Pour rendre service, Clotilde accepte d’héberger le fils de à sa meilleure amie. Elle en apprendra beaucoup sur elle-même… J’ai écrit cette histoire comme si Clotilde l’avait écrite elle-même.
Proposée le 30/04/2017 par CecileS
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman
David me fixa en souriant et il dit d’une voix douce :
Et si moi, je te demandais, comme il l’a fait, de me donner ta culotte, ici et maintenant, est-ce que tu le ferais ?
Comment une telle situation était-elle possible ?
Pourquoi un homme que j’avais rencontré quelques heures avant, me demandait cela au beau milieu d’un restaurant ? Comment pouvait-il être si sûr de lui, de moi ? Car ses yeux rieurs ne montraient aucune incertitude quant à la décision que je prendrais. Il savait que je le ferais, il savait que j’étais une salope…
Comment en étais-je arrivée-là ?
Cela avait vraiment commencé six mois plus tôt. Le jour où Lucas était entré dans la salle de bains sans se soucier si je l’occupais…et j’étais à l’intérieur, nue, dans la cabine de douche, prête à faire jaillir l’eau…j’avais oublié de mettre le verrou. Quand on vit seule depuis un an, c’est le genre de chose que l’on oublie facilement.
Et Lucas, plutôt que de s’excuser et de ressortir aussitôt comme aurait fait n’importe qui, s’installa devant le miroir et entreprit de se coiffer. Pendant que ses doigts enduits de gel fourrageaient dans sa tignasse, il matait mon reflet dans le miroir. Dans la cabine transparente, je ne pouvais échapper à son regard. Il prit son temps, le petit salaud, me mata sans vergogne, m’examina sous toutes les coutures en se coiffant. J’étais tétanisée, en apnée, incapable de prononcer un seul mot, de lui ordonner de sortir. Lucas se décida enfin à partir, se retourna un sourire aux lèvres et avec un drôle de regard :
T’es canon, Clo, tu sais ! Me dit-il en partant sans fermer la porte.
Je restais quelques secondes immobile, tremblante comme une feuille avant de bondir fermer cette porte qu’il avait laissée grande ouverte et de la verrouiller à double tour.
Lucas était le fils d’Estelle, mon amie d’enfance et de Laurent, son compagnon. Ils étaient agriculteurs dans les Cévennes et avait aménagé des chambres d’hôtes dans leur grande maison. Quand Lucas avait intégré l’université, ils m’avaient demandé de l’héberger. Je vivais seule dans un grand appartement depuis que mon fils avait rejoint son père pour ses études, lui aussi. C’est donc avec plaisir que j’acceptais de leur rendre ce service.
Dès son arrivée, Lucas s’était montré plutôt entreprenant. Il se comportait comme s’il tentait de me séduire, comme un petit coq sûr de son charme, qui était indéniable d’ailleurs. Je m’en étais évidemment rendue compte. Difficile de ne pas remarquer ses allusions à peine voilées, ses compliments, il me trouvait sexy, disait-il, avec un grand sourire. Et quand je passais à sa portée, il me touchait les mains, les bras, les épaules et parfois frôlait mes fesses.
Désemparée par son attitude, je me rassurais en pensant que cela n’était pas bien méchant, juste une manifestation des besoins charnels d’un post-adolescent en mal de petite amie.
Le week-end qui suivit, il était prévu que nous allions chez mes amis, les parents de Lucas. Pendant les cent kilomètres en voiture, Lucas posa sa main plusieurs fois sur mon genou. A chaque fois, je la repoussais sans rien dire. J’espérais avoir l’occasion d’en parler à sa mère, au moins de lui faire comprendre mon embarras sans être trop directe. J’étais vraiment très ennuyée de cette situation. Comment faire comprendre à Estelle que son fils tentait de me séduire, qu’il n’avait qu’une envie, celle de me baiser et que je n’avais pas l’intention de céder à ses avances.
Après le diner, pendant lequel les pieds de Lucas venaient s’immiscer entre les miens, je suis montée me coucher, prétextant une légère migraine pour fausser compagnie à mes hôtes et surtout à leur fils. Je pris un bouquin que j’avais l’intention de terminer mais j’avais du mal à me concentrer sur ma lecture tant mon esprit était ailleurs. Et mes pensées allaient évidemment vers Lucas et son attirance pour moi que je ne comprenais pas. Comment peut-on, quand on a vingt ans, être attiré par une femme de quarante-cinq ans, de l’âge de sa propre mère, alors qu’il doit y avoir plein de filles, à la fac et ailleurs, jeunes et fraiches qui ne doivent demander que cela.
Perdue dans mes pensées, je n’entendis pas la porte s’ouvrir et je ne m’aperçus de la présence de Lucas dans ma chambre que quand il s’approcha de mon lit. J’ouvris la bouche pour lui crier de sortir mais il posa son index sur ses lèvres et chuchota :
Chutttt, tu ne voudrais pas réveiller mes parents et qu’ils nous trouvent tous les deux.
