L’éducation est nécessaire, et nos parents l’appliquaient avec célérité. On se rappelle tous, de ces punitions plus ou moins corsées. Quelques fois on en garde un souvenir érotique qui réapparaît plu-tard sous forme de fantasme, qu’on cherche à revivre.
Proposée le 24/02/2019 par maximilien7
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Jeu érotique
Personnages: FF
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Nous avons au fil de nos amitiés, pris l’habitude d’un café ou d’un thé au courant d’un après-midi de la semaine Nous nous laissons alors convaincre de nous prêter à quelques révélations osées. Bien souvent elles ne manquent ni de piquant, ni de sel. Quand il s’agit de parler de sexe nous autres femelles nous n’avons rien à envier aux hommes. Et nos commentaires n’en sont pas moins insolents.
Alicia, moins prude que nous autres se lâche facilement sur ses pratiques sexuelles, ses envies et ses fantasmes. Alors ne manquant pas de curiosités, nous l’écoutons religieusement, en regrettant pour certaines de ne pas profiter de la même expérience. J’avoue qu’en nous quittant il reste souvent dans mon entre-jambes, l’attestation humide de l’intérêt que j’avais à l’écouter. Et en observant Célia, je devine à ses joues rouges que je n’ai pas été la seule. Célia est, je le pense, la plus jolie d’entre nous. C’est une belle fille blonde, toute en finesse, aux seins repus et fermes. J’ai eu l’occasion de la voir nue et j’en suis restée toute retournée. Pendant quelque temps j’ai dû refouler une forte envie de saphisme. D’ailleurs j’y réfléchis encore.
Cet après-midi-là, le thème débattu paraissait moins excitant s’agissant de l’éducation en général. Vaste thème, pendant lequel nous évoquions nos propres expériences et les différents degrés de sévérité appliqués par nos parents respectifs. Il s’avère que nous avons toutes connues des aventures similaires, sauf Célia, qui elle, sortait sans erreur du cadre classique. Notre amie jusque-là plutôt discrète sur la sexualité, s’est appliquée à raconter dans les détails les punitions dont elle faisait l’objet.
Sa mère, une femme exigeante, ne laissait rien passer et appliquait alors pour l’adolescente d’exemplaires remontrances, quel que soit le lieu du délit ou plus surprenant encore, quel que soit l’assistance présente à ce moment-là. Il y avait semble-t-il un rituel à observer qui ne supportait aucune déviance. Célia nous racontant sa jeunesse avait les yeux brillants et semblait regretter cette époque de sa vie. Comment peut-on regretter des punitions, aussi douces puisse elles êtres. ? Je décidais donc de lui poser la question et voici ce qu’elle nous à raconter.
- Maman était une femme dure, c’est vrai mais oui, j’ai aimé recevoir ses punitions au point d’en faire le nécessaire presque quotidiennement pour m’en voir administrer. Nous devions nous présenter devant elle, indépendamment de notre sexe en attendant ses ordres. Ceux-ci différaient selon le degré de gravité de la faute, mais en général, il fallait se déshabiller jusqu’aux sous-vêtements et attendre en face d’elle. Mes frères étaient examinés sous toutes les coutures et il en était de même pour moi, Il était impératif d’être propres et soignés, elle n’admettait pas de poils pubiens. En cas de manquement nous étions tenus de raser en sa présence le moindre duvet.
Nous étions sidérés de ce que nous révélais Célia, et nous nous demandions comment on pouvait en retirer un quelconque plaisir,… et pourtant !!
- Je voyais ainsi les garçons tolérer le frotti de leurs pénis jusqu’à l’érection. Puis maman d’une main ferme les basculait sur ses genoux, D’un mouvement sec, elle passait sa main gauche sous ses cuisses et empoignait leurs phallus. Elle se mettait alors à frapper les fesses avec vigueur et sans arrêts faisant abstraction de leurs cris et de leurs gémissements. Je pouvais voir par-dessous la masturbation que provoquaient les soubresauts imposés par le rythme de la fessée. Elle cessait de frapper quant à travers ses doigts jaillissaient la sève blanche de l’éjaculation. C’était la condition même pour que soit accomplie la sanction. Douleur et plaisir faisaient partie de notre éducation en général.
Vous saurez que pour avoir du plaisir, il faut souffrir ! disait-elle.
Personne autour de la table ne disaient plus mots, certaines érotisaient la scène, la rougeur de leurs visages en témoignait. Moi je mouillais pour ma plus grande honte, jusqu’à sentir la cyprine se rependre douce et chaude dans une culotte déjà trempée.
- Et pour toi, que faisait-elle ?
