Histoire Erotique

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Il fit de moi sa beurette... salope !

Mon second et vrai plan baise. Un vrai film de cul comme on les aime... Je raconte en détail l'un de mes plans les plus sulfureux et inoubliables. Un pied monstre... Un vrai homme qui sait prendre soin de l'une de ses putes. Je l'ai kiffé..

Proposée le 19/11/2020 par Gaybeurbi

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Thème: Homme dominé
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Mon premier plan baise fut court et sans saveur ; c’est pourquoi je vais plutôt vous raconter le second qui, en revanche, fut autrement plus mémorable et sulfureux ! Il m’envoya tout bonnement au Nirvana. Âmes sensibles, passez votre chemin… (sourire) Bien entendu, la fois où j’ai tenté de sodomiser ma sœur, quelques années auparavant, ne compte pas vraiment, à mes yeux. Ça reste la famille et, qui plus est, on ne peut pas dire que cela s’est bien terminé : je n’avais réussi à rentrer que le gland et, dès le lendemain, cette oublieuse a toujours fait comme s’il ne s’était jamais rien passé ! Un vrai déni et… on ne peut pas appeler cela : de la baise ! Enfin, nous étions en 2006, j’avais vingt-six ans et cela faisait plusieurs mois que je tournais autour du pot. Je trainais beaucoup dans les taxiphones. Je n’avais pas de connexion internet à la maison et, par conséquent, j’allais dans ces nouveaux types de commerces qui fleurissaient un peu partout à cette période. Cinquante centimes d’euros la demi-heure. J’allais sur un site spécial pour beur… homosexuel ! CitéBeur… ou quelque chose comme ça ! Au début, je m’y étais connecté par curiosité. À seule fin de voir si ce genre de site existait ! Force m’est de reconnaitre que je passais le plus clair de mon temps dessus, par la suite. On se raccroche à ce qu’on l’on peut et je devais me rendre à l’évidence : avec les femmes, ça coinçait toujours quelque part. J’ai pourtant tout fait pour en foutre au moins une dans mon escarcelle, mais rien n’y faisait : je n’y arrivais pas. Je me heurtais à un mur que j’avais moi-même érigé.


Je n’y arrivais pas et je n’ai pas trop envie d’analyser pourquoi, à vrai dire. C’est fait, c’est fait ! Passons à la suite ! Ainsi, au départ, c’est quasiment par désespoir que je me tournais vers le milieu gay. Selon le moi de l’époque, ça faisait partie d’une stratégie à long terme. Un seul mot d’ordre : ne pas mourir puceau ! De plus, à cet âge, j’étais au zénith de ma beauté : jeune, musclé, bien foutu, le vent en poupe, super beaux pecs et… super bon cul ! Je n’allais quand même pas sacrifier tout ça sur l’autel de mes divers obstacles psychologiques… Fallait que je tente quelque chose ! Je ne sais même pas si les applications existaient, à cette période… De toutes manières, je fuyais les discutions en ligne comme la peste ! Je préférais de loin les petites annonces. Dans la mesure où ça me donnait le temps de répondre posément, tranquillement, savoir à qui je parlais, surtout. Découvrir ! J’aimais aussi l’idée d’avoir une relation épistolaire avec quelqu’un qui… me comprendrait vraiment. J’avais encore ce besoin viscéral d’avoir confiance en l’autre, avant de me donner corps et âme. N’oubliez pas que j’étais puceau, et ce, à vingt-six piges ! Le chronomètre filait et il fallait que je me les sorte !


Mon rêve ultime, c’était de me faire un super beau black, bien membré, comme j’en voyais dans les films de cul pour hétéros qui saturaient mon disque dur. Je me voyais déjà en beurette salope et, surtout, rebelle et… bien perverse ! Vous savez ? Celles qui n’aiment baiser qu’avec des Blacks et des Français, de préférence non circoncis, de préférence pendant le ramadan ! Les beurettes étant nouvelles dans le game, ce genre de film était à la mode, dans ces années ! Mes copains beurs détestaient ces films, mais, moi, au contraire ! Ils m’excitaient au plus haut point… Cela dit : il fallait que je passe à l’acte ! J’en avais marre de rêvasser… Mes parents étaient partis au bled plusieurs mois, mon frère était en prison, j’en profitais pour fabriquer une sorte de gode maison, sur lequel je m’empalais avec l’avidité d’une grosse chienne en chaleur. Comment le décrire, ce gode ? Une capote, recouvrant une chaussette de grand-mère, recouvrant une ventouse à chiotte ! Savoir : le bout de cette ventouse était en bois et idéalement dur et arrondi. De la sorte, je ventousais ce gode à la table basse ou, mieux encore, sur le couvercle refermé des toilettes ! Enfin, je badigeonnais la capote de crème et m’asseyais délicatement dessus, m’entrainant pour le jour J, comme une guerrière du désert…
Dieu que ça me soulageait et que… j’adorais ça ! Je couinais comme une gamine… tous mes sentiments ressortaient, empalé de la sorte ! Je me sentais enfin à ma place : libre et libéré de tous ces jugements et aprioris ! J’envoyais valdinguer toute mon éducation machiste de racailles de banlieue !