Menace à peine voilée qui me laissa muette pendant que Lucas posait son jean et son tee-shirt. Je restais encore muette quand il se glissa sous la couette. La tête appuyée sur sa main, Lucas parla à vous basse :
Tu vois, Clo, t’es trop bonne. Je te kiffe.
Lucas arrête ça tout de suite où je crie. Répondis-je.
Si tu cries mes parents vont venir. Dit-il réitérant sa menace.
Mais tu cherches quoi, à la fin ?
Tu ne devines pas ? Mais faut pas t’inquiéter, je vais pas te prendre la tête. Toi et moi, ce sera juste une histoire de cul.
Pourquoi n’ai-je rien dis ?
Pourquoi n’ai-je pas hurlé ?
Je n’en sais fichtre rien.
Peut-être parce que depuis mon divorce, depuis dix ans, je n’avais eu que quelques hommes qui se comptaient sur les doigts d’une seule main. Que des aventures d’un jour, d’une nuit, et la dernière remontait à quatre ans.
Parce que j’étais en jachère de sexe et de plaisir depuis trop longtemps.
Cette déclaration digne d’un porno dont il devait se gaver, me laissa sans voix. Muette mais troublée, je fondis littéralement.
Lucas se rendit-il compte de mon trouble ou bien, sûr de sa victoire, il se pencha vers moi et posa ses lèvres sur les miennes. Sa langue jaillit dans ma bouche, chercha la mienne, s’enroula dans une folle sarabande. Je sentais sur ma cuisse la bosse dure de son sexe à travers son boxer.
Sa main se posa sur ma cuisse et mes jambes s’ouvrirent, malgré moi, lui offrant le passage vers l’objet de son désir. Ses doigts glissèrent sur ma peau qui se hérissait de chair de poule. Une pression de ses doigts sur mon pubis, à travers la dentelle de ma culotte, m’électrisa. Ma main glissa entre nos corps, descendit vers son boxer distendu par une bite palpitante. Il joua avec mon sexe, me caressant à travers ma culotte que je souillais de mouille. Je devenais folle, folle de désir, folle de sentir mon ventre se contracter, mon sexe gonfler sous ses doigts. Ma main se faufila dans son boxer, y trouva une queue raide, chaude. Je fis glisser son sous-vêtement sur ses cuisses et l’attirais sur moi, entre mes cuisses grandes ouvertes. Il dégagea ma fente pour y enfiler sa queue d’un seul coup de reins.
Je me sentais étroite, serrée comme la première fois avec cette bite qui s’enfonçait dans mon ventre, qui bousculait mon con habitué au néant. J’étais au bord du précipice, j’avais envie de crier de plaisir, je me mordis les lèvres pour ne pas le faire. Il me défonça lentement. Ma dernière pensée cohérente avant que n’éclate l’orage qui me déchira le ventre, fut de constater que Lucas n’était pas maladroit. Le sommier grinça quand mon corps se tendit, quand les convulsions d’un orgasme silencieux me secouèrent. C’est à peine si je ressentis ses jets de sperme au plus profond de moi, manifestation de son plaisir à lui.
Lucas se releva aussitôt, se rhabilla et sortit de la chambre, sans un mot, sans même une quelconque marque de tendresse.
Ce petit salaud me laissa seule, la nuisette remontée jusqu’au menton, les jambes ouvertes, la chatte poisseuse. Je calmais ma frustration en supposant que son attitude s’expliquait par sa crainte d’être surpris par ses parents. Le sommeil me prit rapidement. Mais avant de sombrer, je décidais de ne rien dire à mon amie.
Le lendemain, je craignais que la journée soit délicate mais Lucas n’apparut qu’en fin de matinée et disparut presque aussitôt, en début d’après-midi, avec deux copains. Le soir venu, j’attendis qu’il vienne à nouveau me rejoindre. Vers une heure du matin, je faillis même tenter de le rejoindre. Mais la taille de l’ancienne magnanerie rénovée et la méconnaissance que j’en avais m’en dissuada. Des pensées contradictoires me traversaient.
Qu’est-ce que tu crois, ma pauvre Clotilde ?
Que Lucas va devenir ton amant ?
Tu parles !
Hier, il t’a sautée mais maintenant qu’il a eu ce qu’il voulait, terminé !
D’ailleurs il l’a bien dit « Juste une histoire de cul ».
Il doit être en train de s’amuser avec ses copains et sans doute des filles, toutes plus jolies que toi et surtout plus jeunes.
Tu vas pas devenir une cougar, une de ces femmes qui recherchent des jeunots, des baiseurs comme elles les appellent, pour se faire une illusion de jeunesse.
Non, pas toi, pas ça, avec un gamin qui a l’âge de ton fils, qui est, en plus, le fils de ta meilleure amie, un gamin que tu as parfois langé quand il était bébé. Ce serait presque incestueux.
Je tardais à m’endormir tant ma frustration était grande.
Le dimanche, Lucas ne sortit du lit que vers treize heures. Estelle lui demanda :
Tu es rentré tard, cette nuit ?