Je sais que vous ne pouvez décemment comprendre le plaisir qui j’y ai trouvé, mais de voir mes frères nus, de les voir éjaculer sous la souffrance, m’as fait jouir plus d’une fois. Je trouvais ensuite une cachette pour me masturber et soulager mon excitation sexuelle. Oui, je n’ai pas honte de l’avouer j’aimais ça. J’étais impatiente d’y passer, jusqu’au jour ou maman voyant couler mes chaleurs le long de mes cuisses, a perçu la joie que j’en retirais.
Une bonne paire de claques a fait immédiatement retomber mes envies. Je suis passé ensuite sur ses genoux, j’ai senti son pouce s’introduire dans ma vulve, et mon sexe entier fut emprisonné dans cette main. Puis les coups sont tombés fermes, durement et sans pitié. Comme les garçons j’ai tenté de suivre le mouvement de la curée. Je n’ai pas crié et la tension à monter, dépassant la douleur. Mon sexe m’envoyait des signaux contradictoires, douleurs, excitations, et volupté dans une sublime jouissance.
Pour la première fois, je lâchais une fontaine de mouille qui projetée dans la main de ma mère à éclabousser mes cuisses. Maman a frappé encore plus fort me reprochant ce stimulus. Elle a encore accentué sa pression sur mon sexe surchauffé et encore une fois le pouce à pénétrer mon vagin en flamme me rendant folle, au point d’en hurler.
Je sais bien que vous ne pouvez comprendre le plaisir que j’ai eu à vivre ce jeu sexuel déviant, mais c’est ainsi, pour comprendre les choses il faut les vivre. C’est par cette prise en main de maman, par cette nudité infligée aux yeux des autres et de jouir sous le regard d’une assistance, c’est par cela que j’existe. C’est pour cela que je vous en parle, avouez que vous aimeriez vous retrouver sur les genoux de quelqu’un afin de recevoir la punition ! à voir vos têtes j’invite celle qui osera se prêter au jeu à constater cela par elle-même, nous verrons alors !!.
Devant ces aveux complets et détaillés, nous nous sommes quittées et le soir venu ces images ont favorablement influencé nos ébats amoureux. Jamais je n’ai autant accepté de subir l’emprise du mâle. Quelques jours plus tard Alicia s’est proposé de faire l’expérience avec Célia. Elle a donc été déshabillé devant nous, et nous avons pu voir la belle brune les fesses offertes, entièrement nue, se débattre, le sexe compressé parla main de Célia.
Après les gémissements et quand survinrent les cris nous comprenions en la voyant ondoyer qu’elle tentait désespérément à raffermir la masturbation, ses effluves glutineux apparaissant entre les doigts de Célia, le doute n’était plus permis, Alicia avait atteint le nirvana. Célia finie par la lâcher, quelques soubresauts accompagnés de tremblements nous laissaient deviner son état et son entrecuisse trempé cautionnait cela.
Nous y avons toutes passées, je comprenais maintenant ce que Célia cherchait à revivre. La honte d’être dénudée est une incroyable sensation, puis la soumission en elle-même rajoute à l’excitation d’un stress bénéfique. Et enfin l’apothéose arrive par l’intime jouissance exposée sans aucune barrière, aux yeux de l’assistance. Elle dévoile notre personnalité par les inéluctables réflexes corporels, qui s’inscrivent sur nos visages au moment de la petite mort.
À l'instant où j’ai dû quitter mes habits, et lorsque j’ai dévoilé mon corps à la vue des autres j’ai ressenti ce frisson émanent de l’esprit, qui embrase les énigmes du sexe. J’avais oublié la brûlure de la fessée, car la chaleur qui se propage dans le bassin s’impose, puis on oublie la douleur. Les coups savamment appliqués compressent le bas-ventre et cette excitation se propage au clitoris. En quelques instants l’orgasme arrive et frappe, vous êtes alors à la merci de votre tortionnaire. Quand la main de Célia est venue enfermer ma vulve enflammée, je ne maîtrisais plus ma voix. Lorsque son pouce s’est introduit dans le vagin j’ai exulté, franchie toutes les barrières de la bien séance, offrant le spectacle cru d’une femelle en chaleur.
Je comprends maintenant ce que Célia voulait nous faire comprendre, au-delà d’une forme d’inceste, elle y a trouvé un plaisir et a évité ainsi un traumatisme.
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Commentaires de l'histoire :
Philus
Excellent récit et original, l'orthographe est à revoir. Très excitant, on comprend mieux les pratiques sado-masochistes et les déviations freudiennes de ceux à qui de telles "punitions" ont été infligées.
Posté le 22/05/2019
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