne fit qu’accroître mon excitation. Sous sa culotte en dentelle blanche, sa chatte était manifestement déjà trempée, et je me réjouissais à l’idée de lui faire goûter de ma langue…je tentai donc de la caresser, puis progressivement d’y glisser un doigt, mais la belle repoussa fermement ma main dans ce que je crus être, sur le coup, un jeu de domination. Je n’eus pas le temps de m’interroger davantage car elle prit sans crier gare toute ma queue dans sa bouche, dont je pus rapidement mesurer le degré d’expertise. Après quelques allers-retours langoureux, elle commença à me branler de plus en plus fort, tout en engloutissant mon gland vigoureusement. Puis elle s’arrêta quand elle me sentit au bord de l’explosion, pour me gober les couilles…avant de se ressaisir de mon gland et de continuer de plus belle. Exquis…

Je voulus de nouveau lui rendre la monnaie de sa pièce, mais ma main reçut une nouvelle fin de non-recevoir – expression ô combien appropriée en de telles circonstances. Quelle frustration de ne pas pouvoir faire plaisir... Aurélie voulait s’occuper de moi, simplement. Me sucer. Me faire jouir. Ce qui finit par arriver sous les coups de boutoir de sa bouche qui m’enveloppait avec de plus en plus d’avidité, d’humidité.

Puis plus rien.

J’étais retombé, à tous points de vue. Mais je me disais qu’il fallait sans doute du temps pour que l’alchimie se construise. J’aime donner, mais encore faut-il tomber sur quelqu’un qui aime recevoir. Patience, patience, me disais-je tout en sombrant, blotti contre ce corps resté, finalement, étranger.

Vers 7 heures du matin, la moitié coquine en moi se réveilla en sursaut et s’exclama intérieurement : « et ton rencard cet après-midi ?? »

Merde.

J’avais décidé de jouer sur deux tableaux, et ébloui par le premier j’en avais oublié le deuxième. Mon tout premier rendez-vous libertin, planifié plusieurs jours avant, que j’avais complètement oublié tant cette soirée avait pris une tournure inattendue. J’ai toujours aimé le cul et les émotions démultipliées qui en résultent, et a contrario les histoires d’amour exclusives m’ont souvent fait m’éloigner de moi-même, de mes envies réelles. Envie de lécher sans retenue, de prendre voire de défoncer, de dominer voire d’être dominé. Envie de parties fines et d’expériences multiples. Envie de jouer avec des femmes lubriques aux désirs assumés. Le tout dans la préservation de ma liberté au quotidien. J’avais finalement décidé de franchir le pas pour me faire correspondre avec moi-même. Mais le rendez-vous « amoureux » m’avait happé, et une fois de plus j’avais – pour la dernière fois – relégué mes envies au rang de fantasmes.
Un peu en panique, je regardai la belle endormie à mes côtés…

Vêtue en tout et pour tout de sa culotte, elle m’offrait à son insu le spectacle de la pureté incarnée et de la douceur même. Une peau laiteuse, un petit cul provocant, une chute de reins pour laquelle les plus grands peintres auraient vendu leur âme au diable…et toujours cette odeur pénétrante de fleur d’oranger. Un tableau, dans lequel je voulais pouvoir me plonger encore et encore. C’était décidé. Je trouvai un prétexte bidon et écrivis, non sans un certain regret, un message à l’authentique coquine qui m’attendait pourtant de pied ferme, à en lire ses derniers messages de la veille…
J’avais l’amour à porter de main, autant tenter sa chance, non ?

Et pourtant…Cette histoire n’eut, comme je commençai à le pressentir dès le matin même, pas de lendemain. Nous nous sommes réveillés côté à côté tels les inconnus que nous étions deux jours avant. Dégrisés. Léger sentiment de malaise. Conversation banale, voire barbante. Au revoir. Un espoir, certes, mais définitivement douché quelques jours plus tard. Pour ma plus grande joie comme je n’allais pas tarder à le comprendre.

Ce fut à ce moment précis que ma moitié poético-coquino-vicelarde assena par derrière un coup de pelle à ma moitié romantico-fleur bleue, qui historiquement n’a pas toujours été la plus à même de me rendre heureux, il faut bien le reconnaître. Quelques jours plus tard, il fut ainsi temps de reprendre contact avec la libertine inconnue, qui après quelques interrogations finit par accepter que nous nous rencontrions. Je pensais avoir affaire à une femme réservée et méfiante. Je pris donc mes précautions. La suite me prouva que j’avais tout faux – erreur qui fut bien plus délicieuse à goûter que la précédente.

Première réponse de sa part : « OK pour se faire une petit balade au parc ». Elle préférait un lieu neutre pour faire connaissance.
Puis un peu plus tard dans la journée : « Oh, et puis, viens directement chez moi ».
Et enfin, alors que j’étais en chemin : « Tu veux que je t’accueille en mode sage, ou en mode salope ? ».