Ainsi, le jour de mon premier rendez-vous arriva. Je sautais le pas assez vite, avec le recul. C’était à Bastille. Une sorte de blanc bec encore plus petit que moi, alors que je ne mesure qu’un mètre soixante-neuf ! Je rentrais dans sa chambre et, vingt minutes plus tard, j’en ressorti sans même avoir vraiment joui. Impression mitigée ! Je me disais : tout ça pour ça ! On aurait dit deux puceaux se rendant mutuellement service. En revanche, j’étais plutôt content et satisfait d’être passé à l’acte ! Je sentais que j’avais passé un cap. Il était temps, maintenant, de m’attaquer à du lourd ! En effet, sur le site, une annonce fascinante revenait souvent, sans que je n’ose y répondre. Le mec était presque trop bien pour moi. Elle disait :
- Maitre Français actif, un mètre quatre-vingt-dix pour quatre-vingt-dix kilos, quarante-neuf ans, bonne bite bien épaisse et veineuse, vingt et un centimètres sur six. Mon kiff, c’est de soumettre et féconder les petites racailles de banlieues, de manière à les remettre à leurs places naturelles…

Alors, je l’admets : ça faisait un peu facho, comme annonce… Cela dit, le site s’y prêtait on ne peut mieux : les annonces qui s’y trouvaient suintaient toutes le sexe interethnique ! Et je savais que, en mon for, ce n’était qu’un délire de plus ! Moi-même, je ne me prétends beurette salope que le temps du coït. C’est un jeu sexuel, un délire ! On s’amuse avec les clichés que les bas de plafonds entretiennent, mais… On ne prend pas ça au premier degré, quoi ! Ça ne va pas loin. En dehors du plan, le respect pour tous doit être de rigueur, quand bien même je serais féru de scatologie ou de fist-fucking. En outre, je compris plus tard que, plus le délire sexuel de l’individu est honteux ou inavouable, plus ce même individu est compréhensif et respectueux de son partenaire, une fois la partie terminée. De surcroit, soixante-dix pour cent des annonces de ce site venaient plutôt d’européens bourgeois qui aimaient se soumettre à des prolos ou à des mecs de cités d’origines maghrébines ou, mieux encore, des blacks !