Boff, vers cinq heures, par là. On était à Alès…
En fin d’après-midi, nous sommes rentrés sur Montpellier. Lucas, comme à l’aller, posa sa main sur ma cuisse mais, cette fois-ci, je ne le repoussais pas. C’est seulement, une fois ma jupe remontée à la taille, quand ses doigts atteignirent mon entre-jambe que je luis dis :
Non, attends que nous soyons arrivés. Je conduis, la route est difficile. C’est dangereux.
Tu mettras des bas, c’est plus cool. Fut sa seule réponse mais sa main s’éloigna de mon pubis.
Vers la mi-parcours, alors que la nuit commençait à tomber, Lucas me désigna une petite aire de repos :
Clo, arrêtes-toi là !
Je me garais dans ce lieu désert, pensant qu’il avait un besoin naturel à satisfaire. C’était d’ailleurs cela ! Il ouvrit sa braguette et en sortit son sexe.
Qu’est-ce que tu fais ? Demandais-je surprise.
Tu vas me sucer ! Me répondit-il.
Ici…maintenant… ?
Ben, oui, j’ai envie !
Comme si cela allait de soi ! Lucas avait envie d’une pipe et Clotilde devait lui faire une pipe. En d’autre temps, je me serais révoltée devant tant de désinvolture. D’autant plus que la fellation n’avait jamais fait partie de mes activités favorites. Je l’avais refusé à tous mes amants, et à mon ex-mari qui me l’avait d’ailleurs reproché au moment de notre séparation. Quand j’avais découvert qu’il me trompait et qu’en pleurs je lui en avais demandé la raison, la réponse avait été cinglante « Tu n’es pas assez salope, Clotilde. Voilà pourquoi je vais chercher ailleurs ce que tu me refuses. »
Peut-être que le retour en mémoire de cette phrase de mon ex m’incita à accepter ce que Lucas me demandait, pour ne pas le perdre. Je me penchais alors vers lui par-dessus le frein à main et je pris sa bite dans ma bouche.
D’une main, il maintenait ma tête et de l’autre, il me pelotait la poitrine.
La situation m’excitait. Baiser dans une voiture, ne m’était pas arrivé souvent, seulement au début de ma relation avec mon ex, avant que nous soyons mariés. Et aussi parce que, faisant fi de mon éducation et de mon dégout pour cette pratique que j’avais jugée avilissante, je constatais que sucer une bite n’était pas si désagréable que cela. Les palpitations de son membre, la douceur de son gland me chaviraient. Si, au début, je n’avais fait que pomper cette queue, je me surprenais moi-même à tenter des choses inconnues pour moi, comme de faire courir ma langue sur la longue tige quand je reprenais mon souffle, ou bien poser des petits bisous sur la pointe.
Les grognements de Lucas m’indiquaient que mes initiatives lui plaisaient.
Arriva l’instant que je redoutais, les spasmes de son membre indiquèrent qu’il était proche du point de non-retour. Sa main appuya fortement sur ma tête, m’interdisant toute dérobade.
Putain, tu me fais jouir, salope. Grogna Lucas avant de se vider dans ma bouche.
Il maintint ma tête pendant que sa liqueur giclait. Un gout acre et salé envahit ma bouche. Il relâcha son étreinte :
Avale. Tu vas en foutre partout sur mon jean.
Je déglutis avec peine, avalant cette crème grasse, écœurante qui me laissa son gout acre dans la bouche. Lucas rangea sa queue, puis me tendit un paquet de chewing-gum :
Tiens. Prends en un pour faire passer le gout. Dit-il grand seigneur avant d’ajouter : Tu suces pas mal ! Bon, on repart.
J’étais en feu mais je repartis en direction de Montpellier, pressée d’arriver, de me retrouver seule avec Lucas.
Nous avons baisé comme des fous, ce soir-là, j’étais insatiable, il était infatigable. Dès la porte refermée derrière nous, Lucas se rua sur moi, me déshabilla en m’entrainant vers ma chambre. Le lendemain matin, je retrouvais ma jupe, dans l’entrée, mon chemisier dans le couloir, mon soutien-gorge à la porte de ma chambre, mon collant qu’il avait déchiré au pied du lit et ma culotte sur la table de nuit. Lucas se montra dominateur, presque brutal. Une fois nue, il me jeta comme un paquet en travers du lit et quitta ses vêtements en un clin d’œil. Avant que je réagisse, il était sur moi, dans le compas de mes jambes et il me défonçait à grand coups de reins.
Dans l’intimité de mon appartement, nous ne craignions pas d’être entendus. Je criais quand son dard me pénétra. Non pas de douleur car j’étais excitée, chaude comme un fourneau, et sa bite s’enfonça facilement dans mon con détrempé. Mais de plaisir d’être à nouveau remplie, baisée comme une chienne. Lucas accompagnait ses coups de reins de grognements, il me parlait, m’excitait, s’excitait lui-même en me parlant. J’acceptais les qualificatifs de pute, de salope, de chienne qu’il m’attribuait. J’approuvais bruyamment quand il me demandait si j’aimais me faire baiser, s’il me faisait jouir.
Oh, oui, je jouissais de me faire baiser comme une pute, sauter comme une salope, défoncer comme une chienne.
