Cela fait presqu'un an que nous ne nous sommes pas revus. La dernière fois nous avions passé une nuit de folie. Je pense à lui tous les jours. Je n'ai qu'une envie, en faire qu'une bouchée.
Proposée le 7/04/2021 par Marcialus
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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Heure H-1. Je suis impatiente qu’il arrive, je suis fébrile, je trépigne. Ça fait plus d’un an qu’on ne s’est pas revu. Même si nos échanges n’ont pas cessé tout ce temps, le revoir, l’avoir face à moi, le sentir, le caresser, l’embrasser, ne l’avoir que pour moi m’a paru interminable. Mais il va arriver dans peu de temps. Je suis prête à le recevoir. Je me suis préparée comme une folle. J’ai des papillons plein le ventre, il est tout chaud et je me demande si je ne dois pas déjà changer de culotte tellement elle est déjà souillée par l’excitation que cette entrevue suscite en moi.
Je pense à ce qu’il va me faire, comment il va me le faire et surtout moi ce que je vais lui faire. Je sais à quel point il adore que je le prenne en bouche et j’avoue que j’adore moi aussi l’avoir en bouche. La sensation de son gland sous ma langue… putain… Je suis à deux doigts d’avoir un orgasme rien que d’y penser. Bon, calmons nous, détendons nous. Non, impossible, je suis comme une dingue.
Plus que cinq minutes, je suis bouillante. J’ai déjà changé deux fois de culotte mais je sais qu’il adore la lingerie alors pas le choix, J’espère que lui aussi à très envie de me revoir. Et si je ne lui plaisais pas, si je ne lui plaisais plus. Impossible avec tous les échanges qu’on a eu et leurs contenus. Impossible. Et puis, il fait 3 heures de route pour me voir. C’est pour ça qu’on ne se voit pas pendant de longues périodes. Putain que j’ai hâte. Dépêche toi d’arriver que je te bouffe!!!
Je repense à notre première rencontre, notre premier baiser, la première fois qu’il est venu ici et surtout la dernière. Une nuit de débauche et je compte bien réitérer cette nuit en un après midi car il doit repartir tôt.
J’entends une voiture s’arrêter. J’entends une portière claquer. Je suis dans tous mes états. Je suis bouillante. J’ai les tripes serrées. Toc toc toc. Je ressens de l’excitation et de la peur. Je me dirige vers la porte, pose ma main tremblante sur la poignée et ouvre. Il est toujours aussi beau. Brun, les yeux foncés, barbe de trois jours, chemise blanche, jean bleu et ce sourire à croquer. Je suis rassurée, je vois dans son regard que je lui plais toujours. J’y remarque même une lueur coquine. Ma robe semble l’interpeller. J’ai mis une robe avec une fermeture éclair sur le devant. Une fermeture que l’on peut descendre ou monter. On verra bien ce qu’il en fera…
Il referme la porte derrière lui et se dirige vers moi. Je recule jusqu’au mur derrière moi. Je ne peux plus fuir. Il m’embrasse à pleine bouche et joue avec ma langue. Qu’est ce que ça m’a manqué. Il décolle sa bouche de la mienne, me regarde droit dans les yeux avec un sourire en coin. Il baisse son regard et examine ma robe. Il saisit la fermeture éclair entre son index et son pouce droit que j’avais positionné à la moitié de ma poitrine volumineuse et comprend qu’il peut la descendre. Ce qu’il fit. Il aperçoit mon soutien gorge rouge. Et me regarde à nouveau dans le yeux avec son regard de fou. Son regard prêt à me dévorer. Mais je le stoppe. Je n’ai pas envie qu’il s’occupe de moi pour le moment.
Je le prends par la main et l’emmène dans le salon. Je le pousse vers le canapé. Il s’assoit. Sans dire un seul mot, il assiste à ce petit spectacle visuel que je m’apprête à lui offrir. Je remonte la seconde partie de la fermeture éclair de ma robe qui se trouve tout en bas jusqu’en haut de mes jambes . Je lui monte dessus à califourchon et plonge ma bouche sur la sienne pour un nouveau baiser de pure folie. Ma bouche se dirige vers son cou, le lobe de son oreille droite. Je sais que ça le rend dingue. Je sens un léger relâchement chez lui ce qui indique qu’il est déjà en train de fondre. Il est temps de m’attaquer à une descente démente. Je me positionne tout en haut de son torse et fait glisser ma bouche tout le long haut rythme des boutons de sa chemise que je détache. Arrivée à son nombril, je défais sa ceinture, déboutonne son jean, le fais descendre. Je caresse son membre à travers son caleçon, toujours sans dire un mot, en le fixant droit dans les yeux. Droit dans son regard qui semble indiquer qu’il est dans un autre monde, dans le monde du plaisir. Celui dans lequel je veux qu’il soit en ce moment avant de partir vers celui de la jouissance.
Je me caresse la joue avec son membre toujours à travers le tissus avant de le lécher. Si tu savais comme ton membre m’avait manqué. Si tu savais combien de fois je me suis endormie en pensant à toi, à nous, à moi en train de te faire les cochonneries que je m’apprête à t’administrer. Putain tu m’as manqué. Mais tu es avec moi, là maintenant et je vais bien m’occuper de toi. Il doit sentir ma bouche chaude. Il penche la tête en arrière, il prend du plaisir. Allons encore plus loin.
Je saisis son caleçon des deux côtés que je fais descendre d’un coup. Si je pouvais, je l’arracherais pour te montrer à quel point j’ai envie de te bouffer là maintenant. Pas une seconde à perdre, à pleine bouche je l’engloutis. Il est tellement tendu que je n’ai même pas besoin de le guider vers ma bouche avec mes mains. Putain ton gland. Si doux et tellement agréable. Je le lèche, fais tourner ma langue autour. Je commence à te sucer comme un folle, comme une dingue. J’y vais de toute ma hargne et tour mon énergie. Regarde moi bien dans les yeux, comprends par cet acte dépravant à quel point tu m’as manqué. Je monte et descends à une vitesse de plus en plus aliénée. Je sens ses mains se poser sur ma tête. J’adore ce double effet, celui de se sentir soumise sous ses mains mais en même temps de savoir que c’est moi qui contrôle cette monstrueuse pipe que je voulais lui faire depuis tout ce temps. Je le sors de ma bouche pour te bouffer les boules tout en le tenant entre une de mes mains pour ne pas le perdre. Je te les globe, j’ai envie de te les arracher puis je remonte ma langue tout le long de la veine pour te pomper à nouveau dans une vitesse frénétique obsédée par l’envie que tu bascules dans le monde de la jouissance ainsi que ma bouche. Putain remplis moi, lâche toi, lâche tout. Oui c’est ça, c’est exactement ce que je voulais, c’est trop bon de te sentir couler dans ma bouche. Y en a tellement que j’ai du mal à avaler. Je prends mon pied à te faire prendre le tien.
Je me relève. Je le vois haletant, toujours la tête penchée en arrière. Je crois que je ne l’ai pas loupé. Je regarde l’horloge. Il nous reste encore à peu près deux heures et demie. J’espère qu’il va vite se remettre parce que j’ai trop envie qu’il me déglingue maintenant.
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