Moi, je faisais figure d’exception à l’époque. Car c’est précisément le contraire que je cherchais. C’est-à-dire que j’avais envie de servir de chienne beurette à un bon français dominant ! C’est ça, qui m’excitait ! En somme : vénérer le maître de maison ! Je répondais ainsi à cette annonce et, très vite, nous convînmes d’un rendez-vous. Le monsieur avait la cinquantaine… Il m’avait envoyé la photo de sa bite et… je n’en croyais pas mes yeux ! Je n’allais quand même pas me fourrer tout ça ! C’était sans compter sur ma gourmandise ! Rappelez-vous ! Vingt-six piges d’abstinence et des dizaines de bides ! (Si l’on excepte la brève échauffourée avec ma sœur et l’autre péquenot de Bastille.) Trois jours plus tard, je me retrouvais à Boulogne Billancourt. Le monsieur s’appelait François, il était censé m’attendre sur un banc, avec une chemise à carreaux manches courtes, au motifs bleu ciel. J’arrivais un peu avant l’heure et… il était déjà là, le saligaud. Assis… Très tranquille ! En mon for, je me disais :
- Quel salaud ! On ne dirait pas du tout un mec qui s’apprête à faire un plan cul !
Niveau visage, il avait des airs de Grégory Peck, ce qui m’excita d’emblée… Le bon vieux celte, avec la raie sur le côté, comme je les aime ! Le vent jouait avec ses cheveux soyeux et châtains. Je m’asseyais timidement, pas trop loin de lui. Il me dit :
- Samir ?
- Oui…
- Ça va ?
- Oui…
- Ne sois pas timide…
Je resté comme figé… Il m’intimidait. Je le trouvais presque trop bien pour moi. Bien mieux que sur les photos qu’il m’avait envoyées. D’une voix calme et rassurante, il continua :
- On y va ?
Je fis oui de la tête. Il se leva et je le suivi. Au bout d’un moment, il ralentit quelque peu, de manière à être à la même hauteur que moi. Il sentait que j’étais remué et il prit un ton badin, comme pour alléger l’atmosphère… Dieu que je me sentais chose… Nous n’étions même pas arrivés chez lui que j’avais déjà envie de me prosterner pour lui lécher les orteils, comme ça, dans la rue ! Nous rentrâmes dans un bâtiment très chic, puis dans l’ascenseur. Les petits ascenseurs des bâtiments de quatre étages… Il s’approcha de moi sans crier gare et… il m’embrassa très tendrement ! Je n’avais jamais vraiment embrassé, avant cette fois et Dieu que c’était bon ! Sa grosse langue de monsieur fouilla goulument dans ma bouche… Dès que je commençais à tourner ma langue ; il arrêtât aussitôt de tourner la sienne. Comme pour me dire d’y aller lentement. Je me sentais fondre… Mes pulsions féminines se réveillèrent en feux d’artifices et mon armure de mec de cité s’effrita aussitôt. Je n’avais qu’une envie : baisser mon jogging et me mettre à quatre pattes en signe de soumission. (je n’avais pas de slip !) Une fois arrivé à l’étage, il me calma et me demanda de rester discret et j’obtempérais volontiers. Quelques secondes plus tard, je découvrais son appartement. Il m’invita à m’asseoir et me demanda si je voulais boire quelque chose... Je lui dis que non !
Il alla tout de même chercher deux bières, puis vint s’asseoir à côté de moi. Je me mis à parler de tout et de rien, comme pour faire diversion. Il me coupa :
- Tiens, je t’ai quand même ramené une bière…
- Aaah ! Merci quand même… mais…
- Si tu veux boire, elle est là.
- Merci…
Je m’arrêtais net de parler, car je sentis qu’il avait passé sa main sous mon t-shirt. Il me caressait gentiment le dos. Je me mis à regarder de l’autre côté, en priant pour que tout se passe bien. Il enleva délicatement mon t-shirt. Puis inséra sa main dans le jogging qu’il m’avait demandé de mettre. Il caressa le haut de mon cul et fit :
- Hummm…
Je me tournais lentement ma tête et lui fit un regard de chienne, tout en me cambrant pour l’encourager dans ses démarches. Il sortit sa grosse langue hors de sa bouche et la mis à plat. Je compris tout de suite ses désidératas : je me mis à l’embrasser, la suçant avec gourmandise… Même sa langue était bonne, un délice ! Puis il ramena sa main devant mon visage, tendit deux doigts et m’intima de les sucer, jusqu’à ce qu’ils soient bien humides. Je me mis à les sucer, comme s’il s’agissait de son organe génital. Puis, je ne sais pas ce qui m’a pris : je crachais dessus… les inondant d’une salive des plus libidineuses ! Ses yeux se plissèrent ! On aurait dit qu’il s’y attendait. Il dit :
- Humm ma petite beurette Samira ! C’est ça que j’aime, avec vous ! Bien vulgaire ! Je sais ce qu’il vous faut… pour vous calmer ! Bande de putes !
Il me mit soudain une sorte de petite claque contrôlée avec son autre main… Je sentis très vite la première main dans mon jogging et, avec ses doigts, il me titilla lentement la rondelle, en me regardant bien dans les yeux…
- C’est ça que t’aimes, hein ? Sale pute d’arabe ?
- Humm.
- Être au service d’un vrai Maître Français qui sait comment te manier…
- Humm.
- Te remettre à ta place de pute !
Je fis oui de la tête, de façon très timide. Il y allait fort, le saligaud, mais… dieu que ça m’excitait. Il changea soudain de ton et me dit très calmement :
- On va dans la chambre, chérie ?
Je ne pus qu’acquiescer ! On alla dans la chambre et… Je découvrais à peine son lit qu’il me poussa dedans sans me ménager ! Il déboucla son ceinturon et m’intima cet ordre :
- À quatre pattes !
J’étais encore en train de me demander ce qui se passait qu’il réitéra, avec une autorité naturelle qui m’excita au plus haut point :
- À quatre pattes, pute ! Quand le maître t’ordonne… qu’est-ce que tu fais ?
- J’obéis, Maitre !
Il prit mon menton entre deux doigts et dis :
- C’est clair ? Quand ton Maître François te dit quelque chose, tu ne te poses pas trop de question et tu obéis ! On est plus à la cité, là ! Ici, tu n’es plus qu’un bon bougnoule ouaf ouaf à son maître, qui se soumet aux ordres ! Tu comprends ?
- Oui…
- Oui, qui ?
- Oui, Maitre François…
- Fais ouaf ouaf !
- Ouaf, ouaf Maître !
- Humm…Je t’adore, toi !
Puis il m’embrassa très tendrement, tout en retirant son pantalon. Je sentais beaucoup de bienveillance en lui, malgré ses ordres et ses invectives à la limite de la limite ! Il savait manier le chaud et le froid, comme on dit… J’appris beaucoup, ce jour-là. C’était vraiment un Maitre, question sexe ! Lorsqu’il m’embrassait, bien qu’il m’ait traité de bougnoule quelques secondes auparavant, je sentais qu’il éprouvait envers moi une sorte de bienveillance infinie…