Car j’ai joui ce soir-là, comme jamais je n’avais joui. Une fois, deux fois, trois fois, je ne sais plus. J’étais incapable de tenir une comptabilité. Lucas est revenu plusieurs fois à la charge, me demandant de le sucer pour qu’il se raidisse avant de me sauter à nouveau. Saveur étrange de son sexe, mélange du gout de sa semence et de mes propres sécrétions. Saveur nouvelle dans ma bouche, saveur exquise au gout d’interdit.
La nuit fut longue et le repos court. Quand j’arrivais au bureau le lendemain matin, je devais porter les séquelles de cette folie malgré mon maquillage car Patricia, mon assistante, me demanda si j’étais souffrante. Je lui fis une réponse évasive qui lui tira un sourire entendu.
Le même soir, j’attendais mon jeune amant avec impatience. J’étais impatiente lui montrer les dim-up que j’avais achetés pendant ma pause-déjeuner et qui gainaient maintenant mes jambes.
Lucas arriva et m’embrassa en fourrageant sous ma robe. Sa main glissa sur le nylon, atteignit les jarretières en dentelle et au-dessus la peau nue de mes cuisses. Il se détacha de moi en soulevant ma robe.
C’est bien. T’es vraiment canon comme ça. Tiens ! J’ai acheté ça pour toi. Dit-il, d’un air satisfait, en me tendant un petit sac.
Un cadeau ! Déjà ! Lucas me surprenait par son attention.
Merci, mon chéri. Lui dis-je en ouvrant le sac.
Je découvris une tondeuse à barbe.
Etonnée, décontenancée par ce cadeau pour le moins surprenant, je demandais :
C’est pourquoi faire ?
Pour couper tes poils de chatte. Ils sont vraiment trop longs.
Il assista à la tonte de mon intimité, donnant des conseils, non des ordres plutôt que je suivais à la lettre. Je me retrouvais avec un minou couvert d’une courte toison, soigneusement taillée en triangle.
Lucas me suça ce soir-là et après que j’ai crié de plaisir, il me regarda d’un drôle de regard et me dit en souriant :
Tu vois quand t’es rasée, c’est mieux pour le cunni. J’ai pas envie d’avoir tes poils plein la bouche.
Lucas me baisait tous les jours ou presque, sauf quand il sortait, généralement le vendredi. Il me prenait dans n’importe quelle pièce de l’appartement et n’importe quand. Dans ma chambre bien évidemment, ou dans la sienne qu’il n’occupait presque plus, dans le salon, la cuisine, la salle de bains et même les beaux jours venus, il me sauta sur le balcon. Et à chaque fois, l’appartement s’emplissait de mes cris d’extase.
En quelques semaines, j’étais devenue totalement accro à Lucas et au plaisir qu’il me donnait. Toute la journée, j’attendais la fin d’après-midi avec impatience. Je tentais d’imaginer, fébrile, ce que Lucas exigerait de moi. Son imagination perverse semblait sans limite.
Me fera-t-il m’exhiber, danser nue sur une musique lascive dans l’appartement, toutes lumières allumées et volets et rideaux grands ouverts à la vue de quiconque de la résidence d’en face ?
Irons-nous au restaurant et me demandera-t-il une fois assise de poser ma culotte et de lui donner par-dessus la table ?
Irons-nous au cinéma et me fera-t-il jouir en plein milieu du film en me caressant ?
Ou bien, me proposera-t-il une séance de shopping, nue sous ma robe ?
Prendrons-nous un taxi, après et me fera-t-il assoir au milieu de la banquette en écartant les jambes ?
Mais tout cela, je l’avais déjà fait pour lui parce qu’il me l’avait demandé.
Comme l’autre soir, le soir de la demi-finale, Lucas regardait le match de foot à la télé. Moi, en nuisette transparente, lovée contre lui sur le canapé, je tentais de l’envouter par des caresses, des agaceries, d’attirer son attention, comme une chienne obéissante attends une caresse de son maitre. Il me repoussa :
Clo, je regarde le match…
Mais j’ai envie de baiser. Lui dis-je d’une voix douce et charmeuse.
Et alors ! Si t’as envie, branle-toi mais fiche-moi la paix !
Cette rebuffade me stimula. Ah, il voulait que je me caresse et bien j’allais le faire, ici, à côté de lui, et j’allais l’exciter ce petit salaud. J’allais tellement l’exciter qu’il serait bien obligé de me sauter dessus.
Et je commençais à me masturber, ce que je n’avais pas fait depuis la fin de mon adolescence, depuis que j’avais rencontré mon ex-mari. Lucas ne me regardait pas, continuait de fixer l’écran malgré mes gémissements un peu forcés. Alors je changeai de place pour me mettre dans le fauteuil à gauche de la télé, en face de lui. Je me fis jouir un peu avant la mi-temps.
Quand l’arbitre siffla le retour aux vestiaires, Lucas se leva, s’approcha de moi. Il me fit mettre à genou sur le fauteuil, les bras appuyés sur le haut du dossier et il m’enfila comme ça. Il me besogna un peu, un œil sur la télé. Je me caressais en même temps et j’eu une seconde bouffée de plaisir. Quelques secondes avant la reprise du match, il accéléra la cadence de son bassin et se vida en moi avant de regarder la deuxième mi-temps.