Quelle question.

Quand Daisy m’ouvrit la porte, elle me gratifia d’un sourire ravageur. C’était une brunette aux cheveux assez courts, plutôt mince, la quarantaine. Elle me guida aussitôt vers la cuisine pour un petit café, dont je me doutais de plus en plus que je n’aurais jamais le temps de le finir. J’aurais pu être intimidé par une femme aussi entreprenante et déterminée, mais j’eus aussitôt une féroce envie de jouer. Je crois bien qu’en fait je bandais avant même d’entrer dans la cuisine. Je sentais que je m’aventurais, ce faisant, dans un univers nouveau. Il y avait de toute évidence une différence majeure avec les quelques plans culs que j’avais vécus jusqu’alors. J’avais affaire à une séductrice assumée, hors-pair, d’une générosité rare. Il n’y avait aucun doute possible à ce sujet.

Adossée contre son plan de travail, elle n’eut aucun mal à me faire chavirer ; petits seins insolents pointant sous son petit pull, jambes parfaites et à moitié nues, regard déjà lubrique… Les échanges d’usage furent remis à plus tard. Chaque chose en son temps, après tout ! A son invitation tacite, je l’embrassai quasi immédiatement, commençant à la caresser et à vérifier que comme supposé, elle ne portait pas de soutien-gorge. Manifestement, sa culotte manquait également à l’appel…ma main aventureuse était en effet directement tombée sur sa chatte, déjà offerte, et épilée. Elle me plaqua fougueusement contre elle, une de ses jambes m’entoura la taille, et elle fut ravie de sentir sur son ventre l’effet qu’elle me faisait.

Sa chambre nous happa.

Nos corps habillés se lovèrent l’un contre l’autre sur le matelas posé à terre. D’une main, je remontai son pull et son chemisier, pour saisir délicatement son sein et en sentir la chaleur. De l’autre, je remontai sa jupe pour caresser sa croupe. Je n’y tenais plus : je lui embrassai les seins, puis ma bouche descendit le long de son ventre (adorable ventre…), le long de ses cuisses…Je remontai alors légèrement, pour humer le parfum de son sexe en feu. Pour la rendre dingue, je me mis à lui embrasser et à lui lécher l’intérieur des cuisses, de plus en plus près de sa chatte, en la contournant. Elle se cambrait d’excitation, et tout son corps appelait ma langue. Celle-ci la gratifia subitement de quelques coups bien placés qui la firent gémir de plaisir. Les allers-retours de ce membre buccal le long de ses lèvres, agrémentés de passages de plus en plus longs sur son clitoris, ne tardèrent pas à faire effet. Daisy était offerte, abandonnée, haletante…je n’eus aucune hésitation à aller plus loin (cet après-midi j’allais pouvoir aller aussi loin que je le désirais, en réalité, tant cette petite bombe était lubrique et insatiable). Je me risquai sans hésiter à bouffer le cul de celle qui était encore, techniquement, une inconnue une demi-heure plus tôt…Je reçus là encore un gémissement d’approbation. Je me mis à lui pénétrer la chatte avec mon majeur, puis également avec mon index, et me mis à la baiser de plus en plus fort avec mes doigts en m’arrêtant par moments pour de nouveau lui titiller le clitoris avec ma langue. Puis ma bouche retourna se mêler à la sienne. Quelle excitation de faire goûter ainsi à une femme le goût de sa propre chatte...Ce petit jeu dura un moment, et son plaisir ne laissait aucun doute. L’orgasme n’était pas loin…

Mais je me dis que ces deux doigts fichés en elle, ce n’était encore pas encore suffisant…Alors je crachai sur son adorable petit trou du cul, et me mis à en caresser l’entrée avec mon annulaire, encore disponible, lui, en espérant un appel de sa part…Effectivement, ce petit test lui arracha un petit soupir de surprise, et la rendit dingue. Je ne me fis pas prier pour investir entièrement son cul. Les amples va-et-vient de mes doigts ne tardèrent pas à lui arracher des trémolos. Je l’achevai en ajoutant à ma main ma bouche, et en absorbant vigoureusement son clito. Elle en émit un cri rauque et étouffé de jouissance. Décidément, aucune femme ne jouit de la même manière, songeai-je…et pourtant c’est un moment de magie perceptible entre mille, et qui me comble de bonheur à chaque fois.

Blottis l’un contre l’autre, et encore relativement habillés bien que très accessibles de peau, nous avons alors fait connaissance, tout naturellement. C’est là que je découvris une femme douce, tactile, caressante, à la vie pleine de joies et de peines plus ou moins grandes, comme pour tant de vies finalement. C’est comme cela que j’envisage les relations, fussent-elles sexuelles. Des moments animaux ponctués de moments profondément humains et doux.