Il continuait de m’embrasser goulument… Puis il se recula pour enlever complétement son pantalon, empêtré au niveau de ses chevilles ! C’est là que mes yeux se posèrent dessus pour la première fois ! Ouaaaaw ! Un de ces braquemards, les amis ! Elle était beaucoup plus imposante que sur les photos… Vous voyez Rocco Siffredi ? La même, à peu près… La bite de rêve, quoi ! Parfaite… Bien qu’un chouïa trop grosse, pour des sodomies journalières ! Dans les mails, le mec voulait que je devienne, petit à petit, sa petite femme… L’une de ses petites femelles arabes au foyer qu’il peut enculer, lorsque l’envie l’en prend ! Je me voyais mal en train d’enfiler ça tous les jours ! Mais, pour un coup de temps en temps… Ouaaaaw ! Quel pied, les amis ! Le jackpot ! Je ne pouvais pas rêver mieux ! Il vit tout de suite mon ébahissement…
- Quoi ? Elle ne te plaît pas ?
- Oh… Si, si… Mais Ouaaaaw ! Elle est vraiment grosse… Plus grosse que dans les photos… Je ne suis pas sûr que ça rentrera…
Il me rassura aussitôt :
- Ce n’est pas grave… On essaye ! Tu me fais confiance, maintenant ?
- Oui… Maitre.
- Maitre qui ?
- Maitre François.
- Humm… T’es craquant… Je t’adore ! Mets-toi à quatre pattes, chouchou.
J’obtempérais volontiers…
- Au bord du lit, chouchou…
Je reculais mes genoux au bord du lit, tout en restant à quatre pattes. Il précisa son envie :
- Mets ta joue droite contre le lit.
Instantanément, j’obéis. Ainsi, mon cul était en offrande totale. Il mit son poing sur le bas de mon dos et dit :
- Cambre, chouchou… cambre !
Je cambrais le plus possible, fermais les yeux, puis je l’entendis aller sur le côté et, à ma grande surprise, il mit une musique à laquelle je ne m’attendais pas : du rap américain boum-pap du milieu des années quatre-vingt-dix, que je reconnu aussitôt ! Cela dit, à ma demande, il baissa le son presque au minimum… Mais, dans le silence, on entendait tout de même les basses et le flow hardcore des rappeurs vénères de la côte est ! Hummm… Je ne m’y attendais pas ! Il se mit derrière moi et je sentis quelque chose de très doux et humide… Le salaud était en train de me bouffer le cul avec un appétit sans nom : sa langue tâchait de rentrer dans mes entrailles ! On aurait dit un gamin qui se régalait à même le pot de nutella…J’avais des frémissements de plaisir et j’avais juste une envie, c’est de lui dire, avec l’accent antillais :
- Hey, timal ! Va ! Va chewcher bonheuw !
Oh, mon dieu que c’était magnifique, comme sensation… La sensation de plaire à quelqu’un, au point qu’il veuille littéralement vous déguster, vous ingérer ! Je sentais que le bougre se régalait ! Il rugissait comme un prédateur affamé et je sentais que j’étais sa proie, son gibier ! Son butin de guerre ! De temps en temps, il allait sur le côté et me présentait sa bite. Je la suçais avec toute l’application que je pouvais. Dans ma tête, je voulais faire une performance pour qu’il me rappelle souvent ! Me donner à fond pour mon nouveau mec ! Il prenait sa grosse bite et me mettait des coups avec, sur la joue, tout en me traitant de pute ! Il me demandait de lécher ses couilles, tout en le vénérant. Puis il tendit sa main vers sa table de chevet et s’empara d’une fiole toute neuve, puisqu’un blister recouvrait le bouchon… Il déchira le blister avec ses dents, ouvrit le bouchon et me présenta cette fiole devant les narines, tandis que je m’acharnais avec gourmandise sur son magnifique chibre de taureau. Plus tard, je saurai que la fiole n’était autre que du Popper’s ! Je le regardais dans les yeux d’un air de dire :
- C’est quoi ? Il me dit :
- Sniff !
- Oui, Maitre.
Je sniffais dans la fiole et j’en ressentis tout de suite les effets… Alors, déjà que j’étais très excité, mais là ! Là je vous avoue que je parti carrément en vrille ! Je voulais qu’il fasse de moi sa grosse pute, sa chienne ! J’en aboyais presque ! Il était satisfait, mais il était obligé de me calmer de temps à autres avec des micros-gifles… Il mit son pied gauche sur le lit et me dit :
- Lèche !
- Hein ?
- Lèche, ma petite Samira…
Je me ruais sur son pied comme le plus larbin des larbins. Ma langue allait même entre ses orteils, tout en priant pour y trouver un peu de crasse… Hummm ! Je levais ma tête :
- Maitre ?
- Oui, chouchou…
Je le suppliais :
- Crache-moi dans la bouche, s’il te plait…
Il se pencha vers moi et j’ouvris ma bouche. Puis il laissa tomber une grosse boule de crachat que j’avalais aussitôt comme si c’était le nectar des dieux. Il dit :
- T’aime bien ça, hein, p’tite beurette ! Tiens ! Du bon mollard de vrai mec !
Puis il me cracha au visage, en faignant le mépris et le dédain...
- T’aime bien ça, oui ou non ?
- Oui, Maitre…. J’adore ça !
Il me cracha au visage quatre ou cinq fois, en prenant tout son temps. Puis il amassa tout avec sa main et il la fourra dans ma bouche… m’obligeant à nettoyer et à récolter tout son fluide salivaire… Puis il lâcha un petit sourire rassurant, suivi d’un clin d’œil et d’une grosse galoche d’amoureux transi ! Il m’embrassa goulument, comme un homme qui embrasse la femme qu’il aime. Je me sentais drôlement bien, avec lui. Comme je le disais : malgré toutes ces pseudo humiliations, je me sentais en sécurité, avec lui. Je sentais qu’il avait la distance : ce n’était qu’un jeu ! Dans l’absolu, il m’aurait protégé envers et contre tout. Il me donnait envie d’obéir, d’être à lui. Il me donnait envie de tout lâcher, me laisser faire, me soumettre ! Perdre le contrôle pour lui faire plaisir, parce que… parce que sa maestria le méritait ! Il m’inspirait une confiance des plus hautes. Je me mis à quatre pattes et ondulais du popotin, à la manière d’une actrice porno…
- Oh, Maitre ?
- Oui, petite arabe ?
- Sodomisez-moi, s’il vous plaît ! Ce serait un honneur, pour moi.
Nous étions si excités que, quelques secondes suffirent pour que son énorme bite se retrouve dans mon cul ! Elle s’inséra dedans comme une épée dans son fourreau. Aucune douleur. Aucune gêne. Juste ce que je ressentais déjà avec mon gode : un soulagement, des plus extrêmes… Je me dilatais presque malgré moi et mon gros cul accueillit son nouvel hôte avec enthousiasme. Il me baisait tendrement, François… tout en me calmant de temps à autres, quand je commençais à dandiner. Tout mon côté salope ressorti, ce jour-là… Je couinais et suppliais lamentablement d’être son sac de frappe ! Le paillasson sur lequel il s’essui les pieds. Je lâchais, pour son plus grand plaisir, les obscénités les plus inavouables… De temps à autres, il sortait sa bite de mon cul et me la présentait devant la bouche. Je compris instantanément son désir et, ni une ni deux, je le suçais avec une avidité presque honteuse !
- Hummm ! J’ai trop de chance, Maitre ! Vous êtes trop gentil ! Nous, les pouffiasses, on adore trop sucer la bite de nos enculeurs !
- Hummm ! Oui, je sais, ma petite Samira ! Ça a plus de goût, hein ?
- C’est le gout des vrais mecs sodomiseurs de putes ! Hummm… trop bon le goût… Merci, merci, merci !
- Hummm… t’es une vraie cochonne, toi ! J’adore… Ouvre ta bouche !
Je l’ouvrais et il crachait dedans en faignant le dédain. Puis :
- Suce, p’tit Samir ! Vous adorez trop ça, la bite de français ! Du bon français pur porc pour toi, mon p’tit Samir !