En quelques semaines, je ne songeais même plus à me rebeller contre Lucas, contre le machisme de Lucas, contre ses exigences toujours plus nombreuses, toujours plus perverses. Au début de notre relation, j’avais tenté plusieurs fois de faire le point dans le calme de mon bureau.
Comment, toi, Clotilde, chef de service respectée dans l’administration peux-tu te soumettre au moindre désir de ce gamin vicieux ?
Comment, toi, Clotilde, es-tu devenue soumise à ce blanc-bec qui te laissera tomber quand ça ne l’amusera plus ?
Jusqu’où va-t-il t’emmener ?
Que va-t-il faire de toi ?
Pourquoi, Clotilde, Pourquoi ?
Et à chaque fois, la réponse aux questions que je me posais, était la même, invariablement la même : Parce qu’il me fait jouir ! Oui, il me fait jouir et je suis prête à toutes les folies pour que Lucas continue de me faire jouir.
J’avais donc cessé de me ronger les sangs et je vivais au jour le jour. Je ne refusais rien à Lucas et plus rien ne me surprenait de sa part.
Comme ce matin où il me demanda durant le petit déjeuner:
Dis-moi, Clo, t’as déjà baisé avec une fille ?
Non, jamais !
Bon, il faudra que tu le fasses. Conclut-il avant de partir en cours.
Deux jours après, Lucas rentra accompagnée d’une jeune fille qu’il appelait Emilie. Un joli brin de fille, pas très grande, blonde, joli visage, bien fichue, mince, belle poitrine. Ils avaient diné et je leur proposais alors un café.
Je m’installais dans le canapé à côté de Lucas. Il posa sa main sur mon genou. Je lançais un regard de défi vers Emilie, regard qui disait :
Tu vois, Lucas est mon homme. Tu n’as aucune chance avec lui. Je sais comment le satisfaire, moi. Tu n’es certainement pas plus salope que moi.
Puis la main de Lucas s’immisça entre mes genoux. Mes jambes s’écartèrent d’elles-mêmes, instinctivement, dans un réflexe maintenant conditionné. Et Lucas m’embrassa. Je fermais les yeux. Je ferme toujours les yeux quand j’embrasse. Pendant qu’on se roulait une belle galoche, je ne pus m’empêcher de rire intérieurement en imaginant que Lucas avait pu dire à Emilie que j’étais sa mère. J’imaginais voir sa tête horrifiée quand j’ouvrirais les yeux.
La surprise fut pour moi et une surprise de taille puisque je sentis une autre main entre mes cuisses. La menotte d’Emilie. Je me libérais de la bouche de Lucas et j’ouvris les yeux pour constater qu’Emilie était maintenant assise à côté de moi et que sa main était bien en compagnie de celle de Lucas. Je refermais mes jambes, emprisonnant leurs mains. Mais la petite conversation que nous avions eue deux jours avant me revint en mémoire. Lucas voulait que je baise avec Emilie, il n’avait pas besoin de me le redire. Mes cuisses se rouvrirent.
Lucas me prit le menton et tourna mon visage vers son amie. Elle posa ses lèvres sur les miennes, des lèvres parfumées de son gloss, des lèvres au gout de framboise. Sa langue agile força mes lèvres, fureta dans ma bouche. Le contact de ma langue avec la sienne m’électrisa et je lui rendis son baiser, et nos langues entamèrent une farandole dans ma bouche, dans la sienne, entre nos bouches ouvertes. La main d’Emilie poursuivait sa progression vers ma chatte, et mes jambes s’ouvraient en accord avec son cheminement.
Lucas en profitait pour ouvrir mon chemisier qu’il me quitta sans que je cesse d’embrasser Emilie, sans qu’elle cesse de me caresser. Mon soutien-gorge suivit, puis ma jupe que je quittais moi-même debout. Je tendis mes mains à Emilie pour l’inviter à me rejoindre. Je la déshabillais alors sous le regard amusé de Lucas. Et c’est nues l’une et l’autre, que nous avons pris le chemin de ma chambre, enlacées, suivies par Lucas qui ne voulait rien perdre du spectacle et même, probablement, y participer.
Au lieu de m’accompagner sur le lit, Emilie souleva le tee-shirt de Lucas et le fit glisser par-dessus sa tête avant de s’attaquer au ceinturon qui fermait son jean. J’ai eu un pincement au cœur quand ils se sont embrassés pendant que la menotte d’Emilie libérait la queue de Lucas. Pourtant cela n’alla pas plus loin et elle vint me rejoindre sur le lit. Elle m’embrassa à nouveau et nous nous sommes caressées mutuellement. Je n’avais aucune honte, aucun dégout pour cette relation entre filles. Je ne cherchais que le plaisir, rien que le plaisir et je sentais Emilie capable de me faire découvrir des horizons nouveaux. Et je souhaitais en retour lui donner moi aussi du plaisir.