L’animal ne tarda pas à reprendre le dessus, cela dit… Au fil de la discussion, les mains baladeuses de la belle s’étaient imperceptiblement rapprochées de mon entrejambe. Elle ouvrit ma ceinture puis ma braguette négligemment. Les derniers mots qu’elle me dit, en réponse aux miens…eh bien je ne m’en souviens plus du tout ! En effet, elle avait plongé sa main dans mon caleçon et, en même temps qu’elle parlait, avait commencé à me branler l’air de rien. Elle s’amusait de l’effet que cela produisait sur moi…gorge sèche, yeux mi-clos…Elle finit par baisser entièrement mes effets et par libérer mon membre, me jeta un petit coup d’œil pour jauger l’effet produit, puis m’avala avec une gourmandise débordante. Son appétit, que je découvris illimité dès ce jour-là, s’était réveillé. Elle abandonna brièvement ma queue, chevaucha mon torse dénudé et ressaisit l’objet de son désir dans sa bouche. Puis elle se cambra en arrière, m’offrant de nouveau sa chatte que je me remis à brouter goulûment, après avoir prestement enlevé sa jupe (de toute façon cela faisait longtemps qu’elle n’était plus là que pour le décor…). Ce 69 dura une éternité, et éveilla en moi une sérieuse envie de la pénétrer. Je la saisis par les hanches, la retournai doucement, et continuai à la goûter tout en mettant une capote…Je l’inclinai ensuite sur le côté, jouai à frotter mon gland sur son sexe avide, tout en caressant ses hanches. Je la pris finalement de toute ma longueur. Mes va-et-vient se firent langoureux au début. Amples et profonds. Je pus constater avec délice combien cette femme prenait un pied d’enfer, car elle me disait en gémissant des mots salaces… « tu me baises bien, continue !», « j’aime ta queue », et autres politesses de circonstance…

En elle je n’ai pas tardé à libérer sans aucune retenue mon côté bestial. Je quittai un instant sa chatte, mais c’était pour mieux y revenir...Immobile, elle dut me voir me saisir d’un tube mystérieux que je sortis de mon sac, mais ne vit pas ce que je faisais avec. Je revins la pénétrer de plus belle. Mais j’avais prévu davantage. Glissant ma main au-dessus de mon membre, je lui glissai mon majeur lubrifié dans le cul, ce qui la fit crier de plus belle tant cette double pénétration était perverse, inattendue, interdite. J’enfonçai mon doigt le plus profondément possible, commençant à écarter peu à peu son trou du cul. La facilité avec laquelle un deuxième doigt vint l’élargir plus encore était proprement déconcertante. Son cul m’avalait littéralement, et je lui prodiguai des allers-retours de plus en plus rapides, pendant que ma queue continuait à la baiser doucement. Surprise par cette sensation, les yeux mi-clos, elle tourna le regard vers moi pour me montrer que je pouvais faire d’elle ce que je voulais.
Je sortis ma queue de cette chatte dégoulinante, redressai ma partenaire qui se mit sur les genoux, cul grand ouvert, offert. Sans davantage de formalités, j’enculai ma divine partenaire au plus profond, sans forcer le moins du monde, comme si son cul m’absorbait entièrement. La sensation fut proprement inédite et incroyable. A l’aise dans cet étui, je me mis rapidement à prodiguer à cette merveilleuse amazone un pilonnage en règle, encouragé par ses souffles et ses soupirs rauques. Elle jouit de nouveau, et je pus me retirer à temps avant de subir le même sort.

En effet, bien que nos corps se fussent apprivoisés depuis plus de deux heures déjà, je n’en avais pas fini avec elle. Cela dit, Daisy non plus.

Après une courte pause câline, ce fut bien elle qui revint à la charge, en me suçant de nouveau avec tendresse. Après m’avoir mis une capote avec une dextérité bluffante, elle vint se positionner au-dessus de moi. Ce fut pour s’empaler sur mon membre, qu’elle glissa elle-même dans son cul. Le plaisir anal était vraiment son truc. Dont acte…parole de vicelard, j’allais m’en rappeler pour les prochaines fois…Nos ébats entrecoupés de longues et douces pauses durèrent tout l’après-midi, mais à la fin, nous avions bel et bien vidé nos chargeurs…Nous étions entièrement rassasiés, repus, littéralement gavés de sexe. Elle avait joui cinq fois, et moi deux…nous n’eûmes donc aucune peine à capituler.

Dans les mois qui suivirent, chacune de nos entrevues fut haletante, intense, passionnée et parsemée d’orgasmes multiples. Une authentique libertine qui m’a ouvert de la plus puissante des manières à un monde nouveau, dans lequel je me sens aujourd’hui comme un poisson dans l’eau.

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