Et je m’appliquais avec deux fois plus d’intensité ! Une vraie morfale ! Mais qu’est-ce que j’étais aux anges ! Je compris assez vite qu’il avait une sorte de circuit préférentiel ! Anulingus, sodomie, ass-to-mouth, crachat dans la bouche, galoches de cochon et il revenait à l’anulingus… le tout sous une floppée d’insultes et de mots d’amour. Une fois mon orifice bien détendu, il allait même jusqu’à sortir sa bite de mon cul pour… cracher dedans avec mépris ! Puis il y remettait aussitôt son énorme chibre.
Bien entendu, au bout d’un moment, je sentis qu’il devenait dingue… Il commença à me tamponner méchamment ! Il me mit sur le ventre et je sentis son excitation monter de secondes en secondes. Il me dit :
- Tu veux que je te crache où, chienne ?
- Dans le cul, François ! Dans le cul ! Je veux que tu me fécondes mon putain de cul de pute…
- Tu veux un bébé, hein ?
- Oui, Maitre François ! J’ai besoin d’être ta femme ! Je veux être ta femme, Maiiiitreuuuh ! J’adore la France ! J’adore la France et les français ! Vous êtes délicieuuux !!!
Puis, soudain, j’étais tellement dans mon délire que… Je ne sais même pas si je vais avoir le courage de l’avouer ! Bon, allez ! On est plus à ça près, après tout ! J’étais tellement dans mon délire que, le Popper’s aidant, je me suis même mis à chantonner la marseillaise. Comme ça, spontanément ! De toute façon, je n’eue même pas le temps de terminer le premier couplet que François craqua :
- Rhaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa… Saaaale Puuuuuute de chienne ! Tiens, tiens, tiens !
Il va sans dire qu’il était en train de me faire le plein ! François rempli mon gros cul de son sperme, ce qui me fit jouir presque sur le coup ! Après ça, il vint s’allonger de tout son long sur le lit après avoir éteint la musique. Il me dit :
- Arrive, ma petite reine !