Je me laissais porter par mon désir. J’embrassais, je caressais Emilie, sa jolie poitrine, son minou imberbe, mouillé, si mouillé que je n’hésitais pas à y glisser un doigt, puis deux. Elle gémissait, la coquine, se contorsionnait. Elle me repoussait, m’embrassait, me branlait la chatte, me suçait. Je la suçais à mon tour, agaçait son clitoris, l’aspirait entre mes lèvres. Elle bougea, chevaucha ma tête, proposa son sexe à ma bouche, pendant qu’elle prenait le mien. Nous avons crié ensemble comme deux sœurs.
Puis Lucas est venu nous rejoindre, et, ensemble nous avons sucé sa bite. Nous avons baisé ensemble tous les trois pendant un long moment, proclamé nos orgasmes, jusqu’à ce que Lucas, enfin rassasié, ne soit plus en mesure de nous satisfaire.
C’est quelques jours plus tard, alors que je suçais Emilie, j’étais dans cette position que j’affectionne tant, en levrette, la bite de Lucas qui coulissait dans mon con, ses doigts qui courraient dans ma fente et la bouche sur la chatte fraiche et juteuse d’Emilie. J’étais au bord de l’orgasme quand Lucas se retira soudainement de mon con. Je sentis immédiatement une pression sur la rosette de mon anus. Je relevais la tête pour protester mais Emilie la plaqua sur son ventre. La pression sur ma rosette continua, s’intensifia jusqu’à ce que mes sphincters cèdent. Je gémissais, bâillonnée par la chatte d’Emilie que je suçais tant bien que mal, malgré tout. La bite de Lucas s’enfonça un peu, puis il se retira, cracha sur mon cul et revint, plus profond, plus loin. Il recommença plusieurs fois jusqu’à ce que son ventre bute sur mes fesses.
Commença alors le lent va-et-viens de la queue de Lucas dans mon cul. Il se retirait souvent, crachait de la salive, revenait. Sa bite coulissait maintenant sans effort pour lui, sans douleur pour moi. Lucas me caressait la fente, ses doigts agaçaient mon clitoris, bandé comme une petite bite. Je me surpris à balancer mon corps d’avant en arrière, voulant éprouver d’autres sensations, plus fortes, plus jouissives. Emilie, que je suçais maintenant avec avidité, deux doigts plantés dans son petit con serré, partit d’un grand cri, témoignage de sa jouissance.
Lucas recommença plusieurs fois d’amener des filles à la maison, Emilie le plus souvent mais d’autres également. Et avec elles, avec lui, je pris du plaisir à me faire sodomiser en levrette pendant que je suçais la fille, servant ainsi l’un et l’autre en bonne chienne soumise. J’appris aussi à leur contact l’usage des objets dont on se sert entre filles, les godes, les vibromasseurs et les godes ceinture.
Je découvris aussi autre chose le jour où Lucas entreprit de m’attacher à la table de la salle à manger. Avec du large ruban adhésif, il lia mes jambes aux pieds de la table, et mes poignets ensemble avant de me faire basculer en avant sur le coussin qu’il avait disposé sous mon ventre. Il termina de m’immobiliser totalement et me bâillonna. Je ne comprenais pas la nécessité de cette contention car je n’avais jamais rien refusé à mon jeune amant. Mais je fus bien obligé de reconnaitre qu’être privée de mes mouvements m’excitait terriblement. Lucas me lubrifia soigneusement la rosette. Je devinais, sans peine, qu’il allait me sodomiser et mon excitation gravit un échelon. La sonnette retentit et Lucas abandonna la préparation de mon cul pour se diriger vers la porte. Si je n’avais pas été bâillonnée j’aurais crié de dépit de voir retardé le moment de l’enfilage. Lucas regarda par l’œilleton et ouvrit la porte.
Mon cœur s’arrêta de battre, sachant que quiconque franchissant cette porte ne pouvait manquer de me voir ainsi soumise. Deux jeunes hommes entrèrent. L’un deux me désigna du menton et demanda à Lucas :
C’est ça, ta pute ?
Ouais.
On peut voir de près ?
Allez-y, ne vous gênez pas ! Leur dit Lucas.
Ils s’approchèrent de moi et les commentaires fusèrent entre les deux arrivants :
Elle est encore bien gaulée pour une vieille.
C’est vrai ! Elle est vachement bandante.
T’as vu son cul, ses jambes. Incroyable.
Ouais, et ses nichons…
Puis ils commencèrent à poser leurs sales pattes sur moi et d’autres commentaires suivirent sur la fermeté de mon cul et de mes seins, sur la douceur de ma peau, jusqu’à ce que l’un deux passe ses doigts dans ma fente et déclare :
Putain, elle mouille la chaudasse. Elle a envie de se faire niquer.
Et enfin, Lucas qui répondit :
Si ça te tente, vas-y mon pote. Baise-là !
Il ne se fit pas prier et enfonça sa bite dans mon con. Deux ou trois aller-retour et il demanda encore :
Elle prend au cul aussi ?
Ouais, elle aime ça et elle est prête. Répondit Lucas.
Et je sentis sa queue bousculer ma rosette et s’enfoncer dans mon ventre.
Jamais Lucas ne m’avait abaissée à ce point. Même avec ces filles qu’il emmenait parfois, avec Emile quand il m’avait enculée pour la première fois. J’étais « sa pute » comme disait l’autre. C’était exactement cela, sa pute, puisque il me donnait à ses copains. Il ne me vendait même pas. Je me sentais humiliée au plus haut point, humiliée d’être ainsi offerte, baisée, sodomisée et surtout mortifiée d’y trouver malgré tout du plaisir. Ma chatte coulait abondamment, ma mouille souillait l’intérieur de mes cuisses. Et cette bite qui me défonçait le cul me fit jouir.
L’autre jeune homme prit la place quand mon premier baiseur se vida dans mon cul. Lui aussi me fit jouir encore, encore plus fort. Quand je repris mes esprits, l’un deux me releva la tête et me dit doucement :
On va te faire connaitre quelque chose de nouveau, Clotilde, un truc que tu vas adorer. Mais pour ça, il faut qu’on te détache. Alors faudra être bien sage. T’es d’accord ?
Il lâcha mes cheveux pour que je puisse lui manifester mon approbation. Ce que je m’empressais de faire.
Un des garçons s’allongea sur le canapé, et m’attira sur lui. Il m’enfonça sur sa bite dressée. Le deuxième me fit basculer en avant et m’encula. Deux bites en moi, deux hommes qui me défonçaient en cadence, mon orgasme repartit vers des sommets. Je jouis en criant, en les traitant de salauds, de porcs, de dégueulasses, de pourris, Lucas y compris. Lucas en particulier.
La fin de l’année universitaire approchait. Pendant trois mois, trois longs mois, j’allais me retrouver seule, sans Lucas, sans homme. Cela me rendait triste. J’avais pris l’habitude d’être baisée chaque jour, souvent plusieurs fois, et d’y prendre ce plaisir intense qui m’était devenu indispensable. Je m’étais laissée dominée par mon jeune amant, mon baiseur car il m’avait fait découvrir cette part de moi-même que j’ignorais, que j’avais occultée. Je n’avais pas de sentiments pour Lucas, sa désinvolture frisait souvent la goujaterie et cela me hérissait souvent. Maïs il me baisait, le petit salaud, et plutôt bien. Et surtout, j’étais devenu à son contact, une femme avide de sexe et de sensations fortes, une femme qui ne refuse rien à son homme, ni son con, ni sa bouche, ni son cul. Une femme qui ne lui refuse pas plus de s’offrir aux filles et aux garçons qu’il choisissait pour elle.
Pendant trois mois, mon ventre allait devoir se passer de sa queue, ma peau de ses mains, ma chatte de sa bouche. Lucas était bel et bien « Mon baiseur » et rien que cela.
Mi-juin, nous sommes allé passer un week-end prolongé au Cap-d’Agde où j’avais loué un mobil-home.
Sur la plage naturiste, je m’offrais sans réserve une séance de bronzage intégral.
Lucas était parti se baigner seul, j’avais préféré la chaleur des rayons du soleil et du regard des autres à la fraicheur de l’eau. Je le voyais s’ébrouer dans l’eau, nager vigoureusement. Quand il sortit, un jeune homme s’approcha de lui. Ils discutèrent puis Lucas l’accompagna vers un filet de volley, où deux autres hommes attendaient, l’un jeune, l’autre d’une quarantaine. Je suivais le match de loin, amusée de voir ses quatre hommes nus, sauter, plonger dans le sable. Deux jeunes filles debout stimulaient les joueurs à grand cris, je me suis approché d’elles et j’ai joint mes encouragements aux leurs.
La partie terminée, nous sommes rentrés tous les sept au camping. Les deux couples de jeunes s’arrêtèrent devant leur grande tente proche de l’entrée. Nous avons ensuite discuté un peu devant notre mobil-home, celui de David étant plus loin. Avant de nous quitter, David me dit :
Clotilde, accepterais-tu de diner avec moi, ce soir ? Lucas trouvera certainement une activité plus en rapport avec son âge.
La formulation de David voulait dire plusieurs choses, la première que je lui plaisais et qu’il avait envie d’aller plus loin, la seconde qu’il ne voulait pas de Lucas dans ses pattes, et la troisième que Lucas était trop jeune pour prétendre à quelque chose. Je m’attendais à ce que Lucas, proteste, refuse de me laisser seule avec David. Mais, sans doute dompté, par le regard de David, par son autorité, il ne dit rien et tourna même les talons pour s’engouffrer dans le mobil-home.
J’acceptais l’invitation.
Nous avions décidé d’aller au restaurant à pied, tranquillement.
A peine sortis du camping, David me posa plein de questions sur moi. Arriva enfin une question, LA question :
Lucas est ton fils ?
Non, c’est le fils de ma meilleure amie que j’héberge durant ses études en fac.
A bon, je me disais aussi qu’une femme avec autant de classe, ne peut pas avoir un fils aussi mal élevé. C’est ton amant ?
Oui. Répondis-je sans réfléchir, c’était tellement évident.
C’est bizarre, je ne te voyais pas vraiment comme une cougar.
Je ne suis pas une cougar, comme tu dis, simplement…
Si tu veux, je peux tout entendre cela restera évidemment entre nous.