Je vins me blottir à côté de lui et il m’embrassa avec énormément d’amour. On était si bien, dans le silence et dans nos odeurs de mâles, qu’on s’est endormi sans s’en rendre compte ! Sans même se nettoyer ou quoi… Je le revis une dizaine de fois, par la suite ! Et c’était l’une des plus belles personnes que j’ai rencontrées, que ce soit dans la forme ou dans le fond. Pas du tout raciste pour un sou, au contraire ! Il allait souvent au Maroc ou en Tunisie, mais, son grand rêve, son grand fantasme, c’était d’aller en… Algérie ! Ses ancêtres y avaient vécu, mais… il n’osait pas y aller tout seul !
Je l’y ai accompagné, plus tard ! Je lui ai même appris à parler l’arabe…

Mais, cela, c’est une autre histoire…

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
beau récit bien écrit, excitant...
Posté le 23/01/2024

Guépiere
Bravo Samira superbe salope comme moi. je raconte mes aventures sous le pseudo "Guépiere". pense à noter mes récits et à faire des commentaires. De plus vous pouvez partager avec tous vos contacts un lien vers mes aventures bien réelles. Merci d'avance bisous Marie
Posté le 15/11/2022

bernard
jeune femme mariée en mini jupe très courte à mi fesses chemisier transparent pas de soutien gorge poitrine généreuse pas de culotte le soir en boite j'avais sortie seule un inconnu ma forcée de rentrer dans la voiture il ma traité de salope il m'a doigté caresser mes fesses peloter ma poitrine quel gros et long sexe
Posté le 4/02/2021


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