Pourquoi commençais-je le récit de tout ce que j’avais vécu avec Lucas. Sans doute parce que instinctivement j’avais confiance en David.
Mon récit se poursuivit jusque dans le restaurant, presque vide et nous avions choisi une table isolée des autres dineurs. Après le dessert, j’arrivais à la fin de mon récit. David me fixa en souriant et il dit d’une voix douce :
Et si moi, je te demandais, comme il l’a fait, de me donner ta culotte, ici et maintenant, est-ce que tu le ferais ?
Je ne répondis pas tout de suite, réfléchissant intensément. Que cherchait-il ? A faire de moi sa maitresse d’un soir ? A profiter de ma faiblesse ? De la totale confiance que je lui avais accordée en lui racontant tout ? Ou bien, voulait-il me dominer comme Lucas me dominait depuis bientôt un an ? Et après tout ! Pourquoi pas ! Dans le pire des cas, David me baiserait, une seule fois ! Pourquoi pas ! Avant Lucas, j’étais restée abstinente quatre ans. Un amant, ne serait-ce qu’un soir, m’aiderait peut-être à me sortir des griffes de ce petit salaud…Je trouvais la réponse qui convenait. Je minaudais :
Peut-être. A condition que tu me le demandes.
Je te le demande, Clotilde. Me répondit-il aussitôt.
Je me contorsionnais pour faire glisser ma culotte sur mes cuisses. La faire descendre sur mes chevilles était un instant délicat car je n’étais plus cachée par la table. Je lui tendis enfin la petite pièce de dentelle roulée en boule dans ma main. Il l’a prise, humée puis l’a tranquillement étalée sur la table et il l’a recouverte de sa serviette. Puis il s’est levé, m’a invitée à le suivre et il a réglé l’addition. Pendant le court instant nécessaire au paiement, je regardais inquiète en direction de notre table. Pourvu que le serveur ne débarrasse pas la table avant que nous soyons partis…
Nous sommes sortis du restaurant et David m’a entrainée rapidement, presque en courant. Hors de vue du restaurant, nous nous sommes arrêtés, regardés et nous sommes partis l’un et l’autre d’un long fou-rire. Nos inquiétudes était les mêmes.
Je suis allé dans son mobil-home et là, David m’a baisée sur le canapé du salon. Quatre ans que je n’avais pas été baisée de cette façon, un subtil mélange de douceur, de tendre brutalité et d’un brin de perversité aussi. Rien à voir avec Lucas qui, s’il me faisait jouir de belle façon, ne me procurait que des sensations physiques. Quatre ans et probablement plus que je n’avais pas fait l’amour.
J’ai passé le reste du week-end avec David laissant Lucas se débrouiller seul, sans personne pur lui faire la cuisine, sans personne pour baiser. Il ne protesta pas une seconde. Et avant de rentrer, je téléphonais à Estelle en présence de David :
Allo, Estelle, c’est Clo.
Clo ! ça va, ma chérie ? Ça se passe bien au Cap-d’Agde ?
Oui, très bien, très, très bien. Justement je voulais te dire un truc que je peux pas garder pour moi tellement je suis heureuse. Voilà, j’ai rencontré un homme, un mec bien et on va se mettre ensemble à la rentrée.
Mais c’est une super bonne nouvelle, ma chérie. Mais tu fais bien de m’appeler maintenant, parce qu’il faut que je trouve une chambre pour Lucas pour septembre.
T’es pas obligée…
Si, si, si. Je veux pas que mon Lucas perturbe vos roucoulades.
Je raccrochais quelques minutes plus tard. Mes confidences avaient pour but d’inciter mon amie à prendre cette décision. Je savais qu’elle réagirait comme ça !
Lucas partit quelques jours après et David vint habiter chez moi. Peu de temps après, je lui demandais les raisons de son divorce et il me répondit que c’était lui qui avait voulu se séparer de son ex-femme parce que elle n’était « pas assez salope ». Je ne sais pas si David vit mon sourire, ni s’il l’interpréta. Mais c’était un sourire de victoire…sur moi-même.
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Commentaires de l'histoire :
Guépiere
superbe recit et clo est aussi salope que moi bisous Marie
Posté le 14/10/2022
fun
une bien belle histoire que j aurait adorait
Posté le 6/11/2018
Anonyme
J'adore. C'est une histoire magnifique et très bien écrite.
Posté le 11/07/2018
Anonyme
Bonsoir Clotilde et merci pour ce récit très érotique et tout aussi excitant ! De plus, ce qui ne gâche rien, très bien écrit ! Didier
Posté le 2/03/2018
sasha
excellent! un vrais plaisir de te lire j ai eu l'impression de vivre cette histoire et même que je l'ai vécu de tout mon être ! merci
Posté le 19/07/2017
Anonyme
J ai adoré je suis votre esclave quand vous voulez Viergemarie sublime commentaire ?
Posté le 9/05/2017
viergemarie
parfait mmmmm me suis doigter a fond
Posté le 7/05/2017
Anonyme
Terriblement bandante cette histoire et si c est vous en photo ouaaaaaawwww
Posté le 2/05/2017
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